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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 8 décembre 2022

On en raconte des konneries sur l’inflation dans les médias.

Et je m’étonne que ça puisse encore prendre…
 
Vous le saviez peut-être déjà : L’inflation s’est accélérée en juillet pour atteindre 6,1 % sur un an, selon « Lyne-sait-tout ».
J’avoue avoir été en Balagne à cette époque-là et entre le prix de la bidoche sur place, des péages (pour descendre jusque sur la côte et ses ports d’accès vers la « Corsica-Bella-Tchi-tchi »), le prix du gasoil, de la moindre pizza ou du pinard, voire du simple « café-sur-le-port », tout avait pu augmenter, comme tous les ans.
Il n’y a vraiment que le journal qui reste avoir un prix égal d’une année sur l’autre.
Voir les timbres et les amendes routières…
C’est simple, je crois que j’ai payé plus cher en péage pour revenir que pour aller… et je ne sais pas trop pour quelle raison, mais il y avait moins de monde.
 
Conclusion hautement autorisée : L’inflation est de retour !
Mais je commets l’erreur de vous faire croire que ce que l’on appelle communément « inflation » se résume simplement à l’augmentation des prix à la consommation.
L’inflation n’a pas à se définir comme une augmentation des prix à la consommation, mais comme une augmentation de la masse monétaire !
Nuance.
L’augmentation des prix à la consommation n’est jamais que l’un des symptômes de l’inflation, tout comme l’est l’augmentation du prix des actifs.
Or comme avec le « quoi qu’il en coûte », l’hélicoptère monétaire et les « aides en tout genre », depuis quelques années, la masse monétaire a pris la grosse tête et aura enflé des chevilles, inutile de vous dire que la maladie a été aggravée et les symptômes plus forts encore que ce qui avait pu être anticipé.
Quoique de mon point de vue, ça aurait pu être pire vues les quantités astronomiques « d’argent-fou » qui ont été « inventées » par les banquiers centraux, en si peu de temps.
 
Cette distinction est importante. Il en découle que l’inflation n’est pas « de retour » mais bien présente depuis plusieurs années. Elle l’est d’autant plus significativement depuis la mise en œuvre de politiques monétaires accommodantes qui alimentent les hausses de prix des actifs. Preuve en est la phénoménale augmentation du prix des marchés financiers et immobiliers au cours des douze dernières années avec des taux négatifs…
Une aberration.
 
Ceci dit, il est de bon aloi pour les « sachants » de rassurer les populations quant à la nature temporaire du phénomène inflationniste.
En effet, les autorités se trouvent aujourd’hui face à un dilemme cornélien. D’une part, laisser s’envoler les prix à la consommation, ce que le public appelle « inflation ». De l’autre, relever drastiquement les taux d’intérêt directeurs des banques centrales afin de réduire le volume du crédit alimentant l’augmentation des prix.
Avec des taux variables, ça peut être assez simple, mais c’est une maladie « Gauloisienne », chez nous on a tendance à emprunter à taux fixe et garanti… c’est plus « lisible ».
Et encore faudrait-il pour ce faire avoir une marge de manœuvre budgétaire.
Une hausse des taux de la BCE aurait non seulement des répercussions négatives sur la croissance économique anémique, mais renchérirait aussi le service de la dette, qui reste pour l’essentiel du « revolving » perpétuel, alors que celui-ci est déjà à peine supportable.
C’est donc de l’acrobatie.
 
En « Gauloisie-ruinée », le niveau des prix à la consommation est mesuré et publié mensuellement par « Lyne-sait ». Son indicateur IPC (Indice des Prix à la Consommation) reflète en principe l’évolution des prix du panier moyen des ménages.
Un jour maintenant lointain, je vous ai publié ici (ou sur l’ancien blog) le catalogue, son contenu ainsi que la pondération des produits qui servent à ce calcul.
Naturellement, c’est « du faux » dans la mesure où d’une année sur l’autre, les quelques 7.500 références n’ont pas le même poids dans le panier de la ménagère, pas plus qu’il tient compte de l’obsolescence de certains articles qui disparaissent du panel.
Mais bon, à défaut de mieux…
 
Par exemple, lorsque le prix d’un paquet de café moulu vendu 1 euro augmente de 2 centimes d’un mois à l’autre, « Lyne-sait » intègre cette hausse proportionnellement au poids relatif du café dans le panier moyen des ménages.
Et si vous ne buvez pas de café, tant pis pour vous.
C’est l’un des principaux reproches que l’on peut faire à l’IPC : Le panier moyen des ménages n’est pas forcément le vôtre.
C’est celui d’un ménage imaginaire qui est une moyenne nationale des volumes consommés, valorisé de temps à autres seulement.
Par ailleurs et de fait, « Lyne-sait » exclut un grand nombre de produits et services, comme les véhicules d’occasion, les primes d’assurance, les crédits immobiliers, les services de plomberie ou d’électricité, les travaux d’agrandissement ou de rénovation de logement, etc.
L’IPC est donc devenue une mesure très arbitraire des prix des biens à la consommation.
 
