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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 2 décembre 2022

En plus, je suis désormais covidé !

Je ne vais jamais tenir jusqu’à Noël à ce rythme.
 
Quand on y songe, je collectionne les « emmerdements » depuis mon « dernier tour » : On a raison d’affirmer que la vieillesse est un véritable naufrage. Passé l’âge de la retraite, on n’est plus bon à rien vue la cadence des déchéances et souffrances qui s’enchaînent sans mollir. Une catastrophe.
Si moâ, je succombe au début de la neuvième vague, Jean-Marc poursuit son chemin et se remémore aussi quelques anecdotes croustillantes :
 
Par exemple, c’était un dimanche après-midi et ses parents ont une sacrée envie de faire un petit câlin.
Malheureusement pour eux, le petit est dans l’appartement et comme il risque de pleuvoir, les parents ne peuvent pas l’envoyer jouer dehors.
Alors son père trouve la solution :
« Jean-Marc, pourquoi n’irais-tu pas sur le balcon ? Comme ça, tu nous raconteras tout ce qui se passe en bas ! »
Bien obéissant, Jean-Marc va sur le balcon et commence son observation. Pendant ce temps, les parents passent aux choses sérieuses.
Et à travers la fenêtre, il fait son rapport.
« Il y a une voiture qui se fait remorquer par une dépanneuse dans le parking…
…Tiens, une ambulance vient de passer à toute vitesse…
…Il y a des gens qui rendent visite aux voisins d’à côté… »
Un moment passe puis Jean-Marc reprend :
« Lili fait du vélo sur le trottoir…
…Marie-Françoise tente de la rattraper sur ses rollers…
…Les Martin sont en train de faire l’amour… »
À ces mots, ses parents sursautent et son papa interloqué demande :
« ― Et comment tu sais ça Jean-Marc ?
― Parce que Jean-Louis, leur fils, est aussi sur le balcon… »
 
C’est l’histoire d’un géni qui sort enfin de sa lampe et pour remercier son libérateur, un black de Manhattan lui propose de réaliser trois vœux :
« Premièrement, je voudrais être blanc !
Deuxièmement, je voudrais ne jamais manquer d’eau.
Troisièmement, j’adore les belles fesses, alors je voudrais pouvoir en voir toute ma vie. »
Le génie s’exécute et ABRACADABRA, le voilà transformé en toilette.
 
Dans le même registre, Monica se promenait sur la plage et trouve une lampe amenée par la vague.
Elle la frotte et le génie sort et lui dit :
« ― Non, Monica, tu n’as pas été sage dernièrement et je puis t’accorder seulement qu’un souhait.
― Voyons ce que je peux te demander » dit alors Monica.
« Je n’ai pas besoin de la popularité, ça, je l’ai obtenu grâce aux médias d’information. Je n’ai pas besoin d’argent, je vais en avoir beaucoup avec la publication de mon livre et les entrevues d’information au public. Alors, vu que je suis un peu rondelette, je voudrais que tu me fasses disparaître ces poignées d’amour. »
Le génie s’exécute et POUF, elle n’a plus d’oreille !
 
Ce qui vaut bien celle de Jean-Paul qui se balade souvent avec une autruche jusque dans les bars de la ville à la recherche de ses potes pour partager une bière.
Et Jean-Marc de lui demander pour quelle raison il a demandé à son génie d’être accompagné d’un tel animal :
« Mais tu sais bien que je lui ai seulement demandé une jolie poulette avec de longues jambes… »
 
Et on se rappelle d’une revenue devenue célèbre du temps du « P. Soce » rue de Solférino.
« D’jack Langue » croise « Déesse-khâ » dans la cour d’entrée de l’hôtel particulier qu’il aura fallu vendre plus tard.
Le premier traine une grosse valise, le second trimbale sur son dos un billard.
« ― Mais qu’est-ce que tu t’emmerdes avec ce billard sur le dos ?
― Je le ramène au parti pour lui en faire don. Figure-toi que je suis tombé sur un génie sourd comme un pot.
― Ah ? Toi aussi.
― Je lui ai demandé un milliard et je me retrouve avec un billard. »
Et « D’jack » ouvre sa valise sur un gros grillon…
« Moi, je lui ai juste demandé un gros million… »
 
