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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 7 octobre 2022

Je suis encore KO…

… alors Jean-Marc prend le relai !
 
Jean-Marc dit à sa femme :
« ― Mon pantalon est seize !
― Comment ça… ‘‘est seize’’, je ne comprends rien » dit sa femme.
― Oui, il est très étroit. 13 plus 3 ! ».
 
Jean-Marc et Jean-Paul discutent devant une bière matinale :
« ― Comment savoir qui est le meilleur coup masculin dans un camp de nudistes ?
― Simple, c’est celui qui peut transporter une douzaine de beignets sans les mains.
― Et le meilleur coup féminin ?
― Facile : C’est celle qui parvient à manger le douzième beignet sans les mains. »
 
« ― Docteur, j’ai demandé à ma femme de me dire quand elle avait un orgasme.
― C’est très bien, qu’a-t-elle répondu ?
― “Mais chéri, tu ne veux quand même pas que je t’appelle au travail !” »
 
« ― Docteur, lorsque l’excitation commence à monter je dis à ma femme : “Dis-moi des choses sales !”
― D’accord. Et elle vous répond ?
― La cuisine, la salle de bain, les WC… »
 
Germaine et Marie-Chantal prennent le thé :
« ― Prétendre connaître véritablement un homme sans avoir goûté à son sperme équivaut à juger un vin uniquement sur l’étiquette.
― Idem pour la femme. »
 
Messieurs,
Vous venez de rencontrer une femme, et vous l’invitez à dîner.
Pendant le repas, vous remarquez qu’elle se touche très souvent les cheveux… BON SIGNE.
Et pour preuve, des études montrent qu’une femme attirée par un homme se touche environ vingt fois plus les cheveux au cours d’une discussion que quand elle n’a pas envie de lui plaire.
Un “tic” qui en dit long…
 
Jean-Marc :
« Pourquoi portes-tu une brassière si tu n’as rien à mettre dedans ? »
Germaine :
« Tu portes bien des caleçons, toi ! »
 
Jean-Marc :
« Depuis la première fois que mon regard s’est posé sur toi, j’ai eu envie de te faire l’amour d’une façon terrible ! »
Germaine :
« Tu as très bien réussi. »
 
Jean-Marc :
« 10 cm de plus et je serais roi ! 
Germaine :
« 10 cm de moins et tu serais reine ! »
 
Germaine, Marie-Chantal et Anne-Sophie discutent :
L’une d’elle dit aux autres :
« ― Moi mon mari, quand il me fait l’amour c’est comme une Ferrari, ça va à une vitesse affolante.
― Moi le mien, c’est comme une Rolls, il est vraiment très confortable » dit la seconde.
« ― Eh bien moi », dit la troisième, « Mon mari c’est un vrai tacot, à chaque fois il faut que je le démarre à la main ! »
 
Elles continuent devant leur thé :
« ― Quelle est la différence entre “Oooh!” et “Aaah!” ?
― Facile : Avec 15 centimètres elle fait “Oooh!” et avec 20 centimètres, c’est un “Aaah!” prolongé. »
 
C’est un indien qui va à la taverne et demande à la serveuse un verre de gin.
La serveuse lui donne ce verre et l’indien le boit paye et s’en va.
Le lendemain, il revient et demande à la serveuse un verre de gin plus fort que celui de la journée précédente.
La serveuse lui sert un double gin, l’indien le boit paye et s’en va.
Au bout de la semaine, l’indien revient encore à la même taverne et demande à la serveuse un autre verre plus fort que les autres jours.
La serveuse va à l’arrière de sa boutique avec un verre. Elle lui verse de l’acide dans le verre et le donne à l’indien.
Le lendemain, l’indien revient à la taverne et la serveuse lui demande s’il veut un autre verre plus fort que celui des autres jours.
L’indien lui dit :
« Non, moi pissé dehors et brulé mocassins ! »
 
