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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 25 janvier 2023

Prospective 2023 (2)

Avertissement : Ceci n’est toujours pas un roman…
 
Mais on entre dans le domaine plus aléatoire de la « prévision ». Rien n’est jamais écrit à l’avance avant de rentrer dans les livres d’Histoire (même si l’encre et le sang y sèchent vite). Toutefois rien n’empêche de se montrer intelligent et d’évaluer les risques de survenance de telle ou telle hypothèse.
Des conjectures, rien de plus.
Certaines se réaliseront, totalement ou seulement partiellement, alors que d’autres émergeront qui n’ont pas été prévues et n’auront jamais été évoquées par quiconque.
Et quelques-unes se feront oublier pour être sorties des écrans-radars.
J’exclue certaines comme le déclenchement d’une troisième guerre mondiale et un embrasement généralisé des peuples de la planète : Là, il n’y aura plus d’avenir pour l’humanité, sauf peut-être en Patagonie et en Terre Adélie.
Et encore…
Idem pour une méga-météorite qui nous tomberait sur le coin de la gueule.
De toute façon, on les surveille de près.
Est probablement plus certain un accroissement du changement des conditions météorologiques générales, mais on n’en perçoit pas encore toutes les conséquences à long-terme, alors que nos scientifiques nous racontent que c’est déjà en cours.
 
Pour un délai plus court, d’une année seulement, en revanche les choses se précisent sur plusieurs points.
Et les auteurs, « chercheurs » et parfois « trouveurs » ne manquent pas d’étudier les principaux traits des défis à relever dans les prochains mois.
En s’appuyant sur mes nombreuses années d’expérience dans la prévision des risques et des tendances mondiales, j’ai noté, notamment et par exemple, que le National Intelligence Council « ricains » de l’US Intelligence Community, est chargé de fournir aux dirigeants US des analyses et des perspectives à long terme, eta tenté d’identifier les principaux risques mondiaux de 2023, mais seulement d’un point de vue « ricain » et mondial quand ça peut avoir un impact sur les pays voisins.
Ce qui reste intéressant : Si ça se déroule comme ils le prévoient, ils nous diront « on vous avait prévenus ».
Si ça ne se passe pas comme ils le prévoient, ils dépenseront quelques budgets supplémentaires pour tenter d’en expliquer les raisons et modifieront, peut-être, peut-être seulement, leurs logiciels prédictifs.
 
Comme vous le savez, j’ai personnellement arrêté de faire des « simulations » de mon côté.
D’abord, je ne suis plus payé pour ça, ensuite, sur les derniers temps je dépassais mon quota « moral » de 10 % d’erreur.
Mais je reçois toujours quantité de données sur ce sujet et pas seulement des USA, et pas seulement des « prévisionnistes » du monde de la finance, même si ce sont eux qui y travaillent (et se trompent) le plus : Alors je partage.
Quant aux « politiques » et aux « économistes », clairement, ce sont ceux qui sont le plus atteints de myopie qui touche à la cécité : Quand ils annoncent telle chose, par exemple sur la croissance voire sur l’inflation, vous pouvez être sûr que ça n’arrivera pas, voire même que l’inverse sera constaté, « ex-post ».
Une vraie maladie, mais quand on le sait, c’est éclairant au plus haut point…
 
D’autant que je ne me suis pas trompé sur une prévision inscrite noir sur blanc dans mon roman « L’année Covid de Charlotte ». Les variants du « Conard-virus » ont effectivement été une source d’inquiétudes multiples et la maladie dépasse même le nombre de décès que j’avais avancé en 2020.
Les conséquences, notamment en Chine, ont bien freiné la croissance économique comme anticipé, et les échanges internationaux ont bien été largement perturbés au moment de la sortie de crise : C’était attendu, même si à l’époque le discours et les « prévisionnistes » affirmaient l’inverse.
 
Avec l’invasion russe de l’Ukraine, les prix du pétrole ont frôlé les 100 dollars le baril, ce qui s’est produit plus tôt cette année, même si les prix de l’énergie ont quelque peu baissé au cours du second semestre 2022.
Les pénuries alimentaires, les crises économiques et les problèmes croissants d’endettement des pays en voie de développement avaient été anticipées l’année dernière, comme ils le sont encore plus cette année.
Certains « économistes » prévoient même que la crise de la dette ne sera peut-être pas aussi étendue que certains l’ont prédit, mais les pays à revenu faible ou intermédiaire, comme le Sri Lanka et le Pakistan, sont déjà confrontés à cette réalité.
Et l’inflation a enfin fait son apparition, avec retard, avec tout l’argent déversé sans compter sur « les marchés » par les banques centrales durant des années et des années depuis la crise de la dette : C’était alors le « remède miracle ».
Ce « retard à l’allumage » est d’ailleurs curieux : Il ne peut s’expliquer que par l’existence d’une « variable cachée » qui n’a pas été prise en compte dans les modèles et qu’il faudrait identifier pour pouvoir la maîtriser.
 
