Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 2 janvier 2023

À cheval sur la Saint Sylvestre (2/2)

On a enterré 2022 : Bienvenue en 2023 !
 
Et que justement, j’ai noté quelques nouveautés qui deviennent « loi d’airain » à compter d’hier.
Naturellement, j’en ai oublié et d’autres qui vont venir nous pourrir la vie sans qu’on ne leur ait rien demandé.
Et pour en terminer, quelques autres mesures et « ajustements » décidés par l’État, donc vous toutes et tous, figurez-vous.
 
Nous parlions encore l’année dernière des « passoires thermiques », eh bien le mois de janvier étant celui des bonnes résolutions, si vous aviez prévu de vous lancer dans des travaux de rénovation énergétique en 2023, sachez qu’à partir d’hier un accompagnateur Rénov’ est obligatoire pour réaliser certains travaux.
Dans le cadre de la loi Climat et résilience du 22 août 2021, une nouvelle obligation doit entrer en vigueur en 2023 pour les foyers bénéficiant de MaPrimeRénov’. Elle concerne Mon Accompagnateur Rénov’, ce tiers de confiance « agréé par l’État ou désigné par une collectivité locale » et visant à assister les particuliers dans leur projet de travaux.
Conformément au décret n° 2022-1035, cet accompagnateur Rénov’ sera obligatoire pour réaliser des travaux bénéficiant des aides à la rénovation énergétique de l’Agence nationale de l’habitat (Anah) « conditionnées à une amélioration de la performance énergétique globale du logement ».
« La demande d’aide doit être déposée à compter du 1er  janvier 2023 et son coût supérieur à 5.000 € TTC (aide accordée aux ménages modestes pour la réalisation de travaux permettant un gain énergétique d’au moins 35 %) ».
Par ailleurs, les plafonds sont rehaussés, comme l’a annoncé le « sinistre de la Transition écolologique ».
 
On peut également citer un nouveau décès avec celui du timbre rouge, mais celui-là annoncé depuis 2017 : Celui de la taxe d’habitation.
Elle était moribonde la pov’-chérie et les soins palliatifs ont été abandonnés.
Parce qu’il y avait encore 20 % de foyers fiscaux les « plus aisés » qui devaient encore la régler en 2022 : En 2023, la taxe d’habitation, c’est fini, du moins pour les résidences principales.
Mais pas pour ma secondaire…
En plus il est question d’étendre le principe d’une taxe sur les résidences secondaires jusque dans les « pitites-communes ».
Moâ, je ne sais pas, mais on manque de logements et pourtant on fait tout pour les rendre plus coûteux à fabriquer, notamment avec les normes d’accessibilité qui s’imposent jusque dans les casernes de pompier, et plus coûtatifs à entretenir tout en réduisant leurs rendements putatifs en bloquant les loyers et en les interdisant à la « mise à disposition » à titre onéreux (les louer) et demain les vendre.
Si dans ce pays qui est le mien (que j’aime tant et qui me le rend si mal… quoique…) on ne marche pas sur la tête, c’est que même nos « sachants » n’ont plus de tête !
 
Le « Merde in Gauloisie » cher à J. Dutronc (qui abandonne définitivement la scène) change sur l’étiquetage des habits depuis hier. En vertu de la nouvelle loi anti-gaspillage, les produits textiles vendus en « hexagonie » devront mieux préciser l’origine géographique des étapes de la confection des vêtements.
Heureusement que ça ne concerne que le « tex-mex » (tissu et maille), parce qu’imaginez que ce soit le cas aussi pour vos « tas de boue à roulettes » avec toutes les pièces qu’il y a dedans…
Un véritable petit-atlas des pays où se crée la valeur ajourtée que vous achetez !
C’est un petit pas pour l’étiquette, certes, mais un bond de géant pour les industriels.
Instaurée c’est un décret du 29 avril 2022 en application de la loi Agec (anti-gaspillage pour une économie circulaire) qui impose aux distributeurs, importateurs et producteurs de faire figurer l’indication du pays de réalisation des principales opérations de tissage, teinture-impression et confection.
Cette mesure s’applique dans un premier temps pour les plus importants acteurs, avant une extension progressive sur deux ans, jusqu’au seuil de 10 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Ces nouvelles obligations doivent aider à augmenter la part de la production gauloisienne dans la consommation nationale de textile, plafonnant aujourd’hui à 5 %.
Il faut dire qu’on a mis des décennies à tuer nos entreprises tricolores de la fringue et des pompes avec la politique des « licences » d’exportation de l’OMC qui se revendaient entre importateurs : On peut bien faire semblant d’aider les survivantes avant, que demain, de taxer tout ce qui ne saurait pas être d’« Origine Gauloisienne Garantie ».
Et puis finalement de mettre en place ma célèbre « Cotisation sur Sociale sur les Produits Manufacturés » (Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/search/label/CSPM) en remplacement de beaucoup de choses « indolores » pour le « kon-tribuable », comme la TVA (principale ressource financière de l’État, vous quoi…).
Mais j’étais en avance sur mon époque, déjà à cette époque-là…
 
