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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 23 décembre 2022

Jean-Marc KO, terrassé par le « Conard-virus »

Mais il avait envoyé son pensum hebdomadaire.
 
Un jour, un professeur annonce fièrement à toute la classe que sa femme vient d’accoucher d’une jolie petite fille.
Les élèves le félicitent pour cet heureux événement.
Tous, sauf Jean-Paul qui lui demande :
« Est-ce qu’on connaît déjà le père ? »
 
Les dix commandements de Dumè :
1 – Vis pour te reposer.
2 – Aime ton lit, c’est ton temple.
3 – Si quelqu’un vient te voir pour se reposer, aide-le.
4 – Repose-toi le jour pour pouvoir dormir la nuit.
5 – Le travail est sacré, ne le touche pas.
6 – Ne fais jamais demain ce que tu peux faire après-demain.
7 – Travaille le moins possible. Ce qui doit être fait, laisse les autres le faire.
8 – Du calme, personne n’est mort en se reposant, mais tu peux te blesser en travaillant…
9 – Quand tu ressens le désir de travailler, assieds-toi et attends que cela passe.
10 – N’oublie pas, le travail c’est la santé. Donc, laisse-en aux malades.
 
Un jour, devant une bière en terrasse de café, Jean-Paul demande à Jean-Marc :
« Est-ce le sex-appeal, qui t’attire chez la femme ? »
Et l’autre lui répond :
« Non, c’est le sexe-à-poil… »
 
Leurs répliques quand ils se disputent :
« ― Les mots ont dépassé ma pensée.
― Ils n’ont pas dû aller bien loin. »
 
« ― Il faut juger les gens sur leurs fréquentations.
― Judas en avait pourtant d’excellentes. »
 
« ― Les femmes m’ont toujours réussi.
― Excepté votre mère… »
 
« ― Moi j'ai du goût.
― Oui, mais il est mauvais ! »
 
« ― Seuls les sots ne changent jamais d’avis.
― Je ne chercherai donc plus à te convaincre. »
 
« ― Je suis un convaincu !
― Ne t’en fais pas, tu prendras ta revanche. »
 
« ― Épouserais-tu une sotte pour son argent ?
― Est-ce une demande en mariage ? »
 
« ― Pourquoi as-tu un cendrier alors que tu ne fumes pas ?
― Tu as bien une bibliothèque… »
 
« ― Je suis quelqu’un de très modeste.
― Et tu as toutes les raisons de l’être… »
 
Dans un compartiment de train, deux passagers se rendent compte qu’ils ont le même œil au beurre noir.
Amusés, ils engagent la conversation et se racontent mutuellement l’origine de leurs ennuis.
Le premier explique :
« Je vends des billets à la gare de Montparnasse. Une femme est arrivée très en retard pour prendre son train. Elle avait une poitrine si généreuse que j’en ai perdu mon latin. Au lieu de lui dire :
‘‘Je crois, Madame, que votre train est en train de sonner’’, ma langue a fourché et j’ai dit :
‘‘Je vois, Madame, que votre sein est en train de trôner’’.
Elle m’a alors donné un violent coup de poing ! »
L’autre le regarde et dit :
« C’est curieux, il m’est arrivé exactement la même chose. Je dînais hier avec ma femme et au lieu de dire comme tous les soirs depuis 20 ans :
‘‘Tu peux me passer encore un peu de soupe, chérie,’’ ma langue a fourché et j’ai dit :
‘‘Pourquoi je gâche ma vie avec toi, grosse conne !’’ »
 
À Paris-sur-plage, on vient d’ouvrir une nouvelle discothèque dans un local en long.
On l’appelle « Le Vagin ».
Le samedi soir, il y a tellement de monde qu’on fait la queue pendant des heures pour y entrer…
 
