Mouvement massif attendu !
On va voir ce soir. De toute façon, je ne me sens pas concerné. Et puis,
comme je vous l’ai déjà dit, il y a 40 ans de ça, déjà on nous annonçait que
dans les années 2010, 2030 au plus tard, tous les régimes auraient fait
faillite, entre le papy-boom et les déficits de naissance si on ne réformait
pas ce système « Ponzi » (qui paye les « sortants » sur l’arrivée
des « entrants »).
C’est que j’en ai vu passer des « réformes » des retraites. Même de celles du chômage et de l’emploi depuis les années 80.
Et je savais depuis le démarrage que de toute façon, j’étais la « génération sacrifiée », passant au travers de toutes les « améliorations » successives, mais en assumant toutes les « dégradations » qui se présenteraient.
Donc, je reste à la maison en espérant qu’un jour, le « bon sens » (près de chez vous) fera son œuvre pour « ma Nichée ».
Qui dit mobilisation « massive » dit également
« débordements » d’autant que les RG de la Sécurité du Territoire
attend des « éléments radicaux » qui viendront perturber les
manifestations de la journée.
Là encore, on verra ce soir…
Comme on verra « le score » des manifestations : Mieux que celle qui a fait renoncer « Jupiter » à son « système à points », ou moins bien ?
De toute façon, ce sera « journée galère » pour tous les citadins et périurbains, mais pas forcément autant qu’en 1995.
Ni encore moins qu’en Mai 68 qui s’était prolongé en quasi guerre-civile insurrectionnelle.
Mais dans le dernier cas, ça venait des « d’jeuns » qui n’avait pas d’enjeu syndical, seulement politique.
En attendant, pour la SNCF, ce sera journée pagaille pour les
« usagers » (qui ne sont toujours pas des clients, mais bien des
cochons de payeurs).
Idem à la RATP, en « Île de Gauloisie » et également en province.
Ces deux éléments vont emporter leur lot d’embouteillages plus que très importants sur le réseau routier, parce que tout le monde ne fait pas grève…
Dans l’aérien des préavis ont été déposés pour plusieurs compagnies aériennes, dont « Air-Transe », ainsi que dans le contrôle aérien. Même si le SNCTA, majoritaire chez les aiguilleurs du ciel, n’appelle pas à faire grève justifiant « un usage raisonné et opportun du droit de grève ».
Comiques… Ceux-là attendent les départs en vacances estivales…, comme les dockers de Marseille à « mon époque ».
Il faut dire qu’il s’agit de particulièrement « nuisibles » jusqu’au jour où « Gratte-la-Tune-Berg » aura réussi à interdire les avions et les navires au mazout, se déplaçant, elle, en voilier… (et les autres en pédalo et char à voile, le canasson étant interdit dans les grandes villes…)
Dans les ékoles, le ton est donné et on parie sur 70 % de grévistes et 30 % d’ékoles fermées. Dans le secondaire, on ne savait pas encore hier soir.
Ce qui va soulager le réseau routier et augmenter les requêtes internet pour cause de télétravail « choisi ».
Dans les raffineries et le secteur de l’énergie, les grèves dans les
raffineries avaient déjà provoqué une pénurie inédite dans tout le pays pendant
plusieurs jours à la grande désolation de « Poux-tine ».
Si la « CGTétée » de la branche pétrole bloque depuis lundi certains sites, la « CFDTété » n’y a pas appelé.
J’ai appris à l’occasion qu’ils ne « bloquaient pas » : Ils s’interdisaient de « charger », nuance !
Chez EDF, il y aura des débrayages sans conséquences : Les personnels sont déjà réquisitionnés et tout est automatisé, sauf quelques « nœuds » et les urgences.
À l’hôpital « FO-Santé », avait déjà appelé à une « grève illimitée » dès le 10 janvier.
Le Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI) appelle également « toutes les infirmières salariées de tous les secteurs » à faire grève contre « l’abjecte réforme des retraites ». Mais, « si nous travaillons, nous pouvons descendre dans le hall pour une minute de silence, déposer 1 heure de grève, réduire l’activité », écrit le syndicat dans son appel (en « francilien-natif » dans le texte…).
