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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 16 décembre 2022

Lundi, ils tentent de m’estourbir une nouvelle fois !

Ce qui rend gai comme un pinson notre Jean-Marc…
 
« Comment peut-on marier une femme riche, belle, intelligente et jeune ?
En se mariant quatre fois. »
Le pov’ qui n’a pas compris à la première fois.
Notez que c’est une « revenue », mais il s’agissait d’un homme, jeune, beau, riche et plein d’humour.
 
Une autre « revenue », à peine enrichie :
Le Capitaine Courage était une légende des océans.
Il n’avait, parait-il, jamais connu la peur.
Un jour, au large des côtes d’Espagne, il avait croisé un navire de pirates et se préparant à la bataille, il avait réclamé à voix haute à l’un de ses marins :
« Qu’on m’apporte ma chemise rouge ! ».
Devant tout l’équipage, il enfila sa chemise et quelques heures plus tard, remporta la victoire.
Une autre fois, on entendit le veilleur, perché sur son mat, crier :
« Alerte, alerte ! Deux navires pirates à bâbord. Nous les croiserons dans 25 minutes ! ».
Le Capitaine réagit immédiatement :
« Qu’on m’apporte ma chemise rouge ! ».
Et après une lutte sanglante et un abordage brutal, il célébra une nouvelle victoire à la tête de ses hommes.
Cette chemise rouge était devenue un mystère.
Un jour, le second du navire se hasarda à demander au Capitaine Courage :
« Mais pourquoi cette chemise rouge, Capitaine ? »
Le fier officier répondit haut et fort :
« Si je suis blessé pendant l’assaut, mes hommes ne s’en apercevront pas et donc conserveront leur ardeur au combat. »
Et tout l’équipage applaudit.
Quelques jours plus tard, une flotte de navires pirates est signalée par le veilleur :
« Alerte, alerte ! Douze bâtiments ennemis à tribord. Nous les croiserons dans 20 minutes ! »
Le Capitaine cria aussitôt à l’attention de son second :
« Qu’on m’apporte mon pantalon brun ! »
 
Dans une réunion d’Alcooliques Anonymes, Jean-Marc témoigne :
« ― Je me souviens de la première fois où j’ai utilisé l’alcool comme produit de substitution aux femmes.
― Oui, et alors, que s’est-il passé ?
― Eh bien, je me suis retrouvé avec ma bite coincée dans le goulot de la bouteille. »
 
Un gars est devant le tribunal de police pour une contravention non payée.
Le magistrat lui dit :
« Je vous condamne à 100 € d’amende ! »
Et le gars de répondre, affolé :
« Vous n’y pensez pas Monsieur le Juge ! Quand je mange pour 50 centimes d’arachides, je suis malade comme un chien. »
 
Deux femmes ramassent des carottes dans un jardin.
Germaine prend une grosse carotte dans ses mains et la montre à sa copine, Marie-Geneviève.
« ― Elle me fait penser à celle de mon mari !
― Aussi grosse que ça ?
― Non, aussi sale ! »
 
Il était une fois Jean-Gérard qui prenait grand soin de son corps.
Il levait des poids et haltères et courait 10 km tous les jours, mangeait « santé » et bio, avalait des vitamines, se couchait tôt, ne buvait, ni ne fumait.
Un bon matin, alors qu’il s’admirait dans son miroir, comme tous les autres matins, il eut un choc en réalisant qu’il était entièrement bronzé excepté pour son pénis et autres accessoires personnels.
Il décide de corriger cette anomalie sur le champ.
Il se rend à la plage, trouve un petit coin pas trop fréquenté et se recouvre entièrement de sable sauf, bien sûr, son instrument qu’il laisse à découvert pour le faire bronzer.
Deux vieilles dames se promenant sur la plage remarquent la chose et l’une d’elles, au bord de la crise de nerfs, s’écrie :
« ― Il n’y a vraiment pas de justice en ce bas monde !
― Que veux-tu dire ? » demande l’autre.
« Regarde cela… Quand j’avais dix ans, j’en avais peur. À vingt ans j’en étais curieuse, à trente ans, j’en profitais, à quarante ans, j’en redemandais, à cinquante ans, je payais pour en avoir, à soixante ans, le priais pour en avoir, à soixante-dix ans, j’avais oublié que ça existait et maintenant que j’ai 80 ans, elles poussent à l’état sauvage ! »
 
