L’année commence mieux que la précédente ne s’est terminée.

Personnellement, je pars visiter ma « Nichée »,
 
Et Jean-Marc est rentré chez lui…
Mais c’est Jean-Paul qui aura pris le relai, à titre exceptionnel, de la confection de ce « post-du-vendredi » sur le thème des « histoires d’en rire ».
 
C’est l’histoire d’un homme qui sentait l’alcool à plein nez s’assoit à côté d’un prêtre dans le métro.
La cravate de l’homme est souillée, la figure pleine de rouge à lèvres et le bout d’une bouteille de gin dépassait de la poche de son manteau.
Il ouvre son journal et commence à lire.
Après un certain temps, il se retourne vers le prêtre et lui dit :
« ― Mon Père, vous qui êtes un homme sage et de grandes connaissances, pourriez-vous me dire ce qui cause l’arthrite ?
― Mon fils, l’arthrite est causée par une vie de débauche, par le fait de se tenir avec des femmes de mauvaises vies, une trop grande consommation d’alcool et le mépris des autres.
― Ouais, ça parle au diable », fit l’ivrogne en fermant son journal.
Le prêtre, croyant qu’il était allé un peu trop loin pensa s’excuser.
« ― Je suis navré, je ne voulais pas être méchant. Depuis quand souffrez-vous d’arthrite ?
― Moi, j’ai aucun problème. C’est dans le journal qu’on dit que le Pape qui en souffre. »
 
De retour des vacances, une enseignante demande à ses élèves quel bon geste ont-ils fait.
« J’ai aidé un aveugle à traverser la rue » dit Marie-Hélène.
« Moi, j’ai aidé une vieille dame à faire ses emplettes » dit Jean-Jean.
« Moi, j’ai sauvé une fille de viol » affirme dit Jean-Gabriel.
« Oh là, là ! Ça c’est quelque chose, et comment as-tu fait ? » s’exclame la maîtresse.
« Je l’ai convaincue ! »
 
Une petite fille dit à sa mère :
« ― Maman, chaque fois que je donne un bout de pain au chien, ça lui fait dresser la queue.
― Donne-m’en un gros morceau pour ton père. »
 
Une revenue, partie récemment faire son tour du monde depuis ce blog et déjà de retour :
Trois Américains sont à l’hôtel à Paris et au petit déjeuner viennent à parler du genre du mot “cuillère” en « francilien-natif ».
Le premier dit :
« Je pensé que c’était dou masculine car hier soir j’ai entendou lé voisin de mon chambre il a dit : “J’ai lavé mon cul hier”. »
Le deuxième réplique :
« Non, je pensé que c’était dou féminime car moi aussi j’ai entendu mon voisin qui disait : “J’ai lavé ma queue hier.” »
Et le troisième, pour les mettre d’accord tranche :
« Je né savais pas si c’était dou masculine ou dou féminime mais jé suis sour que c’était dou plouriel. Mon voisin à moi il a dit : “J’ai lavé mes couilles hier.” »
 
Marie-Chantal demande à Germaine, sa copine :
« ― Qu’elle est la différence entre le cerveau d’un homme et un petit pois ?
― Mais la couleur, voyons ! »
 
C’est l’histoire éternelle d’un couple qui se dispute.
« Tu as un amant » s’écrie Jean-Marc !
« ― Oui, et alors ?
― Alors, ça veut dire que tu en as assez de moi !
― Mais non mon pauvre ami, il faut bien comprendre que si j’ai un amant, c’est que je n’en ai justement pas assez de toi. »
 
