Car leur Brexit aggrave leur situation
Ah bon ? On les avait pourtant prévus, mais ils savaient mieux que
tout le monde comment le monde tourne pour avoir eu, avoir eu seulement, un
empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. Or, la planète n’est plus la
même : Elle s’échauffe, paraît-il.
Ils l’ont eu leur empire, ils le regrettent, car ils l’ont perdu alors qu’on leur avait promis que le Brexit devait le leur redonner, pas tout de suite, mais aussi sûrement que comme un plus un égalent deux.
Ah-la-la, ces « Rosbeef » quand ils se comportent comme des pignoufs ou des nigauds abreuvés de bière qui croient encore au père-Noël !
Ils sont formidables et forcent même à l’admiration…
Je dois vous dire qu’à l’époque, j’étais déjà exilé à Londres avant
d’atterrir ailleurs, effrayé que j’étais par la montée en puissance des forces « sombres »,
voire noires, des fascistes de mon pays et en Europe, qui ne rêvaient que d’une
chose, c’est de détruire tout ce qui avait été patiemment construit durant des
décennies d’opiniâtreté et d’efforts à l’issue de la dernière guerre mondiale,
tout ce qui était à portée de leur mains, afin de régner sur le désordre, le
chaos et les ruines, montant le bourrichon des uns contre ceux de tous leurs
voisins envieux.
Une stratégie de destruction qu’affectionnent tous les mouvements politiques « radicaux », quelle que soit les idéologies qui les soutiennent.
C’était une autre époque, et nous y avons échappé de peu, notamment grâce au « brexiters » britanniques, notamment « BoJo » et quelques autres, et jusqu’à Moscou d’ailleurs, et leurs suppôts « gauloisiens »… qu’ils s’appellent « souverainistes », nationalistes, internationalistes, mondialistes ou non d’ailleurs.
Car ils nous ont donné bien des raisons de surtout pas les suivre !
Pas à GB : C’était si beau ces rêves de « liberté »…
Car depuis plusieurs mois, les grèves paralysent le Royaume-Uni en proie à
une forte inflation. Chez nous, après les cheminots, les enseignants, les
douaniers et les ambulanciers, les infirmiers s’apprêtent à entrer, ce mercredi
18 janvier, dans la danse de la protestation, ma is c’est pour les retraites de fin de vie.
Au Royaume-Uni, le mouvement de grève pour de meilleurs salaires a débuté il y a plusieurs mois s’étend désormais à presque tous les secteurs d’activité, menaçant de paralyser le pays et c’est pour leur quotidien immédiat, de « survie ».
C’est comme ça…
Il faut dire que deux ans après la mise en œuvre du Brexit, l’embellie
économique promise loin des carcans de l’Union européenne n’est décidément pas
au rendez-vous. L’inflation atteint 11 % en un an, le PIB a reculé de 0,3 % au
troisième trimestre 2022 et selon la Banque d’Angleterre, le Royaume-Uni est
entré dans une période de récession qui devrait se poursuivre en 2023.
C’est également le seul pays du G7 à n’avoir pas encore retrouvé son PIB d’avant la pandémie de « Conard-virus »…
« Évidemment, le Brexit a un impact dans la crise actuelle », affirme le directeur de l’Observatoire du Brexit. « Lorsqu’on sort de 50 ans de relations très fortes, intégrées, d’une organisation supranationale comme l’UE, ce n’est pas facile. Alors que les relations étaient étroites et constantes, comment voulez-vous que ce soit simple ? »
À titre d’exemple, on annonce que « le Brexit a réduit le commerce
extérieur britannique de 10 à 15 % par rapport à un scénario sans Brexit »,
a rapporté à l’AFP un économiste au King’s College de Londres. « Il y a des
formalités administratives et des contrôles supplémentaires, de nouvelles
règles, des frais de douane… Tout cela entraîne un surcoût et de la perte de
temps dans tous les domaines économiques. »
Pourtant, une économiste de l’Observatoire « gauloisien » des conjonctures économiques, refuse de désigner le Brexit comme seul responsable de tous les maux. « Quand on regarde dans les autres pays européens, la hausse des prix au Royaume-Uni est comparable à celle observée en Allemagne.
