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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 octobre 2022

Je ne vais pas mieux.

Jean-Marc non plus : Il se répète à en devenir gâteux
 
La preuve : c’est la série des « revenues »…
 
Le premier jour de classe, un étudiant se présente devant le professeur, trempé jusqu’aux chevilles, le prof lui dit :
« ― Comment se fait-il que tu sois trempé ainsi ?
― Je suis allé sortir du bois de l’eau.
― Qu’est-ce que c’est ça, sortir du bois de l’eau, la première journée ? Va t’asseoir ! »
Un deuxième étudiant arrive trempé jusqu’à la taille. Le professeur lui demande la même chose, l’étudiant lui répond :
« Je suis allé sortir du bois de l’eau ! »
Le professeur l’envoie s’asseoir aussi.
Un troisième arrive, trempé jusqu’au cou, le professeur exaspéré lui dit :
« ― Tu es allé sortir du bois de l’eau toi aussi ?
― Non, non ! », lui répond le jeune. « C’est moi DUBOIS. »
 
Après sa première nomination par Giscard comme Premier Ministre, Jacques Chirac a visité l’hôpital Sainte Anne à Paris, l’hôpital pour maladies mentales.
Mr. Chirac voit un patient qui a l’air bien et lui dit :
« Qui êtes-vous mon brave ? »
Et le gars de répondre :
« ― Je suis Napoléon Bonaparte et toi qui es-tu ?
― Moi, je suis Jacques Chirac, Premier Ministre du pays. »
Et le patient de répliquer :
« Ah oui, Premier Ministre hein, moi aussi, au début lorsque je suis arrivé ici, j’étais premier ministre. »
 
Un homme sur son lit de mort…
Toute la famille est à son chevet ; sa femme et les quatre enfants.
Trois grands garçons, beaux et robustes et un quatrième, rachitique et moche comme un pou.
Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
« Chérie, jure-moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir ! »
Sa femme lui pose l’index sur les lèvres et le rassure :
« Chhht. Bien sûr mon chéri qu’il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère ! »
Et l’homme s’éteint, heureux…
Alors sa femme murmure entre ses dents :
« Heureusement qu’il ne m’a pas demandé s’il était le père des trois autres… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière, attablés à la terrasse de leur café habituel :
« ― Comment se reproduisent les hérissons ?
― Avec beaucoup de précautions. »
 
Plus tard, devant une autre bière :
« ― Quelle est la sanction pour la bigamie ?
― Évident : Deux belles-mères, tiens donc ! »
 
« ― Quel est le comble de la frustration pour un boxeur ?
― Tout le monde sait que c’est d’avoir envie de se gratter les couilles avec des gants de boxe ! »
 
De leur côté, Germaine et Marie-Chantal, prennent le thé dans un autre quartier de la ville.
Et se posent des questions « métaphysiques » :
« ― Que dire à l’homme avec lequel vous venez tout juste de faire l’amour ?
― Dites n’importe quoi, chère amie… de toute façon, il dort déjà. »
 
Sur le Titanic après avoir heurté l’iceberg, c’est l’affolement général à bord.
On met les chaloupes à la mer, tout le monde veut sauter dedans et, en tête, il y a un Français qui est immédiatement arrêté par un Anglais qui lui dit :
« Je suis désolé, jeune homme, mais avez-vous remarqué qu’il y a des femmes à bord ? »
Et le Français répond :
« Franchement, vous croyez que j’ai envie de faire ce que vous pensez à un moment pareil ? »
 
Un septuagénaire qui était marié depuis quelques semaines à une très jolie jeune fille de 28 ans, entre en panique dans le bureau du médecin.
« ― Docteur ! J’ai un problème. Je suis marié depuis 15 jours à une belle jeune fille qui m’aime et que j’adore !
― Je ne comprends pas votre problème, vous devriez pourtant être heureux !
― Oui docteur, mais je ne sais plus où je demeure. »
 
Jean-Marc, philosophe à propos de religion :
« Moi, ce que je reproche à Dieu, c’est qu’il donne la nourriture aux riches et l’appétit aux pauvres.
C’est injuste. »
 
Son pote Jean-Paul :
« ― Jean-Marc, tu peux prendre une autre bière pour te consoler.
― Non. Merci. J’en ai déjà pris trois.
― Tu en a pris cinq.
Mais ne vais pas croire que je les compte.
Je ne suis pas comme ça. »
 
Marie-Agnès se promène au jardin public avec ses trois enfants, quand elle rencontre Marie-Andrée.
« ― Comme je suis contente de te voir ! Comment vas-tu ?
― Très bien, merci.
― En effet, tu as l’air radieuse. Et tes trois petits chéris sont magnifiques. Quel âge ont-ils maintenant ?
– L’avocate a deux ans, le chirurgien trois ans, et la banquière cinq ans déjà ! »
 
