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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 10 janvier 2023

Vous aimez les petits-zozios et les jolies fleurs ?

Vous êtes un « écololo » indécrottable !
 
Eh bien, c’est très bien pour vous, pour la planète, pour « Gratte-la-Thune-Berg » et les… industriels du photovoltaïque « Teutons » et autres terres exotiques.
Et vous applaudirez forcément à cette initiative admirable.
 
Car c’est en « Gauloisie-tricolore » et antigaspi que ça se passe !
Plus précisément, dans le Sud-Ouest.
Une partie de la forêt des Landes, qui n’a pas déjà été brûlée, s’apprête à être coupée, rasée, éradiquée, avec ses jolies fleurs et ses « petits-zozios » pour laisser place à … de grands panneaux solaires !
Que s’en est rejouissif de tristesse infinie.
Car déjà, l’Aquitaine produit près de 30 % de l’énergie photovoltaïque du pays, mais d’ici 2030, un nouveau projet compte bien faire grimper ce chiffre : Le projet « Horizéo » décidé par quelques « sachants » illuminés aux herbes interdites.
Il fournirait une puissance de 1 GW, soit l’équivalent d’un réacteur nucléaire de deuxième génération.
Mais pour ça, ce sont 1.000 hectares de forêt à Saucats qui seront sacrifiés.
Merci pour la planète, vous dis-je !
Si développer les énergies renouvelables est bien sûr nécessaire (d’après la doxa ambiante), le faire au détriment d’une forêt est évidemment un non-sens écologique. Le projet prévoit de compenser les pertes en arbres, mais en en plantant de nouveaux, ce qui ne revient bien sûr pas tout-à-fait au même que d’anciens arbres, car l'âge détermine la quantité de CO2 qu’ils peuvent absorber.
De tels chantiers pourraient, et devraient, se construire dans des zones déjà artificielles : Ici, les 1.000 hectares rasés créeront un véritable îlot de chaleur en été.
Et ne retiendra pas l’eau des nuées matinales.
 
Vous savez, des aberrations écologiques incroyables, des vraies, il y en a plein d’autres et pas « qu’au pays » !
Il faut donc temporiser votre bonne humeur d’avoir choisi « la planète » plutôt que les foules faméliques.
D’autant que celles-là détruisent la Planète inutilement, pour rien.
À l’instar par exemple de la Coupe du Monde qui s’est tenue au Qatar dans des stades à « température dirigée », où ce type d’absurdités se croise régulièrement et se multiplie ces dernières années, alors que le contexte climatique est connu de tous.
La Coupe du monde des « footeux » a fait parler d’elle, pas qu’en bien, puisque l’équipe BBR n’aura pas gagné.
Ce qui était décidé depuis bien longtemps avant le début de la compétition : « Tout va bien » !
 
On en parle depuis des mois (sauf sur ce blog : Pas un mot jusque-là !), la Coupe du monde au Qatar continue de faire débat alors qu’elle s’est terminée depuis quelques semaines.
Que cela soit par rapport au nombre de morts lors de la construction des infrastructures, des droits humains (mais quelle importance, n’est-ce pas, par rapport au destin de la planète ?), ou de l’empreinte écologique d’un tel événement.
Quelques semaines auparavant, se tenait la COP27, en Égypte, pour parler du réchauffement climatique et de ses conséquences.
Peu d’éléments en sont ressortis, si ce n’est une aide pour les pays les plus povs’ qui subissent de plein fouet les extrêmes climatiques.
Mais finalement, aucune réelle décision majeure.
En revanche on y a vu des centaines et des centaines de personnes venues de toute la planète en avion pour discuter du climat, aggravant ainsi la pollution de l’atmosphère.
C’est à se demander parfois si on marche sur la tête.
Mais il y a eu mieux encore…
 
La compagnie Lufthansa, la compagnie aérienne « Teutonne », a annoncé cet hiver 2022 devoir faire voler plus de 18.000 avions à vide, pour pouvoir conserver ses créneaux de vols.
En effet, selon la compagnie, les règles européennes imposaient que 50 % des créneaux soient réellement utilisés, que ce soit pour des décollages ou des atterrissages, sinon elle risquait de perdre ses droits pour l’année suivante.
Notez que quand un avion décolle, en principe il atterrit aussi quelle que part, ou sinon, il s’est passé quelque chose de « hors norme », mais bon…
Un pourcentage déjà réduit, car il est fixé à 80 % en temps normal.
Pas le choix pour les compagnies aériennes, s’est alors défendu Lufthansa, alors que la pandémie avait fortement affaibli le secteur aéronautique, les équipages perdants leurs réflexes professionnels au fil du temps.
Pourtant, sa justification a été démentie par différents aéroports, expliquant qu’une exemption était possible face au contexte particulier.
Qui a raison ? On ne sait pas, mais ce qu’on sait, c’est que plusieurs milliers d’avions, peut-être pas tout-à-fait 18.000, ont bien volé sans aucun passager pour se dérouiller les soupapes et cramer des tonnes de kérosène.
C’est de la formation continue, quoi…
 