Jean-Marc rentre chez lui.
Il est tard.
Il est saoul.
Il sait qu’il va passer un mauvais quart d’heure si sa femme le voit dans cet état… sauf si lui donne un p’tit plaisir et qu’elle atteint l’orgasme.
Alors, il entre dans la chambre, se déshabille en silence et glisse rapidement sous les draps.
Doucement, il lui administre un cunnilingus qui la conduit au septième ciel si on se fie à ses gémissements et frémissements.
Puis, il se lève et file aux toilettes.
En ouvrant la porte, il découvre sa femme qui fait pipi..
« Chut ! Fais pas de bruit, maman est couchée dans notre lit. »
 
La plus belle des professions du monde c’est celle de médecin
« Tu peux recevoir une femme dans ton bureau, la faire déshabiller entièrement, l’examiner sur tous les sens, et envoyer la facture à la sécurité sociale ! »
 
C’est l’histoire d’un miroir qui fait disparaître les gens qui mentent.
Une brune passe devant le miroir, se regarde et dit :
« Je pense que je suis la plus belle femme du monde. »
Pfft Elle disparaît !
Une rousse passe, se regarde, dit :
« Je pense que je suis la plus belle femme de ce pays. »
Pfft Elle disparaît !
Une blonde passe, se regarde, dit :
« Je pense… » Pfft
 
La grange de Dumè vient de brûler.
Son assureur lui rend visite et lui dit :
« ― J’ai une bonne nouvelle pour toi, Dumè. Nous n’allons pas vous verser d’argent, mais notre compagnie va vous remplacer la grange sinistrée !
― Ah bon ! » répond le Dumè, déçu. « Alors puisque c’est comme ça, j’annule immédiatement l’assurance-vie que j’ai contracté sur ma femme. »
 
Un psychiatre trouve que son service est trop rempli.
Il décide de faire passer des tests à trois patients pour voir s’ils sont aptes à sortir de l’asile.
Il interroge le premier qui répond bien à toutes ses questions mais à la fin, il lui demande de regarder la bicyclette par la fenêtre et lui dit :
« ― Est-ce qu’elle peut avoir des bébés ?
― Ben oui une bicyclette ça peut avoir des bébés.
― Hum. Tu ne peux pas sortir. »
Le même scénario se déroule avec le deuxième.
Il fait venir le troisième qui passe aussi brillamment les tests.
Arrive la question fatidique…
« ― La bicyclette peut-elle avoir des bébés ?
― Ben non, elle ne peut pas avoir de bébé.
― Bravo vous pouvez sortir d’ici ! »
Alors que le fou qui n’est plus fou va faire ses bagages et les deux autres fous lui demandent ce qu’il a répondu…
« ― Ben, j’ai dit que la bicyclette ne pouvait pas avoir de bébé.
― Ben oui, elle peut avoir des bébés affirment les deux autres…
― Ben non, c’est un bicycle de gars ! »
 
Jean-Marc rentre chez lui après le travail, sa femme est sortie pour la soirée.
Il prépare son souper.
Après, il rince sa vaisselle et voit un mot collé sur le lave-vaisselle : « PROPRE MAIS PAS VIDÉ »
Alors il vide le lave-vaisselle.
À la fin de la soirée, il prend sa douche, passe dans la cuisine, prend le petit mot qui était collé sur le lave-vaisselle, se le colle sur le front et se couche…
 
C’est un neurone qui arrive par hasard dans un cerveau masculin.
Tout est noir, vide, il est tout seul.
« Hou hou ! » crie le neurone.
Ça résonne dans le vide, pas de réponse…
« Hou hou ! » répète le neurone inquiet.
Toujours rien.
Tout à coup, arrive un autre neurone qui lui dit :
« Mais qu’est-ce-que tu fais ici, tout seul, on est tous en bas ! »
 
