Et je tombe sur mon polycopié de « Libertés
publiques »
Plein de poussière, mais plein de de bons souvenirs
dans cet amphithéâtre enterré dans les parkings reconvertis, parce que l’architecte
du bâtiment avait omis de construire une rampe d’accès !
Un oubli ou une réaction ulcérée du voisinage, je ne sais pas bien (puisque les deux versions circulaient), ce qui fait qu’a défaut de mieux, le recteur y aura installé plusieurs amphis de 200 places dans lesquelles on se serrait les coudes et les genoux.
Je draguais déjà (et encore « sévèrement ») à l’époque, et c’est dans cet amphi que je touchais du pied les pieds de ma voisine de devant et elle, ravie de la soudaine invitation à de chauds émois de sensualité, aura fini les 50 minutes d’enseignement les yeux pleins d’étoiles en mirant mon pote-voisin, qui n’y était pour rien mais à qui elle avait attribué par mégarde mes attouchements.
J’en rigole encore, parce que je crois qu’il n’a pu s’en débarrasser qu’en lui disant oui devant le maire.
Le curé, je ne sais pas : Il aurait dû se convertir au judaïsme, ce qui pour un bougnat-auvergnat de père en fils, pouvait devenir compliqué et n’était pas du tout évident de prime abord.
Et puis, je ne raconte pas la descendance…
Déjà, mon autre pote auvergnat (le « président »), celui qui a fait des mômes à une écossaise de pure souche, il se fait tondre par sa « nichée »…
Quant à mon « commissaire-politique », feuj de père en fils lui aussi, il en aura fait l’expérience également avec un auvergnate qui ne lui a même pas laissé la maison de famille qu’il en vit dans un HLM de banlieue (« rouge » la banlieue, cela va sans dire).
Autrement dit, je l’ai échappé belle avec mon air « trop kon » et ma vue basse, mais quand l’odeur des madeleines te prend les nasaux, tu tentes de refaire un point sur l’enseignement du dit professeur des libertés publiques.
Il nous avait fait découvrir plein de choses. Dont le « cause
toujours = démocratie ; ferme ta gueule = dictature ! »
Ou dit plus intelligemment, une formule qui m’aura suivi toute la vie : « La démocratie c’est ce qui est interdit n’est pas permis ; la dictature c’est ce qui n’est pas permis est interdit ! »
Et il nous aura refait lire Locke à chaque occasion.
Dans son ouvrage « Two Treatises of Government »,
ledit John Locke a défini ce qui allait devenir la base de la philosophie
fondatrice des USA (les « ricains ») :
« L’égalité, au sens premier du terme, non pas l’égalité des capacités ou des richesses, (c’est) la non-soumission ;
Les droits inaliénables, non pas aux droits du gouvernement,
(c’est le
droit) à la vie, à la liberté et à la propriété ;
La démocratie, au sens premier du terme, non pas le
simple vote majoritaire, (c’est) la souveraineté populaire. D’où l’idée que
les gouvernements ne doivent pas être des maîtres mais des serviteurs du peuple
;
Le consentement des gouvernés (notamment à l’impôt,
à l’autorité, c’est) l’idée que les gouvernements ne peuvent légitimement
gouverner que par le consentement des gouvernés, c’est-à-dire du peuple
souverain ;
(Un) gouvernement limité (c’est) l’idée que
le seul but et la portée appropriée d’un gouvernement légitime est uniquement
de garantir les droits du peuple ;
(Néanmoins, le) droit de révolution (reste) l’idée que tout gouvernement qui outrepasse ses limites et piétine les droits mêmes qu’il était chargé de garantir est une tyrannie, et que le peuple a le droit de résister, de modifier, voire d’abolir les gouvernements tyranniques. »
Autrement dit, au fur et à mesure que l’État s’éloigne de son objectif essentialiste, il devient de plus en plus important de comprendre les droits de l’Homme et les limites du gouvernement.
Et de là découlait toute une lecture de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen que nous n’avions pas abordé en droit constitutionnel de première année.
C’est là où je dis, que c’est au bout des études qu’on finit par comprendre la raison pour laquelle on s’est farci des codes durant 4 ans d’affilée sans repérer le « fil rouge ».
Depuis, je me suis amélioré…
On peut dès lors en conclure qu’un régime totalitaire,
c’est là où « ce qui n’est pas permis est interdit » c’est tout un
tas de choses qui laissent leur signature.
Notamment quand :
La dissidence est assimilée à la violence et est réprimée avec sévérité et constance.
Les médias sont contrôlés.
Or, la violence illégitime est interdite. La violence « légitime » est largement encadrée. Et la dissidence est permise, sauf quand elle devient violente.
La limite à sa tolérance… bienvenue.
