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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 30 janvier 2023

Petit rappel de la « konnerie » de nos « sachants »

Il s’agit de mon « tas-de-boue-à-roulettes ».
 
Ma pétasse de mairesse des « parigots-tête-de-veau », prise en otage par ses élus « écololos » qui s’accroche avec une incompétence crasse de plus en plus visible à ses « indemnités de fonction » (elle ne sait rien faire d’autre que d’escagasser ses électeurs et détruire à petit-feu la Ville-lumière en rêvant à son jour de gloire : L’ouverture des JO de 2024 !) a été parmi les premières à instaurer une ZFE (zone à faible émission) avec la bénédiction et les encouragements vitupérant de quelques « Premiers sinistres » de « Jupiter » (qui ne fait jamais le plein de sa voiture avec ses sous : Il n’en déclare aucune dans son patrimoine…), tout autour de mon domicile « parigot ».
Que j’hésite encore à déménager durablement en Balagne, à l’air pur parfumé aux odeurs de maquis et du bord de la mer.
Mais je dois avouer qu’avec mon accumulation d’ALD depuis quelques temps, j’hésite encore.
Il n’empêche, je louerai mon domicile parigot (et son parking, indispensable, parce que c’est l’enfer pour stationner sans vider la moitié de son réservoir à « Paris-sur-la-plage ») ce qui viendrait compléter utilement ma maigre retraite des travailleurs épuisés, mais aurait l’inconvénient de m’éloigner de « ma Nichée » et de quelques autres biens « à rendement » qui s’y trouvent et qui exigent de ne pas être trop loin pour les gérer et les léguer en bon état plus tard…
Un rêve quasi-inaccessible, quoi.
Un problème de « riche » me direz-vous, mais c’est encore une ânerie d’Oxfam, parce que je reste dans le décile le plus pôvre du pays : Un paradoxe de plus !
 
Donc, j’accumule une maigre épargne pour m’offrir le remplaçant, d’occasion et en location avec option d’achat, de mon « tas-de-boue-à-roulettes » qui roule au diesel, depuis deux ans (que j’ai du mal avec tout ce qu’on me pique par ailleurs…).
Et heureusement que j’ai eu droit à du rab’ dans mon calendrier prévisionnel (ils n’ont même pas été capables de mettre leur « bidule » en place depuis tout ce temps et l’apparition des vignettes « Crit’air »), parce qu’il y a trois ans, je ne pouvais pas.
J’aurai dû laisser mon « tas-de-boue-à-roulettes » sur un parking en province et finir à pied ou en bus (voire en RER) : Facile pour programmer un déplacement urgent avec bagages et chat, entre les grèves et les « incidents de trajets »…
Parce que, c’est bien le diesel qui est visé et nul autre.
 
Or, ce week-end, je viens de (re)découvrir que le moteur diesel participait à la lutte contre le réchauffement climatique !
Fabuleux les communications des lobbyistes !!!
Car on savait déjà que de tous les moteurs thermiques, le diesel était celui qui émettait le moins de CO2, principal gaz à effet de serre.
Mais le diesel-gate aura sacrifié la filière par inadvertance : Merci aux « Teutons » de la voiture du peuple (Volkswagen, une création hitlérienne).
Ce que l’on vient de découvrir, c’est qu’il contribuait aussi, et d’une tout autre manière, à la lutte contre le réchauffement climatique !
Je n’ai pas pu vous en parler pour le « post » dominical…
 
En effet, dès son numéro de décembre, la revue Nature avait publié les résultats d’une étude internationale expliquant pourquoi, en 2020, la concentration de méthane dans la haute atmosphère avait connu une augmentation jamais vue depuis le début des mesures, dans les années 80.
Ce qui avait étonné tout le monde, alors même qu’on polluait moins pour cause de confinement.
Principale explication, ce gaz avait été beaucoup moins dégradé par les émissions d’oxydes d’azote (Nox) du transport routier, car celui-ci avait beaucoup diminué cette année-là justement sous l’effet du grand confinement mondial.
Pour ceux que cela intéresse, les NOx, principalement émis par les moteurs diesel, ne sont pas un résidu de carburant, mais une dégradation du comburant (l’air : Azote et oxygène) sous l’effet des hautes températures et pressions de ces moteurs.
Soumis au rayonnement solaire, ces Nox se transforment en OH (hydroxyle), un radical qui décompose le méthane dans l’atmosphère.
Si vous voulez en savoir plus, mes cours de physique-chimie sont à votre disposition dans ma cave… Moâ, je n’y vais plus, il y a trop de poussière.
 