Globalement, les prédictions de l’année dernière concernant l’insuffisance de la lutte contre le changement climatique s’est confirmée lors de la piètre conclusion de la COP 27 au Caire, en Égypte, en novembre.
Certains estiment que cette tendance se poursuivra en 2023.
Personnellement j’en suis certain, et pour au moins une paire d’années, avec à la présidence de la prochaine COP, la 28, qui se tiendra à Dubaï un pays pas trop pollueur mais qui vend de la pollution au monde entier que c’en est comique au plus haut point. C’est un peu comme si la Corée du Nord était nommée à la tête d’un organisme international de la lutte pour les libertés publiques ou pour l’égalité sexuelle dans le monde du travail…
Par ailleurs, la lutte contre l’inflation mondiale n’aura probablement pas les résultats que certains annoncent déjà triomphalement, bien au contraire, tout comme le son du canon pourrait perdurer dans bien des endroits de la planète.
Enfin, en raison des tensions croissantes autour de Taïwan, mais aussi de l’embargo « ricain » imposé en matière de conceptions et d’équipements dans le domaine des semi-conducteurs de pointe, les divergences « sino-ricaines » persisteront en 2023 bien évidemment.
Jusqu’à enflammer la planète ?
Pas bien sûr sur ce dernier point…
En revanche, je reste personnellement certain que les dictatures africaines et d’une façon générale le continent africain, feront l’actualité depuis que l’UE et la « Gauloisie-pacifique » aura quitté les territoires qui les ont accueillis avec espoir pour être remplacés par les troupes des mercenaires de Wagner.
Ceux-là ne sont que des pillards barbares, qui ne vivent que sur les richesses des territoires où ils s’installent, au détriment des populations locales et comme ils vont prendre une raclée en Ukraine, il faudra bien rentabiliser les investissements consentis chez les sahéliens.
Ce qui promet de sacrées déconvenues et quelques bouleversements géopolitiques, et là, c’est une certitude.
 
On est bien à la croisée de « polycrises » qui structurent notre monde. Le revers de la médaille de la « globalisation » que dénonce les « altermondialistes », mais en se trompant de cible, de mécanisme et de méthode.
Ces « polycrises » existent depuis quelques temps : Par exemple, la guerre en Ukraine a mis en évidence l’ensemble actuel de crises interpénétrées auxquelles le monde est confronté.
Notamment la crise alimentaire a été exacerbée par l’incapacité de l’Ukraine à exporter ses céréales jusqu’à récemment.
La crise énergétique trouve son origine dans les efforts déployés par l’Occident pour priver la machine de guerre russe de ses bénéfices énergétiques et dans les représailles de « Poux-tine » qui a coupé les approvisionnements en gaz de l’Europe, jusqu’à saboter son propre gazoduc en mer Baltique (enfin, ce n’est pas lui qui en a décidé, on lui a forcé la main, mais il n’a pas pu l’interdire…).
L’inflation a été dopée par la hausse des prix de l’énergie et des denrées alimentaires, mais elle est également liée aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement résultant de la pandémie.
Tout comme pour la dette, l’inflation est également liée à la hausse des prix des matières premières en raison de la guerre en Ukraine, ainsi qu’à la vigueur du dollar et aux dépenses publiques des États pour combattre le ralentissement économique dû à la pandémie.
 
Désormais ces « crises », prises une à une, sont de plus en plus imbriquées les unes dans les autres. Il faut se rendre compte que le fait que la plupart des risques futurs de crise sont liés signifie que le fait de diminuer la probabilité d’un seul d’entre eux dépendra de la diminution simultanée de nombreux autres risques.
De même, la gravité d’un seul de ces risques de « crise » est liée aux autres et les exacerbe, les amplifient souvent.
Néanmoins, on peut se pencher sur chaque risque individuellement, en gardant à l’esprit la nature interdépendante de tous, et de prévoir la direction vers laquelle chacun évoluera en termes de probabilité même si un risque individuel ne peut pas diminuer complètement tant que les autres n’ont pas été éliminés.
 