Mais c’est un « thermomètre » à un instant donné : Si l’IPC est stable, cela signifierait que les prix à la consommation le sont également.
Justement, le deuxième reproche que l’on peut faire à l’IPC tel que le calcule « Lyne-sait » est que cet indice ne prend pas vraiment en compte les évolutions des habitudes de consommation des ménages.
Par exemple, supposons que le panier moyen contienne une ligne « litre de jus d’orange ». Supposons par ailleurs que le cours de cet agrume s’envole et que, corollairement, le prix moyen du litre de jus d’orange en grande distribution passe de 1,25 euro à 7,50 euros, il est fort probable que les ménages n’achèteront plus (ou réduiront fortement leur consommation) de jus d’orange.
À moins d’être né kon.
Or, puisqu’il n’est plus consommé, « Lyne-sait » considère que ce produit n’est plus représentatif du panier moyen et ne le prendra plus en compte dans ses calculs de l’indice des prix à consommation.
Bonne nouvelle pour l’indice lui-même qui affiche ainsi une étonnante stabilité alors que le prix de certains produits a dans les faits fortement augmenté…
Or, comme on sait par ailleurs, dans la « grande distribution » que chaque consommateur connaît une dizaine de prix (pas plus) sur le bout des doigts et que tout mélangé ça représente à peine 400 références dans un magasin qui en propose 2 à 4.000, naturellement qu’un « bon gérant » massacrera sa marge sur ceux-là uniquement…
On peut ainsi citer le Danone par 4 (voire celui par 16 dans les hypers), le premier prix de rhum ou de vodka, le paquet de couches-bébé, la bouteille de lait, les œufs, etc… jusqu’au Campari.
Ce qui trompe les releveurs de prix, même professionnels comme le panel Nielsen…
Un prix en soi sans les volumes qui vont derrière, c’est un peu marcher sur une seule jambe…
 
Si certains prix ne changent pas, on en conclue qu’il n’y a donc pas d’inflation.
Rien de plus faux : Les prix à la consommation sont influencés par des facteurs non seulement monétaires mais aussi réels.
Parmi ces derniers, relevons l’augmentation de la productivité. En effet, les entrepreneurs cherchent à satisfaire au mieux leur clientèle. Ils sont constamment à la recherche de méthodes de production plus efficaces ou de produits plus innovants répondant toujours mieux aux attentes du marché.
Dans une économie de marché libre, on déréférence des articles pour les remplacer par d’autres (les linéaires ne sont pas extensibles à l’infini : Il faut faire de la place) et l’innovation exerce naturellement une pression à la baisse sur les prix : Soit parce que le prix de la marchandise est effectivement réduit, soit parce qu’on trouve des marchandises à des prix identiques offrant davantage de fonctionnalité ou de meilleure qualité.
À titre d’illustration, nous avons tous constaté que le prix des ordinateurs portables proposés aujourd’hui est nettement plus bas qu’il y a 20 ans. Alors même que ces ordinateurs sont nettement beaucoup plus sophistiqués qu’au début du siècle.
Et qu’à une époque, on enlevait même des composants (lecteurs de CD ou de DVD) pour faire encore baisser les prix.
J’ai même eu le droit à l’inverse, lorsque la TVA sur les « tas-de-boue-à-roulettes » est passée du taux de 33,33 % à 17,6 % : Les constructeurs rajoutaient trois bandes autocollantes de décoration et un lecteur de cassette pour parvenir au même prix TTC…
 
Ainsi, grâce aux gains de productivité et sans intervention des autorités monétaires, les consommateurs devraient connaître une augmentation progressive de leur pouvoir d’achat.
A contrario, dans le cas où l’inflation monétaire est manifeste, la baisse des prix engendrée par les gains de productivité peut ne plus être observée : La baisse des prix et l’inflation peuvent se compenser.
Les prix ont alors l’air stables mais, sans intervention, ils auraient baissé.
 