Vous voyez bien qu’à l’ékole, on n’apprend pas grand-chose…
Qu’à la limite, ça ne sert que de garderie : On s’en est rendu compte avec la pandémie de 2020 et ses « gardes-à-vue » domiciliaires pour cause de cours en « distanciel » !
Gros morceau, dans la fonction publique, une large intersyndicale a
également appelé, dans un communiqué commun, « à se mobiliser pour obtenir
le retrait de la modification de l’âge légal porté à 64 ans » et « à
s’inscrire massivement dans la première journée de grèves et de manifestations
interprofessionnelles ».
Mais comme chez eux, qu’ils bossent ou qu’ils ne bossent pas, de toute façon on ne voit pas trop la différence…
Peut-être quelques perturbations dans l’accueil des « usagers » (qui restent les « cochons de payeurs » à travers les impôts & taxes).
En fait, tout le monde devrait faire grève si tout le monde refusait de
devoir trimer pour des « boss-tyranniques » et des
« petits-chefs » invivables, jusqu’à 65 balais.
On devrait avoir un grand « Mai 68 » de tous ceux nés après 1961.
Mais même pas !
Alors quid ?
Bé la réponse tient dans l’alignement, voire la suppression des régimes
spéciaux…
Ah, parce qu’il y en a qui sont encore plus égaux que d’autres dans la « Gauloisie-de-gôche-soce » ?
Bé oui, c’est ça les « valeurs de gôche » démocratiques et populaires : Pas une tête qui dépasse (on les coupe…), tous au même régime… sauf les « spéciaux », naturellement.
Et c’est quoi un « régime spécial » qui vient « compléter »
la liste des régimes de la Sécurité sociale sur laquelle figure déjà le régime
général, le régime des travailleurs non-salariés et le régime agricole ?
Tu demandes à un gréviste, il sera bien incapable de te répondre, d’autant puisque les autres concernés ne « grèvent » pas (ils sont si peu nombreux qu’on ne s’en rendrait pas compte) et surtout chez les jeunes : Leur problème, à ces derniers, c’est déjà de trouver un boulot, un logement pas cher et à proximité, de quoi becqueter et éventuellement une nounou pour leur nouveau-né. La retraite, c’est « hors horizon » et de toute façon ils sont persuadés qu’ils n’en auront pas.
D’ailleurs, ils préfèrent « capitaliser » à titre personnel, plutôt que payer à fonds perdus…
Globalement, les autres dans les cortèges te feront l’inventaire ci-dessous,
la grande particularité d’un régime spécial, c’est qu’il n’est pas « général »
et qu’il le doit à son rattachement à une entreprise, une institution publique
ou à une profession. Ainsi, il est possible de classer les régimes spéciaux de
retraite en trois grandes catégories.
Les régimes des fonctions publiques qui regroupent entre autres les militaires et la police nationale, les hospitaliers et les territoriaux ; les régimes des entreprises et des organismes publics auxquels sont rattachés EDF, GDF, la RATP, la SNCF, etc. Et enfin, la dernière catégorie qui regroupe les « vrais régimes spéciaux » dont le nombre de bénéficiaires est si peu élevé.
Dans les grandes lignes, il s’agit donc du régime des fonctionnaires, de
celui de la banque de Gauloisie, la RATP, la SNCF, les Mines, du régime des
personnels de l’Opéra National de Paris, la Comédie « Gauloisienne », de
celui du Port autonome de Bordeaux, les Marins avec l’Établissement National
des Invalides de la Marine, le régime des Cultes (huguenot, feuj et hérétiques
islamiques, puisque les curés vivent de la charité des fidèles gérée par l’évêché
et le Vatican), des Clercs et employés de Notaire, des parlementaires du Sénat
avec la caisse autonome de Sécurité sociale du Sénat, du régime parlementaire
de l’Assemblée Nationale, du régime EDF-GDF et autres des Industries Électriques
et Gazières, du régime des ouvriers des établissements industriels de l’État,
plus le régime des agents des collectivités locales…
On compte en fait 37 régimes de retraite dont 15 régimes spéciaux en « Hexagonie » qui regroupent environ 4,5 millions de pensionnés et… 4,7 millions de cotisants, donc à l’agonie, voire à l’article de la mort, pour 3,4 % de la population concernée…
À l’agonie, mais ils en veulent encore, figurez-vous !