Le système juridique est coopté par l’État. Autrement
dit, ce n’est plus le législateur réuni en pouvoir lui-même encadré par la
constitution, qui forme les lois, mais le pouvoir exécutif qui formule les lois
alors que son rôle doit se cantonner à appliquer les lois votées, par voie de
décret.
Chez nous, il y a eu des décrets-lois dans les « meilleurs moments » d’une démocratie affaiblie et nous avons gardé le système des ordonnances, autorisée seulement par le pouvoir législatif, sauf situations visées par l’article 16 de notre constitution…
Et les lois de finances publiques, qui financent… l’activité publique, sans lesquelles il n’y aurait pas d’État, à savoir le fameux article 49.3.
Le pouvoir est exercé pour étouffer la dissidence. Et
on peut l’étouffer de plusieurs façons, par la violence policière (décret en
préfecture), le harcèlement judiciaire (noyade sous les procédures) ou
directement par décision de juges « à la botte ».
Toutes situations qui restent parfois encore d’actualité…
Jusqu’en Russie « Poux-tinienne », en Iran des Mollahs, en Chine de « Xi-ping-pong » ou en Corée de « Kim-tout-fou ».
Et j’en passe…
La police d’État protège le régime, pas le peuple. Pas
besoin de faire un dessin. Quand « l’autorité » détourne les moyens
étatiques mis à sa disposition pour faire régner l’ordre public et protéger l’ensemble
des citoyens, afin de se protéger lui-même des dissidences, au lieu de
convoquer des élections qui redonneraient une légitimité populaire à l’action
de « l’État-policier », il y a clairement totalitarisme.
Parfois noyé dans les dissidences violentes, donc illégitimes.
D’où le grand danger des « casseurs » pour la démocratie. Mais eux n’en ont rien à faire : Ils veulent le chaos, le nihilisme, l’anarchie pour provoquer la dictature…
Les droits ― financiers, juridiques et civils ― sont
subordonnés à la conformité. Où vos droits doivent être conformes à la doxa
ambiante pour prospérer. Autrement dit, ce qui n’est pas permis pour être
contraire à cette doxa, est ipso facto interdit !
La conformité massive des croyances et des
comportements est exigée : C’est la pensée unique.
Le point d’orgue, la clé d’ogive de ce je dénomme la « démocrature ».
C’est comme le Canada dry, ça y ressemble mais ça n’en est pas.
Et il faut adhérer coûte que coûte, sinon vous êtes traités comme d’un dangereux « dissident » pour l’ordre, la morale, le droit, le peuple et ses représentants (légitimes ou non, abusifs ou non).
Se plier à la loi du plus grand nombre, même si celui-ci est « fabriqué » et présenté comme d’une opinion unanime.
Le pouvoir est concentré dans un cercle restreint
d’institutions et d’élites qui s’autodésignent.
Si vous n’êtes pas « pour », c’est que vous êtes « contre » et il faut vous abattre pour sauvegarder l’ensemble.
Un risque de consanguinité qui réduit les « possibles », étouffe les innovations, réduits l’espace des libertés publiques (et individuelles) et amorce les pires dictatures.
La violence semi-organisée est autorisée (seulement dans
certains cas). On parle de la violence « illégitime ». La légitime est
toujours permise.
C’est un outil de domination des masses par le pouvoir qui fait plus que tolérer pour aller jusqu’à encourager les pogroms, les lynchages, qu’ils soient réels ou seulement médiatiques.
C’est bien le danger identifié du wokisme, des mouvements d’opinion comme les « #metoo » et autres procès en « sorcellerie » qui passent et repassent comme les modes (et la Lune).
La propagande étatique cible les ennemis du régime
d’État : Un dérivatif qui a toujours existé et dont les « Roms »,
les feujs ont fait les frais depuis l’antiquité, comme bien d’autres, musulmans
actuellement en Europe occidentale, mais qui peut très bien dégénérer sur d’autres
cibles, comme toutes les minorités, telles les Kurdes, par exemple, et les
chrétiens d’Orient sous d’autres contrées.
Des classes entières sont persécutées : C’était
le propre du stalinisme, du maoïsme, et encore ailleurs les Hutus et les Tutsis,
les migrants un peu trop « bronzés », les communautés asiatiques ici
chez nous, ailleurs les « nazillons-ukrainiens »…
Notez que chez nous, quand il s’agit de classe sociale, la « classe moyenne » est particulièrement rackettée, mais hier c’était les « Gilets Jaunes », les « Bonnets rouges », les « Manif’ pour tous » : Il y en a pour tous les goûts au fil des époques !
Des actions extralégales sont tolérées contre les
opposants internes au régime, voire encouragées.
