Il en est tout fiévreux en ce jour « d’Histoires d’en
rire »…
Dans un petit village de montagne, Jean-Marc prend sa voiture pour
se rendre à la ville, à 20 km de là, dans la vallée.
À la sortie du village, il aperçoit une jeune femme qui fait de l’auto-stop.
Il s’arrête, la fait monter en voiture, et dit en redémarrant :
« ― C’est étonnant. Vous êtes la troisième femme enceinte que j’emmène à la ville cette semaine.
― Mais, monsieur, je ne suis pas enceinte !
― Attendez, on n’est pas encore arrivé à la ville… »
« Les préservatifs existent en trois tailles.
Petit, moyen et vantard ! »
La malheureuse épouse d’un gangster qui vient d’être guillotiné promène
son petit garçon dans un parc.
Sa voisine s’émerveille :
« ― Mon Dieu ! Comme ce garçon a grandi !
― Oui ! C’est sûr qu’il aura au moins une tête de plus que
son père ! »
Un prof d’anglais écrivait au tableau cette phrase :
“Woman without her man is nothing” et demanda à ses élèves d’y inscrire la ponctuation.
Les garçons écrivirent :
“Woman, without her man, is nothing.”
Les filles écrivirent :
“Woman! Without her, man is nothing.”
Le président du tribunal, rend son jugement :
« ― Vous êtes condamné à 1.000 € d’amende pour injures à un agent de la force publique. Avez-vous quelque chose à ajouter ?
― Oui, mais à ce tarif-là, je n’ose pas. »
Une jeune fille se présente pour une place d’employée de maison. La dame
dit :
« ― Vous verrez, mademoiselle, je ne suis pas très difficile.
― Je sais déjà, Madame. J’ai aperçu Monsieur en entrant ! »
En plein hiver, un couple d’amoureux roulait en voiture et ont une
crevaison.
Il fait moins 15° dehors et il y a de la neige partout.
Le gars descend et se met au boulot.
Mais pauvre lui, il n’a pas de gants, ce qui fait qu’à peine il a dévissé deux écrous de la roue, il est obligé de rentrer dans la voiture pour se réchauffer.
Le voyant rentrer avec ses mains bleuies par le froid, sa copine lui dit :
« Mets tes mains entre mes jambes, ça les réchauffera très vite ! »
C’est ce que fait le gars, et dix minutes plus tard, il est à nouveau dehors.
Mais après avoir retiré les deux derniers écrous, il rentre à nouveau pour se faire réchauffer les mains, toujours de la même façon.
Ça se représente une nouvelle fois, le temps de remonter la roue de secours, puis le gars remonte en voiture, la roue étant remplacée, et la voiture prête à repartir.
Au moment où il met la clé dans le contact, la copine lui dit :
« T’aurais pas froid aux oreilles par hasard ? »
Un jeune homme s’adresse à sa copine :
« ― On va vraiment pouvoir se la couler douce ce soir, j’ai pris trois places pour le théâtre !
― Ben, on n’a pas besoin de 3 places, deux suffisent, non ?
― Mais non, une place pour ton père, une pour ta mère et une pour ta petite sœur ! »
Une jeune fille de 16 ans dit à sa mère :
« ― Maman, j’ai fait l’amour avec mon copain dans son auto et je suis tombée enceinte.
― Mais, où avais-tu la tête ?
― Quelque part dans le tableau de bord… »
Après une scène de ménage, Jean-Marc offre à sa femme un manteau de
moufette dont elle rêvait depuis longtemps.
Folle de joie, elle s’écrie :
« Jamais je n’aurais cru qu’une bête aussi puante puisse donner un si beau manteau ! »
Jean-Marc lui répond :
« Je ne te réclame pas de remerciements, mais au moins, aies un peu de respect. »
Une « revenue » de derrière les fagots :
Un fermier revient de la ville avec un jeune coq qu’il introduit dans la basse-cour.
Le vieux coq va trouver le nouvel arrivant et lui dit :
« On ne va pas se battre, entre volatiles bien élevés. Voilà ce que je te propose : On fait une course, sur cent mètres. Je pars à toute allure. Tu démarres juste derrière moi. Et si tu termines le premier sur la ligne d’arrivée, je te cède la place sans discussion. Je quitte la basse-cour et tu n’entendras plus jamais parler de moi et toutes les poulettes seront à toi. »
Naïvement, le jeune coq répond :
« D’accord ! »
Le vieux coq prend le départ. L’autre se précipite derrière lui. Le fermier, qui avait suivi la scène, prend son fusil et d’un coup bien ajusté abat le nouveau en soupirant :
« C’est quand même extraordinaire, voilà le sixième coq homosexuel que je ramène ! »
C’est l’histoire d’une femme qui a tout connu sexuellement et qui aimerait
avoir une autre expérience. Mais le problème est que personne n’a réussi à lui
donner le grand frisson depuis déjà plusieurs années.