Jean-Marc à l’église :
« Notre Père qui est aux cieux,
Que le travail soit léger,
Que les patrons partent en vacances,
Que notre volonté soit faite au bureau comme à la maison.
Donne-nous aujourd’hui un jour de congé, une semaine de Récupération et un mois de réflexion.
Pardonne-nous nos absences comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous font travailler.
Ne nous soumets pas aux observations, aux baisses de salaire, aux embargos et aux overtimes,
Mais délivre-nous de cet enfer,
Car c’est à toi qu’appartient le pouvoir d’augmenter
Notre salaire et nos jours de congé tout en diminuant notre travail.
Amen. »
 
« ― Docteur, j’ai un problème.
Tous les soirs, quand je suis au lit, j’ai l’impression qu’il y a quelqu’un caché dessous.
Alors, je me relève pour regarder sous le lit, et, bien sûr, il n’y a personne.
Je me recouche, mais au bout d’un moment, je me dis que je n’ai peut-être pas bien regardé.
Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu.
Bref, j’ai beau me dire que c’est idiot, je ressens toujours le besoin de m’assurer que personne n’est caché sous le lit.
Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
― Hum… Je vois trouble obsessionnel compulsif…
Comptez quatre ans d’entretiens de psychothérapie, à raison de trois séances par semaine, et je vous guéris de votre obsession.
― Euh… Combien ça va me coûter, docteur ?
― 60 euros par séance. Donc, 720 euros par mois, ou 9.360 euros par an et donc 37.440 euros au final.
― Euh… je crois que je vais réfléchir… »
Six mois plus tard, le psychiatre rencontre le type dans la rue, par hasard :
« ― Alors ? Pourquoi n’êtes-vous jamais revenu me voir ?
― 37.440 euros ? Mon livreur de pizza m’a résolu mon problème, pour seulement 30 euros !
― Votre livreur de pizza ? Vraiment ? Et comment a-t-il fait ?
― Il m’a conseillé de scier les pieds de mon lit ! »
C’est également une « revenue ». Dans l’originelle, c’était un patiente qui avait le même problème : Elle a fini par marier le livreur de pizza…
 
Germaine et Marie-Chantal, devant un thè :
« ― Sais-tu pourquoi l’homme a-t-il l’air intelligent quand il fait l’amour à une femme ?
― Bé oui : Parce qu’il est branché dans un GÉNIE… »
 
Trois mères parlent de leurs fils. La première dit :
« Mon fils, a bien réussi. C’est le meilleur avocat de la ville. »
La seconde dit :
« Mon fils c’est mieux. C’est le meilleur psychiatre de la ville ».
La troisième dit alors :
« Mon fils n’a pas si bien réussi. Il n’a pas un bon travail et il est homosexuel (aïe aïe aïe).
Mais il a deux petits amis. L’un c’est le meilleur avocat de la ville et l’autre, c’est le meilleur psychiatre de la ville. »
Ça vaut celle où l’une prétend que son fils pourrait acheter tout l’immeuble où elle habite, quand la seconde lui affirme que le sien pourrait acheter tout le pâté de maisons et que la troisième précise que le sien pourrait acheter la ville entière.
Alors la quatrième demande : « Qui vous dit que mon fils voudrait vendre ? »
Ou encore celle-là :
La première dit que son fils est curé et que tous les paroissiens l’appelle « Mon père ».
La seconde surenchérit et affirme que son fils est évêque et tout le monde l’appelle « Mon seigneur ».
Alors la troisième intervient et dit que son fils est cardinal et que tout le monde l’appelle « Son éminence ».
La quatrième indique alors que son fils est stripteaseur dans un cabaret et quand il danse nu sur scène, tout le monde s’écrie « Ô mon dieu ! »
 
Un militaire, un électricien et un dentiste ont un ami commun qui va bientôt se marier. Tous les quatre sont de joyeux farceurs.
Aussi, chacun des 3 gars décide de jouer un bon tour à l’ami commun pour sa nuit de noces.
Le lendemain du mariage, le jeune marié retrouve ses amis pour prendre une bière.
Il dit à l’électricien :
« Pas mal ton idée du petit choc électrique lorsqu’on s’est installé sur le lit ».
Puis il se tourne vers le militaire : « Le lit en portefeuille, c’était plutôt sympa aussi et on a bien rigolé. »
Et enfin, le gars se tourne vers le dentiste et dit : « Par contre, TOI, tu as été trop loin. Quelle idée de mettre de l’anesthésique local dans la vaseline ? »
 