Et je note au passage que les ingénieurs de PSA avaient vu juste dans leurs « bidouilles » de dépollution révélées à la suite du « Diesel gate » : Leurs HDI étaient réglés pour ne pas trop cracher de NOx à basse vitesse ― et donc en ville ― mais se lâchaient sur route où ce gaz était dispersé dans leur sillage à plus haute célérité.
Bref, on vient d’apprendre que le principal polluant « sanitaire » du diesel limitait l’effet de serre.
Et pas qu’un peu…
 
C’est que le méthane ― qui n’est rien d’autre que le gaz « naturel » de nos centrales électriques, chaudières et gazinières ― a, quand il n’est pas brûlé mais relâché dans l’atmosphère, un potentiel de réchauffement instantané 80 fois supérieur à celui du CO2, et encore 27 fois supérieur en tenant compte de sa durée de vie moins longue.
Ce que je vous répète depuis des années sur ce blog (et encore ailleurs) concluant qu’on est bien face à un « foutage de gueule » colossal de tous les « sachants » qui ne sont que des ignorants, relayés par les « écolologistes » qui ne sont que des écervelés…
Le moindre vigneron vous expliquera en long, en large, en travers et en profondeur que le CO2 est plus lourd que l’air ambiant, qu’il se cache dans les coins des caves à fermentation du raisin et qu’il ne peut pas prendre d’altitude sauf à y être produit directement dans la stratosphère (les avions…) où l’air est encore plus léger pour être moins dense, mais plonge rapidement dans le fond des océans ou sur la végétation locale (les bois et guérets) qui s’en nourrit.
Passons : Personne n’a jamais relevé le contre-sens, c’est comme ça !
Sans doute faut-il décarboner notre environnement, mais probablement plus pour imposer un embargo sur les produits pétroliers, d’abord de l’OPEP, puis des russes (une histoire mal assumée de « souveraineté ») et empêcher les nations émergentes d’émerger avant qu’elles ne deviennent des concurrentes trop ambitieuses au motif de ne pas reconduire, répéter, les « mêmes erreurs » de développement des « nations riches »…
Passons, c’est encore une autre histoire…
 
Pour en revenir à mon « veaux-diesel », rappelons qu’il n’est pas simple de réduire les émanations de méthane de provenance multiple. Il est d’abord émis « naturellement » par l’élevage via la digestion des ruminants (c’est pourquoi on veut vous interdire de manger de la bidoche qu’on va vous remplacer par du soja génétiquement modifié pour écouler les surplus « ricains » qui s’accumulent) mais aussi par la décomposition des matières organiques, croissante avec le dégel des sols du grand Nord sibérien et canadien.
Ensuite, bien entendu industriellement parlant, lors de l’extraction charbonnière, pétrolière et gazière, de son transport, de son utilisation.
Sans oublier les composteurs « bio » de vos jardins (« bio » et sans engrais azoté) qui sont souvent, parce que mal utilisés, de véritables méthaniseurs à ciel ouvert.
 
Désormais, tout d’un coup, la communauté scientifique mondiale considère que la réduction de ses émissions est aussi prioritaire que celles du CO2.
« Réduire les émissions mondiales de méthane provenant des activités humaines de 30 % d’ici la fin de cette décennie aurait le même effet sur le réchauffement climatique d’ici 2050 que de faire passer l’ensemble du secteur des transports à des émissions nettes de CO2 nulles » a déclaré récemment Fatih Birol, directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie.
Oh putain de gourgandine : Ils n’y avaient pas pensé plus tôt au lieu de raconter leurs carabistouilles depuis plus d’une décennie ?
Car ce n’est pas rien et même une vache de solution…
 
D’où, d’ailleurs, les efforts récemment imposés et entrepris par l’industrie gazière, et aussi jusque dans les fermes…
Si on ne sait pas encore vraiment limiter les émissions de méthane en adaptant l’alimentation des bovins, on sait désormais les capter au niveau de la toiture des étables, voire au pré, à même du museau de chaque animal, et dans tous les cas, exploiter par méthanisation celui des déjections.
Ce « biogaz » est même aujourd’hui injecté dans le réseau de gaz de ville, pour les fermes qui n’en sont pas trop éloignées.
De là à faire carburer les tracteurs des autres avec du gaz produit localement, il n’y a pas loin…
On n’a pas de pétrole, mais on a des idées !
 
Car devinez quoi ? Quel moteur est le plus apte à fonctionner au méthane et avec le meilleur rendement ?
Bé c’est le diesel qui ne requiert guère plus de modifications que pour convertir un moteur essence au GPL, avec pour avantage supplémentaire de réduire considérablement ses émissions de particules et, heureusement, pas celles… de NOx.
Un moteur qui, en consommant un gaz à effet de serre, émet un autre gaz qui réduit l’effet de serre, c’est une sorte de remède miracle !
Qu’on ne fait que, non pas découvrir, on le savait depuis longtemps, mais seulement d’oser en parler enfin !
Hein, il en aura fallu du temps pour venir moucher nos « sachants », de ceux qui sont nés pour emmerder le monde !
 