Ce qui ressort de la rubrique des violences « illégitimes », mais qui cible les « opposants », même pas encore des dissidents…
Application stricte de la loi contre les classes
défavorisées. Il s’agit d’une rupture d’égalité devant la charge de la Loi. Ce
qui est toléré ou faiblement punissable chez les « riches » certains
ne l’est plus chez les « povs’ » d’autres.
On se souvient encore de l’affaire Callas sous nos tropiques…
On sait qu’il vaut mieux être « soutenu » qu’esseulé.
Les leviers de pouvoir privés et publics sont utilisés
pour imposer l’adhésion aux dogmes de l’État.
C’est la « fabrication » des élites destinées à prendre le relai, de père en fils, des « sachants ». Mais inversement c’est la fabrication de l’opinion par médias interposés qui matraquent des « vérités » conformes aux attentes du pouvoir dominant.
La liste est un peu troublante. À tout le moins, certaines de ces techniques se déroulent sous nos yeux. Cependant, cela ne signifie certainement pas que notre pays, et son dédoublement Européen, est un État totalitaire ou un ensemble d’États totalitaires.
On pourrait d’ailleurs penser bien plus rapidement à quelques « pays exotiques », qui vont de la Chine à la Biélorussie, par exemple.
Car il existe de nombreuses définitions du totalitarisme et je ne crois pas que l’on puisse sérieusement affirmer nos « démocratures » en sont déjà arrivés là.
Mais l’autoritarisme est certainement dans l’air dans de nombreuses de nos démocraties.
Alors que la droâte et les gôches politiques s’accusent mutuellement de nourrir des ambitions tyranniques, le philosophe Karl Popper a donné une idée du moment où un gouvernement légitime franchit la ligne et devient tyrannique :
« Vous pouvez choisir le nom que vous voulez pour les deux types de gouvernement. Personnellement, j’appelle « démocratie » le gouvernement qui peut être supprimé sans violence et l’autre « tyrannie ». »
Mais ça, je l’ai appris plus tard.
Car le peuple a finalement le droit de choisir son gouvernement sans pour autant que son gouvernement doive « guider » le choix du peuple…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE
PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
Un oubli ou une réaction ulcérée du voisinage, je ne sais pas bien (puisque les deux versions circulaient), ce qui fait qu’a défaut de mieux, le recteur y aura installé plusieurs amphis de 200 places dans lesquelles on se serrait les coudes et les genoux.
Je draguais déjà (et encore « sévèrement ») à l’époque, et c’est dans cet amphi que je touchais du pied les pieds de ma voisine de devant et elle, ravie de la soudaine invitation à de chauds émois de sensualité, aura fini les 50 minutes d’enseignement les yeux pleins d’étoiles en mirant mon pote-voisin, qui n’y était pour rien mais à qui elle avait attribué par mégarde mes attouchements.
J’en rigole encore, parce que je crois qu’il n’a pu s’en débarrasser qu’en lui disant oui devant le maire.
Le curé, je ne sais pas : Il aurait dû se convertir au judaïsme, ce qui pour un bougnat-auvergnat de père en fils, pouvait devenir compliqué et n’était pas du tout évident de prime abord.
Et puis, je ne raconte pas la descendance…
Déjà, mon autre pote auvergnat (le « président »), celui qui a fait des mômes à une écossaise de pure souche, il se fait tondre par sa « nichée »…
Quant à mon « commissaire-politique », feuj de père en fils lui aussi, il en aura fait l’expérience également avec un auvergnate qui ne lui a même pas laissé la maison de famille qu’il en vit dans un HLM de banlieue (« rouge » la banlieue, cela va sans dire).
Autrement dit, je l’ai échappé belle avec mon air « trop kon » et ma vue basse, mais quand l’odeur des madeleines te prend les nasaux, tu tentes de refaire un point sur l’enseignement du dit professeur des libertés publiques.
Ou dit plus intelligemment, une formule qui m’aura suivi toute la vie : « La démocratie c’est ce qui est interdit n’est pas permis ; la dictature c’est ce qui n’est pas permis est interdit ! »
Et il nous aura refait lire Locke à chaque occasion.
« L’égalité, au sens premier du terme, non pas l’égalité des capacités ou des richesses, (c’est) la non-soumission ;
(Néanmoins, le) droit de révolution (reste) l’idée que tout gouvernement qui outrepasse ses limites et piétine les droits mêmes qu’il était chargé de garantir est une tyrannie, et que le peuple a le droit de résister, de modifier, voire d’abolir les gouvernements tyranniques. »
Autrement dit, au fur et à mesure que l’État s’éloigne de son objectif essentialiste, il devient de plus en plus important de comprendre les droits de l’Homme et les limites du gouvernement.
