Et réciproquement…
Car, et ils tout le monde le sait, tout au plus les
circuits financiers peuvent être canalisés vers des choix techniques moins
néfastes pour l’environnement. Par exemple en privilégiant un financement de
solutions énergétiques via le nucléaire. Mais les « déclinistes-écolologistes »,
par pur dogmatisme, ne sont pas prêts à l’admettre.
Ce n’est donc pas ce côté-là qu’ils cherchent des solutions.
Par ailleurs la démocratie est liée au développement : Les pays les plus développés sont les démocraties et demander de renoncer au développement présente l’inconvénient de maintenir les peuples non seulement dans la pôvreté mais aussi, par la force des choses en cas de pénurie, dans l’autocratie quand ce n’est pas pire.
Même à supposer que la « décroissance globale »
ménage la possibilité de se développer aux pays pôvres, le corollaire pour
compenser sera d’accentuer encore plus fort la décroissance dans les pays
riches, donc la baisse encore plus forte du niveau de vie, ce qui sera
démocratiquement et probablement matériellement impossible.
D’où la nécessité d’un régime plus qu’autoritaire à prévoir.
Quand on pense qu’à l’origine, les « écololos » étaient contre le nucléaire parce qu’il supposait un « État policier » durant des générations et des générations pour garder les centrales et sécuriser la gestion des déchets, avouez qu’il y a de quoi en rire…
Bref, mettre l’accent sur la décroissance ne donne pas de solution au problème des pays pôvres.
C’est une autre illustration que le problème est mal posé, ce que l’on disait encore hier.
Autre question posée hier : Pourquoi la
croissance des pays riches demande de moins en moins d’énergie et comment cela
peut nous inspirer pour le futur développement des pays « pôv’s » ?
Il y a deux raisons : La productivité qui augmente et le fait que la croissance est de moins en moins physique, donc moins énergétivore.
Certes, existe un immense gaspillage dans les domaines de l’alimentation, du vêtement et du chauffage mais le progrès technique diminue heureusement peu à peu, pas assez rapidement tout ce gâchis.
Les entreprises s’y mettent et finalement leurs profits sont une bonne mesure de la diminution du gâchis.
On parle des entreprises normales et non pas des entreprises rentières ou proches du pouvoir.
Les autres, celles qui ne peuvent pas suivre le mouvement, par exemple en ne pouvant plus payer leurs factures d’énergie, vont mourir : C’est déjà marqué comme ça dans les livres d’Histoire (du futur).
Par exemple aussi, prenons le logement. En
simplifiant, disons que les bâtiments neufs des années 1950–70, HLM,
universités, hôpitaux… de cette grande période de construction étaient beaucoup
plus mal isolés que les plus anciens qui dataient d’une époque où l’on ne
pouvait pas se chauffer facilement.
Ces bâtiments mal isolés étaient chauffés par d’énormes installations au charbon peu souples et la température des appartements étaient réglées en ouvrant les fenêtres !
Le passage au fioul puis au gaz ou à l’électricité, parallèlement au progrès de l’électronique et notamment des régulations, a permis de régler beaucoup plus finement les consommations, tandis que l’isolation a progressé.
On peut également passer sur les ampoules LED, les pompes à chaleur et plus généralement la meilleure connaissance du problème.
Bref, la productivité a augmenté comme dans la plupart des métiers depuis plus de deux siècles.
Sinon nous aurions encore le niveau de vie de la majorité de la population avant la révolution industrielle sous Louis XV, c’est-à-dire pas très supérieur à celui des paysans du Sud qui se plaignent aujourd’hui.
En réalité, les économistes le savent (et l’enseignent),
« la croissance, c’est la productivité ». Cette productivité vient du progrès
technique, des progrès de l’organisation politique et économique, le tout
fortement aidé par la diffusion de l’enseignement.
Cela nous donne une piste pour sortir du dilemme posé par les « écololos-déclinistes » : Bloquer le développement du Sud ou tuer la planète.
Les pays « pôv’s » ne suivront probablement pas le même chemin de développement que celui défriché pendant plus de deux siècles par les pays du Nord.
Ils bénéficieront dès le départ d’une meilleure productivité et des connaissances en économie d’énergie.