Moâ, je serai eux, je ferai grève pour revenir impérativement au régime général le plus vite possible…
Mais il n’y a pas que ça.
Car, dans le détail des caisses de retraite « spécifiques » qui
gèrent leurs problèmes, c’est un foisonnement : Régime des salariés
agricoles (CCMSA) ; Agents de l’Etat (fonctionnaires civils et militaires)
= Service des retraites de l’État (SRE), et Établissement de retraite
additionnelle de la fonction publique (RAFP), Banque de Gauloisie (Caisse de
réserve des employés de la Banque de « Gauloisie ») ; Caisse
Nationale de retraite des Industries électriques et gazières (CNIEG) ; Caisse
Nationale de Retraite des Agents des Collectivités Locales (CNRACL) ; Caisse
de Retraite et de Prévoyance des Clercs et Employés de Notaire (CRPCEN) ; Caisse
Autonome Nationale de Sécurité Sociale dans les Mines (CANSSM) ; Caisse de
retraite du personnel de la Régie Autonome des Transports Parigots (CRPRATP) ;
Caisse de prévoyance et de retraite du personnel de la Société Nationale des
Chemins de Fer gauloisien (CPRPSNCF) ; Fonds Spécial des Pensions des
Ouvriers des Établissements Industriels de l’État (FSPOEIE) ; Établissement
National des Invalides de la Marine (ENIM) ; Régime de retraite des
ministres des cultes d’Alsace-Moselle (avec même des curés « papistes »
puisque le concordat y a perduré) ; Régime des assemblées parlementaires et du
conseil économique et social ; Régime de retraite du personnel du port
autonome de Strasbourg ; Caisse de Retraite des personnels de l’Opéra
national de « Paris-sur-la-Seine » ; Caisse de retraite du personnel de la Comédie «
Gauloisienne » (CRPCF) ; Caisse Autonome Nationale de la Sécurité
Sociale dans les Mines (pour son personnel CANSSM) ; Régimes des
non-salariés dont le régime des exploitants agricoles (CCMSA) ; le régime
social des indépendants (RSI) ; la Caisse Nationale des Barreaux « Gauloisiens »
(CNBF), proche de la faillite qui arnaque les jeunes avocats ; la Caisse
d’assurance vieillesse invalidité et maladie des cultes (CAVIMAC) ; la Caisse
nationale d’assurance vieillesse des professions libérales (CNAVPL) qui elle-même
comporte 13 caisses indépendantes : CRN, Caisse de retraites des notaires ;
CARMF, Caisse autonome de retraite des médecins de « Gauloisie » CARCDSF ;
Caisse autonome de retraite des chirurgiens-dentistes et des sage-femmes ;
CAVP Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens ; l’ARPIMKO Caisse
autonome de retraite et de prévoyance des infirmiers,
masseurs-kinésithérapeutes, pédicures-podologues, orthophonistes et
orthoptistes ; la CARPV Caisse autonome de retraite et de prévoyance des
vétérinaires ; la CAVAMAC Caisse d’allocation vieillesse des agents
généraux et des mandataires non-salariés de l’assurance et de la
capitalisation ; la CAVEC Caisse d’allocation vieillesse des
experts-comptables et des commissaires aux comptes ; la CARGE Caisse
autonome de retraite des géomètres - experts, experts agricoles et fonciers ;
la CREA Caisse de retraite de l’enseignement, des arts appliqués, du sport et du tourisme ; la CIPAV Caisse
interprofessionnelle de prévoyance et d’assurance vieillesse ; la CAVOM Caisse
d’assurance vieillesse des officiers ministériels ; Le fonds de solidarité
vieillesse ; Le Service de l’Allocation de Solidarité aux Personnes Âgées,
qui sont plus ou moins structurellement en voie d’extinction.
Mais certaines sont à la tête d’un trésor de guerre conséquent pour assumer les pensions à venir pendant des décennies.
