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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 27 décembre 2022

Les « déclinistes » se font « écolologistes » (1/2)

Et réciproquement…
 
C’est dans la nature des choses me direz-vous, qui se ressemble s’assemble en dit la sagesse populaire pluriséculaire, et c’est bien normal que l’un nourrisse l’autre de ses propres déjections ainsi recyclées : Ainsi rien ne se perd, tout se recycle, le nirvâna « écololo ». Que demandez de mieux ?
Sauf que c’est naturellement une fausse solution que « Delph-Bateau » met en lumière sans le vouloir.
 
Car désormais une partie des écologistes ne voit que la décroissance comme solution aux problèmes de l’environnement. Et ainsi elle illustre sa grande méconnaissance des fondamentaux de la croissance.
C’est un appel lancé dans Le Monde avec véhémence par « Delph », désormais coordinatrice nationale de Génération écolologie et ancienne ministre de l’Écolologie.
Elle tient en cette fin d’année le lumineux raisonnement suivant : Pour produire ce que nous consommons, il faut des matériaux et de l’énergie et il en faut encore pour les transporter et les amener jusqu’à nous.
La solution qui s’impose est donc de moins consommer, donc de produire moins.
D’autant que, ce qu’elle ne dit pas, les énergies renouvelables ne suffiront pas pour maintenir le niveau de vie actuel parce qu’elles sont intermittentes, non pilotables et ne livrent qu’une petite partie de la puissance installée.
Mais ce n’est qu’un détail d’intendance : Pour pallier à ses insuffisances, il suffit de multiplier les installations (les subventions et donc les impôts et taxes que vous supportez… logique !)
 
Le solaire ne fonctionne pas la nuit et l’éolien ne fonctionne que s’il y a du vent. On vient d’ailleurs de constater 15 jours sans vent en « Teutonnie » et la nuit tombe plus tôt en hiver (n’en déplaise à l’heure du même nom), justement, coquin de sort, avant la pointe de la consommation électrique !
Que tu auras beau multiplier les impôts et les diktats réglementaires, quand ça veut pas, ça veut pas.
Cette intermittence nécessiterair pour bien faire, une énorme masse de batteries pour stocker l’énergie pour faire face aux périodes improductives. Or on ne sait pas aujourd’hui produire ces batteries à des coûts raisonnables et elles requièrent elles-mêmes des matériaux rares et plein d’énergie pour être fabriquées… C’est aussi le cas pour les panneaux solaires et les éoliennes.
Le serpent se mord la queue, comme les déclinistes nourrissent et se nourrissent de les « écolologistes ».
D’autant que cette intermittence exigera également une refonte profonde des réseaux électriques qui sont aujourd’hui « en étoile » autour de centrales électriques puissantes, qu’elles soient nucléaires, au charbon, au gaz ou au pétrole…
Là, il faudra inverser autour des lieux de consommation…
 
Non obstant, pour les écolologistes, il faut donc une énergie 100 % renouvelable qui ne fonctionnera qu’à une faible partie de sa capacité, donc des installations gigantesques, elles-mêmes néfastes à l’environnement pour leur construction… puis leur fin de vie. C’est-à-dire des investissements colossaux perpétuellement à renouveler.
Remarquons ainsi que dans l’esprit des écolologistes, cet objectif d’énergie 100 % renouvelable exclut le nucléaire, qui pourtant n’émet pas de CO2 durant son fonctionnement.
Mais bon, « Poux-tine » pourrait venir les bombarder alors que de le voire s’acharner contre les moulins à vent, ça pourrait être indécemment plus comique.
 
Par ailleurs, comme la transition écolologique signera la perte des investissements gigantesques fait dans les énergies fossiles, il vaut mieux baisser immédiatement er au maximum les besoins en énergie et donc, d’après les écolologistes, diminuer toutes les activités humaines.
On savait que l’homme était un loup pour l’homme, on sait désormais que c’est un poison inutile et dangereux pour dam Nature.
Et pourtant, le lien implicite entre activités humaines et énergie n’a rien de scientifique (au moins autant que le « socialisme » du même nom) et est donc contestable.
 
