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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 29 janvier 2023

La science avance…

Et il y a du sérieux et du moins sérieux dans mes recherches du moment !
 
Par exemple, depuis l’été dernier on nous bassine le neurone avec le concept de « sobriété énergétique » et précédemment de l’empreinte carbone, de la loi anti-gaspillage, des émissions de gaz à effet de serre, d’énergies renouvelables, de transition écolologique : Il y a même un « sinistre » délégué pour ça, comme du temps de « GisKar-A-la-Barre », on avait eu une « sinistre de la femme ».
Des effets de mode ?
Le reflet des époques…
 
En effet depuis quelques années, à cause du « changement climatique », des efforts d’économie d’énergie sont imposés autant aux industriels qu’aux particuliers. Avec pour conséquence, depuis l’année dernière et le conflit en Ukraine, des prix de l’énergie qui ont explosé. Il faut donc faire des économies, se serrer la ceinture et s’habiller chaudement dans sa maison, col roulé au bureau et moufles dans les ateliers.
« Lili-bête-Borgne », notre « Première sinistre », a été jusqu’à menacer les entreprises de sanctions au cas où elles ne joueraient pas le jeu.
Et chacun d’être mis en garde : Des risques de coupures d’électricité étaient à prévoir cet hiver (qui n’ont pas eu lieu). De plus, Enedis, le fournisseur d’électricité peut, grâce au compteur Linky, couper la production d’eau chaude pendant une certaine plage horaire.
L’idée de couper à distance les box internet la nuit a même été évoquée !
 
Après tout, que chacun soit sollicité pour réaliser des économies en temps de crise peut partir d’un bon sentiment : Lors du premier choc pétrolier, on a bien coupé la lumière dans les tours de la Défense et à Montparnasse, on a éteint les devantures de boutiques, mais ni les feux de circulation ni encore aujourd’hui, les locaux de la fondation de sciences sociales (et de l’homme), ce repère de gôchistes à haute densité qui siège en face de l’hôtel Lutétia sur le boulevard Raspail (à « Paris-sur-la-plage »)… Mes impôts.
Car chacun devrait savoir qu’il y d’autres solutions, déjà expérimentées :
Si on évoque aujourd’hui le nom de Tesla, peu de monde se souvient de Nicolas. Vers 1890 il a découvert que l’énergie électrique pouvait être propagée à travers la Terre et autour de celle-ci dans une zone atmosphérique appelée la « cavité de Schumann » située à environ 80 km d’altitude.
Des ondes électromagnétiques de très basses fréquences se propagent pratiquement sans pertes vers n’importe quel point de la Terre. Son idée était que n’importe qui dans le monde pouvait y puiser à condition de s’équiper d’un dispositif récepteur accordé à la transmission d’énergie.
Pour le prouver il a allumé 200 lampes (10.000 watts en tout) à 40 km de distance de la source d’électricité, sans fils conducteurs.
Il est mort en 1943 ruiné et dans l’indifférence.
 
Floyd Sweet quant à lui, était un spécialiste du magnétisme et l’inventeur du VTA (vacuum triode amplifier). Tout comme d’autres inventeurs, il a dû subir des menaces, des vols de ses notes.
Un jour un homme l’a menacé de mort, lui disant qu’il ne voulait pas voir arriver le VTA sur le marché. Sweet a arrêté ses travaux et les harcèlements ont cessé.
En 1930 à Chicago un jeune homme a redécouvert l’énergie libre. Venu à Los Angeles pour faire sa démonstration dans un grand théâtre, il a été agressé et frappé à sa sortie, puis mis à mort.
 
En 1960 l’ingénieur allemand Friedrich Lüling a présenté un moteur magnétique fonctionnant parfaitement pendant 20 ans sans interruption à une vitesse de 290 tr/mn avec un seul jeu d’aimants.
Minato équipe des ventilateurs au Japon avec ça…
Un autre exemple assez significatif est celui du thorium, un combustible alternatif découvert à la fin du XIXème siècle. Les centrales au thorium étaient déjà connues dans les années 40. Elles ont l’immense avantage d’être sans danger : Il y a moins de danger de pollution qu’avec n’importe quelle autre usine chimique.
On affirme que le thorium serait rare, alors qu’il y a du thorium partout sur la Terre. La « Gauloisie-pépère » en a même « stocké sous hangar » pour des milliers d’années et des réserves minières existent en Bretagne.
On prétend également que les centrales au thorium ne seront opérationnelles que dans 50 ans, alors qu’elles sont déjà en fonction en Inde et en Chine.
En Belgique le projet MYRRHA (multi-purpose hybrid research reactor for high-tech applications) teste le fonctionnement d’un réacteur au thorium qui n’a même pas besoin d’uranium 235 ou de plutonium 239 pour démarrer.
Le thorium est donc une solution plutôt écolologique, peu coûteuse et à la technologie à portée de dossier.
 