Pour faire quelques recettes tout de même, certaines compagnies ont fait plus intelligent : Faire voler des avions sans destination !
Si…
Vous souhaitiez avoir la sensation de voyager sans pour autant avoir de réelle destination, sans vrai voyage derrière, eh bien c’était possible !
Juste pour le fun de pisser en altitude… On a les plaisirs que l’on peut.
Ainsi, en 2020, dans un contexte de pandémie, des compagnies aériennes ont proposé des vols vers nulle part : L’avion décolle, survole la ville de laquelle il vient, fait un tour et revient à son point de départ !
À bord, très peu de personnes à cause des règles de distanciation, des repas de luxe, des activités ludiques organisées pour l’occasion, ou même des cadeaux !
Ces vols se sont produits en Asie et en Australie, notamment à Tokyo où plusieurs avions Airbus A380 ont accueilli plusieurs milliers de passagers de cette façon-là.
Le but pour les compagnies aériennes, compenser les pertes financières causées par la pandémie, d’accord, on comprend bien.
Et pour les contrôleurs du ciel de rester utiles…
Mais cela excuse-t-il de telles aberrations écologiques ?
Sachant que l’avion est le moyen de transport le plus émetteur de gaz à effet de serre par kilomètre parcouru, dur de justifier ces vols inutiles…
Votre conscience écolologiste ne s’est pas pour autant réveillée.
 
En revanche, vous avez peut-être été « chocking » d’apprendre que les Jeux asiatiques d’hiver (parce qu’ils en font également, rien qu’à eux) se dérouleront en Arabie saoudite en 2029.
Qué ?
Le 4 octobre 2022, le Conseil olympique d’Asie (OCA) a annoncé le lieu pour les futurs JO asiatiques d’hiver en 2029 : L’Arabie saoudite, grand pays alpin entre tous, et plus précisément une future mégalopole appelée Neom de la taille de la Belgique, annoncée en 2017 mais pas encore construite à l’exception d’un palais pour le prince saoudien Mohammed ben Salmane, le tortionnaire de journalistes opposants.
Un grand ami de mon pays (que j’aime tant et qui me le rend si mal. Quoique…)
Le tout en plein désert, où la température moyenne en hiver descend régulièrement au-dessous de zéro degré mais où aucune neige ne perdure plus de quelques jours.
Les jeux auront donc lieu sur des pistes de neige artificielle, des lacs artificiels, le tout dans une mégalopole à la pointe de la technologie, dont l’utilité est discutable et discutée, qui coûtera des milliards de dollars.
Le site des JO devrait contenir de nombreux chalets, restaurants et autres installations touristiques qui ne serviront à rien d’autre.
Il ne restera plus qu’à amener de l’eau de mer dessalée pour les canons à neige, comme pour le JO d’hiver de Pékin…
Une aberration à plusieurs niveaux, dont celui écolologique.
Mais avec du pétrole, on peut aussi acheter des idées.
 
Ah et puis faire plusieurs trajets en avion sur une seule journée pour aller discuter du climat et des mesures à prendre, ou encourager une équipe de « footbaleux », c’était la dernière trouvaille de nos « chers gouvernants » adeptes de la « sobriété ».
Ainsi, c’est arrivé récemment, et la concernée se trouve être notre « Première sinistre », « Lili-bête-Borgne », d’après le compte twitter « L’avion de Bernard » qui recense les vols en jets privés effectués sur le territoire national.
Le 14 novembre 2022, elle a effectué un aller-retour « Paris-sur-la-plage »/« Marseille-sur-Maghreb » avec l’un des sept avions de la flotte présidentielle, d’abord pour aller, entre autres, signer un protocole sur la planification écolologique, puis de retour à la Kapitale pour aller participer à une émission sur le climat sur BFMTV.
Et dire que c’est la même qui envisage de nous supprimer les vols intérieurs !
Passons…
Un aller-retour estimé à environ 3 tonnes de CO2, rien que ça, soit plus d’un tiers de l'empreinte carbone annuelle d’un « Gauloisien-moyen », évaluée à 8,2 tonnes de CO2 équivalent par personne.
Le terme « sobriété » ne devrait-il pas signifier aussi adaptation des plannings pour faire de tels trajets en train, ou ne pas les faire et privilégier les visioconférences ?
« Poux-tine » le fait bien pour inaugurer ses sous-marins nucléaires… « invincibles ».
Quant à « Jupiter », il n’avait pas de train à disposition pour aller à Doha passer deux soirées dans un stade climatisé soutenir les bleus.
Alors lui se déplace avec ses agents de sécurités, la valise des codes nucléaires et deux avions : Le « Carla-One » et un avion de secours en cas de panne du premier.
Les lignes commerciales, il ne connaît pas, fonctions obligent.
 