C’est un gentil « simple d’esprit » qui demeure au bord d’un lac et depuis quelques jours il pleut sans arrêt, tel que l’eau monte et inonde la maison.
Un voisin arrive en chaloupe et lui dit :
« Embarque avec moi je vais te ramener. »
Le gars lui répond : « Non merci, je crois en Dieu et il va me sauver. »
Le voisin s’en va.
L’eau monte toujours et notre simplet est obligé de monter sur le toit de sa maison.
Un hélicoptère arrive et le pilote lui dit :
« Accroche toi au câble je vais te sauver. »
Le gars lui répond :
« Non, merci. Je crois en Dieu et il va me sauver. »
Finalement le type se noie et il arrive au ciel et dit à Dieu :
« Je croyais en vous et vous n’êtes pas venu me sauver, je ne comprends pas. » Alors Dieu lui répond :
« Tu es ingrat : Je t’ai envoyé une chaloupe et un hélicoptère et tu n’as pas embarqué. »
 
Jean-Marc se présente pour un poste dans une entreprise.
Le directeur lui précise :
« ― Ce que nous recherchons avant tout, c’est quelqu’un de responsable.
― Alors là, vous ne pouvez pas mieux tomber ! Dans tous mes emplois précédents, chaque fois qu’il se passait quelque chose, on disait que c’était moi le responsable ! »
 
Le soir de la nuit de noce, deux jeunes sourds-muets se couchent et réalisent que dans l’intimité de leur chambre à coucher, l’obscurité n’est pas propice à favoriser l’essor de leur vie de couple.
En effet dans le noir, sans possibilité d’utiliser la langue des signes, le mari a bien du mal à faire comprendre à sa femme son désir ardent de passer à l’action.
Finalement, la femme propose donc, en langue des signes, une solution pratique à son époux :
« Nous allons mettre au point des signaux. Si tu as envie de moi, secoue-moi le sein droit et si tu n’as pas envie, secoue-moi le sein gauche… »
Le mari pense qu’il s’agit là d’une idée prodigieuse et répond à sa femme, toujours en langue des signes :
« Très bien ! Et de la même façon si toi, tu veux faire l’amour, secoue mon sexe une fois et si tu ne veux pas, secoue le 80 fois… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, épuisés par une journée de tournée des bars, finissent une dernière bière avant de rentrer, en se posant des devinettes ?
« ― Sais-tu quel est le saint est le plus serviable et rend le monde heureux ?
― Non, je ne vois pas !
― Le Saint-dollar (Cinq), voyons. »
 
Un gars se présente à la pharmacie et demande un demi condom.
Le pharmacien lui réplique :
« ― Un demi condom, mais pourquoi un demi ?
― C’est parce que j’ai une mi-graine. »
 
Une très jolie femme entre dans un grand magasin de haute couture et demande à voir la plus belle robe de mariée.
Le designer lui demande de quelle couleur elle veut sa robe.
« Blanche » qu’elle lui répond. Et de préciser : « Je suis encore vierge. »
« Ah oui, pourtant je vous ai déjà vu ici, ce n’est certainement pas votre premier mariage ? »
La dame lui répond :
« ― Non, ça va être mon quatrième.
― Et vous êtes encore vierge ?
― Mais oui », répond-elle. « Mon premier mari était psychologue et il ne faisait qu’en parler. Mon deuxième mari était gynécologue et il ne faisait que la regarder. Mon troisième était collectionneur de timbre haaa celui-là, il me manque. »
 
Une « revenue », pour le plaisir :
Un Américain est assis entre un Français et un Italien sur un vol transatlantique, en classe affaires.
Ils travaillent tous trois pour l’ONU. Après quelques verres, l’Américain dit :
« La nuit dernière, j’ai fait l’amour avec ma femme trois fois de suite. Ma femme m’a dit en me préparant mes œufs au bacon que ça n’avait jamais été aussi bon depuis qu’on s’était marié il y a dix ans. »
Le Français rajoute :
« La nuit dernière, j’ai fait l’amour avec ma femme quatre fois de suite, et ce matin ma femme m’a préparé un délicieux petit-déjeuner avec des croissants en me disant que j’étais un amant merveilleux. »
Comme l’Italien reste silencieux, le Français lui demande :
« ― Et vous, combien de fois avez-vous honoré votre femme hier soir ?
― Une fois.
― Une fois ?… Et que vous a-t-elle dit ce matin ?
―Elle m’a dit : “N’arrête pas chéri !” »
 
C’est l’histoire d’un petit poussin qui fait son jogging. Tout à coup, son chemin croise celui d’un serpent. Le poussin passe en courant devant lui et lui crie :
« Bonjour Boss ! »
Penaud, le serpent le regarde sans rien dire ou faire.
Le lendemain matin, la même scène se reproduit et le poussin crie au serpent : « Bonjour Boss ! »
Le serpent n’a pas le temps de réagir et laisse passer le poussin.
Le jour suivant, le poussin, toujours à son jogging matinal, croise encore une nouvelle fois le serpent et lui crie de nouveau : « Bonjour Boss ! »
Le serpent lui répond alors :
« Hey ! Petit poussin, pourquoi m’appelles-tu boss ? »
Et le poussin lui répond :
« Oh moi, tout ce qui rampe et qui n’a pas de couilles, je l’appelle Boss ! »
 