Et là, ça attire bien des convoitises, que ce soit de la part des « sachants » qui nous gouvernent, comme de quelques fonds de pension anglo-saxons toujours avides de « matière première ».
Les régimes déjà en voie d’extinction définitive sont ceux des agents de
la SEITA, le Fonds spécial d’assurance vieillesse des chemins de fer secondaires
(CAMR), de l’Imprimerie nationale, des Cantonniers de l’Isère (CANT-IS), des Chemins
de fer de l’Hérault (CFH-HER), de la Caisse de retraite du chemin de fer
franco-éthiopien (CRCFE), de la Caisse de retraite des régies ferroviaires
d’Outre-mer (CRRFOM), même si je n’ai pas encore entendu parler de celle des
agents de la Société de Chemin de fer de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi »,
de toute façon garantie par la collectivité territoriale, des régimes spéciaux
des hôpitaux du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de Moselle, des régimes spéciaux des
communes de Moselle, du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et les des régimes spéciaux des
organismes de sécurité sociale du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de Moselle, plus
quelques autres régimes spéciaux du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de Moselle.
À côté, se portent mieux les régimes complémentaires obligatoires de
salariés (Association générale des institutions de retraite des cadres
(AGIRC), Association des régimes de
retraite complémentaire (ARRCO) parce qu’elles font cotiser un complément sans
ouvrir de droits supplémentaires, l’Institution de retraite complémentaire des
agents non-titulaires de l’État et des Collectivités publiques (IRCANTEC) que j’en
touche un bout, l’institutions de retraite complémentaire « ordinaires » (IRC),
là encore quelques picaillons de du temps où je formais « la relève »,
dont la caisse de retraite du personnel navigant professionnel de
l’aéronautique civile (CRPNPAC), et l’institution de retraite complémentaire de
l’enseignement et de la création (IRCEC) que j’en touche aussi quelques picilions.
Mes droits d’auteur, j’ai toujours évité de cotiser, donc je ne toucherai jamais rien.
Car c’est une question de « démographie » des régimes… spéciaux.
Déjà que le régime général ne va pas fort, inutile de préciser que le régime
général des forgerons est mort depuis bien longtemps.
Ce qui est profondément inéquitables pour les régimes les moins bien lotis et profondément injuste pour les jeunes obligés de trimer dans une profession sans espoir aucun de récupérer leurs cotisations happées par les « seniors-déjà-pensionnés ».
Je n’ai pas le détail exact (enfin, j’en ai plusieurs qui ne se recoupent
pas entre eux) mais on compte 68 millions de « grognons-râleurs » (en
2023) qui errent sur le territoire national
(migrants inclus) en comptant les « nains de jardin » à peine nés et
les centenaires dépassés qui tardent à rendre l’âme à leur Créateur.
Mais globalement il faut compter une trentaine de million « d’actifs » (en âge de trimer et de suer).
Sauf qu’il faut en retirer 3 millions qui sont au chômage, total ou partiel et encore un petit million qui ne bossent pas à plein temps, sont « intermittents » corvéables et taillables à merci, plus tous ceux (encore un million) qui sont sortis des statistiques pour cause de formation, de maladie, d’incapacité, d’invalidité, de handicap.
Là-dessus, tu comptes encore 15 millions de personnes « en formation » de la maternelle aux études-sup (à raison de quelques 730.000 par millésime sur quelques 20 ans…). Ce qui fait déjà un total de 19 à 20 millions qui vivent aux crochets d’autrui, consommant mais ne produisant aucune cotisation.
Un petit-tiers, quoi.
Et encore, dans le tas, près de 5,6 millions cotisent et produisent, mais avec les impôts et cotisations diverses soutirés à tous les autres !
Ce sont les employés de la fonction publique et assimilés justement ceux qui « grèvent » aujourd’hui pour sauver leur pécule de « droits-acquis ».
Auxquels il faut rajouter 11.683.000 personnes (en 2016) vraiment « inactives », rentiers, personnes « au foyer » ou glandeurs-nés, SDF, « hors système » (péripatéticiennes, astrologues, curés, cartomanciennes, etc.).
On est déjà à plus 25 millions de têtes de pipe qui ne financent pas les 13 millions de personnes de plus de 64 ans.