Alors la brave dame passe une annonce avec à l’appui une récompense pour celui qui la fera jouir.
Elle reçoit quelques jours plus tard la visite de Jean-Marc qui lui promet de l’envoyer au 7ème ciel.
Elle, n’y croyant pas, lui demande ce qu’il va lui faire.
Il lui de répondre qu’il va lui lécher le nombril.
« ― Quoi vous êtes fou, ça ne va absolument rien me faire si vous me léchez le nombril !
― Peut-être, mais sûrement pas de l’intérieur. »
Après une dure journée de travail, une très jolie femme sirote son
cocktail dans un bar quand soudain la porte s’ouvre.
Jean-Marc, un homme d’une beauté incroyable s’approche.
Elle le suit du regard.
Grand, musclé, yeux noirs et cheveux bruns épais.
La femme le suit du regard.
L’homme qui comprend vite qu’il intéresse la femme, lui sourit et s’approche d’elle.
Elle rougit. Il se penche et lui chuchote à l’oreille…
« Je ferai n’importe quoi… » dit-il d’une voix profonde et douce…
« ― Absolument tout. Tous vos désirs pour 50 euros. Il y a juste une condition.
― Laquelle ? », demande la femme d’une voix faible.
« Vous avez seulement 3 mots pour me dire ce que vous voulez que
je vous fasse. »
Tout en le fixant droit dans les yeux, elle sort un billet de 50 € de son sac.
Elle inscrit son adresse sur le napperon de papier et lui donne le tout.
Pendant qu’il empoche le billet et les coordonnées, elle lui chuchote à l’oreille.
« Nettoie ma maison ! »
Un jeune couple de restaurateurs Chinois vient de se marier.
C’est leur première nuit.
Rapidement, elle glisse sous les draps et lance sa chemise de nuit par terre.
Lui, nu comme à son premier jour, glisse sous les draps et se colle sur elle.
« ― Chérie, c’est notre première nuit ensemble, et je veux que ça reste un excellent souvenir toute ta vie ! Dis-moi si tu veux quelque chose spécial et je m’exécuterai…
― Ouiii, j’ai envie quelque chose spécial, mais j’ose pas le
dire.
― Non, vas-y, pas honte, nous sommes mariés maintenant !
― Ok, OK, pas problème, pas problème… Je voudrais… un 69 !
– Comment ?
– Un 69 mon chéri s’il te plaît.
– Comment ? Un 69 ? Maintenant ?
– Oui, ben quoi ?
– Tu pourrais quand même arrêter de penser au commerce… Tu veux vraiment un poulet gingembre sauce piquante ? »
Ce jeune garçon vient trouver sa mère et lui dit :
« Maman, je viens d’entendre ce que papa disait à la bonne. »
La mère, dressant l’oreille demande aussitôt :
« ― Et qu’est-ce qu’il lui disait ?
― Eh bien, il lui disait qu’il allait lui faire une grande
surprise pour ses étrennes parce qu’elle était une des plus jolies filles qu’il
ait jamais vues. »
La mère ne dit rien, et le garçon continue :
« ― D’après toi, maman, qu’est-ce que ça peut être, cette surprise ?
― Eh bien, c’est que la bonne va nous quitter dès demain, et
qu’elle ne le sait pas encore. »
Un libraire déclare :
« De nos jours, un livre est assuré de bien se vendre s’il y a une jolie fille sur la couverture.
Et il se vendra deux fois mieux encore s’il n’y a pas de
couverture sur la jolie fille. »
Jean-Marc dit à sa femme :
« Tous les matins, quand je me rase, j’ai l’impression de rajeunir de
vingt ans ! »
Alors, madame réplique, amère :
« Rase-toi le soir, chéri ! »
Un couple consulte un sexologue pour améliorer leur vie sexuelle. Après
examen et longue discussion, le sexologue dit aux époux :
« En rentrant chez vous, achetez des raisins et des beignes. Une fois à la maison, enlevez vos vêtements.
Vous, Madame, asseyez-vous par terre les jambes écartées.
Vous, Monsieur, amusez-vous à faire rouler les raisins par terre en visant le sexe de votre femme, puis, à quatre pattes, vous irez rechercher ce raisin en utilisant seulement votre langue.
Quant à vous Madame, vous prendrez les beignes, vous viserez le pénis en érection de votre mari. Puis à quatre pattes, vous irez consommer votre beigne sur place ! »
Le couple suit la méthode à la lettre et réussit ainsi à retrouver une vie
sexuelle attrayante.
