Une farce : 16 ministres « Gauloisiens »
en goguette.
Alors je m’y colle, juste pour prendre date.
Car, souvenez-vous du grand tapage médiatique qui a accompagné la visite de « Jupiter » à Alger et son « devoir mémoriel » et qui s’est poursuivi avec celui de la « Première sinistre » « Lili-Borgne », n’aura finalement été que de la poudre aux yeux !
L’Algérie et la « Gauloisie » n’ont concrétisé aucun engagement, aucun projet, et n’ont montré qu’une simple volonté de créer un partenariat sans que l’une ou l’autre partie ne s’engage sur des dossiers clairement identifiés.
Magnifique en pleine guerre de l’énergie et les menaces qui planent sur le Sahara-Occidental.
Seul un communiqué conjoint a été signé entre les deux
pays après le déplacement de la moitié du gouvernement « Gauloisien ».
Surprise, aucun des ministres n’est venu avec des propositions concrètes, des idées, des expériences à partager, ou alors, c’est du côté algérien que ce processus a été bloqué.
En plus ce « nouveau partenariat » entre les deux pays et ce déplacement massif encore jamais vu, ont été un grand échec médiatique, politique, économique et diplomatique.
La 5ème session du Comité
intergouvernemental de haut niveau (CIHN) algéro-gauloisien, qui ne s’était
plus tenu depuis 2017 n’a accouché d’aucune promesse, que des déclarations
d’intention et des lettres d’intention, qui révèlent la tiédeur des dirigeants « Gauloisiens »
vis-à-vis de l’Algérie et surtout la précipitation et le manque de préparation
et de coopération entre les deux gouvernements avant cette visite.
« C’est une grande fumisterie, c’est un coup d’éclat qui ressemble beaucoup plus à un coup d’épée dans l’eau qu’à autre chose, il n’y a rien pour l’Algérie », a déclaré un journaliste algérien. « 16 ministres français à Alger 0 contrat 0 projet pour l’Algérie », ironise-t-il.
Et d’insister : Tous ces ministres « gauloisiens » qui ont fait le déplacement à Alger « et pas un projet concret ! Ça prouve que tout ça c’est une mise en scène ».
« Il n’y a pas d’accords, ils n’ont fait que des déclarations d’intention. Grosso modo, cette visite qu’ils ont faite, les louanges qu’ils en ont fait, la grande campagne médiatique et le tapis rouge, tout ça pour des déclarations d’intention », s’est-il encore exclamé, incrédule devant cette absence de substance.
Grotesque.
Selon le journaliste, le contenu des déclarations
d’intention, signées entre les deux riverains de la Méditerranée ne reflète absolument
pas les préoccupations des Algériens.
La « Gauloisie », qui est (encore ?) l’une des 10 premières puissances au monde, a-t-il soutenu, « qu’est-ce qu’elle va m’apporter à moi l’Algérie ?
Ils sont où les projets, ils sont où le travail et les
emplois ?
C’est ça ce qui compte pour nous ».
Et l’affaire des quotas de visas…
Exprimant sa frustration et son incrédulité, et
partant celles de tous les Algériens, un opposant a eu ces mots : « Madame
Elisabeth Borne a dit que l’emploi et l’économie des connaissances seront parmi
les piliers de ce partenariat.
Elle est où la création d’emploi ?
Il n’y a pas un chiffre, un projet qui va être développé en Algérie ».
Pour la forme et pour marquer le coup, la « Gauloisie »
a rendu 51 pièces de monnaie à l’Algérie, et elles ont été remises par le « sinistre
Gauloisien » de l’Économie, « Pruneau-le-Mère » au ministre
algérien des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger,
Ramtane Lamamra, comme pour donner une plus grande ampleur à ce geste qui
aurait dû être fait entre ministres de la Culture.
« Ces 51 pièces, ça n’a rien d’extraordinaire, et je ne vois pas pourquoi (il fallait) mobiliser deux Premiers ministres pour un geste qui demeure symbolique alors qu’il y a d’autres gestes beaucoup plus symboliques que cela, comme le canon Baba Merzoug qui est toujours à Brest », a commenté un journaliste algérien exilé en « Gauloisie-des-droits-de-l’homme ».
Cette absence de substance et cet événement pour les
apparences ne semble servir les intérêts d’aucun des deux pays.
Le timing choisi pour organiser cette rencontre est aussi problématique.