En Europe de l’Est, l’inflation atteint même les 20 %.
Ce n’est pas dû au Brexit, mais à la hausse des prix de l’énergie.
Seuls les pays ayant mis en place des boucliers tarifaires, comme la France, sont épargnés. »
Mais il en coûte un bras pour rattraper les erreurs de jugement de nos « sachants »,
nationaux et européens, on en parlait encore hier.
Les deux « experts » s’accordent toutefois pour dire que le
Brexit a une responsabilité dans la pénurie de main-d’œuvre, l’immigration
étant rendue plus difficile pour les Européens.
En 2021, ce manque de travailleurs dans les transports ― conjugué à la crise du « Conard-virus » ― avait par exemple provoqué des problèmes d’approvisionnement dans les supermarchés et stations-service.
Mais aujourd’hui, c’est le secteur de la santé qui souffre.
Si des tensions existaient déjà avant le Brexit, la situation s’est aggravée.
Selon l’étude du think tank « Nuffield Trust health » relayée par le Guardian, 37.000 médecins travaillent dans le pays. Ils auraient dû être 41.000 sans le Brexit, soit un manque de 4.000 spécialistes : Anesthésistes, psychiatres, pédiatres…
Ce n’est pas bien grave : Il leur reste la bière… irlandaise pour se soigner.
Et le gin… pour oublier !
« Est-ce que le Brexit est à l’origine de tous les problèmes du
Royaume-Uni en ce moment, bien sûr que non », concède-t-on. C’est seulement
une histoire anglaise !
Celui-là fait référence à la pandémie de « Conard-virus » et à la guerre en Ukraine, à l’origine de la hausse des prix de l’énergie et de l’alimentation, même s’il reconnaît qu’il « est difficile de dire quelle est la part de responsabilité de la guerre, du Covid et du Brexit dans la crise actuelle ».
Une autre souligne aussi l’impact des politiques des conservateurs au pouvoir depuis 2010 : « Ils ont mis en avant leur objectif de réduction du déficit public, qui passe non pas par des hausses d’impôts mais par la baisse des dépenses. Cela fait dix ans que le système de santé public subit l’austérité du gouvernement.
À cela s’ajoute la pandémie, pendant laquelle les soignants ont été très sollicités et ont vu leurs conditions de travail se dégrader. Logiquement aujourd’hui, face à la forte inflation, ils réclament une hausse des salaires plus conséquente que les 5 % promis début 2022 », poursuit-elle.
« C’est la même chose dans les transports : on oblige les conducteurs
de camion à accepter des conditions de travail plus difficiles sans
compensations salariales », pointe-t-elle.
C’est ce qui explique le durcissement des négociations et la forte mobilisation de ces deux secteurs dans les grèves historiques actuelles.
Autant se cacher derrière son « petit-doigt » et invoquer des sorciers vaudous : C’est l’accumulation des difficultés qui fait vaciller la « perfide Albion » et le « Brexit » pas encore totalement digéré ne fait qu’en rajouter.
C’est dans ce contexte tendu que début janvier, un sondage publié par le
journal The Independent a révélé que 2/3 (65 %) des Britanniques soutenaient
l’idée d’un nouveau référendum pour retourner dans l’UE.
Moâ, je ne veux pas qu’ils reviennent : S’ils font un référendum, j’en veux aussi un pour les accepter de les accepter !
Non mais…
Ils ont suffisamment fait caguer l’Europe des 6 depuis des décennies, quand ils étaient exclus, quand ils étaient inclus également, moins depuis qu’ils se sont exclus…
Mais on note qu’ils étaient 55 % un an plus tôt.
« Sous mon autorité, le Royaume-Uni ne cherchera aucune relation avec l’Europe qui repose sur l’alignement sur les lois de l’UE », avait heureusement évacué leur « Premier sinistre », « Richi-Sun-hack » et ce, dès novembre 2022.
Un coup à faire perdre les prochaines élections législatives ?
On tente d’expliquer alors aux Britanniques qu’ils doivent donc attendre que le « Brexit » montre aussi ses effets positifs pour faire face à la grogne.