Un autre projet qui n’a jamais vu le jour est celui des ingénieurs d’Audi qui, en 1989, ont présenté une berline à la 2ème chaine de télévision « teutonne ». À la demande d’Audi, ce reportage a été surveillé par le contrôle technique « teuton » afin que personne ne puisse prétendre qu’il s’agissait d’un faux test.
Ce véhicule ne consommait que 1,76 l aux 100 km. Cet essai a été réalisé sur un parcours réel de 4.800 km à travers l’Europe. Cette voiture n’est curieusement jamais arrivée sur le marché.
Et pour terminer on ne peut pas passer sous silence l’obsolescence programmée, c’est-à-dire… la destruction programmée. L’exemple le plus symbolique étant celui de l’ampoule de Livermore en Californie qui fonctionne toujours depuis plus de 100 ans.
 
Le constructeur automobile Ford avait également déjà inventé au début du siècle dernier une voiture quasi-inusable. Mais « un produit qui ne s’use pas est une tragédie pour les affaires », lisait-on en 1928 dans une revue spécialisée.
Donc peu à peu on a contraint les ingénieurs à créer des produits qui s’usent plus vite.
En 1924 fut fondé secrètement à Genève le « cartel Phoebus » composé notamment de Philips, Osram et General Electric. Leur but était de contrôler la production mondiale des ampoules et de se partager le gâteau du marché mondial.
Les entreprises se voyaient sanctionnées si les ampoules fonctionnaient au-delà de ce qui était exigé.
La « Gauloisie-prétentieuse » a été le premier pays au monde à interdire l’obsolescence programmée en 2015. Malgré tout, cela ressemble à une hypocrisie au regard de ces inventions qui déjà au début des années 1900 pouvaient durer pour ainsi dire à l’infini.
À plus forte raison cela pourrait et surtout devrait être les exemples à imiter aujourd’hui puisque l’objectif est d’économiser l’énergie et de réduire les émissions de CO2 responsables du réchauffement.
Or, la production de tous nos appareils ménagers, voitures, machines, etc… demande beaucoup d’énergie, que ce soit le pétrole, l’électricité ou le gaz. Sans même parler du transport de tous ces matériaux pour les acheminer vers les consommateurs et ensuite… leur destination finale.
Et même si le recyclage est perçu comme vertueux, il n’en reste pas moins énergivore.
 
Il faut se dire que les solutions énergétiques et écolologiques existent déjà. Malheureusement celles qui ont été mentionnées et bien d’autres ont un point commun : C’est d’avoir été cachées volontairement au public, censurées, le nom de Nicolas Tesla a même été rayé des livres d’histoire, des scientifiques ont été assassinés.
Et aujourd’hui nous sommes contraints de payer l’énergie de plus en plus chère, les entreprises sont sommées de réduire leur dépense…
Avouez que c’est extravagant : Ceux qui nous cachent les solutions quasi-gratuites et écolologiques, durables, sont les mêmes qui sanctionnent, nous pressent comme des citrons, nous obligent dans un avenir proche à acheter des véhicules très chers, poussent des entreprises à mettre la clé sous la porte.
Si le « cartel Phoebus » n’existe plus aujourd’hui, c’est seulement qu’il a tout simplement changé de nom et ses membres seront arrivés au-delà des portes du pouvoir politique, n’en doutez pas.
 
Là, c’était le côté « sérieux ». Mais j’ai évoqué le « col roulé » de notre « sinistre des économies ». Il est un autre sujet particulièrement passionnant : Le « No bra ».
Cette idée de se passer de soutif.
Je n’ai rien contre : Je n’en porte plus depuis que je suis redevenu « sub-quintal ».
Avant non plus d’ailleurs…
Mais des bretelles, si jusqu’à récemment.
 
Ne pas porter de soutien-gorge, contrairement aux idées reçues, n’a en effet aucune conséquence sur le maintien d’une poitrine. C’est le poids de celle-ci et la qualité de la peau qui sont responsables de son éventuel relâchement, ainsi que votre posture.
En réalité, la poitrine d’une femme est composée de ce que l’on appelle « les ligaments de Cooper », responsables du maintien et de la fermeté. C’est en laissant les seins libres, sous l’effet de l’apesanteur que les tissus fibreux et « les ligaments de Cooper » se renforcent et améliorent l’élasticité des tissus, agissant ainsi sur le maintien naturel de la poitrine.
Malheureusement, si tous ces petits ligaments ne travaillent pas, ils s’affaiblissent et perdent en efficacité.
Selon une étude (je ne sais pas laquelle…), les femmes ne portant plus de soutien-gorge gagneraient en moyenne une remontée des mamelons de 7 mm par an.
Sûr que c’est scientifique : Au bout de 40 ans, tu l’as direct dans la bouche au lieu du nombril !
 