Jean-Marc fait la lecture d’une lettre de sa grande-tante trouvée dans un grenier.
St-Péteux-Cucufa-Mineur, 20 déc 1944.
« Mon cher fils,
Je prends ma plume pour t’écrire au crayon car le chat a renversé l’encrier.
Nous allions tous bien, mais depuis que le docteur est venu nous sommes tous malades.
Je te dirai que depuis que tu es parti on s’aperçoit de l’absence de ta présence.
Tâche de faire un bon soldat comme ton père qui a eu 4 blessures, une à Madagascar, l’autre à la fesse, une à l’improviste, puis la dernière à bout portant.
Je t’annonce le mariage de ton oncle avec cette dame qui nous a tant fait rire à l’enterrement de ta cousine.
Fais bien attention, les cochons crèvent tous en ce moment, Ernest Lapointe y a passé avec.
Il y aura une fête au village et il y aura une course d’ânes.
Monsieur le maire regrette que tu ne sois pas là, tu aurais certainement gagné le prix.
Si tes chaussettes sont trouées, envoie-moi les trous que je les raccommode.
Je t’envoie des chemises neuves que j’ai faites dans les vieux pantalons de ton père, quand elles seront usées, renvoie-les moi que j’en fasse des neuves à ta sœur.
Le vétérinaire est venu soigner les maladies des bêtes à cornes (taureaux, vaches) il en a profité pour soigner ton père.
À part cela, rien de nouveau si ce n’est que la vache a eu un veau, le petit va toujours à l’école.
Si tu n’as pas le temps de m’écrire, écris-moi pour me le dire.
Ne fais pas d’imprudence et si tu tombes malade, viens mourir ici : ça me fera bien plaisir de te voir mourir avec nous autres.
Ta mère qui pense à toi quand elle tire les vaches.
Léopoldine »
 
Après de longues études de droit, il ouvre enfin son bureau d’avocat…
La secrétaire fait entrer un premier visiteur. Pour impressionner le nouveau venu, il saisit son téléphone et lui demande d’attendre un instant.
Il reste ainsi plusieurs minutes faisant semblant de répondre à un appel :
« Oui, bien sûr ! Je ne laisserai pas tomber ! Cette affaire me semble d’ailleurs simple… En effet, je suis persuadée que lors du prochain jugement, le Juge nous donnera une sentence favorable et nous gagnerons !!! »
Il reste ainsi pendu au bout du fil.
Après avoir raccroché, il se tourne vers le nouveau venu et lui demande d’une voix posée :
« ― Eh bien, jeune homme, que puis-je faire pour vous ?
― Je viens pour brancher votre téléphone… »
 
Un gay rend visite à un médecin et ce dernier prend son stéthoscope, écoute le cœur et demande au gai de dire ‘‘33’’.
Le gay dit : “33”.
Le médecin fait installer le gay pour un toucher rectal, introduit un doigt dans l’anus et demande à nouveau au gay de dire ‘‘33’’. Et le gay dit :
 ‘‘1, 2, 3, 4, …’’
 
Connaissez-vous le point commun entre une tornade et une femme ?
Elles arrivent toutes les deux chaudes et humides et repartent avec votre voiture et votre maison.
 
Jean-Marc et Jean-Paul, à l’heure de l’apéritif :
« ― Comment appelle-t-on un dinosaure gay ?
― Un Perforanus ou Tripottanus
― Bien ! Et comment appelle-t-on un gay non confirmé ?
― Un P’titanus.
― Très bien ! »
 
Le directeur d’un hôpital rattrape un patient pied nu qui sort en courant de son établissement :
« ― Mais enfin monsieur pourquoi vous êtes-vous enfui du bloc opératoire ?
― C’est parce que l’infirmière a dit : « Allons, soyez courageux, ce n’est qu’une appendicite. C’est simple comme opération ! »
― Et alors ? Elle a dit ça pour vous rassurer !
― Ce n’était pas à moi qu’elle le disait, mais au chirurgien ! »
 
Un homme entre dans un bar.
Il demande un gin au barman et, en plus, il lui demande de lui en servir un autre dans un dé à coudre.
Le barman s’exécute et pose le dé à coudre rempli de gin sur le bar.
Le gars fouille dans sa poche intérieure et un petit homme de quelques centimètres sort, descend le long de son bras, boit le dé à coudre, remonte se cacher dans la poche du veston.
Le barman n’en revient pas…
« ― Mais d’où il sort ce petit bonhomme ? C’est incroyable. Où l’avez-vous trouvé ?
― En Afrique. Euh… L’endroit s’appelait… attendez que je me souvienne. Je l’ai sur le bout de la langue… »
Le gars ressort le petit bonhomme et lui parle doucement… 
« Hé, Bob… comment il s’appelait le village où t’as traité le sorcier de trou de c… ? »
 