Ils en discutent avec des amis, et ces derniers veulent eux aussi consulter le sexologue.
Ils vont voir le spécialiste, mais cette fois-ci, le sexologue leur dit :
« En rentrant à la maison, achetez des pommes et une boite de Cheerios ».
Jean-Marc trouve une bouteille sur une plage.
Il l’ouvre et un génie en sort.
« ― Tu peux me demander trois souhaits, mais tu dois te rappeler que ton pire ennemi aura le double.
― D’accord, mon premier souhait serait d’avoir 10 millions d’euros.
― Très bien, mais ton pire ennemi empochera le double.
― Ensuite, je veux posséder les 5 plus belles femmes du monde.
― Pas de problème ! Mais c’est ton ennemi qui va s’amuser.
― Et comme dernier souhait, je veux que vous m’enleviez une couille… »
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière matinale, se posent des colles :
« ― Quel cadeau fait-on à une jolie femme qui a du succès ?
― Aucune idée… Des bijoux ?
― De la pénicilline. »
« ― Sais-tu ce que dit une jolie aux yeux bleus quand elle voit un
jeune homme très séduisant dans la rue ?
― Je sais : ‘‘Oh non je vais encore tomber dans les
pommes pour 10 ans !’’ »
Il y a plusieurs années, en Égypte, on fit la découverte du tombeau du
pharaon Toutankhamon. On découvrit à l’intérieur une sorte de vase sur lequel
il y avait une inscription. Des spécialistes, des savants, des chercheurs, des
archéologues très reconnus, etc… tentèrent de la défricher, mais sans succès.
L’inscription disait : « CESTUNPOTA PISSERETUNGRAND… »
Après plusieurs mois, des ouvriers faisaient des réparations.
Soudain, un maçon s’exclama :
« J’ai trouvé la signification de l’inscription ! »
CEST-UN-POT-A PISSER-ET-UN-GRAND…
La suite la semaine prochaine, si nous ne sommes pas tous morts…
Pour rappel, « LE PRÉSENT BILLET A ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE
» ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES
FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » ! »
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
I3
À la sortie du village, il aperçoit une jeune femme qui fait de l’auto-stop.
Il s’arrête, la fait monter en voiture, et dit en redémarrant :
« ― C’est étonnant. Vous êtes la troisième femme enceinte que j’emmène à la ville cette semaine.
― Attendez, on n’est pas encore arrivé à la ville… »
Sa voisine s’émerveille :
« ― Mon Dieu ! Comme ce garçon a grandi !
“Woman without her man is nothing” et demanda à ses élèves d’y inscrire la ponctuation.
Les garçons écrivirent :
“Woman, without her man, is nothing.”
Les filles écrivirent :
“Woman! Without her, man is nothing.”
« ― Vous êtes condamné à 1.000 € d’amende pour injures à un agent de la force publique. Avez-vous quelque chose à ajouter ?
« ― Vous verrez, mademoiselle, je ne suis pas très difficile.
Il fait moins 15° dehors et il y a de la neige partout.
Le gars descend et se met au boulot.
Mais pauvre lui, il n’a pas de gants, ce qui fait qu’à peine il a dévissé deux écrous de la roue, il est obligé de rentrer dans la voiture pour se réchauffer.
Le voyant rentrer avec ses mains bleuies par le froid, sa copine lui dit :
« Mets tes mains entre mes jambes, ça les réchauffera très vite ! »
C’est ce que fait le gars, et dix minutes plus tard, il est à nouveau dehors.
Mais après avoir retiré les deux derniers écrous, il rentre à nouveau pour se faire réchauffer les mains, toujours de la même façon.
Ça se représente une nouvelle fois, le temps de remonter la roue de secours, puis le gars remonte en voiture, la roue étant remplacée, et la voiture prête à repartir.
Au moment où il met la clé dans le contact, la copine lui dit :
« T’aurais pas froid aux oreilles par hasard ? »
« ― On va vraiment pouvoir se la couler douce ce soir, j’ai pris trois places pour le théâtre !
― Mais non, une place pour ton père, une pour ta mère et une pour ta petite sœur ! »
« ― Maman, j’ai fait l’amour avec mon copain dans son auto et je suis tombée enceinte.
― Quelque part dans le tableau de bord… »
Folle de joie, elle s’écrie :
« Jamais je n’aurais cru qu’une bête aussi puante puisse donner un si beau manteau ! »
Jean-Marc lui répond :
« Je ne te réclame pas de remerciements, mais au moins, aies un peu de respect. »
Un fermier revient de la ville avec un jeune coq qu’il introduit dans la basse-cour.