En témoigne le bouillonnement des « jeunes pousses » (start-up) africaines, notamment dans l’usage du téléphone portable et qui sont axées sur l’économie d’énergie au sens large, par exemple en évitant les déplacements pour raisons économiques ou médicales, en gérant au mieux les récoltes qui pourrissent trop souvent sur place etc.
D’ailleurs la Chine, un des principaux émetteurs de CO2, est à la fois du Nord, par son niveau technique, et du Sud, par sa pauvreté encore importante, et elle a multiplié les raccourcis de développement impressionnants.
La deuxième raison qui fait que la croissance demande de moins en moins d’énergie est que les besoins par personne en objets physiques plafonnent les uns après les autres.
Nous n’avons pas deux estomacs, nous n’allons pas nous chauffer à 30°, les fichiers numériques remplacent le papier dont la production commence par la destruction des forêts et est particulièrement polluante et énergivore.
Ensuite nous utilisons de plus en plus de biens immatériels (ou très peu matériels par rapport à leur coût) comme les services bancaires, l’enseignement, la médecine de base…
Comme la demande d’une grande partie des biens matériels ci-dessus plafonne, ce sont ces biens immatériels plus ou moins bien regroupés par des économistes dans la rubrique « services », qui se traduisent dans les statistiques par ce qu’on appelle la croissance.
Un exemple pour illustrer le propos : Passer du chèque au virement.
C’est un petit changement d’habitude apparemment anodin mais si les banques nous le demandent c’est qu’il déclenche un gain sensible productivité : Côté consommateur, ça nous dispense de remplir un chèque et de le déposer ou de le poster. Côté banque, c’est beaucoup plus important : Recevoir les chèques, les traiter, les entrer manuellement en comptabilité, les classer et les garder un certain temps, c’est de la main-d’œuvre qualifiée, coûteuse) à former et à contrôler (pour récupérer et corriger les erreurs), et c’est du temps.
Or, le temps, c’est de l’argent (et réciproquement).
Sans parler de l’impression des carnets de chèques et des bordereaux de remise.
Ceci, un virement, même un dimanche, même un jour de Noël, c’est une dizaine de cliques et dix minutes de boulot fournies par le client.
Plus par le guichetier devant le client…
Un autre exemple est le remplacement des feuilles de maladie par la carte vitale qui a induit massivement des avantages analogues, notamment l’économie de papier et de temps, et a permis la diminution du personnel des caisses de maladie, donc du coût de la sécurité sociale et finalement de la santé elle-même.
Rappelons que tout ce qui est production de papier est une catastrophe écologique.
Et c’est une « rupture de charge » quand ça passe de main en main pour traitement.
Mais les partisans de la décroissance vous diront : « Tout
ça c’est bien beau, mais l’explosion démographique entraîne forcément une plus
grande consommation de biens ».
Là encore ils se trompent.
Avoir moins d’enfants, c’est vingt ans plus tard un effondrement de la production faute de producteurs, pas seulement la production des biens matériels mais aussi des services.
Moins de soignants, moins d’agriculteurs, de boulangers etc.
Tout le monde en pâtira et d’abord les plus faibles.
Un résumé brutal pourrait être : « Encore moins d’enfants aujourd’hui, c’est tuer les vieux 30 ans plus tard. »
Surtout les partisans de la baisse de la population ont plusieurs décennies de retard.
Car la décroissance démographique, la « transition
démographique », est partout hors Afrique subsaharienne.
Si la fécondité continue à être aussi basse dans l’hémisphère-Nord, la grande migration de l’Afrique vers le Nord ne sera plus une crainte mais une nécessité : On aura tellement besoin de bras qu’on ira les chercher là où ils poussent.
« Mère-Quelle » et les « Teutons » l’ont parfaitement compris en disant vouloir accueillir jusqu’à un million de réfugiés.
Car cela a déjà commencé : Les pays les plus identitaires, ceux d’Europe orientale voient leurs jeunes disparaître soit parce qu’ils ne sont pas nés, soit par ce qu’ils émigrent vers la « Teutonnie » qui manque cruellement de bras et de bébés depuis des décennies.
Et les « Teutons » payent leurs immigrés bien plus chers que le pays de départ.