Il s’est organisé un dimanche, un jour de repos en « Gauloisie » (quoique, beaucoup de mes compatriotes ont dû faire la queue aux stations-services encore ouvertes : Belle occupation, s’il en est…), ce qui montre que ce déplacement n’est pas une priorité pour « Paris-sur-la-plage ».
En outre, la journée a coïncidé avec la Dikra d’Al-Mawlid Annabaoui, une fête religieuse majeure pour les pays musulmans, censée être un jour férié consacré aux célébrations familiales, ce qui semble révéler que c’est Alger qui a poussé pour « créer l’événement » dans les plus brefs délais avant l’adoption de la nouvelle résolution du Conseil de sécurité sur le Sahara, prévue fin octobre.
Pour notre journaliste, cet échec cuisant « c’est
tout simplement la démonstration de l’inefficacité de l’inutilité des
dirigeants algériens lorsqu’ils essaient de discuter ou négocier avec de
grandes puissances ».
En effet, les grandes déclarations du ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra qui avait assuré que l’Algérie était prête à « concrétiser un partenariat majeur » avec la « Gauloisie-ambitieuse » dans de nombreux domaines comme la sécurité, l’économie, la culture et les relations humaines, n’étaient finalement que de la poudre aux yeux.
« Nous sommes ouverts à toutes les opportunités de partenariat, de l’exploitation des ressources naturelles dans l’optique d’un développement technologique aux aspects géopolitique et énergétique », avait-il dit, montrant les limites de l’offre que l’Algérie est prête à concéder à la « Gauloisie ».
Résultat : Nada !
Du moment que le gaz algérien passe dans les gazoducs, il n’y a rien d’autre à attendre.
Point-barre.
Car justement, après le sabotage des gazoducs de la mer Baltique, c’est désormais l’oléoduc qui parvient jusqu’en Hongrie qui « a une fuite », le mettant hors-service.
Curieux cet acharnement de certains à vouloir faire mourir de froid la « vieille Europe ».
Et lui faisant payer le prix fort, depuis la décision de réduire la production d’or-noir des pays de l’Opep+.
Ce sont les « écololos » qui doivent se réjouir : On polluera moins aux énergies fossiles et un peu plus à l’énergie nucléaire, seulement quand elle sera réparée.
C’est que ça s’use vite une centrale pas entretenue que ça en tombe en panne au plus mauvais moment : Saison sans soleil pour prendre le relai et en plus, panne de vent généralisée !
Elle est belle la « transition énergétique »…
Car en attendant, on se rejoue la « grève » des centres de dépôt d’hydrocarbure : Un petit goût nostalgique de mai 68 dans l’air (et sa grève générale… généralisée).
Ce qui tombe bien, puisque « Mes-Luches » a appelé à faire mieux qu’à cette époque-là !
Et puis il y en a un autre qui se frotte les mains et
aura trouvé le point faible des économies occidentales, les premières à avoir
décidé des sanctions économiques pour « fait de guerre » inopportune.
Passons…
L’heure est aux accords « stratégiques » et il n’y en avait pas à attendre de la part d’Alger.
Par conséquent, vous n’entendrez pas parler de ce voyage de la moitié du gouvernement à Alger du week-end dernier : Un flop !
Une vaste farce… qui se moque de qui au juste ?
Car, souvenez-vous du grand tapage médiatique qui a accompagné la visite de « Jupiter » à Alger et son « devoir mémoriel » et qui s’est poursuivi avec celui de la « Première sinistre » « Lili-Borgne », n’aura finalement été que de la poudre aux yeux !
L’Algérie et la « Gauloisie » n’ont concrétisé aucun engagement, aucun projet, et n’ont montré qu’une simple volonté de créer un partenariat sans que l’une ou l’autre partie ne s’engage sur des dossiers clairement identifiés.
Magnifique en pleine guerre de l’énergie et les menaces qui planent sur le Sahara-Occidental.
Surprise, aucun des ministres n’est venu avec des propositions concrètes, des idées, des expériences à partager, ou alors, c’est du côté algérien que ce processus a été bloqué.
En plus ce « nouveau partenariat » entre les deux pays et ce déplacement massif encore jamais vu, ont été un grand échec médiatique, politique, économique et diplomatique.