« L’erreur des pro-Brexit pendant la campagne, c’était de dire que ça allait être génial tout de suite.
Il a logiquement des effets négatifs et pour l’avenir, c’est très difficile à dire. Il a fallu des années pour que le Royaume-Uni se sente bien au sein de l’UE.
Il faudra des années pour que le Royaume-Uni s’adapte à vivre en dehors. »
Des décennies, oui…
Parce qu’ils ne se sont jamais sentis à l’aise, cherchant à imposer leurs propres règles à toutes occasion au reste de l’UE.
Qui depuis leur départ évolue plus vite et mieux (peut-on en penser) vers une plus grande intégration encore, jusqu’à devenir une vraie fédération, l’objectif ultime (et non pas une confédération, style les « confédérés » US…).
Même le maire de Londres étrille un Brexit qui « ne marche pas ». « Sadique-Canne »
est travailliste ― un opposant au gouvernement ― qui voit là une opportunité
pour tracer dans les traces de « BoJo » pour finir comme lui « premier
Sinistre » de sa Majesté « Carlos III ».
Il a appelé la semaine dernière Downing Street à admettre les « dégâts immenses » causés par la sortie britannique de l’Union européenne et à reconnaître que « le Brexit ne fonctionne pas ».
« Après deux ans de déni et d’évitement, nous devons maintenant affronter la dure vérité : le Brexit ne fonctionne pas », a-t-il déclaré en opposant de longue date qu’il est à la sortie de l’UE dans son discours. Le Brexit « a affaibli notre économie, fracturé notre union et terni notre réputation », a-t-il argumenté lors d’une allocution à Mansion House, la résidence officielle du lord-maire de la City of London, cœur financier de la capitale et du pays.
« Je ne peux tout simplement pas garder le silence sur les dégâts immenses causés par le Brexit », dénonce « Sadique Canne ».
Mais « ce n’est pas irréparable », juge-t-il. « Nous avons
besoin d’un plus grand alignement avec nos voisins européens ― un changement
par rapport à ce Brexit extrême et dur », ce qui signifie notamment « un
débat pragmatique sur les avantages de faire partie de l’union douanière et du
marché unique », explique-t-il.
Cette critique, qui vise le gouvernement, tranche aussi avec la position officielle de l’opposition travailliste dont le chef, lui aussi opposant au « Brexit », a promis qu’il embrasserait la volonté exprimée par les électeurs de « reprendre le contrôle ».
Ce dernier clame que les travaillistes peuvent résoudre les problèmes de l’accord de sortie de l’UE et « faire fonctionner le Brexit ».
T’as qu’à croire, tiens ! Encore un rêveur qui souffle dans la direction du vent de vindicte populaire.
Les britanniques seraient-ils devenus des « populistes » dans l’âme ?
Je m’interroge.
Je les savais « pragmatiques », jusqu’à l’extrême, et c’est comme ça qu’ils ont construit un « empire sur lequel le soleil ne se couche jamais », mais savoir aussi être capables de prendre des décisions historiques sans frémir.
Là, ils font « girouette »…
Selon le maire de Londres, « personne ne veut voir un retour à la
division et à l’impasse qui ont dominé notre corps politique pendant cinq
longues années ».
Mais « la réalité est que la City », le puissant centre financier londonien qui fait la pluie et le beau temps sur la planète financière, « est durement touchée par la perte de contrats et de talents », au profit d’autres places européennes comme « Paris-sur-la-plage » ou « Amsterdam-sur-son-port », souligne-t-il.
Il faut aussi constater que le soutien au « Brexit » n’a jamais été aussi faible Outre-manche : Moins d’un tiers des Britanniques estiment que c’était la bonne décision, d’après un sondage réalisé en novembre par l’institut YouGov.
Gouverner à partir des sondages ?
C’est le niveau le plus nul de la politique, de la vie de la Cité !
J’avoue que, in fine » ne pas bien comprendre : Cette
histoire de « Brexit » ne serait-elle jamais qu’une question de
politique interne à l’Union-Jack ?
Qui fluctue en fonction de la direction du vent ?