Autrement dit, ils sont 38 millions à ne pas être concernés par les projets gouvernementaux…
Et heureusement que cette majorité-là ne vote pas en totalité…
Mais qu’on y réfléchisse : Comment voulez-vous que 30 millions, qui
tirent la langue en fin de mois, tous les mois, financent un train de vie décent
des 38 autres ?
C’est que j’en ai vu passer des « réformes » des retraites. Même de celles du chômage et de l’emploi depuis les années 80.
Et je savais depuis le démarrage que de toute façon, j’étais la « génération sacrifiée », passant au travers de toutes les « améliorations » successives, mais en assumant toutes les « dégradations » qui se présenteraient.
Donc, je reste à la maison en espérant qu’un jour, le « bon sens » (près de chez vous) fera son œuvre pour « ma Nichée ».
Là encore, on verra ce soir…
Comme on verra « le score » des manifestations : Mieux que celle qui a fait renoncer « Jupiter » à son « système à points », ou moins bien ?
De toute façon, ce sera « journée galère » pour tous les citadins et périurbains, mais pas forcément autant qu’en 1995.
Ni encore moins qu’en Mai 68 qui s’était prolongé en quasi guerre-civile insurrectionnelle.
Mais dans le dernier cas, ça venait des « d’jeuns » qui n’avait pas d’enjeu syndical, seulement politique.
Idem à la RATP, en « Île de Gauloisie » et également en province.
Ces deux éléments vont emporter leur lot d’embouteillages plus que très importants sur le réseau routier, parce que tout le monde ne fait pas grève…
Dans l’aérien des préavis ont été déposés pour plusieurs compagnies aériennes, dont « Air-Transe », ainsi que dans le contrôle aérien. Même si le SNCTA, majoritaire chez les aiguilleurs du ciel, n’appelle pas à faire grève justifiant « un usage raisonné et opportun du droit de grève ».
Comiques… Ceux-là attendent les départs en vacances estivales…, comme les dockers de Marseille à « mon époque ».
Il faut dire qu’il s’agit de particulièrement « nuisibles » jusqu’au jour où « Gratte-la-Tune-Berg » aura réussi à interdire les avions et les navires au mazout, se déplaçant, elle, en voilier… (et les autres en pédalo et char à voile, le canasson étant interdit dans les grandes villes…)
Dans les ékoles, le ton est donné et on parie sur 70 % de grévistes et 30 % d’ékoles fermées. Dans le secondaire, on ne savait pas encore hier soir.
Ce qui va soulager le réseau routier et augmenter les requêtes internet pour cause de télétravail « choisi ».
Si la « CGTétée » de la branche pétrole bloque depuis lundi certains sites, la « CFDTété » n’y a pas appelé.
J’ai appris à l’occasion qu’ils ne « bloquaient pas » : Ils s’interdisaient de « charger », nuance !
Chez EDF, il y aura des débrayages sans conséquences : Les personnels sont déjà réquisitionnés et tout est automatisé, sauf quelques « nœuds » et les urgences.
À l’hôpital « FO-Santé », avait déjà appelé à une « grève illimitée » dès le 10 janvier.
Le Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI) appelle également « toutes les infirmières salariées de tous les secteurs » à faire grève contre « l’abjecte réforme des retraites ». Mais, « si nous travaillons, nous pouvons descendre dans le hall pour une minute de silence, déposer 1 heure de grève, réduire l’activité », écrit le syndicat dans son appel (en « francilien-natif » dans le texte…).
Vous voyez bien qu’à l’ékole, on n’apprend pas grand-chose…
Qu’à la limite, ça ne sert que de garderie : On s’en est rendu compte avec la pandémie de 2020 et ses « gardes-à-vue » domiciliaires pour cause de cours en « distanciel » !
Mais comme chez eux, qu’ils bossent ou qu’ils ne bossent pas, de toute façon on ne voit pas trop la différence…
Peut-être quelques perturbations dans l’accueil des « usagers » (qui restent les « cochons de payeurs » à travers les impôts & taxes).
On devrait avoir un grand « Mai 68 » de tous ceux nés après 1961.
