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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 18 octobre 2022

Défiler avec un « Nobel »…

Quel pied pour « Mes-Luches »…
 
… qui n’aurait entrainé que 140.000 kouillonnés (30.000 d’après les 2.000 flics mobilisés pour les compter), dans son sillage.
Moâ, j’admire toujours l’immense fatuité de nos élites, qu’elles soient « aux affaires » ou dans la rue.
C’est assez fabuleux.
 
Ce qui l’est tout autant sinon plus, c’est la capacité de nuisance de quelques z’élites syndiquées : Ils ne sont qu’une poignée, mais ils mettent à sec les « voitureux », obligeant tout le monde à des économies d’énergie (probablement en réponse à l’OPEP+ qui réduit sa production d’or-noir), alors qu’aujourd’hui ce sont les cheminots (pas tous) et les traminaux (pas tous également) qui vont rajouter au boxon histoire de rappeler qu’ils existent.
Notez qu’ils savent déjà qu’ils sont « essentiels » depuis le premier confinement de 2020.
Au même titre que les éboueurs, et les épiciers…
J’attends avec bonheur les dockers et les aiguilleurs du ciel cet été !
 
Un début de « nouveau Front populaire » selon « Mes-Luches » !
À 140.000, c’est une évidence, voyons donc.
« C’est la grande conjonction, c’est nous qui la commençons avec cette marche qui est un immense succès », s’est par ailleurs félicité le leader de LFI au micro, depuis un camion au milieu de la foule, en annonçant « la construction d’un nouveau Front populaire qui exercera le pouvoir dans le pays le moment venu ».
Il sait qu’il y a encore du chemin avant d’arriver à Mai 2023… et même au-delà !
Au milieu des drapeaux, toute la gôche était finalement représentée, des députés LFI aux écolologistes, en passant par le NPA.
Ah oui, mais le PCF et l’ex-candidat écolologiste à la présidentielle « Yan-nique-Yoda » manquaient à l’appel.
Mais pas la toute récente Prix Nobel de Littérature.
Qu’est-ce qu’elle vient faire là au juste, sans même une remorque de bouquins à vendre ?
« Il y a quelque chose qui se réveille et c’est très bon signe », s’en est réjouie une autre, en évoquant une « démonstration de force ».
Une misère à comparer avec les « #Je suis Charlie » et le « G80 » réuni à l’arraché après les attentats entre place de la République et Nation…
 
Le « sinistre » des « Comtes publics », « Gaby-@tal » a lui fustigé « une marche des partisans du blocage du pays ».
C’est vrai que si « Mes-Luches », qui avait déjà fait défiler au printemps dernier plusieurs dizaines de milliers de personnes, avait lancé cette idée de marche dès juillet en estimant que la gôche devait impulser la contestation sociale contre le gouvernement en s’associant avec les syndicats, ceux-ci ne l’ont pas attendu pour faire monter la température.
Cette « marche » survient en pleine grève dans les raffineries de TotalEnergies, qui entraîne des pénuries de carburant. Et après la mobilisation du 29 septembre, une autre journée interprofessionnelle, reconductible, a été lancée pour aujourd’hui par la CGT, avec FO, Solidaires, FSU ainsi que des mouvements de jeunesse.
Pour le patron de la CGT, « les syndicats doivent être soutenus et on ne doit pas faire les choses en parallèle »
Prise en sandwich entre les deux manifestations syndicales, la « marche » est néanmoins complémentaire des efforts de la CGT, estiment ses organisateurs. Ainsi une députée LFI anticipe : « D’expérience, il y a du monde à une manifestation quand il y a un climat insurrectionnel ».
 
Bien que « Mes-Luches », malgré ses pressions, ait dû faire une croix sur l’appel à manifester conjoint des confédérations syndicales, certaines fédérations comme la CGT Commerce et la CGT Energie Île-de-France ont été de la partie. Un délégué CGT de la raffinerie en grève de Gravenchon en Normandie a même participé au meeting.
Pour un cheminot retraité venu du Lot, « les réquisitions des raffineries ça va très loin. Aujourd’hui est une première étape, mardi je pense qu’il y aura un mouvement fort. Et c’est fort possible que ça se poursuive après mardi ».
J’entends le haut point de vue autorisé d’un retraité « nanti » par son régime spécial qui survit au détriment du « kon-tribuable »…
 
