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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 6 décembre 2022

Les masques tombent…

Enfin, façon de parler !
 
Parce que vous, nous, nous allons devoir remettre les nôtres sur le nasaux dans la mesure où la neuvième vague s’amorce déjà… juste pour les vacances de Noël de nos « chères-têtes-blondes ».
Il n’y a pas de hasard, finalement.
L’année dernière déjà c’était le cas et quant à la saison hivernale de 2020, lorsqu’il a fallu parquer les « vieux » à la cuisine pour le réveillon également, que j’en reste encore tout ému !
Huit vagues, et pas un éternument… la performance que voilà !
 
Mes derniers « vieux » sont partis vers leur dernière demeure sans être contaminés ni infectés et maintenant, c’est moâ qui suis devenu « vieux ».
Je te vous jure, quelle époque !
Comme en plus, mon « palpitant » donne des signes d’usure anticipée, avec toutes les ALD qui me sont tombées sur le râble entre-temps, j’en deviens « personne à risque » et il me semble depuis peu que mes jours sont désormais comptés.
Ils l’ont toujours été, mais là, la réserve s’épuise à vive allure.
Faudra donc faire avec ce qui reste…
Mais d’ici qu’on vienne vous raconter que malgré un parcours vaccinal complet, des gestes barrières appliqués avec constance, si je clamse d’ici peu, c’est parce que j’ai le nez qui renifle et que je serai testé « positif », il n’y a pas loin.
 
Et hop, une victime de plus au compteur du « Conard-virus », alors que je n’ai pas chopé le moindre rhume, la moindre angine, la plus petite-bronchiolite, pas même une des grippes qui circulent tous les ans depuis décembre 2018 !
Je m’en souviens encore, puisque j’avais la trouille d’infecter ma « môman à moâ » à son dernier Noël (mais on ne savait pas encore qu’elle ne verrait pas le suivant, décédée avant le premier cas de « Conard-virus » sur le territoire… pas de chance, hein !).
 
Il n’empêche, il y a quelques années de ça maintenant, je vous gratifiai d’un « épisode des enquêtes de Charlotte® » (« Ultime récit® », juillet 2017) où, inspiré, j’avais mis en scène un « institut Milton » qui finançait un laboratoire P4 enterré au milieu de l’océan Indien, aux îles Chagos dans un atoll déserté à quelques centaines de kilomètres au Nord de Diego Garcia, empire britannique et possession de la famille Mountbatten (empire des Indes) où batifolait un savant fou, le professeur Phîu, qui fabriquait avec son équipe un virus aérobique rendant les femmes stériles.
Une solution comme une autre au surpeuplement de la planète…
(Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2017/09/ultime-recit-chapitre-zero.html).
Naturellement, pour ne pas sacrifier l’espèce à sa planète-mère, il convenait d’abord de mettre au point une antidote, une sorte de vaccin, pour lequel quelques « happy-few » devaient payer une fortune pour s’en procurer et avoir descendance viable.
Où le « règne du gène » et la résurgence des idées eugénistes du IIIème Reich en quête d’une race « épurée » qui dominerait le monde pour l’éternité (Amen).
C’était le business-plan de l’institut Milton soutenu par beaucoup des milliardaires (qui comptent un peu) du monde anglo-saxon.
Mais ce n’était jusque-là qu’une fiction.
 
Qu’on retrouvera d’ailleurs dans le prochain volume, « Menaces de chaos® » (seulement si je survis jusque-là…)
Car Phîu aura survécu à la « descente » de Paul de Bréveuil qui a tout ravagé sur l’attoll avant de se le faire attribuer par la Couronne, pour services rendus (Cf. les épisodes suivants des « enquêtes de Charlotte ») et aura trouvé refuge en Chine.
Pour, deviner quoi, s’atteler à manipuler d’autres virus à Wuhan le seul laboratoire P4 que possède la Chine, construit d’ailleurs par des « Gauloisiens » et où se sont retrouvés des dizaines d’équipe de chercheurs de toutes nationalités, à la recherche des futurs vaccins à mettre en place pour contrecarrer les prochaines épidémies… inattendues.
 
