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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 17 octobre 2022

Explication simple pour la théorie du genre ?

On en découvre un peu plus
 
Non pas sur son histoire, sortie tout droit de quelques neurones un peu fêlés, car venir nous dire que le sexe n’est pas constaté à partir de la réalité biologique, de celle que j’ai dans le slip et qui vit sa vie comme il l’entend, mais seulement un genre assigné à la naissance, pour ensuite nous dire que malgré l’apparition des gamètes dans l’évolution il y a plus d’un milliard d’année, le genre précède le sexe, lequel, la dernière de leurs « nouveautés », est une convention, ça ressemble outrageusement à du créationnisme.
 
Je suis un « boomer » sur la fin de sa vie (et fier de l’assumer), d’une génération d’avant le SIDA pour qui « Queer » signifie simplement « I Want to Fuck You ».
J’ai aussi toujours eu des potes gays, lesbiennes et bisexuels ainsi que maintenant chez les jeunes des potes transsexuels.
Je n’ai aucun problème à affirmer que chacun et chacune font ce qu’ils veulent de leurs corps, tant qu’ils sont informés et comprennent ce que cela implique, ainsi que de leurs sexes tant qu’il y a consentement mutuel.
Pas sectaire pour un sou et encore moins « phobe » de quelque chose (sauf de « Poux-tine » depuis dernièrement…)
De même que je considère que des adultes auraient tort de ne pas profiter de la technologie moderne si pour eux c’est le seul moyen de se sentir bien et de pouvoir mener une vie sociale normale.
J’ai également pu constater que le « droit positif », sous l’impulsion de quelques « minorités agissantes » aura été modifié à de nombreuses reprises pour complaire à ces électeurs marginaux : Pacs, Mariage Homo, PMA, jusqu’à un arrêt de cassation récent d’un couple marié, dont le membre viril n’aura pas été opéré, qui se reproduit une fois de plus, et exigeait d’avoir la mention « Mère » sur l’état-civil du gamin, pour avoir changé de sexe (et de genre).
De facto, le gamin a deux mères, et ses frère et sœurs un père et une mère : Je ne vous raconte les nœuds dans la tête de cette famille-là.
Même que la mère-biologique ne sait toujours pas qu’elle est lesbienne…
Mais passons…
 
Par contre il faut aussi noter que certains médecins fétichistes appliquent ces théories en prescrivant à des enfants de 12 ans des bloqueurs de puberté. De tels enfants ne comprendront ce qui leur est arrivé, ainsi que ce qui ne leur est pas arrivé, que trop tard.
Il y a bien des enfants devenus pharmaciens parce que papa l’était…
En revanche, avec ces thérapies, les pharmas, justement, s’enrichissent, ces médecins aussi car de tels gamins seront suivis médicalement toute leur vie, et avec les opérations chirurgicales, c’est une autre branche de l’industrie médicale qui s’enrichit aux frais des cotisants.
Cette nouvelle branche de la médecine a donc tout non seulement du créationnisme mais aussi du transhumanisme par ailleurs si décrié par les mêmes minorités.
 
Il faut aussi noter que dans certains pays états anglo-saxons il suffit d’une simple déclaration administrative pour changer de sexe.
Cela a permis à des violeurs multirécidivistes de se retrouver en prison dans le quartier des femmes et de continuer à y assouvir leur criminalité sexuelle !
Il y a eu aussi de nombreux autres dérapages comme cette icône du mouvement gay qui avait combattu les flics homophobes lors des émeutes de Stonewall et avait rendu possible l’année d’après la première gay pride de l’histoire qui s’est fait dernièrement et, à passés 70 ans, jeter à terre et violemment tabasser par des activistes trans !
J’adore…
 
Or, l’explication est plus simple : Les hormones sont des substances naturellement produites par le corps. Elles sont très variées et régissent différents mécanismes biologiques essentiels. De nombreuses glandes endocrines en sécrètent, par exemple : L’hypophyse, les surrénales, la thyroïde, les ovaires, les testicules ou le pancréas.
Pour être en bonne santé, une balance hormonale équilibrée est absolument indispensable. Cet équilibre diffère selon que l’on est une femme ou un homme.
Ainsi, les femmes vont, notamment, avoir des niveaux d’œstrogènes plus élevés et des taux de testostérone plus bas que les hommes, et vice-versa.
Ceci parce que, comme on dit, la nature et bien faite, et que leur rôle dans le processus de reproduction est différent.
 
Mais les perturbateurs endocriniens, bien qu’étrangers à notre signalisation hormonale, possèdent des effets hormonaux importants. Ils sont en effet capables d’imiter les hormones naturelles, ou se fixer sur les récepteurs hormonaux, provoquant des modifications de balisage.
Ainsi, la balance hormonale s’en trouve déséquilibrée.
Et, issu de l’industrie pétrochimique et pharmaceutique, utilisés jusque dans nos assiettes par l’industrie agroalimentaire, il y en a partout.
L’exposition à de tels poisons à des moments critiques du développement aura des effets plus catastrophiques qu’à d’autres moments, indépendamment de la dose.
C’est le cas du stade de la gonade indifférenciée, c’est-à-dire du moment de la mise en place de l’appareil génital chez l’être humain.
Parmi les effets d’une exposition à ce stade critique, l’on retrouve des anomalies de la différenciation sexuelle, c’est à dire un ensemble d’anomalies génitales souvent irréversibles qui vont affecter l’aspect et/ou le fonctionnement de l’appareil reproducteur.
 