Encore une revenue, mais qui revient de très, très loin :
Un type visite pour la première fois les parents de sa copine.
Il veut faire bonne impression.
À table, la conversation est agréable et animée.
Les convives s’amusent.
Le jeune homme impressionne.
Mais voilà qu’un gaz terrible s’annonce.
Il ne peut plus se retenir.
Grâce à un contrôle absolu de ses muscles, il en claque un… silencieux… et une odeur nauséabonde flotte autour de lui.
Le père lance au chien de la famille :
« MÉDOR ! »
C’est le nom du chien qui est justement couché sous la chaise de notre homme.
« Ouf ! » Pense ce dernier : Ça passe sur le dos du chien.
Il en profite pour en lâcher un autre qu’il ne pouvait plus retenir.
L’air devient irrespirable.
« MÉDOR !!! » gueule le père.
Les yeux dans le vague, en hypocrite, notre gars en laisse partir un troisième.
« MÉDOR !!! » hurle le père, « TIRE TOI DE LÀ VITE FAIT, CE TYPE VA TE CHIER DESSUS ! »
 
Deux secrétaires de direction discutent pendant le repas du midi.
« ― Il faut que je te dise. En portant le courrier au patron, il m’a embrassé.
― Ben dit donc, tu dois avoir mal à la langue.
― Allons pas pour un baiser !
― Non bien sûr, mais d’avoir raconté la chose à toute la boîte… »
 
Après plus d’un demi-siècle de mariage, monsieur meurt.
Quelques temps plus tard, madame aussi s’en va au ciel…
Au ciel, elle retrouve son mari, court vers lui, l’enlace l’embrasse et lui dit toute émue :
« Mon chéri, que c’est bon de te revoir ! »
C’est alors que monsieur un tantinet agacé lui répond :
« Ne me fais pas chier Simone, il me semble que le curé avait été très, très clair… jusqu’à ce que la mort nous sépare ! »
 
Encore une « vieille » qui revient :
C’est l’histoire de trois personnes qui sont dans un ascenseur.
Un gars intelligent, une femme, et le Père-Noël !
Question : Qui va peser sur le bouton pour monter à l’étage ?
Réponse : La femme voyons !
Parce que tout le monde sait qu’un homme intelligent ça n’existe pas et que le père Noël non plus !!!
 
Une « classique » :
Un riche industriel fait fortune en déposant un brevet qui permet aux poules de pondre des œufs carrés.
Les poules sont très heureuses de leur sort.
Estimant avoir gagné assez d’argent, l’industriel décide de revendre son affaire au Ministère de l’Agriculture.
La transaction s’effectue mais les poules se mettent à pondre des œufs normaux.
Le ministre en personne se rend dans le poulailler nationalisé et, surpris, entend les poules caqueter entre elles :
« Maintenant qu’on est fonctionnaire, pourquoi se casser le cul ? »
 
Rentrée à la maison, Marie-Valériane très embêtée, annonce à son petit frère Jean-Robert :
« ― Il m’arrive une sacrée tuile ! Le docteur dit que je suis enceinte.
― Ah Formidable ! » s’écrie Jean-Robert tout joyeux.
« ― Comment ça, tu te réjouis que je sois enceinte ?
― Ben ouais ! Quand tu auras avoué toutes tes conneries à Papa, il signera mon carnet de notes sans même le regarder ! »
 
Un jeune cadre dynamique, aux dents longues et plein d’avenir, explique à son collègue de travail :
« ― Ma femme a enfin trouvé un job à mi-temps !
― Dans quel secteur ?
― Elle garde les enfants de notre femme de ménage ! »
 
Trois Anglo-Saxons assistent à une conférence à Londres.
L’un d’entre eux est membre du parti Travailliste, l’autre est un américain du parti Républicain et le troisième est un Canadien anglais du parti Réformiste.
Le Britannique s’adresse aux deux autres et dit : 
« Dans mon pays, lorsqu’on monte sur la plus haute montagne et qu’on crie God Save The Queen, l’écho nous répond deux fois God Save The Queen ! »
L’Américain dans son style toujours aussi arrogant dit :
« Dans mon pays, lorsqu’on est devant le Grand Canyon et qu’on crie God Save America, l’écho nous répond 22 fois God Save America ! »
Le Canadien du parti réformiste et nouvellement élu au parlement d’Ottawa dit :
« Vous trouverez peut-être cela difficile à croire mais lorsqu’on descend à l’arrière du parlement, il y a une petite route le long de la rivière des Outaouais.
De l’autre côté de la rivière vous voyez le Québec et lorsque vous criez God Save the Queen l’écho nous répond « Vas au diable ! » »
 