C’est d’ailleurs là qu’on retrouve quelques grands mécènes devant l’Histoire en quête de l’immortalité, chacun à sa façon…
En bref, on leur doit notamment cette invention inédite des vaccins à ARN modifié, qui va révolutionner les thérapeutiques dans les années à venir.
Pensez, en moins d’un an, on s’est retrouvé obligé de se faire piquouzer pour « soulager » nos hôpitaux, ceux dont nos « sachants » ont pu fermer des milliers de lits sans sourciller depuis des années.
Passons.
   
Or, vient de tomber, durant le week-end dernier, l’information venue d’un « scientifique » qui a directement collaboré avec le laboratoire de Wuhan. Il affirme dans un livre que le « Conard-virus » est un virus artificiel et qu’il s’est bien échappé de l’installation il y a un peu plus de deux ans.
Il s’agit d’Andrew Huff, qui travaillait jusque-là pour une organisation à but non lucratif basée à New-York, et qui déclare sans sourciller que le « Conard-virus » qui aura perturbé le monde entier durant des mois et des mois (et qui continue à travers ses « variants », autrement dit des « mutants ») avait bien fuité de l’Institut de virologie de Wuhan il y a plus de deux ans, blâmant au passage les autorités américaines : « Le plus grand échec du renseignement américain depuis le 11/9 », a rapporté ce samedi le journal britannique The Sun.
Le Sun, ce n’est pas vraiment un journal scientifique, et je pense qu’on n’entendra plus parler de cette annonce d’ici quelques semaines.
Le sujet a été tellement polémique depuis deux ans, qu’une relance sur le ton du « complotisme » paraît bien hasardeuse pour prospérer.
Il n’empêche…
 
Car la proximité du labo de Wuhan avec le marché qui a vu les premiers cas de la maladie a toujours été au centre de féroces débats autour des origines de l’infection, bien que gouvernement chinois et personnel du laboratoire en question l’aient toujours nié.
Andrew Huff, épidémiologiste, déclare ainsi dans son nouveau livre, « La vérité sur Wuhan », que la pandémie était le tragique résultat du financement des coronavirus par le gouvernement américain en Chine.
Chaud…
Il assure que les expériences de « gain de fonction » dirigées par la Chine ont été menées avec une piètre sécurité, dangereusement laxiste.
« Les laboratoires étrangers n’ont pas mis en place les mesures de contrôle adéquates pour assurer la biosûreté, la biosécurité et la gestion des risques, ce qui a finalement entraîné une fuite du laboratoire à l’Institut de virologie de Wuhan », écrit-il dans son livre, dont un large extrait est dévoilé en exclusivité dans le journal. La Chine n’est donc pas seule responsable, les pays collaborateurs le sont tout autant, qui auraient pu soit, ne pas financer, soit faire ces travaux dans leurs propres centres de recherche, soit veiller à améliorer la sécurité du site chinois.
Car on sait que les fonds et les chercheurs sont venus d’un peu partout, que le chinois, après-tout, ce n’est que de la viande à cobaye (qui mange n’importe quoi, qui crachent, pètent et puent) située loin dans un pays dictatorial, sans aucune importance pour le reste du monde pour n’être qu’un « atelier » pas trop cher !
D’autant qu’ils sont tellement nombreux qu’un peu plus ou un peu moins, du moment qu’ils restent cantonnés chez eux, ce n’est pas bien grave…
 
On rappelle que pour certains experts, l’hypothèse que le virus aurait pu s’échapper par un scientifique infecté ou par l’élimination inappropriée de déchets hors de l’installation n’est pas absurde.
Tedros Adhanom Ghebreyesus soi-même, le chef de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), a déclaré lui-même à un politicien européen qu’il craignait que le virus ne se soit échappé du laboratoire lors d’un « accident catastrophique » en 2019.
Andrew Huff n’est autre qu’un ancien vice-président d’EcoHealth Alliance, une organisation à but non lucratif basée à New-York, organisation qui étudie les maladies infectieuses.
Le groupe étudie différents « Conard-virus » chez les chauves-souris depuis plus d’une décennie grâce au financement des National Institutes of Health et a forgé des liens étroits avec le laboratoire de Wuhan. 
Il a ainsi contribué à mettre au point les « meilleures méthodes pour concevoir des coronavirus de chauves-souris afin d’attaquer d’autres espèces », et ce depuis plusieurs décennies.
On peut dire que cette fois-ci, si ces révélations sont avérées, ça eut bien fonctionné.
 