Après avoir reçu la demande d’effectuer un sondage sur Terre pour voir les comportements de l’homme, St-Pierre était devant Dieu pour lui faire rapport de ses observations.
« ― Dites-moi St-Pierre, ce que vous avez remarqué.
― Je suis très déçu de devoir vous apprendre de telles choses, Seigneur, mais les hommes se comportent en état de péché.
Il y a la drogue, la boisson, les meurtres, il y a de tout.
C’est tout comme Sodome et Gomorrhe.
Mais le pire de tout ça, c’est cette obsession de faire l’amour oral.
Selon mon sondage, 88 % de la population le pratique de façon régulière, même que quatre sur cinq dentistes le recommande.
J’ai bien peur que s’en soit devenue une épidémie.
― Hmmm », dit Dieu songeur. « As-tu des recommandations pour diminuer une telle perversion sexuelle ?
― Je crois que nous devrions envoyer une missive à celui ou celle qui pratique l’amour oral.
Cette missive serait une mise en garde de ce qui pourrait leur arriver lors du jugement dernier, s’ils ne cessent pas ce genre d’activité sexuelle.
― C’est une excellente suggestion » réplique Dieu. « Mais plutôt que de punir ceux qui pratiquent cette activité, nous devrions récompenser ceux qui ne la pratiquent pas.
Nous enverrons une missive signée de ma propre main. »
« Tu sais ce que disait la missive ? » demande Jean-Marc à Jean-Paul.
« ― Non, pourquoi ?
― Je crois que tu n’as pas reçu la missive non plus… hein ? »
 
Un jour dans une ville de l’Ouest américain au temps des cowboys et des indiens, un barman avait mis un panneau à l’entrée de la ville :
« OFFRE UN REPAS À CELUI QUI FERA RIRE MON CHEVAL »
Un étranger arrive et parle au creux de l’oreille du cheval et celui-ci se met à rire s’en pouvoir s’arrêter.
Le lendemain le barman change le panneau :
« OFFRE UN REPAS À CELUI QUI FERA PLEURER MON CHEVAL »
L’étranger approche à nouveau du cheval et celui-ci se met à pleurer 30 secondes plus tard.
Décontenancé, le barman demande son truc à l’étranger.
« Simple, hier je lui ai dit que j’en avais une plus longue que lui et il a éclaté de rire. Et aujourd’hui je lui ai montré. »
 
Deux filles discutent :
« ― Moi je sais comment on fait les bébés !
― Eh ben moi, je sais comment on ne les fait pas ! »
 
Une prostituée commençait à prendre de l’âge et se promenait sur la rue en espérant attraper un éventuel client.
Elle était nue sous son manteau lorsqu’elle croisa un homme d’un certain âge, elle se dit, voilà ma chance.
Elle ouvre son manteau et lui demande :
« ― Combien tu me donnes ?
― 60 !
― Euros ?
― Non 60 ans ! »
 
Jean-Marc se rend à une réunion d’affaires. Comme il est très en avance, après avoir laissé ses bagages au motel, il décide d’aller au golf…
Préoccupé par le discours qu’il doit prononcer, il réalise qu’il ne sait même plus où il est sur le parcours.
Il s’approche d’une dame et lui explique, embarrassé, qu’il ne sait plus sur quel trou il s’engage.
« ― Je suis sur le 7ème trou et vous êtes un trou en arrière de moi, alors vous devez être sur le 6ème trou.
― Merci. Merci beaucoup. »
Un peu plus tard, la même chose se reproduit et il interroge encore la femme.
« ― Je suis sur le 14ème, vous êtes un trou en arrière de moi, alors vous devez être sur le 13ème.
― Merci. Merci beaucoup. Vous êtes vraiment charmante. »
Au Club house, il voit la femme, seule au bar.
Il s’informe au près serveur qui lui dit qu’elle est une vendeuse et qu’elle vient jouer souvent.
Il se dirige vers la femme.
« ― Laissez-moi vous offrir un verre pour vous remercier de votre aide, tout-à-l’heure. On me dit que vous êtes dans la vente. Je suis dans la vente moi aussi. Qu’est-ce que vous vendez ?
― Si je vous le dis, vous allez rire.
― Non, je vous le promets.
― Je vends des serviettes sanitaires. »
Jean-Marc éclate de rire.
À en perdre le souffle.
« ― Voyez, je vous avais bien dit que vous ririez.
― Non. Non. Non. Ce n’est pas pour ça que je ris. Mais pas du tout !
― Alors… pour quelle raison ?
― Ben, je suis directeur des ventes d’un fabricant de papier de toilette, alors ici comme sur le terrain de golf, je suis encore un trou derrière vous ! »
 
Jean-Marc, à l’église :
« ― Mon père, puis je-faire l’amour à ma femme demain, même si c’est Vendredi Saint ?
― Oui, pas de problème.
― Avec ma maîtresse ?
― NON !
― Pourquoi ?
― Parce que tu ne dois pas prendre de plaisir. »
 
Une vieille dame qui tournait en rond depuis longtemps voit enfin une place libre pour sa voiture.
Comme elle manœuvre pour reculer, une voiture sport se faufile à grande vitesse, et vole sa place.
Un jeune sort de la voiture et lance un clin d’œil à la vieille dame en disant :
« JEUNE et RAPIDE ! »
La dame, offusquée et irritée, fonce à toute vitesse dans l’automobile du jeune homme.
Elle fait un clin d’œil au jeune homme, avec un sourire en coin :
« VIEILLE et RICHE ! »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
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