Et de là découlait toute une lecture de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen que nous n’avions pas abordé en droit constitutionnel de première année.
C’est là où je dis, que c’est au bout des études qu’on finit par comprendre la raison pour laquelle on s’est farci des codes durant 4 ans d’affilée sans repérer le « fil rouge ».
Depuis, je me suis amélioré…
Notamment quand :
La dissidence est assimilée à la violence et est réprimée avec sévérité et constance.
Les médias sont contrôlés.
Or, la violence illégitime est interdite. La violence « légitime » est largement encadrée. Et la dissidence est permise, sauf quand elle devient violente.
La limite à sa tolérance… bienvenue.
Chez nous, il y a eu des décrets-lois dans les « meilleurs moments » d’une démocratie affaiblie et nous avons gardé le système des ordonnances, autorisée seulement par le pouvoir législatif, sauf situations visées par l’article 16 de notre constitution…
Et les lois de finances publiques, qui financent… l’activité publique, sans lesquelles il n’y aurait pas d’État, à savoir le fameux article 49.3.
Toutes situations qui restent parfois encore d’actualité…
Jusqu’en Russie « Poux-tinienne », en Iran des Mollahs, en Chine de « Xi-ping-pong » ou en Corée de « Kim-tout-fou ».
Et j’en passe…
Parfois noyé dans les dissidences violentes, donc illégitimes.
D’où le grand danger des « casseurs » pour la démocratie. Mais eux n’en ont rien à faire : Ils veulent le chaos, le nihilisme, l’anarchie pour provoquer la dictature…
Le point d’orgue, la clé d’ogive de ce je dénomme la « démocrature ».
C’est comme le Canada dry, ça y ressemble mais ça n’en est pas.
Et il faut adhérer coûte que coûte, sinon vous êtes traités comme d’un dangereux « dissident » pour l’ordre, la morale, le droit, le peuple et ses représentants (légitimes ou non, abusifs ou non).
Se plier à la loi du plus grand nombre, même si celui-ci est « fabriqué » et présenté comme d’une opinion unanime.
Si vous n’êtes pas « pour », c’est que vous êtes « contre » et il faut vous abattre pour sauvegarder l’ensemble.
Un risque de consanguinité qui réduit les « possibles », étouffe les innovations, réduits l’espace des libertés publiques (et individuelles) et amorce les pires dictatures.
C’est un outil de domination des masses par le pouvoir qui fait plus que tolérer pour aller jusqu’à encourager les pogroms, les lynchages, qu’ils soient réels ou seulement médiatiques.
C’est bien le danger identifié du wokisme, des mouvements d’opinion comme les « #metoo » et autres procès en « sorcellerie » qui passent et repassent comme les modes (et la Lune).
Notez que chez nous, quand il s’agit de classe sociale, la « classe moyenne » est particulièrement rackettée, mais hier c’était les « Gilets Jaunes », les « Bonnets rouges », les « Manif’ pour tous » : Il y en a pour tous les goûts au fil des époques !
Ce qui ressort de la rubrique des violences « illégitimes », mais qui cible les « opposants », même pas encore des dissidents…
On se souvient encore de l’affaire Callas sous nos tropiques…
On sait qu’il vaut mieux être « soutenu » qu’esseulé.
C’est la « fabrication » des élites destinées à prendre le relai, de père en fils, des « sachants ». Mais inversement c’est la fabrication de l’opinion par médias interposés qui matraquent des « vérités » conformes aux attentes du pouvoir dominant.
La liste est un peu troublante. À tout le moins, certaines de ces techniques se déroulent sous nos yeux. Cependant, cela ne signifie certainement pas que notre pays, et son dédoublement Européen, est un État totalitaire ou un ensemble d’États totalitaires.
On pourrait d’ailleurs penser bien plus rapidement à quelques « pays exotiques », qui vont de la Chine à la Biélorussie, par exemple.
Car il existe de nombreuses définitions du totalitarisme et je ne crois pas que l’on puisse sérieusement affirmer nos « démocratures » en sont déjà arrivés là.
Mais l’autoritarisme est certainement dans l’air dans de nombreuses de nos démocraties.
Alors que la droâte et les gôches politiques s’accusent mutuellement de nourrir des ambitions tyranniques, le philosophe Karl Popper a donné une idée du moment où un gouvernement légitime franchit la ligne et devient tyrannique :
« Vous pouvez choisir le nom que vous voulez pour les deux types de gouvernement. Personnellement, j’appelle « démocratie » le gouvernement qui peut être supprimé sans violence et l’autre « tyrannie ». »
Mais ça, je l’ai appris plus tard.
Car le peuple a finalement le droit de choisir son gouvernement sans pour autant que son gouvernement doive « guider » le choix du peuple…
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