Quelques lacrymos ont été lancés par des CRS en milieu d’après-midi, après des jets de projectiles en leur direction, a constaté un « journaleux » de l’AFP.
Les forces de l’ordre ont procédé à plusieurs charges.
Une agence de la Société générale a également été saccagée par des hommes vêtus de noir et masqués, près du square Trousseau. D’autres commerces ont été tagués ou saccagés
Selon une source policière, plusieurs tentatives de dégradations d’enseignes commerciales (Afflelou, Mc Donald-Trompe) ou d’établissements bancaires (BNP) avaient été « empêchées par les interventions des policiers de la préfecture de police, les BRAV », brigades de répression de l’action violente.
Des vitrines ont été brisées et quelques échauffourées ont éclaté dimanche dernier, mais la manifestation se déroulait sans grave affrontement en milieu d’après-midi.
Le long du parcours entre place de la Nation et Bastille, des slogans anticapitalistes ont été tagués sur des abribus, des façades et des vitrines de banques.
En réaction aux dégradations observées, le « sinistre de l’Intérieur » s’est fendu d’un « twist » pour remercier les forces de l’ordre et laisser un message aux casseurs : « Merci aux forces de l’ordre d’avoir assuré la sécurité des personnes et empêché la dégradation de commerces durant la manifestation. Manifester est un droit que les agents du ministère de l’intérieur, avec courage, garantissent. Honte aux quelques casseurs qui ont nui à ce droit ».
 
« La retraite c’est bien, l’offensive c’est mieux ».
« Le message est simple : nous voulons un meilleur partage des richesses ».
« On a vraiment besoin d’avoir un grand rapport de force populaire face à la politique de maltraitance sociale et écologique de ce gouvernement », a lancé dans la matinée une cheffe de file des députés LFI.
Et ce matin, les « emmerdements » se poursuivent. Au brouillard prévu, le trafic sur le réseau ferroviaire à « Paris-sur-la Seine » et en « Île-de-Gauloisie » devrait être quasi normal, malgré la grève. En revanche, la SNCF prévoit, elle, de fortes perturbations.
Déjà que ses trains tombent en panne sans raison en rase campagne en Normandie…
Mais là, il s’agit d’une journée d’action interprofessionnelle à l’échelle nationale.
Une autre échelle.
Qui fera probablement « pschitt »…
Métro : Le trafic devrait être quasi normal sur l’ensemble des lignes.
RER A : Trafic perturbé avec en moyenne 3 trains sur 4. Interconnexion maintenue à Nanterre-Préfecture.
RER B : Trafic perturbé avec en moyenne 3 trains sur 4. Interconnexion maintenue à Gare du Nord.
RER C, D et E : La SNCF annonce un trafic « fortement perturbé ».
Trains : La SNCF annonce un trafic « fortement perturbé » sur l’ensemble des lignes franciliennes.
Bus : En moyenne 2 bus sur 3 circuleront sur l’ensemble du réseau avec certaines lignes très perturbées.
Trafic normal sur le réseau Noctilien.
Tramway : Trafic quasi normal.
En revanche, je ne sais pas où se trouve un éventuel défilé…
 
Alors qu’une station-service sur quatre est toujours en difficulté d’approvisionnement, on peut se surprendre à prendre un peu de hauteur.
Entre le « nous sommes en guerre » et « la fin de l’abondance », entre blocages syndicaux et restrictions gouvernementales, ce pays illustre finalement les affres d’une idéologie antédiluvienne.
Un état de délabrement total que la gôche, comme à son habitude, tente de récupérer, à la manière de LFI, trop pressé de se refaire une santé en surfant sur la misère de ses électeurs.
Il n’est donc guère étonnant que la CGT, auparavant antenne du PCF et désormais succursale de la NUPES, se lance dans une guerre contre un gouvernement qui ne fait que l’y aider.
Voilà qui rappelle les heures sombres du syndicalisme : Le 11 octobre, la CGT Total Energie a renouvelé son appel à la grève pour une hausse des salaires de 10 % en raison de l’inflation. Malgré un accord de revalorisation salariale de 6,5 % et de prime de partage de la valeur de 3.000 euros par salarié, validé par la CFDT et la CFE-CGC, FO, la CGT appellent à continuer le mouvement.
Une CGT qui rêve de Grand Soir mise beaucoup sur la grève nationale de ce 18 octobre alors que le mouvement s’étend au secteur nucléaire, les élections professionnelles en ligne de mire.
Et la réponse gouvernementale n’est de loin pas à même d’apaiser la situation, au point que la CGT se considérerait désormais en guerre.
 