Mais même pas !
Alors quid ?
Ah, parce qu’il y en a qui sont encore plus égaux que d’autres dans la « Gauloisie-de-gôche-soce » ?
Bé oui, c’est ça les « valeurs de gôche » démocratiques et populaires : Pas une tête qui dépasse (on les coupe…), tous au même régime… sauf les « spéciaux », naturellement.
Tu demandes à un gréviste, il sera bien incapable de te répondre, d’autant puisque les autres concernés ne « grèvent » pas (ils sont si peu nombreux qu’on ne s’en rendrait pas compte) et surtout chez les jeunes : Leur problème, à ces derniers, c’est déjà de trouver un boulot, un logement pas cher et à proximité, de quoi becqueter et éventuellement une nounou pour leur nouveau-né. La retraite, c’est « hors horizon » et de toute façon ils sont persuadés qu’ils n’en auront pas.
D’ailleurs, ils préfèrent « capitaliser » à titre personnel, plutôt que payer à fonds perdus…
Les régimes des fonctions publiques qui regroupent entre autres les militaires et la police nationale, les hospitaliers et les territoriaux ; les régimes des entreprises et des organismes publics auxquels sont rattachés EDF, GDF, la RATP, la SNCF, etc. Et enfin, la dernière catégorie qui regroupe les « vrais régimes spéciaux » dont le nombre de bénéficiaires est si peu élevé.
On compte en fait 37 régimes de retraite dont 15 régimes spéciaux en « Hexagonie » qui regroupent environ 4,5 millions de pensionnés et… 4,7 millions de cotisants, donc à l’agonie, voire à l’article de la mort, pour 3,4 % de la population concernée…
À l’agonie, mais ils en veulent encore, figurez-vous !
Moâ, je serai eux, je ferai grève pour revenir impérativement au régime général le plus vite possible…
Mais il n’y a pas que ça.
Mais certaines sont à la tête d’un trésor de guerre conséquent pour assumer les pensions à venir pendant des décennies.
Et là, ça attire bien des convoitises, que ce soit de la part des « sachants » qui nous gouvernent, comme de quelques fonds de pension anglo-saxons toujours avides de « matière première ».
Mes droits d’auteur, j’ai toujours évité de cotiser, donc je ne toucherai jamais rien.
Ce qui est profondément inéquitables pour les régimes les moins bien lotis et profondément injuste pour les jeunes obligés de trimer dans une profession sans espoir aucun de récupérer leurs cotisations happées par les « seniors-déjà-pensionnés ».
Mais globalement il faut compter une trentaine de million « d’actifs » (en âge de trimer et de suer).
Sauf qu’il faut en retirer 3 millions qui sont au chômage, total ou partiel et encore un petit million qui ne bossent pas à plein temps, sont « intermittents » corvéables et taillables à merci, plus tous ceux (encore un million) qui sont sortis des statistiques pour cause de formation, de maladie, d’incapacité, d’invalidité, de handicap.
Là-dessus, tu comptes encore 15 millions de personnes « en formation » de la maternelle aux études-sup (à raison de quelques 730.000 par millésime sur quelques 20 ans…). Ce qui fait déjà un total de 19 à 20 millions qui vivent aux crochets d’autrui, consommant mais ne produisant aucune cotisation.
Un petit-tiers, quoi.
Et encore, dans le tas, près de 5,6 millions cotisent et produisent, mais avec les impôts et cotisations diverses soutirés à tous les autres !
Ce sont les employés de la fonction publique et assimilés justement ceux qui « grèvent » aujourd’hui pour sauver leur pécule de « droits-acquis ».
Auxquels il faut rajouter 11.683.000 personnes (en 2016) vraiment « inactives », rentiers, personnes « au foyer » ou glandeurs-nés, SDF, « hors système » (péripatéticiennes, astrologues, curés, cartomanciennes, etc.).
On est déjà à plus 25 millions de têtes de pipe qui ne financent pas les 13 millions de personnes de plus de 64 ans.
Autrement dit, ils sont 38 millions à ne pas être concernés par les projets gouvernementaux…
Et heureusement que cette majorité-là ne vote pas en totalité…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
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