L’inflation générale des prix serait causée par des phénomènes géopolitiques nous affirme-t-on.
Les tensions internationales peuvent effectivement provoquer la hausse de certains prix. On l’a vu avec les stations-services : Elles n’ont que trois ou quatre références à proposer à la vente à la pompe. Difficiles de « maquiller » ses prix qui sont de plus affichés « haut en couleur ».
Considérons que si un événement géopolitique obère une partie de la production mondiale de blé, il est certain que, si la demande reste identique, le prix du kilo de blé augmentera.
Toutefois, cet événement ne peut pas causer une augmentation générale des prix.
Tout simplement parce que, schématiquement, si un individu perçoit un salaire identique et qu’il acquiert le kilo de farine plus cher, il disposera conséquemment de moins d’argent pour consommer du sucre. Si la demande du sucre se réduit, son prix baissera !
Principe des vases communicants…
 
Tout le monde pense que si les prix augmentent de concert, c’est qu’il y a bien une inflation monétaire.
Au temps de l’empereur Constantin, l’inflation s’expliquait principalement par la volonté des autorités de rogner les pièces d’or pour pouvoir en fabriquer plus.
Ça eu duré tout au long de l’ancien régime et depuis l’empire carolingien…
De nos jours, si les méthodes des autorités monétaires sont différentes, les effets sont les mêmes. La Banque centrale européenne achète les obligations souveraines des États européens, ce qui leur permet d’émettre de nouvelles obligations finançant ainsi toujours plus de dépenses publiques. L’endettement public en « Hexagonie » qui dépasse aujourd’hui près de 130 % du PIB, est le résultat d’une dette créée ex-nihilo et non d’une richesse créée en contrepartie par un prêteur.
Et il y aurait effectivement une facture importante à rembourser à terme.
Et elle sera présentée aux épargnants, sera même graduelle et prendra la forme d’augmentation des prix à la consommation et d’une augmentation du prix des actifs. 
Donc rien d’étonnant à ce que ses effets ne soient pas immédiats. D’ailleurs on a démontré que l’inflation était progressive : Les prix augmentent d’abord au point d’entrée de la monnaie, ce qui creuse les inégalités entre ceux qui ont accès au crédit et ceux qui n’y ont pas accès.
 
Or, il n’y a que deux façons de rembourser notre dette : Taxes et inflation. Et, l’inflation est déjà une taxe sur l’épargne !
Et pour augmenter le pouvoir d’achat des ménages, il a fallu mettre en œuvre un nouveau « quoiqu’il en coûte » à travers des « aides » ciblées, fléchées ou « saupoudrées » !
Or, celui-là entraînera une paupérisation durable de toute la population.
Le très bien nommé « quoi qu’il en coûte » coûte en fait très cher aux épargnants.
Si d’aventure les autorités monétaires persévéraient dans une politique d’expansion monétaire, le coût à supporter serait in fine encore plus élevé.
 
On nous a par ailleurs toujours affirmé que 2 % d’inflation annuelle est bon pour l’économie. Certains économistes considèrent qu’une petite dose d’inflation peut être bénéfique pour l’économie. Ils soutiennent que si les prix à la consommation augmentent, les salaires suivront.
Générant une inflation nouvelle et structurelle.
Il est effectivement probable que si un entrepreneur améliore sa marge opérationnelle en profitant d’une hausse du prix de vente de ses produits, il sera incité à relever les émoluments de sa force de travail.
Toutefois, notons que les salariés subissent déjà défavorablement cette situation puisqu’il peut y avoir un délai entre la hausse des prix à la consommation constatée et l’ajustement de leur salaire.
Mais cette réalité occulte le problème de fond causé par un niveau d’inflation annuel à 2 %.
 
Exemple : Imaginons qu’en année N, les prix à la consommation soient les suivants :
Café : 2 euros, ticket de cinéma : 10 euros, voiture : 10.000 euros (oui, je sais, c’est absurde…)
Et que le salaire versé par une entreprise à son employé soit de 2.000 euros mensuels (on peut toujours rêver…)
En supposant une inflation de 10 %, nous aurions les prix suivants en année N + 1 : Café : 2,20 euros, ticket de cinéma : 11 euros, voiture : 11.000 euros, salaire : 2.200 euros.
À première vue, on constate que la situation est identique. C’est oublier l’épargne accumulée par ce travailleur. Si celui-ci disposait de 10.000 euros d’épargne en année N, il dispose toujours de 10.000 euros d’épargne en année N+ 1. Cependant, la deuxième année, il ne peut plus s’acheter une voiture.
Son épargne a été amputée de 10 %.
CQFD.
Il peut se consoler et acheter du whisky pour oublier, mais bon, il va lui être plus difficile de se déplacer comme il le souhaitait…
Par conséquent, l’inflation est bien une taxe sur l’épargne qui ne dit pas son nom.
Que son niveau soit de 2 ou de 10 %, préconiser un niveau d’inflation positive comme étant bénéfique pour l’économie, c’est recommander une taxe sur capitaux accumulés des épargnants quel que soit leur niveau de revenus et quelle que soit leur richesse.
Rien de mieux…
Ou comment arnaquer les « miséreux » !
 