Chez l’homme cela va traduire par : L’hypospadias (anomalie de la position du méat urinaire), la cryptorchidie (défaut de la migration d’un testicule), un micropénis, une mauvaise qualité du sperme ou encore un taux de testostérone inférieur à la normale.
En effet, bon nombre de ces composés chimiques possèdent une action œstrogène-mimétique qui vont engendrer chez l’homme, non seulement cette féminisation des caractères sexuels, mais aussi une baisse de la fertilité, le cancer du testicule voire de la prostate, un cancer hormonodépendant (c’est à dire que les œstrogènes jouent un rôle dans la prolifération des cellules cancéreuses) dont l’un des traitements possibles n’est autre que… le Distilbène !
L’objectif ici d’un tel traitement étant de saturer les récepteurs aux œstrogènes.
Ces différentes pathologies du système reproducteur masculin sont regroupées sous le terme de « syndrome de dysgénésie testiculaire » (testicular dysgenesis syndrome, TDS).
 
Une exposition à des perturbateurs hormonaux à un stade critique, tel que décrit plus haut, va également engendrer chez la femme des anomalies du développement génital, qui vont se traduire par des malformations telles qu’un utérus trop petit, un utérus bicorne bicervical avec vagin et col utérin perméables.
On retrouve aussi une puberté précoce, qui se caractérise par l’apparition des caractères sexuels secondaires avant 8 ans (pilosité, règles…).
S’ajoute à cela un risque augmenté de développer certains cancers hormonodépendants (seins, ovaires, utérus), d’avoir des règles irrégulières, douloureuses (dysménorrhée), un syndrome prémenstruel, des ovaires polykystiques (SOPK), de l’endométriose et une baisse importante de la fertilité.
On peut aussi retrouver chez la femme un déséquilibre entre la testostérone et les œstrogènes ayant pour conséquences une masculinisation (hyperandrogénie).
 
Il faudrait distinguer ici deux choses chez la femme exposée aux perturbateurs hormonaux : L’hyperandrogénie et l’hyperœstrogénie.
En effet, si l’hyperandrogénie, souvent causée par le syndrome des ovaires polykystiques, se caractérise notamment par une virilisation (pilosité, alopécie, règles peu fréquentes ou aménorrhée…) associée à des taux d’hormones mâles élevés (androgènes), l’hyperœstrogénie, caractérisée au contraire par une hyperféminisation, va, elle, être responsable de la précocité pubertaire, de l’endométriose et des cancers hormonodépendants tels que le cancer du sein et ceux de l’appareil gynécologique.
Dans les deux cas, que les femmes soient en hyperandrogénie ou en hyperœstrogénie, il en résulte une baisse de la fertilité.
 
Des pesticides aux édulcorants artificiels, de nombreux produits chimiques sont également impliqués dans l’apparition de l’obésité et du diabète, dont de plus en plus de gens sont atteints.
Dans le cas du Distilbène (diéthylstilbestrol) cité ci-avant, le mécanisme est assez simple à comprendre : Qui dit œstrogènes dit tissus adipeux, qui dit stockage des graisses, dit obésité et dit diabète… en effet, les produits chimiques aux propriétés œstrogèno-mimétiques favorisent l’augmentation des cellules graisseuses (dans lesquelles ils s’accumulent) et du poids, et l’on sait que le surpoids joue un rôle majeur dans l’apparition du diabète.
Je peux en parler (Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2015/11/hommages-mon-ange-gardien.html)
C’est d’ailleurs bien pour son action obésogène que le DES ou des produits similaires ont été donnés pendant des années aux animaux d’élevage : Plus de viande, plus de profit !
Thyroïde, asthme et allergie, autisme… il y a beaucoup d’autres problèmes liés aux perturbateurs hormonaux.
 
Il est peut-être temps de reprendre le contrôle de nos vies et d’éviter, d’échapper aux perturbateurs hormonaux qui nous entourent (micro-ondes, eau du robinet, ustensiles antiadhésifs, plastiques, …).
 
Rappelons que le Pr Marianthi-Anna Kioumourtzoglou nous avait expliqué, lors de la conférence « Heritable impacts of diethylstilbestrol (DES) », que les enfants dont la grand-mère a pris du DES pendant la grossesse sont 36 % fois plus susceptibles d’être porteur d’un TDAH et que, lorsque le DES a été pris au cours du premier trimestre de grossesse, le risque est encore plus important puisqu’il passe à 63 %.
Ce qui suggère que le 1er trimestre de la conception est une fenêtre critique de vulnérabilité.
Quant au Dr Scott Kerlin, fils DES (diéthylstilbestrol) et fondateur du DES Sons International Network, nous a longuement informé sur ce syndrome lors de la conférence « Heritable impacts of diethylstilbestrol (DES) ».
 
En bref, ce que j’en retiens, c’est qu’il est possible que les « désordres juridiques » que je constate de temps-en-temps sont probablement dus à la chimie du vivant que nos « sachants » perturbent à satiété sans même le savoir.
Le reste, les explications socio-culturels ou psychanalytiques, ne sont jamais que du verbiage, de la littérature pour imberbes, destinées à justifier ce qui devrait rester marginal et qui envahit toujours plus la sphère publique.
 
Je vous avoue que j’en suis resté « scotché » de constater que je suis presque un alien débarqué d’une autre planète pour certains de ne pas avoir expérimenté « l’orgasme prostatique ».
On m’a même affirmé que les femmes sont dotées d’une proto-prostate pour mieux me convaincre.
Il est décidément temps que je rende l’âme au créateur de toute chose (s’il existe bien) : Je ne suis pas fait pour ce monde-là.
Et ce monde-là n’est décidément pas celui que j’aurai voulu léguer à « ma Nichée ».
Mais qu’y puis-je au juste ?
Plus rien…

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