En cela, la guerre de « Poux-tine » en Ukraine est une aubaine, puisqu’on compte des centaines de milliers de jeunes russes déjà formés qui auront quitté leur patrie pour ne pas aller se faire massacrer par leurs « frères » orthodoxes d’Ukraine.
Ils n’en ont rien à battre des « russophones » du Donbass !
Il faut bien se rendre compte que partout, on
s’aperçoit qu’on ne pourra pas nourrir ou soigner les vieux et qu’il sera de
plus en plus difficile de donner des services de base à toute la population.
La faiblesse de la fécondité oblige même à retarder le départ en retraite, soit juridiquement, soit de fait puisqu’on encourage par exemple les médecins retraités à retravailler.
La décroissance, une donc idée totalement décalée par
rapport à la réalité de notre monde. Au Nord, la consommation de biens
physiques a probablement atteint son maximum et l’augmentation de la
productivité fait décroître la consommation d’énergie et de matériaux… sauf
celle exigée par les « écolologistes » notamment pour les batteries.
Au Sud c’est une levée de boucliers contre l’idée de maintenir les populations dans le sous-développement et de les priver des recherches et de l’exploitation pétrolière et gazière alors que les progrès de productivité du Nord permettent un développement mois énergivore.
Partout la chute de la fécondité et le vieillissement commencent à être visibles pour le grand public.
Ce n’est donc pas la croissance qui attaque la planète : Croître avec le nucléaire est préférable à décroître avec le gaz et le charbon.
Or c’est ce qui arrivera en Europe suite aux pressions politiques des partis « écolologistes-déclinistes » si on les laisse intoxiquer les cerveaux avec leur beaux discours anxiogènes.
Cet appel à la décroissance se révèle d’abord comme
une ignorance des évolutions fondamentales. Il ne faut pas se tromper de combat
: La décroissance n’est pas un but en soi, ni une solution viable.
Si l’objectif c’est le climat et l’environnement, il ne doit pas non plus entraîner la paupérisation des peuples, qui ne l’accepteront pas, ni encore moins le sous-développement perpétuel d’une large part de l’humanité.
Le contraire, ou l’inverse, entraînera de toute façon un manteau de plomb sur le monde entier : Le véritable objectif des « déclinistes-écolologistes » qui, pour être aussi issus des mouvances gôchistes, veulent détruire le monde kapitalistique.
Leur ennemi intime qui relève de la psychanalyse.
Passons.
Le kapitalisme n’est jamais qu’un outil et, entre des
mains « éclairées » (ou des « mains invisibles », allez
savoir ?) il a déjà suffisamment de travers pour le garder sous contrôle.
Mais pas le tuer tellement il a pu sauver tant de personnes par le passé.
Alors que les modèles alternatifs proposés n’en sauvent pas vraiment bien qu’ils en prétendent que c’est l’objectif final.
Moâ, les prophètes qui veulent imposer leur paradis à tous malgré nous, je m’en méfie comme du diable.
En cette fin d’année de conflit « haute intensité », on voit où cela mène après les années de plomb islamistes et les pandémies du pangolin pékiniste.
J’avoue que j’aimerai un peu plus de sagesse et de retenue de la part des « sachants » du GIEC qui alimentent des angoisses qui n’ont pas lieu d’être et de beaucoup d’autres qui surfent sans retenue sur ces délires.
Mais peut-être verra-t-on ça également dans mon prochain roman : « Menaces de chaos® ».
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE
PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
Ce n’est donc pas ce côté-là qu’ils cherchent des solutions.
Par ailleurs la démocratie est liée au développement : Les pays les plus développés sont les démocraties et demander de renoncer au développement présente l’inconvénient de maintenir les peuples non seulement dans la pôvreté mais aussi, par la force des choses en cas de pénurie, dans l’autocratie quand ce n’est pas pire.
D’où la nécessité d’un régime plus qu’autoritaire à prévoir.
Quand on pense qu’à l’origine, les « écololos » étaient contre le nucléaire parce qu’il supposait un « État policier » durant des générations et des générations pour garder les centrales et sécuriser la gestion des déchets, avouez qu’il y a de quoi en rire…
Bref, mettre l’accent sur la décroissance ne donne pas de solution au problème des pays pôvres.