Où est la grandeur, impériale, de la GB dans cette affaire-là ?
Car je note que le temps n’est pas à la faiblesse internationale : « Poux-tine » fait la guerre à Kiev mais à travers l’Ukraine, également à Washington et surtout, son ennemi juré de l’ex-guerre-froide, à Londres.
Et c’est assez réciproque, d’ailleurs.
On en voit d’ailleurs les « traces » (mes fameux « fils rouges ») dans les exécutions d’oligarques et de partisans de « Poux-tine » un peu partout autour de la planète depuis le premier trimestre 2022. Certes, « Poux-tine », ou un de ses « services qui n’existent pas », est probablement à l’origine de ces décès « suspects », même s’il s’agit finalement de « critiques » à son régime.
Mais pas seulement.
Et ce n’est pas fini…
Certes, Londres assume un soutien sans faille à Zélenski dans le sillage de « Baille-Dan », même si c’est probablement l’inverse : Londres reste le cavalier chevauchant un gros bourrin aux couleurs US.
C’est aussi une question d’ordre planétaire et de la « jurisprudence Koweïtienne » qui s’applique : Le droit d’abord…
Et ça, ça me convient très bien en qualité de juriste.
Et puis le « Brexit », s’il n’est pas dénoué correctement, et il
ne le sera pas avant longtemps, fait pousser des ailes aux indépendantistes
écossais et demain pousseront à une unification de l’Irlande, si Dublin donne
des garanties intelligentes à la minorité huguenote de Belfast.
Je suis même persuadé que des « conversations » ont actuellement lieu dans ce sens…
Ce qui veut dire que le Royaume-Uni pourrait, à terme, se réduire à l’Angleterre et au Pays de Galles.
Merci aux « Brexiteurs » et à « BoJo »…
Pour la leçon donnée au « frexiteurs » et jusqu’à mes « cousins-natios » en « Corsica-Bella-Tchi-tchi ».
Il fallait y penser avant au lieu que de viser seulement une « fiche de paye à vie » !
Ou la démesure de quelques égos surdimensionnés pour qui l’avenir de leur pays passe après leur nombril.
J’adore les « populistes » quand ils nous donnent des leçons de crapulerie !
Si…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Ils l’ont eu leur empire, ils le regrettent, car ils l’ont perdu alors qu’on leur avait promis que le Brexit devait le leur redonner, pas tout de suite, mais aussi sûrement que comme un plus un égalent deux.
Ah-la-la, ces « Rosbeef » quand ils se comportent comme des pignoufs ou des nigauds abreuvés de bière qui croient encore au père-Noël !
Ils sont formidables et forcent même à l’admiration…
Une stratégie de destruction qu’affectionnent tous les mouvements politiques « radicaux », quelle que soit les idéologies qui les soutiennent.
C’était une autre époque, et nous y avons échappé de peu, notamment grâce au « brexiters » britanniques, notamment « BoJo » et quelques autres, et jusqu’à Moscou d’ailleurs, et leurs suppôts « gauloisiens »… qu’ils s’appellent « souverainistes », nationalistes, internationalistes, mondialistes ou non d’ailleurs.
Car ils nous ont donné bien des raisons de surtout pas les suivre !
Pas à GB : C’était si beau ces rêves de « liberté »…
Au Royaume-Uni, le mouvement de grève pour de meilleurs salaires a débuté il y a plusieurs mois s’étend désormais à presque tous les secteurs d’activité, menaçant de paralyser le pays et c’est pour leur quotidien immédiat, de « survie ».
C’est comme ça…
C’est également le seul pays du G7 à n’avoir pas encore retrouvé son PIB d’avant la pandémie de « Conard-virus »…
« Évidemment, le Brexit a un impact dans la crise actuelle », affirme le directeur de l’Observatoire du Brexit. « Lorsqu’on sort de 50 ans de relations très fortes, intégrées, d’une organisation supranationale comme l’UE, ce n’est pas facile. Alors que les relations étaient étroites et constantes, comment voulez-vous que ce soit simple ? »
Pourtant, une économiste de l’Observatoire « gauloisien » des conjonctures économiques, refuse de désigner le Brexit comme seul responsable de tous les maux. « Quand on regarde dans les autres pays européens, la hausse des prix au Royaume-Uni est comparable à celle observée en Allemagne.