Le directeur du personnel se frotte la joue tandis que la postulante à l’emploi de secrétaire sort de son bureau en claquant la porte :
« C’est pas de ma faute si je bégaie », gémit le malheureux.
« C’est vrai, mon pauvre ami », lui dit son directeur, « mais sa réaction s’explique. Quand vous lui avez dit : ‘‘montrez-moi votre cu… cu… cu…’’, elle n’a pas attendu que vous ajoutiez ‘‘…riculum vitae’’ ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul commandent un whisky chacun, pour la route.
On les leur apporte avec des glaçons.
L’un d’entre eux se sert et dit tout à coup :
« ― Tiens un glaçon avec un trou ! Comme c’est drôle !
― Pas si drôle que ça ! Moi je peux te le dire, j’en ai épousé un. »
 
C’est l’histoire d’un agent de police qui tous les matins, arrive très tôt au commissariat pour allumer le feu et balayer avant l’ouverture.
Et tous les matins, sur le trottoir, juste devant la porte, il trouve une grosse merde de chien.
Il finit par guetter et se rend compte qu’il s’agit du chien qu’un gamin vient faire régulièrement chier à cet endroit.
Un jour, notre agent se poste « en embuscade » et dès que le chien commencer sa besogne, il surgit et crie au gamin qui détalle de suite avec sa bête :
« Je vais me le faire, ton chien !!! »
À distance le gosse s’arrête et se retourne et lance :
« Chic, depuis le temps que Maman veut des petits chiens policiers ! »
 
Un pilote, capitaine de l’avion est Juif.
Son second est Chinois.
C’est leur premier vol ensemble et il est évident, par leur silence, que ce n’est pas le grand amour entre les deux.
Après 30 minutes de vol, le capitaine dit :
« Je n’aime pas les Chinois. »
Le lieutenant répond :
« Ooooh, tu n’aimes pas les Chinois ? Mais pourquoi ? »
Le capitaine répond :
« ― Vous avez bombardé Pearl Harbor. C’est pourquoi je n’aime pas les Chinois.
―Non, non, non, ce n’est pas les Chinois mais les Japonais qui ont bombardé Pearl Harbor.
― Chinois, Japonais, Vietnamiens, ça n’a pas d’importance, ils sont tous pareil. »
Un autre silence de trente minutes s’écoule.
Le Chinois dit :
« Je n’aime pas les Juifs. »
Le capitaine répond :
« ―Mais pourquoi tu n’aimes pas les Juifs ?
―Les Juifs ont coulé le Titanic. »
Le capitaine le corrige en disant :
« ― Non, non, non, c’est un iceberg, qui a coulé le Titanic.
―Iceberg, Greenberg, Goldberg, ça n’a pas d’importance, ils sont tous pareil. »
Une très vieille « revenue », que ça fait bien longtemps tellement elle été lente, celle-là.
 
Un jeune homme plutôt timide s’enhardit un beau matin et s’en va demander la main de sa fille à un père plutôt grincheux.
« Ah ! ça jamais ! » répond le père. « Je ne veux pas voir ma fille gâcher sa vie auprès d’un imbécile ! »
Alors, le jeune homme rougissant, bafouille :
« Moi non plus, monsieur c’est justement pourquoi j’étais venu vous demander sa main. »
 
Mariée depuis trois ans, Marie-Madeleine n’a pas d’enfants.
Inquiète, elle se rend chez son gynécologue.
« Déshabillez-vous et couchez-vous sur ce divan » dit le docteur.
« C’est que… docteur, pour mon premier, je préférerais tout de même qu’il soit de mon mari ! »
 
Une petite dernière de circonstance :
Le Père Noël a réussi à s’infiltrer par une cheminée minuscule et il arrive dans une chambre où dort une femme à demi nue et d’une grande beauté.
« Zut ! Je me suis encore trompé de place. »
Alors il regarde longuement le beau corps endormi, il baisse les yeux sur lui-même et il murmure :
« Si je lui fais quelque chose, je ne peux plus remonter au ciel. Mais, si je ne lui fais rien, je ne peux plus remonter dans la cheminée. »
 
Bon week-end de Noël à toutes et tous !
Et rappelez-vous, non seulement c’est l’hiver, mais les jours rallongent désormais…
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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