On le sait : Plus la population d’un pays est craintive et plus elle sera à même d’accepter des mesures de restrictions. Or, après le « Conard-virus », l’inflation et désormais les blocages syndicaux, les « Gauloisiens » n’ont semble-t-il jamais été aussi mûrs pour la servitude, y compris lorsque celle-ci est notoirement contre-productive.
La semaine dernière, « Jupiter » rappelait que bloquer n’est pas négocier, dans un art de la formule vide qu’on ne lui connaît désormais que trop bien, avant un discours de la « Première sinistre » se voulant ferme contre les blocages.
Le lendemain, le porte-parole du gouvernement menaçait de faire « le nécessaire pour débloquer le pays », à savoir notamment des mesures de réquisition.
L’arme forte était dégainée, non sans radicaliser un peu plus les syndicats.
Et le gouvernement a également fait appel à ses autorités déconcentrées et notamment les préfets pour remettre de l’ordre dans les esprits.
 
Nous nous souvenons des confinements localisés en 2020 où des mesures spécifiques étaient prises par les autorités préfectorales. Il faut dire que ces dernières, peu médiatisées à de rares exceptions telles que « Paris-sur-la-plage » ou les événements climatiques constituent le parfait écran gouvernemental contre la grogne populaire, font leur office.
Nous nous souvenons également de cette sortie de confinement confiée au secteur privé. De quoi laisser songeur sur l’avenir des adaptations locales de mesures gouvernementales, à la manière des trois départements du Sud-Est où les pleins d’essence sont limités à 30 litres par personne.
Désormais, la « Gauloisie » puise dans ses réserves et importe du pétrole au prix fort.
Qu’il s’agisse des carburants avec un baril de Brent à 99 dollars ou plus, et une hausse de l’essence entre 7 et 10 centimes le litre ou des restrictions de température dans des locaux privés, le pays entre finalement dans une économie totalement tiers-mondisée.
Si la CGT est contrainte de lâcher du lest face à la grogne des usagers exaspérés, la situation actuelle est une illustration parfaite des résultats du socialisme, cette hérésie dogmatique.
Entre blocages syndicaux et restrictions gouvernementales, le pays semble illustrer pour tout un chacun, et en particulier les automobilistes et les « kons-tribuables », les affres d’une idéologie antédiluvienne qui s’est mue en plusieurs avatars, qu’il s’agisse de l’écolologisme, du wokisme ou, comme ici, de la technocratie.
Au lieu d’ouvrir les yeux, ils se sont mis du cambouis devant !
 
C’est tout de même dommage : Il y a une guerre aux portes orientales de l’Europe où il s’agit de défendre non pas un territoire qui n’est pas le nôtre, ni même un peuple et une culture qui ne sont pas vraiment les nôtres, mais une civilisation des « droits de l’Homme » qui est la nôtre contre la barbarie dictatoriale !
Eh bien non, en réponse « ils » font grève !
Et avancent toujours plus loin dans la répression.
Tout en affaiblissant tout le monde… les « prolos » qu’ils sont censés défendre au premier rang.
C’est probablement justifié à bien des égards, au moins pour quelques-uns, puisqu’on a trop tardé à « partager » les bénéfices des sacrifices, imposés et concédés ces deux dernières années, mais tout de même, ça reste une minorité qui emmerde le plus grand nombre en espérant qu’un jour le chaos s’installe durablement !
Pas bien sûr que ça mette les foules en érection.
Ce serait même plutôt les prémices d’une « débandade » qui va encore affecter notre moral et dépeupler les « petites crèches » à terme.
Et alors, qui va payer les retraites de ma « Nichée » ?
 
On a un peu l’impression que plus on avance, plus on recule : Il serait temps que ma « Nichée » pense d’abord à elle et s’en mette plein de côté pour ses vieux jours.
Personnellement, je n’en ai pas fait assez. Mais bon, je ne vais pas revenir dessus, parce que les lendemains qui chantent, depuis 1968, je ne compte même plus combien j’ai pu en connaître.
Tout cela est finalement bien misérable et c’est dommage : Ils n’auront rien appris durant plus d’un demi-siècle !

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