Ce n’est pas dû au Brexit, mais à la hausse des prix de l’énergie.
Seuls les pays ayant mis en place des boucliers tarifaires, comme la France, sont épargnés. »
En 2021, ce manque de travailleurs dans les transports ― conjugué à la crise du « Conard-virus » ― avait par exemple provoqué des problèmes d’approvisionnement dans les supermarchés et stations-service.
Mais aujourd’hui, c’est le secteur de la santé qui souffre.
Si des tensions existaient déjà avant le Brexit, la situation s’est aggravée.
Selon l’étude du think tank « Nuffield Trust health » relayée par le Guardian, 37.000 médecins travaillent dans le pays. Ils auraient dû être 41.000 sans le Brexit, soit un manque de 4.000 spécialistes : Anesthésistes, psychiatres, pédiatres…
Ce n’est pas bien grave : Il leur reste la bière… irlandaise pour se soigner.
Et le gin… pour oublier !
Celui-là fait référence à la pandémie de « Conard-virus » et à la guerre en Ukraine, à l’origine de la hausse des prix de l’énergie et de l’alimentation, même s’il reconnaît qu’il « est difficile de dire quelle est la part de responsabilité de la guerre, du Covid et du Brexit dans la crise actuelle ».
Une autre souligne aussi l’impact des politiques des conservateurs au pouvoir depuis 2010 : « Ils ont mis en avant leur objectif de réduction du déficit public, qui passe non pas par des hausses d’impôts mais par la baisse des dépenses. Cela fait dix ans que le système de santé public subit l’austérité du gouvernement.
À cela s’ajoute la pandémie, pendant laquelle les soignants ont été très sollicités et ont vu leurs conditions de travail se dégrader. Logiquement aujourd’hui, face à la forte inflation, ils réclament une hausse des salaires plus conséquente que les 5 % promis début 2022 », poursuit-elle.
C’est ce qui explique le durcissement des négociations et la forte mobilisation de ces deux secteurs dans les grèves historiques actuelles.
Autant se cacher derrière son « petit-doigt » et invoquer des sorciers vaudous : C’est l’accumulation des difficultés qui fait vaciller la « perfide Albion » et le « Brexit » pas encore totalement digéré ne fait qu’en rajouter.
Moâ, je ne veux pas qu’ils reviennent : S’ils font un référendum, j’en veux aussi un pour les accepter de les accepter !
Non mais…
Ils ont suffisamment fait caguer l’Europe des 6 depuis des décennies, quand ils étaient exclus, quand ils étaient inclus également, moins depuis qu’ils se sont exclus…
Mais on note qu’ils étaient 55 % un an plus tôt.
« Sous mon autorité, le Royaume-Uni ne cherchera aucune relation avec l’Europe qui repose sur l’alignement sur les lois de l’UE », avait heureusement évacué leur « Premier sinistre », « Richi-Sun-hack » et ce, dès novembre 2022.
Un coup à faire perdre les prochaines élections législatives ?
On tente d’expliquer alors aux Britanniques qu’ils doivent donc attendre que le « Brexit » montre aussi ses effets positifs pour faire face à la grogne.
« L’erreur des pro-Brexit pendant la campagne, c’était de dire que ça allait être génial tout de suite.
Il a logiquement des effets négatifs et pour l’avenir, c’est très difficile à dire. Il a fallu des années pour que le Royaume-Uni se sente bien au sein de l’UE.
Il faudra des années pour que le Royaume-Uni s’adapte à vivre en dehors. »
Parce qu’ils ne se sont jamais sentis à l’aise, cherchant à imposer leurs propres règles à toutes occasion au reste de l’UE.
Qui depuis leur départ évolue plus vite et mieux (peut-on en penser) vers une plus grande intégration encore, jusqu’à devenir une vraie fédération, l’objectif ultime (et non pas une confédération, style les « confédérés » US…).
Il a appelé la semaine dernière Downing Street à admettre les « dégâts immenses » causés par la sortie britannique de l’Union européenne et à reconnaître que « le Brexit ne fonctionne pas ».