C’est une autre illustration que le problème est mal posé, ce que l’on disait encore hier.
Il y a deux raisons : La productivité qui augmente et le fait que la croissance est de moins en moins physique, donc moins énergétivore.
Certes, existe un immense gaspillage dans les domaines de l’alimentation, du vêtement et du chauffage mais le progrès technique diminue heureusement peu à peu, pas assez rapidement tout ce gâchis.
Les entreprises s’y mettent et finalement leurs profits sont une bonne mesure de la diminution du gâchis.
On parle des entreprises normales et non pas des entreprises rentières ou proches du pouvoir.
Les autres, celles qui ne peuvent pas suivre le mouvement, par exemple en ne pouvant plus payer leurs factures d’énergie, vont mourir : C’est déjà marqué comme ça dans les livres d’Histoire (du futur).
Ces bâtiments mal isolés étaient chauffés par d’énormes installations au charbon peu souples et la température des appartements étaient réglées en ouvrant les fenêtres !
Le passage au fioul puis au gaz ou à l’électricité, parallèlement au progrès de l’électronique et notamment des régulations, a permis de régler beaucoup plus finement les consommations, tandis que l’isolation a progressé.
On peut également passer sur les ampoules LED, les pompes à chaleur et plus généralement la meilleure connaissance du problème.
Bref, la productivité a augmenté comme dans la plupart des métiers depuis plus de deux siècles.
Sinon nous aurions encore le niveau de vie de la majorité de la population avant la révolution industrielle sous Louis XV, c’est-à-dire pas très supérieur à celui des paysans du Sud qui se plaignent aujourd’hui.
Cela nous donne une piste pour sortir du dilemme posé par les « écololos-déclinistes » : Bloquer le développement du Sud ou tuer la planète.
Les pays « pôv’s » ne suivront probablement pas le même chemin de développement que celui défriché pendant plus de deux siècles par les pays du Nord.
Ils bénéficieront dès le départ d’une meilleure productivité et des connaissances en économie d’énergie.
En témoigne le bouillonnement des « jeunes pousses » (start-up) africaines, notamment dans l’usage du téléphone portable et qui sont axées sur l’économie d’énergie au sens large, par exemple en évitant les déplacements pour raisons économiques ou médicales, en gérant au mieux les récoltes qui pourrissent trop souvent sur place etc.
D’ailleurs la Chine, un des principaux émetteurs de CO2, est à la fois du Nord, par son niveau technique, et du Sud, par sa pauvreté encore importante, et elle a multiplié les raccourcis de développement impressionnants.
La deuxième raison qui fait que la croissance demande de moins en moins d’énergie est que les besoins par personne en objets physiques plafonnent les uns après les autres.
Nous n’avons pas deux estomacs, nous n’allons pas nous chauffer à 30°, les fichiers numériques remplacent le papier dont la production commence par la destruction des forêts et est particulièrement polluante et énergivore.
Ensuite nous utilisons de plus en plus de biens immatériels (ou très peu matériels par rapport à leur coût) comme les services bancaires, l’enseignement, la médecine de base…
Comme la demande d’une grande partie des biens matériels ci-dessus plafonne, ce sont ces biens immatériels plus ou moins bien regroupés par des économistes dans la rubrique « services », qui se traduisent dans les statistiques par ce qu’on appelle la croissance.
Un exemple pour illustrer le propos : Passer du chèque au virement.
C’est un petit changement d’habitude apparemment anodin mais si les banques nous le demandent c’est qu’il déclenche un gain sensible productivité : Côté consommateur, ça nous dispense de remplir un chèque et de le déposer ou de le poster. Côté banque, c’est beaucoup plus important : Recevoir les chèques, les traiter, les entrer manuellement en comptabilité, les classer et les garder un certain temps, c’est de la main-d’œuvre qualifiée, coûteuse) à former et à contrôler (pour récupérer et corriger les erreurs), et c’est du temps.
Or, le temps, c’est de l’argent (et réciproquement).
Sans parler de l’impression des carnets de chèques et des bordereaux de remise.
Ceci, un virement, même un dimanche, même un jour de Noël, c’est une dizaine de cliques et dix minutes de boulot fournies par le client.