Un couple d’âge très avancé mange dans un petit bistrot romantique.
Entre chacune des bouchées, ils échangent un long baiser.
« C’est beau de voir des amoureux de votre âge », roucoule la serveuse.
« Pas tout à fait », répond la digne dame. « Mon Jean-Marc a seulement oublié son dentier… »
 
Deux puces se rencontrent dans un bar sur la riviera, comme chaque année, elles vont passer les vacances d’hiver sous le soleil.
La première voit la deuxième entrer dans le bar, tremblante et frigorifiée.
« Mais que se passe-t-il ? Pourquoi as-tu si froid ? » lui demande-t-elle à sa copine.
« J’ai fait le voyage dans la moustache d’un motard et maintenant, je n’arrive plus à me réchauffer. »
La première puce se met à rire et lui dit :
« Mais tu es bête, fais comme moi, voyage au chaud ! Tu vas à l’aéroport, tu choisis une belle hôtesse, tu grimpes le long de sa jambe, tu t’installes confortablement dans l’endroit le plus doux de son intimité et hop, le tour est joué. »
L’année suivante, les deux puces se retrouvent dans le même bar et même scénario, la deuxième arrive frigorifiée et tremblante.
La première puce s’exclame :
« ― Pourquoi n’as-tu pas suivi mon conseil de l’année dernière ?
― Eh bien si, je me suis installée chez une hôtesse de l’air comme tu me l’as dit, là où c’est bien chaud et bien doux et je me suis endormie.
Seulement en me réveillant… stupeur ! Je me suis réveillée dans la moustache d’un motard ! Je n’ai rien compris ! »
 
« ― Donnez-moi le temps utilisé dans les phrases qui suivent :
Ma copine chérie était enceinte… L’imparfait ?… Vous aviez trouvé bien sûr !
Ma copine chérie est enceinte… Le présent ?… bien joué !
Ma copine chérie sera enceinte… Le futur ?
― Ah NON ! » s’emballe Jean-Marc : « C’est l’imparfait du préservatif ! »
 
Juste avant de recevoir quelques amis pour dîner, Germaine se plaint à son mari :
« ― C’est pas possible, Jean-Marc. Regarde les vieux vêtements que je suis obligée de porter.
― Ce n’est pas si mal. »
Son épouse hausse le ton :
« Pas si mal ? Tu vas voir, tes amis vont me prendre pour la cuisinière de la maison ! »
Et Jean-Marc de remarquer :
« Oui, peut-être, mais ils changeront sûrement d’avis après le repas. »
 
Jean-Marc entre dans un restaurant chic, s’attable et se fait servir.
Soudain, il appelle le garçon :
« J’aurais besoin de sel. »
Le garçon fouille dans la petite poche droite de sa chemise, et lui donne une pincée de sel.
« Mais j’aurais aussi besoin de poivre ! »
Le garçon fouille dans la petite poche gauche de sa chemise, en sort une pincée de poivre qu’il lui donne.
Jean-Marc demande alors au serveur :
« Dites donc, si je vous demandais de la mayonnaise, où la prendriez-vous ? »
 
Que font trois hommes seuls sur une île déserte ?
Ils s’assoient et parlent de femmes.
Que font trois femmes seules sur une île déserte ?
Les deux premières s’assoient et parlent contre la troisième.
 
Jean-Luc dit à son copain Jean-Marc :
« ― Il y a deux ans, je suis allé en vacances au chalet et ma femme est tombée enceinte. L’an passé, je suis allé en vacances en camping et ma femme est encore tombée enceinte. Cette année je prends des précautions…
― Comment ça ?
― Elle vient avec moi. »
 
Une petite dernière, déjà de retour :
Un culturiste emmène une fille dans sa chambre, l’installe sur le lit, et commence un strip-tease.
À chaque fois qu’il enlève un vêtement il montre l’un de ses muscles en disant :
« Tu vois ça, c’est de la dynamite. »
Il commence par ses biceps : De la dynamite.
Puis ses pectoraux : De la dynamite.
Il les énumère tous : Tous de la dynamite.
Il finit par ses cuisses, encore de la dynamite…
Et lorsqu’il enlève son slip, la fille lui demande :
« Hé ! C’est pas dangereux toute cette dynamite avec une si petite mèche ? »
 
Pour rappel, « LE PRÉSENT BILLET A ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » ! »
 
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
 
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