« Après deux ans de déni et d’évitement, nous devons maintenant affronter la dure vérité : le Brexit ne fonctionne pas », a-t-il déclaré en opposant de longue date qu’il est à la sortie de l’UE dans son discours. Le Brexit « a affaibli notre économie, fracturé notre union et terni notre réputation », a-t-il argumenté lors d’une allocution à Mansion House, la résidence officielle du lord-maire de la City of London, cœur financier de la capitale et du pays.
« Je ne peux tout simplement pas garder le silence sur les dégâts immenses causés par le Brexit », dénonce « Sadique Canne ».
Cette critique, qui vise le gouvernement, tranche aussi avec la position officielle de l’opposition travailliste dont le chef, lui aussi opposant au « Brexit », a promis qu’il embrasserait la volonté exprimée par les électeurs de « reprendre le contrôle ».
Ce dernier clame que les travaillistes peuvent résoudre les problèmes de l’accord de sortie de l’UE et « faire fonctionner le Brexit ».
T’as qu’à croire, tiens ! Encore un rêveur qui souffle dans la direction du vent de vindicte populaire.
Les britanniques seraient-ils devenus des « populistes » dans l’âme ?
Je m’interroge.
Je les savais « pragmatiques », jusqu’à l’extrême, et c’est comme ça qu’ils ont construit un « empire sur lequel le soleil ne se couche jamais », mais savoir aussi être capables de prendre des décisions historiques sans frémir.
Là, ils font « girouette »…
Mais « la réalité est que la City », le puissant centre financier londonien qui fait la pluie et le beau temps sur la planète financière, « est durement touchée par la perte de contrats et de talents », au profit d’autres places européennes comme « Paris-sur-la-plage » ou « Amsterdam-sur-son-port », souligne-t-il.
Il faut aussi constater que le soutien au « Brexit » n’a jamais été aussi faible Outre-manche : Moins d’un tiers des Britanniques estiment que c’était la bonne décision, d’après un sondage réalisé en novembre par l’institut YouGov.
Gouverner à partir des sondages ?
C’est le niveau le plus nul de la politique, de la vie de la Cité !
Qui fluctue en fonction de la direction du vent ?
Où est la grandeur, impériale, de la GB dans cette affaire-là ?
Car je note que le temps n’est pas à la faiblesse internationale : « Poux-tine » fait la guerre à Kiev mais à travers l’Ukraine, également à Washington et surtout, son ennemi juré de l’ex-guerre-froide, à Londres.
Et c’est assez réciproque, d’ailleurs.
On en voit d’ailleurs les « traces » (mes fameux « fils rouges ») dans les exécutions d’oligarques et de partisans de « Poux-tine » un peu partout autour de la planète depuis le premier trimestre 2022. Certes, « Poux-tine », ou un de ses « services qui n’existent pas », est probablement à l’origine de ces décès « suspects », même s’il s’agit finalement de « critiques » à son régime.
Mais pas seulement.
Et ce n’est pas fini…
Certes, Londres assume un soutien sans faille à Zélenski dans le sillage de « Baille-Dan », même si c’est probablement l’inverse : Londres reste le cavalier chevauchant un gros bourrin aux couleurs US.
C’est aussi une question d’ordre planétaire et de la « jurisprudence Koweïtienne » qui s’applique : Le droit d’abord…
Et ça, ça me convient très bien en qualité de juriste.
Je suis même persuadé que des « conversations » ont actuellement lieu dans ce sens…
Ce qui veut dire que le Royaume-Uni pourrait, à terme, se réduire à l’Angleterre et au Pays de Galles.
Merci aux « Brexiteurs » et à « BoJo »…
Pour la leçon donnée au « frexiteurs » et jusqu’à mes « cousins-natios » en « Corsica-Bella-Tchi-tchi ».
Il fallait y penser avant au lieu que de viser seulement une « fiche de paye à vie » !
Ou la démesure de quelques égos surdimensionnés pour qui l’avenir de leur pays passe après leur nombril.
J’adore les « populistes » quand ils nous donnent des leçons de crapulerie !
Si…
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