On change de sujet : Vous avez entendu parler de la fast-fashion de Shein ? Beaucoup de pollution et des conditions déplorables pour les employés. L’enseigne a beaucoup fait parler d’elle très récemment : En octobre 2022, un article de presse dénonçait les conditions des travailleurs de « Shein », cette marque de vêtements chinoise aux prix très attractifs.
Et confirmait au passage l’enquête de l’ONG Public Eye.
Avec des milliers de nouveaux produits qui sortent chaque jour, toujours à petit prix, il était déjà évident qu’il y avait anguille sous roche.
Et en effet, les conditions de travail se révèlent inhumaines : 75 heures de travail par semaine, un seul jour de congé par mois, parfois 18 heures de travail dans la journée car il est impossible de sortir tant que le travail n’est pas terminé.
La fast-fashion, de manière plus généralisée, ravage la planète, et tous les êtres vivants qui la peuplent.
Au total, l’industrie de la mode représente 1,2 milliard de tonnes de CO2 émises par an selon l’Ademe, soit près de 2 % des émissions totales !
Un chiffre qui tend à augmenter invariablement.
L’Ademe explique aussi que la mode est le « 3ème secteur consommateur d’eau dans le monde, après la culture de blé et de riz ». Il contribue aussi à polluer l’eau à hauteur de 20 %, à cause des éléments toxiques qui se déversent à chaque lavage.
C’est aussi un secteur avec le plus de gaspillages, car les vêtements sont souvent jetés bien avant d’être inutilisables.
Mais personne n’y voit rien à redire, pas même les « écololos » officiels qui s’habillent parfois « chic & cheap » avec délectation…
 
Ah, un autre désastre « écololo » : Les cigarettes électroniques jetables !
Apparues en 2019, des cigarettes électroniques jetables aux goûts variés sont de plus en plus commercialisées. Elles touchent majoritairement les populations jeunes, notamment pour leurs goûts attractifs (coca, fruits, menthe…), mais aussi les fumeurs souhaitant arrêter la nicotine. Mais elles n’ont aucun bon côté.
Ni recyclables ni réellement meilleures pour la santé que les cigarettes électroniques rechargeables, elles polluent et coûtent cher.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) aura alerté depuis des années sur les dangers de l’industrie du tabac, tant au niveau environnemental que sanitaire, « responsable de plus de 8 millions de décès, de la destruction de 600 millions d’arbres, 200.000 hectares de terres, de la perte de 22 milliards de tonnes d’eau et de l’émission de 84 millions de tonnes de CO2 ».
Des chiffres qui accumulent des choux et des carottes, destinés à faire peur par leur gigantisme quand on ne les compare à rien.
Mais comme l’organisation internationale l’explique, ce sont les produits du tabac qui représentent les principaux déchets sur la planète, avec environ 4.500 milliards de filtres à cigarettes jetés chaque année au sol ou dans les eaux et qui sont drainés jusqu’à la mer.
J’ai toujours dit que les filtres c’est un cancer…
C’est pour ça que je suis passé à la pipe, prenant le risque de réveiller mes « anomalies-pulmonaires ».
Mais on ne m’avait pas expliqué que ça bouchait aussi les artères, notamment celles autour du cœur !
Du coup, après mon infarctus, je suis passé aux patchs…
 
Retour à Doha, pour une aventure tellement passionnante pour des millions de téléspectateurs qui adorent voir des jeunes-gens en short courir après une baballe avec des airs supérieurs, mais cette fois pas (que) pour ses stades climatisés.
En 2019, une information a fait le buzz : Certaines rues entières sont climatisées au Qatar, pour faire face aux chaleurs étouffantes avoisinant les 50 °C et le fort taux d’humidité.
Un exemple parfait de cercle vicieux, car la climatisation contribue au réchauffement climatique, par sa consommation d’électricité, mais aussi par la chaleur qu’elle dégage lorsqu’elle refroidit !
Que faire dans de tels cas ? Adapter la ville à la chaleur !
Notamment par la végétalisation, la plantation d’arbres dans les rues, sur les toits, et surtout en grande quantité !
Ils créent de l’ombre, absorbent le CO2 durant la journée pour s’en nourrir, et convertissent l’eau en vapeur par évapotranspiration.
Les rues et bâtiments étant déjà de couleur claire, une possibilité est de rajouter des couches réfléchissantes, c’est le contexte autour qui doit s’adapter.
Une autre possibilité est la création de « couloirs de vents », c’est-à-dire l’adaptation de l’architecture des villes à la circulation des courants d’air naturels.
 