« Un kilo de textile produit en France et recyclé dégage 10 fois moins de CO2 que celui acheté à l’étranger », a relevé le gérant de chez « Les Tissages de Charlieu », se référant à une étude de 2021 du cabinet Cycleco.
Tu achètes souvent de la seconde main, toâ ?
Bon, dans les faits, les fabricants, importateurs et distributeurs devront afficher les pays où s’effectuent les trois grandes étapes de fabrication d’un vêtement et d’une chaussure.
Pour les vêtements, il s’agit du tissage (ou tricotage), de la teinture et l’impression, et de la confection. L’emballage, on ne sait pas…
Pour les chaussures, cela concerne le piquage, le montage et la finition. L’information pourra être visible sur le produit directement (étiquette) ou de manière dématérialisée sur la fiche produit.
Donc pas question d’un seul QR-code pour l’heure.
« Cette loi est une bonne base de travail, elle a le mérite d’exister, mais il faut rester très vigilant sur son application, car à force de rajouter des coups de canifs sur le volet score carbone, elle risque de perdre son intérêt », soulignait le président de « Trance Terre Textile ».
Car ce décret permet aussi de formaliser les mentions régulièrement utilisées dans des opérations de communication de « greenwashing », comme les termes « recyclable », « recyclé » ou encore « recyclabilité ».
Moâ, j’adore comment on parvient à des mesures de « bon sens » par des biais détournés en surfant sur les « wokismes » du moment.
Finalement, ça me rend optimiste !
Sauf que c’est « pensé » par des « sachants » qui aiment bien rendre les choses complexes alors qu’elles pourraient être simple.
Mais peut-être que ces « sachants » se sentiraient alors totalement inutiles : Ils préfèrent donc « être nés » pour emmerder le plus grand nombre.
 
Pour l’usage de matières recyclées, les fabricants, importateurs et distributeurs auront l’obligation de préciser la part réelle en mentionnant : « Produit comportant au moins (%) de matières recyclées » et/ou « emballage comportant au moins (%) de matières recyclées ».
Quant à la définition de recyclabilité, elle fait référence au recyclage réel et effectif du produit.
« Ce volet-là est beaucoup plus complexe et pas vraiment PME-compatible, alors que la filière française du textile est majoritairement composée de PME », s’inquiète-t-on.
« Les marques internationales risquent de profiter du flou existant, au détriment des petites marques françaises et européennes, d’autant plus que de grandes manœuvres sont en cours pour faire en sorte de desserrer au maximum ces contraintes. »
Enfin, les mentions « biodégradable » et « respectueux de l’environnement », ou toute autre allégation similaire, seront aussi interdites d’usage sur les produits et leurs emballages.
Quand on connaît le succès de la « loi Egalim » censé avoir redonné du pouvoir d’achat à nos producteurs de patates et qui persiste à mettre le boxon dans les relations commerciales qui parviennent quand à vous livrer jusqu’en pied de porte (commerce de détail de proximité) et vous éviter la famine, on peut effectivement rester optimiste.
 
Plus « essentiel » (au sens du confinement strict) le World Rugby cherche à fluidifier le jeu. Et pour cela, l’instance internationale a modifié plusieurs points de règlements.
Pour les transformations, une fois l’essai validé par l’arbitre, le botteur aura 90 secondes pour effectuer son tir.
Si le ballon tombe et n’est pas remis à temps, le tir sera refusé.
Concernant les pénalités, lorsque l’arbitre a indiqué son intention de jouer, le tireur a 60 secondes pour effectuer son geste.
Si le ballon tombe ou n’est pas joué dans le temps imparti, le coup de pied sera refusé et une mêlée sera accordée.
Pour les touches, les joueurs doivent s’aligner le plus rapidement possible. Sinon, l’arbitre pourra siffler une pénalité.
Une fois que l’arbitre a sifflé une mêlée, les équipes doivent se mettre en place en 30 secondes après la décision de l’arbitre. Sinon, une pénalité sera donnée.
Un joueur ne doit pas perdre de temps en traînant la patte. Il sera alors sanctionné d’une pénalité.
Je sens que ça va être rigolo pour la coupe du monde à venir dans nos cités : On va être tous avec le chrono en main…
Le directeur du rugby de World Rugby, a expliqué : « World Rugby, les fédérations membres et les compétitions travailleront avec les diffuseurs et les organisateurs de matches pour faire apparaître à l’écran (dans les stades et à la télévision) des shots clocks (chronomètres) pour les pénalités et les transformations afin de sassurer que les arbitres, les joueurs et les fans puissent voir le compte à rebours. »
J’adore la perspective…
 
Enfin, moins drôle, j’ai lu quelle que part que la presse écrite va augmenter ses tarifs pour l’achat d’un numéro papier.
Il faut dire que ça coût une blinde : Façonner du papier avec l’emploi de produits chimiques dégueulasses pour « Dame nature », faire pisser de l’encre de chine aux calamars, l’étaler de façon à ce que ça reste lisible, promener ensuite les « torche-kul » par camion pour ensuite rémunérer votre kiosqué habituel qui vous le livre, à moins que vous ayez recours au routage 205 de La Poste largement subventionné par vous-mêmes (même si vous n’avez pas appris à lire), ou par voiturier à vélo comme dans les meilleurs maisons de Maître, non seulement ça pollue mais en plus ça répand les poisons de quelques « journeleux » qui n’ont rien d’autres à écrire que ce que leur envoie les maisons de « communicants » ou affirment des choses qui, souvent, ils ne comprennent même pas, pour vous tenir informé.
Donc, les « grands titres » appuient une nouvelle fois sur la queue de détente qui libère la petite-gâche (gâchette) qui laisse le percuteur tamponner l’amorce qui va mettre le feu aux poudres et… perforer la chaussure qui retenait encore le pied qui leur servait à avancer jusque-là.
Et après, il va encore falloir payer des impôts (et de la TVA réduite) pour subventionner tout ça au nom du pluralisme et de la liberté d’expression et de la seule presse libre : On l’oublie trop souvent, mais la « liberté » a un prix !
Si vous saviez combien j’adore mon pays quand il fait tout (ou presque…) pour se détester lui-même…
 
Parce que et pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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