Il paraît que le soutien-gorge peut aussi être à l’origine de douleurs dorsales, musculaires, et aggraver celles qui existent déjà. Je peux en témoigner : Ça finit par faire mal aux cervicales !
Le port du soutien-gorge pourrait également provoquer des rougeurs causées par la pression des armatures, des traces sur les épaules causées par les bretelles ou encore l’attache. La compression d’un soutif bloque également la circulation lymphatique : Les déchets contenus dans la lymphe restent bloqués au niveau de la poitrine, dans les cellules graisseuses.
 
Mais au fait, et plus généralement avons-nous réellement besoin de porter des sous-vêtements ?
C’est la question scientifique à 10 boules du jour…
 
D’abord, les études (scientifiques) divergent quant à l’origine des sous-vêtements.
Selon la plupart des historiens, leur utilité première aurait été de constituer une barrière pour protéger les parties intimes des agressions extérieures.
Pourtant, les « coquilles » sont bien plus solides.
Selon l’urologie, la réalité serait aujourd’hui bien différente, surtout pour les femmes.
Les meks, tu en écrases une à coup de matraque, il reste l’autre, n’est-ce pas…
Mais certaines culottes fabriquées dans des matières autres que le coton favoriseraient aussi bien les infections vaginales à levures que les infections urinaires. Ne pas porter de petite-culotte pourrait ainsi aider à les prévenir.
Ôtez les vites, mesdames ! Ou je l’en charge en urgence.
 
Limiter le port de sous-vêtements permettrait également de réduire les odeurs dégagées par les parties intimes.
Ça évite surtout de se les faire piquer par des fétichistes, en pense-je…
Tout au long de la journée, la sueur produite par les glandes sudoripares est retenue par le textile. Alors, si vous êtes un habitué des salles de sport et que vous avez tendance à fortement transpirer, l'absence de dessous contribuerait à aérer vos parties génitales.
Autre avantage non négligeable pour les « kouillus » cette fois-ci : Ne pas porter de sous-vêtements permet d’augmenter la production de spermatozoïdes. En effet, « les bas » les plus serrés comme les slips ont tendance à maintenir les testicules près du corps. Et lorsque leur température est trop élevée, leurs capacités sont altérées.
Par conséquent, si vous vous débarrassez de vos dessous moulants, votre fertilité pourrait s'améliorer.
 
Mais avant de jeter l’ensemble de vos sous-vêtements dans un feu de joie, il convient de garder à l’esprit qu’ils ne possèdent pas que des inconvénients : Si vos dessous sont en coton, vous ne devriez pas faire face aux désagréments évoqués ci-dessus. Au contraire, cette matière serait idéale pour éviter tout frottement ou infection, plus efficace encore que de ne rien porter.
 
En ce qui concerne les « poulies-fendues » (nos admirables, irremplaçables et bien aimées femmes), les culottes peuvent empêcher les sécrétions vaginales habituelles de se déposer sur les vêtements. Elles permettent de ne pas laisser de traces visibles sur les pantalons (et de saloper les coussins).
De même lorsque arrivent les règles, les dessous apportent une protection supplémentaire en cas de fuite.
En outre, certaines situations nécessitent absolument le port de sous-vêtements : Si vous avez l’intention de faire du shopping et d’essayer de nouveaux pantalons, les dessous éviteront d’exposer vos parties intimes aux bactéries et diverses saloperies virales d’autres personnes.
Règle qui, d'ailleurs, fait partie des normes d'hygiène élémentaires.
 
Je vais vous dire, le sous-vêtement reste, à mon sens, un indispensable, une invention géniale de nos ancêtres. Rien qu’un pet non contrôlé peut te saloper radicalement et définitivement un costard bien coupé pour le reste de la journée si tu n’en portes pas.
Si je me souviens bien, il faut attendre le XVème siècle pour voir inventer le caleçon-long, ou « pantalettes », porté aussi bien par les dames que par leurs « partenaires de sensualité ».
Une invention bien utile que tu peux même remplacer plusieurs fois par jour si nécessaire.
Et je bénis mes ancêtres, depuis qu’à force de médicament « anti-tout » qu’on me fait avaler depuis quelques mois à haute dose (Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2022/09/estives-2022-44.html), quand « ça part », ça part, n’importe où et n’importe quand : Pénible !
Très pénible de devenir grabataire avant l’âge…
Qu’est-ce que ça va être dans quelques mois ?
 
J’espère que vous aurez appris deux ou trois choses aujourd’hui, alors qu’en fait, je voulais vous parler des dimensions supposées de notre univers.
Désolé, ce sera pour une autre fois, n’est-ce pas…
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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