Un vieil homme, mal habillé, se présente au guichet de la banque :
« ― Je voudrais ouvrir un putain de compte de banque.
Qu’avez-vous dit, Monsieur ? » demande la caissière.
« ― Pouffiasse, tu es sourde ou quoi ? J’ai dit que je veux ouvrir un putain de compte dans ta banque !
― Monsieur, je crains que cela ne soit pas possible. Dans notre banque nous ne pouvons tolérer votre genre de langage. »
Sur ce, la caissière appelle le directeur pour l’aider à régler ce cas plutôt étrange.
« Quel est le problème ? » demande le directeur à l’homme.
« ― Je viens juste de gagner 10 millions à la putain de loterie et je voudrais bien ouvrir un putain de compte dans ta banque de merde…
― Et ma putain de guichetière de vache vous insulte ? On va régler ça… »
 
Un jour 3 hommes partent en excursion, lorsque soudainement ils arrivent à une énorme rivière déchaînée.
Il fallait absolument qu'ils se rendent de l'autre côté, mais n'avaient aucune idée de comment la traverser.
Un des hommes pria Dieu en disant :
« S’Il te plait mon Dieu, donne-moi la force de traverser la rivière ».
Et pouf, Dieu lui donna deux gros bras et des jambes très puissantes, et il fut capable de traverser la rivière à la nage en 2 heures, mais faillit se noyer à 2 reprises.
Voyant cela le deuxième homme pria lui aussi Dieu :
« S’Il te plait mon Dieu donne-moi la force… et les outils pour traverser la rivière. »
Et pouf, Dieu lui donna une chaloupe et des avirons, et il put traverser la rivière en une heure, mais failli chavirer à 2 reprises.
Le troisième homme fort de l’expérience de ses 2 compagnons, décide, lui aussi de prier Dieu.
« S’Il te plait mon Dieu, donne-moi la force, les outils et l'intelligence pour traverser la rivière. »
Et pouf, Dieu le changea en femme.
Elle vérifia la carte, marcha environ 200 mètres et traversa le pont en 30 minutes…
On peut inverser…
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière vespérale, pas très « frais » :

« On ne dit pas ‘‘un concierge’’ mais ‘‘une bougie pas très brillante’’. »
 
« On ne dit pas ‘‘Dégâts des eaux’’ mais ‘‘Des marins’’. »
 
« On ne dit pas ‘‘Un homme hors pair’’ mais ‘‘Un eunuque’’. »
 
« On ne dit pas ‘‘Allegro’’ mais ‘‘Vas-y l’obèse !’’ »
 
« On ne dit pas ‘‘Un Bonaparte’’ mais ‘‘Un immeuble cool’’. »
 
Et puis ils s’échangent quelques blagues mathématiques :
 
« Cosinus et sinus sont dans une barque.
Cosinus tombe à l’eau.
Le lendemain matin, on retrouve cosinus dans la barque. Pourquoi ? »
Parce que sinus a dérivé pendant la nuit.
 
« 1 et i sont en boite.
i s’amuse comme un fou, alors que 1 s’ennuie. Que dit alors i à 1 ? »
Viens dans C !
 
« Exponentielle et logarithme sont dans un café.
Qui paye l’addition ? »
Exponentielle, car logarithme nepérien…
 
« Pourquoi exponentielle brille-t-elle en société ? »
Parce qu’elle s’intègre facilement.
 
Un homme d’âge mur s’offre un lifting pour son cadeau d’anniversaire.
Il paye 3.500 € et est assez satisfait du résultat.
Sur le chemin du retour il arrête pour acheter le journal.
Avant de payer, il demande au vendeur :
« ― J’espère que vous n’allez pas vous froisser en vous posant une telle question, mais quel âge me donnez-vous ?
― Approximativement 35 ans.
― J’en ai 47 ! » répond l’homme assez fier de son effet.
Juste avant de rentrer par le bus, il décide de prendre un en-cas chez McDonald’s.
Il pose alors là aussi au serveur la question sur son âge.
Le serveur lui répond :
« ― À peu près 29.
― Eh bien non, j’en ai 47 ! » répond l’homme de plus en plus fier de sa nouvelle apparence.
Arrivé à l’arrêt d’autobus, il pose encore la même question à une vielle femme. Elle lui répond :
« J’ai 85 ans et ma vue n’est plus ce qu’elle était, mais depuis longtemps, je peux dire l’âge exact d’un homme en jouant quelques minutes avec son pénis. »
Comme il n’y a personne dans la rue, l’homme accepte et la vielle glisse sa main dans son pantalon. Après quelques minutes, elle affirme :
« Vous avez 47 ans ! »
L’homme surpris répond :
« Formidable, mais comment faites-vous pour le savoir ? »
La vieille rétorque :
« Facile… J’étais derrière vous au McDonald’s. »
 
Pour rappel, « LE PRÉSENT BILLET A ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » ! »
 
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
 
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