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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 30 septembre 2022

Jean-Marc à son épouse

Vie de couple…
 
Jean-Marc dit à son épouse :
« Tu parles comme une idiote. »
Germaine :
« Je parle pour que tu me comprennes. »
 
Un médecin :
« Je ne peux réellement voir quel est votre problème. Ce doit être une affaire de boisson. »
Jean-Marc :
« Très bien, docteur, je reviendrai quand vous serez sobre. »
 
C’est le jeune Jean-Marc qui dit à sa copine du moment :
« ― On va vraiment pouvoir se la couler douce ce soir, j’ai pris trois places pour le théâtre !
― Ben, On n’a pas besoin de 3 places, deux suffisent, non ? »
Jean-Marc lui répond :
« Mais non, une place pour ton père, une pour ta mère et une pour ta petite sœur ! »
 
« ― Suis-je trop tard pour les vidanges », demande la vieille femme, en robe de chambre, au vidangeur.
« ― Non madame, sautez dans le camion ! »
 
Le Juge :
« Avez-vous un avocat ? »
Le témoin :
« Non, monsieur le Juge, je veux dire la vérité. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière matinale :
« ― As-tu déjà remarqué que sur les préservatifs, il y avait des codes-barres ?… 
― Non ?
― Eh bien, c’est parce que tu ne les déroules pas jusqu’au bout. »
 
La maîtresse d’école demande à Jean-Gabriel :
« ― Il y a trois oiseaux sur une branche et je prends mon fusil et j’en tire un, combien en reste-t-il ?
– Il n’y en a plus, les autres sont partis, ils ont eu peur…
– Non, non Jean-Gabriel. Tu vois 3 oiseaux moins un fait qu’il reste deux oiseaux sur la branche. Mais j’aime bien ta façon de penser. »
Quelques jours plus tard, cette fois-ci c’est Jean-Gabriel qui demande à sa maîtresse d’école :
« ― Il y a trois femmes qui marchent sur le trottoir, chacune ayant un cornet de crème glacée à la main. La première tient son cornet, l’autre suce son cornet et la dernière croque son cornet. Laquelle est mariée ? »
La maîtresse répond
« ― Heu… Celle qui suce…
― Non, non c’est celle qui a une bague au doigt. Mais j’aime bien votre façon de penser… »
 
Dans une réunion d’Alcooliques Anonymes, Jean-Marc témoigne :
« ― Je me souviens de la première fois où j’ai utilisé l’alcool comme produit de substitution aux femmes.
― Oui, et alors, que s’est-il passé ? » demandent les autres.
« Eh bien, je me suis retrouvé avec ma bite coincée dans le goulot de la bouteille. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une seconde bière matinale :
« ― Quelle est le lien entre une femme enceinte et une tarte brûlée ?
― Aucune idée !
― Dans les deux cas, on n’a pas retiré assez vite. »
 
Une exception (qui confirme la règle) :
C’est une blondasse bien tournée roule dans la Porsche 911 Carrera que lui a offert son mari.
Heureuse, elle file sur les sinueux chemins de campagne lorsqu’elle tombe en panne.
Que se passe-t-il ?
Elle sort de la voiture et ouvre le capot.
Horreur : Le moteur n’est plus là !
Elle en déduit qu’on lui a volé le moteur.
Elle est totalement désemparée.
Elle pleure à chaudes larmes.
Miracle !
Une Porsche identique apparaît dans le virage et s’arrête. Au volant, une autre blondasse.
La première explique à la seconde qu’on lui a volé son moteur et lui montre le capot vide.
La seconde va immédiatement vers l’arrière de sa voiture…
« Vous avez de la chance, j’ai un moteur de rechange dans mon coffre ! Prenez-le. »
 
Une blague de « Dumè » :
C’est Toto à l’école et la maîtresse demande :
« Quels sont les animaux qui roucoulent ? »
Toto répond :
« La tourterelle ! »
La maîtresse dit :
« C’est bien Toto. »
Mohamed dit :
« Non, c’est le chameau. Parce que quand il est sur la chamelle, il avance, il roucoule. »
 
Deux femmes ramassent des carottes dans un jardin.
L’une d’elles prend une grosse carotte dans ses mains et la montre à sa copine.
« ― Elle me fait penser à celle de mon mari !
― Aussi grosse que ça ? » dit l’autre femme toute impressionnée par la grosseur de la carotte.
« Non, aussi sale ! »
 
« ― Patron, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
― Eh bien, donnez-moi la bonne !
― Vous n’êtes pas stérile ! »
 
« ― Docteur ? Vous avez dit Capricorne ?
― Non madame. Cancer ! »
 
C’est un militaire, un électricien et un dentiste qui ont un ami commun qui va bientôt se marier.
Tous les quatre sont des rigolos qui se font toujours des farces.
Aussi, chacun des 3 gars décident de jouer un bon tour à l’ami commun pour sa nuit de noces.
Le lendemain du mariage, le jeune marié retrouve ses amis pour prendre une bière.
Il dit à l’électricien :
« Pas mal ton idée du petit choc électrique lorsqu’on s’est installé sur le lit. »
Puis il se tourne vers le militaire :
« Le lit en portefeuille, c’était plutôt sympa aussi et on a bien rigolé. »
Et enfin, le gars se tourne vers le dentiste et dit :
« En revanche, TOI, tu as été trop loin. Quelle idée de mettre de l’anesthésique local dans la vaseline ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul prennent l’apéritif et discutent :
« ― Tu vois, c’est bizarre la langue française.
Tu as par exemple le mot chat qui a deux écritures possibles.
Il y a le chas de l’aiguille qui s’écrit avec un S, c’est le trou dans lequel on enfile le fil et il y a le chat que tu caresses et qui s’écrit avec un T.
― Et le chat de la femme, ça s’écrit avec un S ou un T ?
― Ça dépend si on le caresse ou si on l’enfile ! »
 