Plus par le guichetier devant le client…
Un autre exemple est le remplacement des feuilles de maladie par la carte vitale qui a induit massivement des avantages analogues, notamment l’économie de papier et de temps, et a permis la diminution du personnel des caisses de maladie, donc du coût de la sécurité sociale et finalement de la santé elle-même.
Rappelons que tout ce qui est production de papier est une catastrophe écologique.
Et c’est une « rupture de charge » quand ça passe de main en main pour traitement.
Là encore ils se trompent.
Avoir moins d’enfants, c’est vingt ans plus tard un effondrement de la production faute de producteurs, pas seulement la production des biens matériels mais aussi des services.
Moins de soignants, moins d’agriculteurs, de boulangers etc.
Tout le monde en pâtira et d’abord les plus faibles.
Un résumé brutal pourrait être : « Encore moins d’enfants aujourd’hui, c’est tuer les vieux 30 ans plus tard. »
Surtout les partisans de la baisse de la population ont plusieurs décennies de retard.
Si la fécondité continue à être aussi basse dans l’hémisphère-Nord, la grande migration de l’Afrique vers le Nord ne sera plus une crainte mais une nécessité : On aura tellement besoin de bras qu’on ira les chercher là où ils poussent.
« Mère-Quelle » et les « Teutons » l’ont parfaitement compris en disant vouloir accueillir jusqu’à un million de réfugiés.
Car cela a déjà commencé : Les pays les plus identitaires, ceux d’Europe orientale voient leurs jeunes disparaître soit parce qu’ils ne sont pas nés, soit par ce qu’ils émigrent vers la « Teutonnie » qui manque cruellement de bras et de bébés depuis des décennies.
Et les « Teutons » payent leurs immigrés bien plus chers que le pays de départ.
En cela, la guerre de « Poux-tine » en Ukraine est une aubaine, puisqu’on compte des centaines de milliers de jeunes russes déjà formés qui auront quitté leur patrie pour ne pas aller se faire massacrer par leurs « frères » orthodoxes d’Ukraine.
Ils n’en ont rien à battre des « russophones » du Donbass !
La faiblesse de la fécondité oblige même à retarder le départ en retraite, soit juridiquement, soit de fait puisqu’on encourage par exemple les médecins retraités à retravailler.
Au Sud c’est une levée de boucliers contre l’idée de maintenir les populations dans le sous-développement et de les priver des recherches et de l’exploitation pétrolière et gazière alors que les progrès de productivité du Nord permettent un développement mois énergivore.
Partout la chute de la fécondité et le vieillissement commencent à être visibles pour le grand public.
Ce n’est donc pas la croissance qui attaque la planète : Croître avec le nucléaire est préférable à décroître avec le gaz et le charbon.
Or c’est ce qui arrivera en Europe suite aux pressions politiques des partis « écolologistes-déclinistes » si on les laisse intoxiquer les cerveaux avec leur beaux discours anxiogènes.
Si l’objectif c’est le climat et l’environnement, il ne doit pas non plus entraîner la paupérisation des peuples, qui ne l’accepteront pas, ni encore moins le sous-développement perpétuel d’une large part de l’humanité.
Le contraire, ou l’inverse, entraînera de toute façon un manteau de plomb sur le monde entier : Le véritable objectif des « déclinistes-écolologistes » qui, pour être aussi issus des mouvances gôchistes, veulent détruire le monde kapitalistique.
Leur ennemi intime qui relève de la psychanalyse.
Passons.
Alors que les modèles alternatifs proposés n’en sauvent pas vraiment bien qu’ils en prétendent que c’est l’objectif final.
Moâ, les prophètes qui veulent imposer leur paradis à tous malgré nous, je m’en méfie comme du diable.
En cette fin d’année de conflit « haute intensité », on voit où cela mène après les années de plomb islamistes et les pandémies du pangolin pékiniste.
J’avoue que j’aimerai un peu plus de sagesse et de retenue de la part des « sachants » du GIEC qui alimentent des angoisses qui n’ont pas lieu d’être et de beaucoup d’autres qui surfent sans retenue sur ces délires.
Mais peut-être verra-t-on ça également dans mon prochain roman : « Menaces de chaos® ».
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