« La Chine le sait depuis le tout premier jour qu’il s’agit d’un agent génétiquement modifié », écrit Huff, et dans la foulée, il affirme que : « Le gouvernement américain est responsable du transfert aux chinois de biotechnologies dangereuses. »
« J’ai été terrifié par ce que j’ai vu », a déclaré le vétéran de l’armée du Michigan au Sun. « Nous leur filions juste la technologie des armes biologiques ! »
Selon une enquête récente publiée par ProPublica / Vanity Fair, l’Institut de virologie de Wuhan, abrite la recherche sur le coronavirus la plus risquée de Chine, elle a et subi encore une immense pression du Parti communiste chinois au pouvoir pour produire des percées scientifiques majeures afin d’élever le statut mondial de la Chine, nonobstant le manque de ressources.
 
En bref, je ne suis donc pas très étonné de ce que j’analyse comme une « pseudo révélation ».
La plupart de mes « potes » un peu versés dans ces domaines, notamment à l’Institut Pasteur, m’ont toujours fait part de leurs doutes profonds : Pourquoi tout d’un coup un Sras devient-il pandémique, mondial même, alors que les précédents avaient été rapidement maîtrisés (et notamment le MERS) ?
Pourquoi les virus de chauves-souris, principale espèce « réservoir », devient-il spontanément dangereux pour l’espèce humaine (et les pangolins) alors que cela fait des dizaines de milliers d’années qu’ils existent et coexistent ?
Naturellement personne ne cherche vraiment de réponse à ces deux questions : Il fallait expérimenter, sans risque et sans consentement avisé, les nouvelles technologies de vaccins ARNm.
Et ça aussi ça eut bien fonctionné puisque, un, ce ne sont pas vraiment des vaccins « protecteurs », juste une « pré-médicamentation » prophylactique, et puisque, deux, on aura interdit par voie réglementaire toute autre tentative de médicamentation sérieuse et préexistante qui aurait pu dévoyer les résultats de cette étude « grandeur nature ».
 
Accessoirement, pourquoi on veut actuellement nous faire peur avec des virus « réanimés » issus du permafrost qui dégèle en Sibérie ?
C’est d’autant plus douteux que : 1/ l’espèce humaine y a déjà été confrontée dans sa préhistoire et y a survécu ; 2/ les russes mènent justement une guerre absurde sur des revendications et pour des motifs absurdes à son voisin du Sud, tutoyant déjà à plusieurs reprises la « menace nucléaire » comme seule issue logique…
Tout cela est bien curieux et mérite d’être signalé sur ce blog.
Même si naturellement, je ne suis pas « complotiste » pour un sou : Pour moâ, tout peut trouver une explication logique, même « ex-post ».
On peut même imaginer tout ce que l’on veut avec deux sous de bon sens pour ce conflit qui n’a aucun sens.
 
Par exemple qu’il fallait trouver un prétexte pour isoler la « Sainte Russie » sur la scène internationale : Là, on peut dire que « Poux-tine » y aura assez bien réussi…
Que c’était l’occasion de l’affaiblir durablement, sur le plan économique, financier et même militaire (déjà que le pays l’est sur le plan démographique) et de tester les dernières trouvailles des « militareux » et de leurs industriels de la mort et de la destruction.
Rappelons que c’est même un coup de pouce inespéré pour l’Ukraine que de devoir tout reconstruire à neuf avec un prochain « plan Marshall » à la frontière orientale de l’UE : Les derniers avaient assez bien fonctionné… et ça taillera en pièce la prospérité des 27.
Et puis, ce conflit n’est désormais qu’une répétition générale des pénuries à venir en produits pétroliers dont on nous affirme depuis des décennies qu’il faudra bien apprendre à s’en passer.
D’accord, du moment que ça se passe en Europe, et surtout pas aux USA : Ils verront après seulement ce qu’il convient d’en faire.
 
Bref, je m’éclipse, mais je ne m’étonne plus de rien : J’en ai déjà trop vu pour ne pas comprendre… au moins un peu.
 
Pour mémoire : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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