Madame se rend à Paris-Sorbonne visiter son fils qui est étudiant et qui vient d’aménager dans un nouvel appartement.
Lors de sa visite, elle constate à sa grande surprise que le co-locataire de son fils se nomme Julie et est très jolie.
Elle ne fait pas de remarque mais tout en soupant son fils lui dit :
« ― Tu sais, maman, ce n’est pas ce que tu penses. Julie n’est qu’une copine, il n’y a rien entre nous deux et comme tu peux voir nous avons chacun notre chambre.
― Oui, oui », dit la mère. « Je te crois, je sais que tu me dis la vérité. »
Environ une semaine après le départ de la mère, Julie constate qu’il lui manque une cuillère en argent.
« Ce ne serait pas ta mère qui l’aurait emportée par erreur ? »
Alors le fils décide de téléphoner à sa mère.
« Est-ce que tu n’aurais pas la cuillère de Julie dans tes bagages ? »
Et la mère de répondre :
« Bien dis, à Julie que si elle couchait dans son lit, il y a longtemps qu’elle l’aurait retrouvée. »
 
Le patron à son employé :
« ― Est-ce que vous croyez à la vie après la mort ?
― Heu, oui patron…
― Ah, alors tout va bien.
Parce qu’hier, après que vous ayez quitté le travail plus tôt pour aller à l’enterrement de votre grand-mère, elle est passée pour vous dire un petit bonjour. »
 
Cs sont trois copains vampires qui rentrent dans un bar, et s’adressant au barman commandent. Le premier dit :
« Pour moi, ce sera une pinte de bon sang. »
Le deuxième :
« Pour moi aussi, une pinte de bon sang. »
Le troisième :
« Moi je prendrais un verre de plasma ».
Alors les deux autres se retournent vers leur copain et lui demandent :
« Ben qu’est-ce que t’as ? Pourquoi tu ne bois pas comme d’habitude ? »
Et l’autre :
« C’est le médecin m’a dit de me mettre au régime… »
 
Un homme se plaint de terribles maux d’estomac.
Il va chez le docteur et lui demande ce qu’il peut faire. Le docteur répond que la maladie est assez sérieuse mais peut être guérie en insérant un suppositoire au plus profond de son passage anal.
L’homme consent.
Le docteur le prévient de la douleur et lui dit de se pencher.
Il lui pousse la chose au plus profond de son derrière.
Le docteur lui donne une deuxième dose et lui dit de répéter la même chose dans six heures.
L’homme retourne donc à la maison. Plus tard le soir venu, il essaie d’insérer le deuxième suppositoire mais il ne peut atteindre la profondeur exigée.
Il appelle sa femme et lui dit quoi faire.
La femme fait un signe de la tête, met une main sur son épaule pour le stabiliser et avec l’autre main elle pousse le médicament.
Soudain, l’homme crie…
« ― Merde !
― Je t’ai fait mal ?
― Non, mais je viens juste de me rendre compte que quand le docteur a fait ça, il avait les DEUX mains sur mes épaules. »
 
Trois américains sont à l’hôtel à Paris et au petit déjeuner viennent à parler du genre du mot “cuillère” en français.
Le premier dit :
« Je pensé que c’était dou masculine car hier soir j’ai entendou lé voisin de mon chambre il a dit : “J’ai lavé mon cul hier.” »
La deuxième réplique :
« Non, je pensé que c’était dou féminime car moi aussi j’ai entendu mon voisin qui disait : “J’ai lavé ma queue hier.” »
Et le troisième, pour les mettre d’accord réplique :
« Je né savais pas si c’était dou masculine ou dou féminime mais jé suis sour que c’était dou plouriel. Mon voisin à moi il a dit : “J’ai lavé mes couilles hier. »
 
Marie-Chantal demande à Germaine :
« ― Qu’elle est la différence entre le cerveau d’un homme et un petit pois ?”
― Mais la couleur, voyons ! » répond-elle.
 
Bonne journée à toutes et à tous !
J’essaye de récupérer
 
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