Car diminuer les activités humaines peut se faire en fermant des entités, surtout des entreprises dans la plupart des pays et d’abord celles consommant beaucoup d’énergie. Ces fermetures d’entreprises auraient pour conséquence une chute à la fois de l’emploi et des biens à disposition, ce qui tombe bien : Faire crever les gens de faim, de froid et de pôvreté, voire les plonger dans l’indigence létale, c’est bon pour la planète…
On vient de le dire : L’homme est un poison pour dame Nature
Certains imaginent même et abstraitement que l’on pourrait freiner cette chute de l’emploi par une régression de la technologie.
Les technologies engendre en effet soit une chute des salaires (il faut dix ou mille fois plus de personnes pour faire la même chose), soit une hausse vertigineuse des prix.
Et dans les deux cas, cela entraîne une chute du niveau de vie.
À quoi les partisans de la décroissance répondent : Arrêtons de faire des chantiers et de construire !
Si aujourd’hui on fermait tous les ordinateurs et tous les centres de données (data centers) faisant fonctionner Internet, qui sont effectivement énergivores, sans parler de la pollution lors de leur fabrication et de leur fin de vie et on en revenait au crayon, au papier et au boulier, qu’est-ce que ça serait génial : Tout le monde aurait une occupation lucrative, n’est-ce pas !
Après tout on vivait très bien avec le courrier et la poste (à pied bien sûr et avec le tri du courrier à la main), sans le téléphone mais avec les télégrammes.
Euh… question : Combien coûtera alors le timbre ou quel montant d’impôt faudra-t-il pour sauver la poste ?
Et puis si l’on bloque tout pourquoi continuer à faire de la recherche ?
« Je n’ai jamais dit qu’il fallait bloquer la recherche médicale » diront les partisans de la décroissance.
Même la médecine nucléaire ?
Car la recherche, notamment médicale, et surtout la mise en place des découvertes, demande toutes sortes de matériels qui deviendront hors de prix ou inutilisables si l’énergie est rationnée.
Plus personne ne se souvient, mais le pays était fier de toucher son premier scanneur médical (de General Electric) venu en « grands pompes » des USA.
Je crois me souvenir qu’il a été amené en pièces détachées par avion : Le « progrès écolologique » nous le livrerait par bateau-cargo à voile (aux délais imprécis…)
 
La découverte rapide et la distribution massive des vaccins anti-« Conard-virus »  en Occident a été réalisée grâce à des alliances entre chercheurs et entreprises industrielles équipés de liens internetiques à « grosses bandes passantes », probablement pas de coursiers transatlantiques équipés de canots à rame…
En résumé, les partisans de la décroissance nous disent que le statu quo est catastrophique et que la décroissance le sera aussi avec comme seule différence que la planète sera sauvée dans le deuxième cas !
Que du bonheur, n’est-ce pas…
Aucun ne vous dit qu’ils ont peut-être mal posé le très réel problème de l’environnement : Ce n’est pas la croissance qu’il faut accuser mais ce qui pose réellement problème, comme par exemple la consommation de charbon.
 
Car certes, la croissance, c’est en gros l’augmentation du niveau de vie. Mais ce n’est pas forcément lié à une augmentation de la consommation d’énergie.
Et ça l’est d’autant moins que le pays est développé.
Pour quelques raisons simples : La production a d’abord été, historiquement (et mécaniquement) celle de la nourriture et des vêtements puis le chauffage.
Tout cela demande certes de l’énergie, mais une fois le gros des besoins satisfaits la consommation plafonne ensuite dans les pays développés car nous n’avons pas deux estomacs, nous sommes suffisamment couverts et suffisamment chauffés.
Là encore, c’est mécanique.
Hors le minage des bitcoins (de chez les « richards » qui ont les moyens de spéculer), mais on peut s’en passer depuis toujours…
 
Cela mène à deux autres questions :
Qu’en est-il des pays moins développés ?
Et pourquoi la croissance continue avec de moins en moins d’énergie dans les pays développés ?
 
Le cas des pays en développement, aura été répété à l’envi une fois de plus pendant la COP 27, et c’est le suivant : « Ce n’est pas nous qui avons émis la masse du CO2 dans l’atmosphère. Or, on veut bloquer notre développement pour limiter les émissions.
Nous refusons.
Et notamment nous allons continuer à rechercher du gaz et du pétrole et à l’exploiter pour pouvoir nous développer.
De plus, nous demandons des fonds importants pour réparer les dégâts à l’environnement qui ont été causés par les pays développés ».
Ça peut se comprendre…
Sauf que, nous l’avons vu, c’est justement pendant le développement que la croissance demande de l’énergie : Remplir les estomacs, s’habiller mieux, se chauffer ou pire encore en matière énergétique, climatiser, c’est ce qui demande le plus d’efforts.
Par conséquent, les pays pauvres revendiquent le droit de multiplier les transports d’hommes et de marchandises, de construire des voitures et des camions, des climatiseurs le tout alimenté en carburant à profusion et sans limite…
Bref la catastrophe pour les promoteurs de la décroissance et autres déclinistes.
Or, justement et en conséquence, ces « déclinistes » qui veulent sauver la planète, veulent également empêcher les « pôv’s » de devenir « riches » à en saccager la planète !
Politique de nantis, nés avec une cuillère en argent dans la bouche et pétant dans des couches en soie…
Et ces derniers ont quelques arguments, mais qui sont inaudibles pour les intéressés : « Pourquoi viser le niveau de vie des pays riches et détruire la planète ? »
« Pourquoi continuer à rechercher et à exploiter du pétrole et du gaz si l’argent correspondant va nourrir une classe politique corrompue et inefficace, sans accélérer le développement ? ».
Il y a du vrai dans ces arguments… mais en pratique ce sont les gouvernants dont certains corrompus qui représentent les pays en développement et n’ont pas intérêt à renoncer aux flux financiers liés à l’exploitation du pétrole et du gaz dont une partie leur bénéficiera personnellement.
Car les négociations internationales se font entre gouvernants et se terminent par des compromis.
Les arguments des décroissants ne seront donc pas entendus et les mêmes ne luttent pas contre les corruptions…
 
Et comme c’est la trêve des confiseurs, que je reste « fatigué » et « bousculé », nous verrons la suite dès demain.
Pour l’heure, sachez seulement que, et pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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