Jean-Marc rentre à la maison un bon soir, et sa femme lui :
« Il y a deux mouches fatigantes, va donc les tuer. »
Jean-Marc part avec la tapette à mouche revient et dit à sa femme :
« C’était deux mouches femelles, elles sont mortes. »
Germaine lui dit :
« ― Comment peux-tu savoir que c’était des mouches femelles, … franchement !
― Il en avait une sur le téléphone et l’autre dans la fenêtre. »
 
Marie-Chantal et Germaine :
« ― Je suis sorti avec mon ami Jean-Oscar, hier soir. Tu sais comme il est timide.
― Oui.
― Bien, j’ai essayé de l’encourager, finalement, il m’a dit “Je t’aime” et a mis ses deux mains sur mes genoux.
Je lui ai alors dit : “Un peu plus haut”. Il m’a alors répété :
“JE T’AIME !”. »
 
Comme la jolie jeune fille enlevait ses vêtements, sa mère lui demande :
« ― Es-tu enceinte ?
― Oui.
― Qui est le père ?
― Comment puis-je le savoir, tu ne veux jamais que je sorte deux fois avec le même homme ! »
 
Jean-Charles et Jean-Marc discutent avec Jean-Paul autour d’un digestif :
Jean-Charles va se marier et il est bien embêté :
« ― Je ne suis pas sûr que ma femme soit encore vierge. Tu n’aurais pas un truc pour que je le sache ?
― Oh si ! J’ai un super truc. Tu vas voir, c’est simple.
Tu as besoin de peinture rouge, de peinture bleue et d’une pelle.
Tu vas te peindre une couille en bleu, une couille en rouge, et si lors de ta nuit de noces ta femme te dit :
“Ah ah ah, c’est la paire de couilles la plus drôle que j’ai jamais vu” alors tu l’assommes avec la pelle. »
 
« ― Pourquoi les femmes vivent plus longtemps que les hommes ?
― Parce qu’elles n’ont pas de femmes ! »
 
« Quand tu argumentes avec ton épouse, pour garder la bonne entente, assure-toi que tu as bien raison, et laisse tomber l’affaire. »
 
Un jour, un professeur annonce fièrement à toute la classe que sa femme vient d’accoucher d’une jolie petite fille.
Naturellement, tous les élèves le félicitent pour cet heureux événement.
Tous, sauf Jean-Pierre qui lui demande :
« Est-ce qu’on connaît déjà le père ? »
 
Jean-Jacques travaille comme valet chez un couple fortuné.
La femme, ravissante, est beaucoup plus jeune que son mari.
Un soir, ils annoncent à leur valet qu’ils rentreront très tard, mais l’épouse revient seule beaucoup plus tôt que prévu.
En arrivant elle aperçoit Jean-Jacques et lui dit :
« Jean-Jacques, venez dans ma chambre. »
Il la suit, elle ferme la porte et lui dit :
« Enlevez ma robe. »
Il obéit.
« Mes bas, maintenant. »
Il les enlève.
« Et mes dessous ! »
Il s’exécute.
« Maintenant, Jean-Jacques », fait-elle en le regardant dans les yeux, « que je ne vous reprenne plus à porter mes vêtements ! »
 
Jean-Claude discute avec Jean-Marc devant un verre de digestif :
« ― Eh bien que t’arrive-t-il ?
― Tu te souviens quand je travaillais à Vires, et bien je me suis fait virer !
― Oui, et après ?
― Après j’ai bossé à Limoges et je me suis fait limoger…
― Euh, oui… Et après ?
― Après, j’ai travaillé à Lourdes et je me suis fait lourder…
― OK… Et c’est pour ça que tu t’en fait ?
― C’est à dire qu’aujourd’hui on me propose un boulot à Castres… Alors, j’hésite un peu… »
 
Au guichet automatique accessible par automobile…
Lui :
1 - S’approche du guichet
2 - Rentre sa carte
3 - Compose son numéro d’identification
4 - Prend son argent, sa carte, son reçu et s’en va.
Elle :
1 - S’approche du guichet
2 - Arrête le moteur
3 - Met le frein à main
4 - Met les clés dans sa sacoche
5 - Sort de la voiture parce qu’elle s’est stationnée trop loin du guichet
6 - Cherche sa carte dans sa sacoche
7 - Rentre sa carte
8 - Cherche dans sa sacoche le papier d’enrobage de gomme Dentine avec le numéro d’identification écrit dessus
9 - Compose son numéro d’identification
10 - Retire son argent
11 - Retourne à l’auto
12 - Démarre la voiture
13 - Avance quelques mètres
14 - ARRÊTE
15 - Recule à la machine
16 - Sort de la voiture
17 - Ramasse sa carte et son reçu
18 - Retourne à la voiture
19 - Met sa carte dans son porte-monnaie
20 - Place son reçu dans son carnet de courses
21 - Nettoie un endroit dans sa sacoche pour son porte-monnaie et son carnet de courses
22 - Met la voiture en marche avant
23 - S’en va
24 - Roule sur 3 kilomètres
25 - Enlève le frein à main…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3

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