Le vieux coq va trouver le nouvel arrivant et lui dit :
« On ne va pas se battre, entre volatiles bien élevés. Voilà ce que je te propose : On fait une course, sur cent mètres. Je pars à toute allure. Tu démarres juste derrière moi. Et si tu termines le premier sur la ligne d’arrivée, je te cède la place sans discussion. Je quitte la basse-cour et tu n’entendras plus jamais parler de moi et toutes les poulettes seront à toi. »
Naïvement, le jeune coq répond :
« D’accord ! »
Le vieux coq prend le départ. L’autre se précipite derrière lui. Le fermier, qui avait suivi la scène, prend son fusil et d’un coup bien ajusté abat le nouveau en soupirant :
« C’est quand même extraordinaire, voilà le sixième coq homosexuel que je ramène ! »
Alors la brave dame passe une annonce avec à l’appui une récompense pour celui qui la fera jouir.
Elle reçoit quelques jours plus tard la visite de Jean-Marc qui lui promet de l’envoyer au 7ème ciel.
Elle, n’y croyant pas, lui demande ce qu’il va lui faire.
Il lui de répondre qu’il va lui lécher le nombril.
« ― Quoi vous êtes fou, ça ne va absolument rien me faire si vous me léchez le nombril !
Jean-Marc, un homme d’une beauté incroyable s’approche.
Grand, musclé, yeux noirs et cheveux bruns épais.
La femme le suit du regard.
L’homme qui comprend vite qu’il intéresse la femme, lui sourit et s’approche d’elle.
Elle rougit. Il se penche et lui chuchote à l’oreille…
« Je ferai n’importe quoi… » dit-il d’une voix profonde et douce…
« ― Absolument tout. Tous vos désirs pour 50 euros. Il y a juste une condition.
Tout en le fixant droit dans les yeux, elle sort un billet de 50 € de son sac.
Elle inscrit son adresse sur le napperon de papier et lui donne le tout.
Pendant qu’il empoche le billet et les coordonnées, elle lui chuchote à l’oreille.
« Nettoie ma maison ! »
C’est leur première nuit.
Rapidement, elle glisse sous les draps et lance sa chemise de nuit par terre.
Lui, nu comme à son premier jour, glisse sous les draps et se colle sur elle.
« ― Chérie, c’est notre première nuit ensemble, et je veux que ça reste un excellent souvenir toute ta vie ! Dis-moi si tu veux quelque chose spécial et je m’exécuterai…
― Non, vas-y, pas honte, nous sommes mariés maintenant !
― Ok, OK, pas problème, pas problème… Je voudrais… un 69 !
– Comment ?
– Un 69 mon chéri s’il te plaît.
– Comment ? Un 69 ? Maintenant ?
– Oui, ben quoi ?
– Tu pourrais quand même arrêter de penser au commerce… Tu veux vraiment un poulet gingembre sauce piquante ? »
« Maman, je viens d’entendre ce que papa disait à la bonne. »
La mère, dressant l’oreille demande aussitôt :
« ― Et qu’est-ce qu’il lui disait ?
« ― D’après toi, maman, qu’est-ce que ça peut être, cette surprise ?
« De nos jours, un livre est assuré de bien se vendre s’il y a une jolie fille sur la couverture.
Alors, madame réplique, amère :
« Rase-toi le soir, chéri ! »
« En rentrant chez vous, achetez des raisins et des beignes. Une fois à la maison, enlevez vos vêtements.
Vous, Monsieur, amusez-vous à faire rouler les raisins par terre en visant le sexe de votre femme, puis, à quatre pattes, vous irez rechercher ce raisin en utilisant seulement votre langue.
Quant à vous Madame, vous prendrez les beignes, vous viserez le pénis en érection de votre mari. Puis à quatre pattes, vous irez consommer votre beigne sur place ! »
Ils en discutent avec des amis, et ces derniers veulent eux aussi consulter le sexologue.
Ils vont voir le spécialiste, mais cette fois-ci, le sexologue leur dit :
« En rentrant à la maison, achetez des pommes et une boite de Cheerios ».
« ― Tu peux me demander trois souhaits, mais tu dois te rappeler que ton pire ennemi aura le double.
― Très bien, mais ton pire ennemi empochera le double.
― Ensuite, je veux posséder les 5 plus belles femmes du monde.
― Pas de problème ! Mais c’est ton ennemi qui va s’amuser.
― Et comme dernier souhait, je veux que vous m’enleviez une couille… »
― De la pénicilline. »
L’inscription disait : « CESTUNPOTA PISSERETUNGRAND… »
Après plusieurs mois, des ouvriers faisaient des réparations.
Soudain, un maçon s’exclama :
« J’ai trouvé la signification de l’inscription ! »
CEST-UN-POT-A PISSER-ET-UN-GRAND…
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