Autre fantasme : L’inflation serait mauvaise pour les riches et bonne pour les pauvres !
Si l’inflation est une taxe sur les épargnants, elle touche indistinctement tous les épargnants quel que soit leur niveau de richesse. Toutefois, les classes les plus favorisées peuvent modifier leur portefeuille d’investissement en allouant leur épargne vers des actifs corrélés positivement avec l’inflation.
En outre, ils disposent d’une capacité d’endettement que n’ont pas les classes sociales les plus fragiles.
Or, les classes sociales les plus fragiles, les classes populaires et les classes moyennes, disposant d’une épargne moindre seront les dernières à bénéficier de ces mesures monétaires et verront en premier leur pouvoir d’achat diminuer.
Pas de secret : L’argent va toujours à l’argent et nulle part ailleurs.
 
On affirme également un peu rapidement que les politiques monétaires accommodantes, responsables de l’inflation, sont des mesures anti-pouvoir d’achat.
C’est pourquoi les gouvernements qui espèrent se faire réélire feront tout pour lutter contre l’inflation…
Bien sûr : C’est le discours, mais contrairement aux apparences, les politiques monétaires laxistes (accommodantes) ont plusieurs avantages pour les gouvernements : Elles réduisent de facto la valeur réelle de la dette déjà émise ; elles permettent d’émettre de nouvelles dettes en réduisant le service de la dette ;
elles permettent également d’augmenter les revenus de l’État sans toucher aux taux (augmentation de la TVA, de l’impôt sur les sociétés, puis de l’impôt sur le revenu), alors que les prestations sociales sont peu ou pas augmentées (ou alors beaucoup plus tardivement) ; elles permettent de démontrer aux électeurs que le gouvernement agit !
En d’autres termes, les politiques monétaires accommodantes renforcent le pouvoir des dirigeants. Et il pourrait être naïf de croire que les États s’attèlent sérieusement à réduire leur emprise économique.
 
C’est John Maynard Keynes, l’instigateur de ces politiques inflationnistes, qui affirmait que : « Par un processus continu d’inflation, le gouvernement peut confisquer, secrètement et sans être observé, une part importante de la richesse de ses citoyens » (Les conséquences économiques de la paix [1919])
Pas dupe, le bonhomme…
Le même balayait le problème de la dette d’un revers de main : « Demain, (quand il s’agira de rembourser) nous serons tous morts. »
Il n’avait pas tort.
Sauf que, « instigateur » des politiques de « relance » (« Rilance », « rigueur et relance », en a dit une « sinistre de l’économie du pays, maintenant à la tête de la BCE) par la dette, il aura fait grossir l’endettement public de façon éhontée en période de paix (alors je ne vous raconte pas quand il faudra financer la guerre…) et surtout aura créé « ex-nihilo » une classe de « sachants » et autres hommes politiques qui n’existe que pour dépenser du pognon « pas à eux » et qui n’existe même pas encore.
Le « must » dans la caricature du « pensant-bien-faire » aura été « Dévide-Jean », « éphémère sinistre de la Relance » de « Bling-bling », qui avec un effet de levier keynésien de 3 (un multiplicateur qui veut que quand on dépense 1 de plus on récolte 3 quelques années plus tard et aura été mesuré « ex-post » comme légèrement négatif : Il n’y a pas de secret !) et « 28 milliards, c’est comme si j’en faisais pour 100… »
 
Encore un qui n’avait pas appris à compter ou alors à l’ékole publique seulement.
Que voulez-vous, les gens et les générations passent et ils et elles n’ont toujours rien appris de la vie…
Espérons seulement qu’un miracle aura bien lieu et qu’on évitera l’écueil de la récession tout en réduisant ce qui reste un mécanisme d’appauvrissement généralisé qu’est une inflation forte.
Toutefois, je ne suis pas très optimiste…
Ces « équilibres » sont si difficiles à trouver, à piloter et restent donc si fragiles.
 
Pour mémoire : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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