De fait, il devient évident que l’avenir pour le transport routier de longue distance ― incompatible avec le moteur électrique à batteries que veut nous vendre « Élan-Must » en pillant des ressources naturelles qui ne demandaient rien, sinon à nous rendre encore plus dépendants des chinois et de quelques autres ― réside bien d’avantage dans le diesel carburant au méthane que dans l’électrique à pile à combustible alimentée par hydrogène.
Simple petit rappel : Le projet européen qui prévoit de faire rouler sur le continent, dès 2030, 100.000 camions à hydrogène, nécessiterait d’y consacrer 910 km² de champs de betteraves à stériliser en les recouvrant de panneaux solaires (plus de 8,6 fois la ville de « Paris-sur-la-plage ») ou 15 réacteurs nucléaires pour le produire proprement, c’est-à-dire par hydrolyse de l’eau.
Sachant qu’il y a trois millions de camions en Europe, il faudrait compter 30 fois plus de ces belles installations onéreuses construites à la gloire de l’ingénierie Gauloisienne avec mes impôts : Je suis « riche », mais tout de même…
Car aucun budget ne peut y faire face, même en plusieurs siècles. D’ailleurs, même les ingénieurs y renoncent déjà…
 
D’autant qu’à l’exact opposé de la filière à complications de l’hydrogène, le méthane est facile à produire ― bien plus que l’éthanol ou le diester ― à partir d’excréments et de toutes sortes de déchets organiques, domestiques, agricoles ou forestiers.
Et même si depuis le boom du prix du gaz, des paysans méthanisent du maïs, la production de ce gaz ne concurrence pas, normalement, l’alimentation humaine.
Mais il leur faudrait également démultiplier leurs élevages de bovins dont il leur faudrait aussi refourguer dans les étals de boucherie à des populations devenues « bouffeuses de tourteaux de soja » !
Je ne vous raconte pas le délire…
 
Bref, alors que je vais expédier mon « veau diesel » à de petits sahéliens ravis de l’aubaine, le moteur diesel n’a probablement pas dit son dernier mot et sans doute pas seulement sous des capots de camion.
Au vu des reculades et hésitations de ces derniers mois sur l’objectif de 100 % de voitures électriques en 2035, l’envolée des tarifs de recharge à la borne, les pénuries persistantes de métaux rares et autres incertitudes énergétiques on peut se demander si le diesel ne fera pas, en complément de la voiture électrique, partie des solutions qui préserveront notre mobilité (durement acquise et au prix d’équipements hors de prix en matière de routes où cheminer, accumulées depuis des siècles).
 
Mais probablement pas dans les proportions absurdes atteintes au début des années 2010, quand il pesait quasiment les trois-quarts des ventes de voitures neuves, guerre en Ukraine et embargo sur le C12H23 russe obligeant.
D’abord parce que cette mécanique n’est réellement pertinente que pour les gros rouleurs, les gros véhicules et les longs trajets qui n’aime pas trop les variations brusque de régime.
Ensuite parce que le gazole va voir son tarif radicalement augmenter.
Le 5 février, la semaine prochaine, l’embargo occidental sur les hydrocarbures russes sera étendu au gazole raffiné, un carburant que nous importions massivement de Russie.
Nous allons donc devoir faire venir notre gazole d’Inde, d’Arabie saoudite, de Bulgarie, où il sera raffiné à partir de pétrole… russe, ce qui fera immanquablement augmenter les prix à la pompe.
Encore une ânerie de « sachant », mais passons…
 
Enfin, parce que le méthane ne sera qu’une énergie de complément. On aura beau récupérer ses émanations par fuite, le capter et le produire dans les élevages, méthaniser et non plus incinérer l’ensemble de nos déchets et jusqu’à nos excréments, il faudrait une quantité astronomique de méthaniseurs et bouleverser le fonctionnement de notre agriculture pour ne compenser qu’une petite partie du gaz que nous achetions à notre terrible voisin de l’Est.
Pardon de décevoir, mais il n’y aura pas de miracle du diesel et du biogaz et de toute façon, pas de miracle énergétique, juste une grande boîte à petites solutions qu’il devient probablement urgent de remplir.
Donc, je passe, à contrecœur à l’octane des stations-services avant le mois de juillet, avant d’avoir de l’hydrogène jusqu’en Balagne pour ma dernière voiture.
Si je survis jusque-là, parce que le mieux c’est encore de ne pas en faire trop : Le prix à payer pourrait devenir trop lourd et ça aiderait à l’équilibre du régime des retraites.
C’est d’ailleurs la solution idoine : Exécuter toutes les personnes de plus de 65 ans !
Voilà une affaire qui rendrait service à tout le monde, finalement en ces périodes de grèves.
Mais je n’ose pas trop insister : J’ai déjà dépassé mon quota d’années et je vais encore en rajouter dans les jours qui viennent…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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