Cette fois, on revient en « Gauloisie-éternelle » où vos âmes d’écololo auront remarqué des armoires et étals de rayons frais sans porte dans vos magasins alimentaires !
Qui refroidissent tout le supermarché, jusqu’à 5 °C l’été, et bien sûr gaspillent une quantité phénoménale d’électricité !
Où se trouve la « sobriété » énergétique là-dedans ?
Difficile de la trouver…
Pourtant c’est bien légal : Aucune obligation pour les supermarchés de fermer leurs réfrigérateurs.
En revanche on interdit de chauffer les terrasses ouvertes des cafés… pour des raisons similaires.
En réalité, dès 2020, ils devaient tous, en théorie, s’équiper de portes. Mais le contexte de pandémie a changé la donne, et a permis plus de souplesse sur la législation qui devait entrer en vigueur. Si bien que certains rayons frais sont actuellement encore ouverts, n’ayant pas encore fait l’investissement !
Celui-ci, très coûteux, pourrait bien être rentable en quelques années seulement, voire moins étant donné les prix grimpants de l’électricité (Merci à « Poux-tine » au passage…).
Car au total, les rayons frais comptent pour la moitié de la facture d’électricité, d’un supermarché standard et ceux sans porte l’augmentent de près de 40 %.
Notez que c’est le client final qui paye, au final…
Et l’État qui empoche la TVA sur chaque achat.
 
Enfin, on retourne au cœur des déserts saoudiens après avoir évoqué les JO d’hiver dans ce pays, car on ne vous aura pas beaucoup entendu sur « The Line », la ville tout en long qui va émerger là où il n’y avait que des cailloux, un peu de sable et quelques chameaux.
C’est la grande ville à l’allure futuriste, qui s’étend sur 170 kilomètres de long, 13 kilomètres de moins que la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » mesurée de la Giraglia à Capu Testagro, d’un seul trait, au lieu de se regrouper autour d’un « centre-ville » et de pousser en hauteur comme souvent autour du Golfe (dont les dirigeants ne savent plus comment claquer le pognon de leur rente pétrolière), et n’est en fait constituée que de deux immeubles géants placés en parallèle…
Elle paraît digne d’une dystopie sortie tout droit d’un film de science-fiction dément, mais elle est pourtant réellement annoncée par l’Arabie saoudite (après ses JO d’hiver JO de 2029).
En réalité, « The Line » appartient au projet « Neom » susmentionné, mégalopole géante qui verra le jour en 2030.
Censée être « zéro émission carbone », seulement si l’on oublie les coûts faramineux de construction alors que l’excavation a débuté en octobre 2022, elle accueillerait près de 9 millions d’habitants. Avec une surface totale de 26.500 km², cela signifierait une densité de 339,6 personnes par km², largement moins que Monaco (ou Manille), voire « Paris-sur-la-plage », mais tout de même !
Toute la ville serait alimentée en énergie « propre, » et chaque habitant pourrait se rendre d’un bout à l’autre de la ville en 20 minutes grâce à un réseau de transport souterrain… Mieux que notre TGV car avec les 510 km/h de moyenne ainsi prévus !
Et, comme toute ville futuriste, de nombreux services seraient gérés par des IA… Mais le projet fait face à de nombreux détracteurs, notamment à cause de l’empreinte écolologique du pays qui devrait d’abord être corrigée.
De plus, l’idée d’une ville entièrement gérée par des IA semble peu compatible avec une empreinte carbone nulle.
Enfin, humainement, le projet a déjà fait des siennes : Des membres de la tribu des Howeitat, expulsés de force car ils habitaient le lieu de la future ville, ont été condamnés à mort pour s’y être opposés.
A-t-on idée de s’opposer à une dictature qui ne dit pas son nom mais pour laquelle le sort de ses citoyens passe après les projets démesurés ?
Une idée intéressante…
Qui ne heurtent pas vraiment les consciences écolologiques des jeunes de « nos élites » de pays « riches ».
 
Naturellement, car il y en a encore plein d’autres, ce que j’en dis ou rien, tout le monde s’en tamponne le coquillard et les roubignoles dans le même élan : J’ai l’habitude et ça ne m’émeut même plus…

Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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