Début d’inventaire : La « Polycrise » due à la guerre en Ukraine !
Le dénouement en Ukraine, ainsi que la manière et le moment où elle se produira, restent un mystère, même si j’ai évoqué plus précisément, précédemment, les sous-jacents de ce conflit qui va s’éteindre dans les prochains mois, peut-être même quelques années, avant son dénouement final qui sera tragique pour la « deuxième puissance militaire » de la planète qui va vivre un véritable déclassement séculaire : Du statut de puissance mondiale, la Russie va être ravalée au rang de puissance régionale d’ici la fin de la décennie.
(Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2023/01/prospective-2023-1.html)
 
Pourtant, la boucle de « polycrise » découlant de la guerre ― insécurité énergétique et alimentaire, inflation, ralentissement économique ― pourrait générer une « lassitude de l’Ukraine » en Occident, en pensent quelques-uns, même si je n’y crois pas vraiment, menaçant ainsi un soutien vital.
Alors que l’hiver s’installe et que la guerre ralentit, « Poux-tine » va tenter un baroud d’honneur dans les semaines à venir, sans doute en intensifiant sa stratégie de destruction, en s’attaquant aux infrastructures énergétiques et hydriques de l’Ukraine, cherchant à faire s’effondrer l’Ukraine en tant qu’État fonctionnel avant que ses pertes et ses budgets ne le contraignent à accepter un certain degré de défaite et éviter son propre effondrement.
Je l’ai déjà évoqué…
 
Au 24 janvier, Kiev s’est emparé de Kherson dans le sud et de certaines parties du Donbass dans le Nord-Est ― plus de 50 % des terres que Moscou occupait encore récemment ― ce qui renforce sa position.
Une résolution négociée ― ou même un cessez-le-feu et un armistice durables ― est encore prématurée car les deux parties pensent, à ce jour, pouvoir gagner.
Kiev a publié un plan de paix en 10 points lors de la réunion du G20 en novembre.
Ce plan exigeait que la Russie se retire de l’ensemble du territoire souverain de l’Ukraine et paie des dommages et intérêts. En fait, il demande la reddition totale du russe ce qui paraît bien péremptoire vus les efforts engagés.
Néanmoins, des pressions antagonistes s’exercent : D’une part, Kiev demande aux États-Unis et à l’OTAN de lui envoyer davantage d’armes de pointe, y compris des armes à longue portée, comme les systèmes de missiles tactiques de l’armée et les défenses antimissiles, d’autre part, certains membres du Congrès américain veulent réduire le soutien à l’Ukraine.
Sans même parler des « pacifistes-teutons » qui hésitent encore à user des armes qu’ils ont vendues (cher) à leurs voisins pour autre chose que l’autodéfense comme armes de paix.
Une arme, c’est fait pour s’en servir, y compris les armes de dissuasion…
C’est dans leur essence, leur nature, leur existence.
 
Du coup, cette guerre génère de multiples risques interconnectés : Un conflit qui se prolonge et s’enlise ; une escalade si les États-Unis et l’OTAN envoient des armes de pointe supplémentaires à Kiev en réponse aux bombardements de Poutine ; l’utilisation d’armes nucléaires par la Russie si Kiev tente de s’emparer de la Crimée ; une « lassitude de l’Ukraine » en Europe à mesure que la récession s’installe ; et un désaccord entre les « ricains » et l’UE sur la quantité et la teneur de l’assistance militaire à fournir à Kiev.
C’est d’ailleurs le seul atout de « Poux-tine » qu’il espère bien devenir un atout-maître : C’est clair comme de l’eau de source, et il l’affirme à mots couverts depuis le début de son « opération spéciale » !
Diviser l’UE et même l’Otan, c’est son seul espoir…
 
Probablement que ça ne va pas se passer comme il est dit : Ce conflit peut très bien durer longtemps avant l’effondrement de la fédération de Russie.
D’ailleurs, plus il dure, plus le risque de cet effondrement grandit.
Et plus il dure, moins il sera facile de faire un pas en arrière pour le russe, et ses successeurs, pouvant générer une situation explosive des institutions du pays.
D’autant que s’il dure encore, ça donnera l’occasion aux occidentaux de tester les matériels militaires envoyés au compte-goutte sur le champ de bataille ainsi « mis en situation » pour améliorations ultérieures.
Au compte-goutte pour faire durer le conflit en évitant son emballement qui pourrait être nucléaire…
« Last but not least », cette façon de ne pas écraser les troupes russes rapidement, ne vise rien d’autre que d’épuiser en homme et en matériel l’armée de « Poux-tine ».
Car, quand l’industrie de guerre des « ricains » se met à turbiner, on l’a vu à l’occasion de tous les conflits « haute intensité » engagés depuis 1940, elle « dépote ». En revanche, ça ne peut pas être le cas pour l’industrie de guerre russe qui a du mal à trouver des pièces et la pédale d’accélérateur…
Et plus la soupe dure, plus la Russie s’épuise à courir derrière ses propres chimères : C’est bon pour un futur conflit éventuellement « étendu ».
 
On se retrouve pour d’autres remarques sur ces thèmes des défis de 2023, plus ou moins pressants… après digestion de ce « billet ».

Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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