« C’est une grande fumisterie, c’est un coup d’éclat qui ressemble beaucoup plus à un coup d’épée dans l’eau qu’à autre chose, il n’y a rien pour l’Algérie », a déclaré un journaliste algérien. « 16 ministres français à Alger 0 contrat 0 projet pour l’Algérie », ironise-t-il.
Et d’insister : Tous ces ministres « gauloisiens » qui ont fait le déplacement à Alger « et pas un projet concret ! Ça prouve que tout ça c’est une mise en scène ».
« Il n’y a pas d’accords, ils n’ont fait que des déclarations d’intention. Grosso modo, cette visite qu’ils ont faite, les louanges qu’ils en ont fait, la grande campagne médiatique et le tapis rouge, tout ça pour des déclarations d’intention », s’est-il encore exclamé, incrédule devant cette absence de substance.
Grotesque.
La « Gauloisie », qui est (encore ?) l’une des 10 premières puissances au monde, a-t-il soutenu, « qu’est-ce qu’elle va m’apporter à moi l’Algérie ?
C’est ça ce qui compte pour nous ».
Il n’y a pas un chiffre, un projet qui va être développé en Algérie ».
« Ces 51 pièces, ça n’a rien d’extraordinaire, et je ne vois pas pourquoi (il fallait) mobiliser deux Premiers ministres pour un geste qui demeure symbolique alors qu’il y a d’autres gestes beaucoup plus symboliques que cela, comme le canon Baba Merzoug qui est toujours à Brest », a commenté un journaliste algérien exilé en « Gauloisie-des-droits-de-l’homme ».
Le timing choisi pour organiser cette rencontre est aussi problématique.
Il s’est organisé un dimanche, un jour de repos en « Gauloisie » (quoique, beaucoup de mes compatriotes ont dû faire la queue aux stations-services encore ouvertes : Belle occupation, s’il en est…), ce qui montre que ce déplacement n’est pas une priorité pour « Paris-sur-la-plage ».
En outre, la journée a coïncidé avec la Dikra d’Al-Mawlid Annabaoui, une fête religieuse majeure pour les pays musulmans, censée être un jour férié consacré aux célébrations familiales, ce qui semble révéler que c’est Alger qui a poussé pour « créer l’événement » dans les plus brefs délais avant l’adoption de la nouvelle résolution du Conseil de sécurité sur le Sahara, prévue fin octobre.
En effet, les grandes déclarations du ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra qui avait assuré que l’Algérie était prête à « concrétiser un partenariat majeur » avec la « Gauloisie-ambitieuse » dans de nombreux domaines comme la sécurité, l’économie, la culture et les relations humaines, n’étaient finalement que de la poudre aux yeux.
« Nous sommes ouverts à toutes les opportunités de partenariat, de l’exploitation des ressources naturelles dans l’optique d’un développement technologique aux aspects géopolitique et énergétique », avait-il dit, montrant les limites de l’offre que l’Algérie est prête à concéder à la « Gauloisie ».
Du moment que le gaz algérien passe dans les gazoducs, il n’y a rien d’autre à attendre.
Point-barre.
Car justement, après le sabotage des gazoducs de la mer Baltique, c’est désormais l’oléoduc qui parvient jusqu’en Hongrie qui « a une fuite », le mettant hors-service.
Curieux cet acharnement de certains à vouloir faire mourir de froid la « vieille Europe ».
Et lui faisant payer le prix fort, depuis la décision de réduire la production d’or-noir des pays de l’Opep+.
Ce sont les « écololos » qui doivent se réjouir : On polluera moins aux énergies fossiles et un peu plus à l’énergie nucléaire, seulement quand elle sera réparée.
C’est que ça s’use vite une centrale pas entretenue que ça en tombe en panne au plus mauvais moment : Saison sans soleil pour prendre le relai et en plus, panne de vent généralisée !
Elle est belle la « transition énergétique »…
Car en attendant, on se rejoue la « grève » des centres de dépôt d’hydrocarbure : Un petit goût nostalgique de mai 68 dans l’air (et sa grève générale… généralisée).
Ce qui tombe bien, puisque « Mes-Luches » a appelé à faire mieux qu’à cette époque-là !
Passons…
L’heure est aux accords « stratégiques » et il n’y en avait pas à attendre de la part d’Alger.
Par conséquent, vous n’entendrez pas parler de ce voyage de la moitié du gouvernement à Alger du week-end dernier : Un flop !
Une vaste farce… qui se moque de qui au juste ?
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