Recueillies pour vous à l’occasion de visites médicales :
« ― Quand j’ai des hémorroïdes, j’ai les yeux rouges…
― Vous n’avez pas les yeux en face des trous ça c’est sûr ! »
 
« ― J’ai fait un coma idyllique.
― Apparemment, c’est beaucoup mieux qu’un coma éthylique… »
 
« ― J’ai un ongle incarcéré.
― La caution est de combien ? »
 
« ― On m’a enlevé la vésicule immobilière.
― Serait-elle en vente dans une agence ? »
 
« ― Le cancer du sarcophage, c’est grave ?
― Il faudrait demander à un pharaon… »
 
« ― Vous croyez aux compliments alimentaires, vous ?
― Un compliment est toujours bon à prendre ! »
 
« ― Ça y est, ma femme vient de perdre les os.
― C’est pas normal ça ! »
 
« ― Quoi ? Des suppositoires ! Pas question, ça me donne des lumbagos quand je les mets.
― Mais comment vous vous y prenez ? »
 
« ― On doit me faire un PET scan, mais je ne sais pas quand je dois péter.
― Quand tout le monde est sorti de la pièce… »
 
« ― Ma gastrologue m’a entubé.
― Par quel orifice ? »
 
Un blak entre dans un bar, avec un perroquet perché sur sa tête.
« ― Super ! » s’exclame le barman. « C’est un vrai ? Où l’avez-vous trouvé ?
― En Afrique », répond le perroquet.
 
Une fille et son copain entrent dans un Club.
Quand vient le tour de la fille de commander une boisson, elle lui dit qu’elle a entendu parler d’un tout nouveau drink merveilleux et qu’il “DOIT” l’essayer.
Elle commande, pour elle-même, sa bière habituelle, et pour son copain, elle commande deux verres, le premier contient une mesure de crème de BAILEY’S, et le second contient une mesure de jus de citron.
« OK, tu bois le BAILEY’S, mais tu dois le garder dans la bouche. Après tu bois le jus de citron, et tu dois garder le tout le plus longtemps possible dans la bouche. »
Il hésite, mais comme elle est très enthousiaste, il décide d’essayer.
Premièrement le BAILEY’S…
Une agréable impression de chaleur, de douceur, texture crémeuse et une bonne impression en bouche.
Ensuite le jus de citron…
T + 0,1 secs : La crème de BAILEY’S caille.
T + 0,3 secs : La figure du gars tourne de la couleur du jus de citron.
T + 0,6 secs : Il hésite entre vomir ou avaler la solution.
Il décide d’avaler.
T + 1,5 secs : Elle lui dit doucement à l’oreille : « Ça s’appelle la revanche de la PIPE… »
 
Un toubib dit à son patient :
« ― Vous n’êtes pas malade. Appliquez la méthode Coué. Toute la journée répétez : Je ne suis pas malade, Je ne suis pas malade. Vous verrez, vous irez mieux.
― Ah très bien, Docteur. Et pour vos honoraires, appliquez la méthode Coué. Toute la journée répétez : J’ai été payé, j’ai été payé. Vous verrez, vous irez mieux comme ça. »
 
C’était dans une boîte de nuit, deux hommes discutent.
Il y a un homme d’affaires et un play-boy.
L’homme d’affaires explique :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir des actions en bourse. »
Le play-boy lui répond :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir une bourse en action. »
 
Deux anciens amis de classe, Jean-Paul et Jean-Étienne, se rencontrent par hasard :
« ― Comment vas-tu ? Qu’es-tu devenu ? Es-tu marié ?
― Eh bien oui, je suis marié, et j’ai trois enfants, et toi ?
― Eh bien moi, je n’ai pas eu de chance je me suis marié deux fois.
― Qu’est ce qui est arrivé ?
― Eh bien, ma première femme est partie après trois mois de mariage et la seconde n’est PAS partie… »
 
C’étaient les premières de l’année…
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I³
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !