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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 14 septembre 2022

2022, l’année électorale de Charlotte (34)

33 – Polémiques
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existantes par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Et ces constats font revenir aux années « Makarond employé de banque », où il joue un rôle clé dans le rachat de la branche nutrition infantile de Pfizer par le groupe Nestlé.
Un « deal » de 9 milliards d’euros. Une transaction qui aurait permis à Rothschild de gagner entre 45 et 135 millions d’euros en disent les « spécialistes » et qui aurait pu rapporter gros à l’énarque en dit-on.
À ces niveaux-là, les commissions, c’est effectivement 0,5 % des montants de la transaction et seulement 45 millions d’euros, me précisera un jour Gustave.
« Quand j’ai vendu à Pamentir le logiciel BBR pour un milliard net de frais et d’impôt, donc avec la signature du ministre des finances de l’époque, à savoir le président Makarond, ça aura coûté plus que ça à l’acheteur[1]. »
Et Paul me précisera plus tard que les commissions sur cette opération ont été de 2,4 % : « C’est simple, Makarond avait besoin de 8 millions d’euros pour amorcer sa campagne électorale de 2017. Soi-disant des « dons »… On a forcé la main à tout le monde, à l’acheteur, un prestataire de la CIA et du FBI et à même Gustave, le vendeur qui ne l’était pas, mais mon absence, mon « empêchement » alors que je découvrais les Chagos, aura été déterminante. Et le ministre a donc pu donner sa signature contre 0,8 %, soit un tiers des « frais », les autres intermédiaires s’étant gargarisé du reste, pour conclure le « deal ».
Bref, cher.
Et après il n’aura plus eu qu’à « blanchir » ces sommes en émettant des crédits d’impôt liés au financement des partis politiques à ses copains et aux copains des copains : une bonne affaire ! »
 
Je me suis fait confirmer ces propos par une source « ouverte », à savoir le site américain « Marge and aquisition source » qui indique que les banques d’affaires perçoivent en moyenne entre 0,5 % et 1,5 % des « deals » supérieurs à 500 millions d’euros.
2,4 %, sur un milliard, c’était donc « très cher »…
Or, un tiers de ces commissions va au staff (l’équipage), un tiers à la banque (l’armateur du navire), et un tiers au « capitaine » qui mène la manœuvre, selon la bonne vieille loi de la flibuste et des marins Phéniciens de l’antiquité.
C’est archi-connu.
Or, un tiers de 45 millions pour Pfizer, ça fait bien 15 millions d’euro.
Un confrère journaliste en dit très justement que : « C’est lui qui a fait de Nestlé un client de Rothschild puis qui, en un week-end, les a convaincus de faire la proposition déterminante, alors que les négociations entre Pfizer et Danone capotaient. Dès lors, nos sources estiment qu’il aurait très probablement touché entre 5 et 10 millions de ‘‘bénéfices industriels et commerciaux’’ », détaille-t-il.
Peut-être n’est-il pas une source aussi fiable que ça…
On n’est donc plus dans la cédule « Traitement, Salaire, Pension et Rente Viagère », mais… ailleurs, chez les commerçants, ce qui change tout !
Sauf que si c’est logique, puisqu’un associé-gérant soit considéré aux yeux du fisc comme un commerçant (c’est dans la loi du code de commerce et des sociétés), ça n’a pas d’intérêt : il vaut mieux toucher ses sommes sous formes de « managment fees » qui tombent dans la cédule des BNC (Bénéfices non commerciaux).
En effet, n’est imposable et cotisable au titre des BNC que ce qui a été réellement encaissé dans l’année. Mais ça reste déductible des résultats de la banque du moment que c’est contractuellement dû, par le jeu de provisions pour charges, au titre des BIC et de l’impôt sur les Sociétés.
Par conséquent, il suffit de ne pas « toucher » la prime pour n’en être pas vraiment détenteur et elle échappe — au moins provisoirement — à la cascade d’impôts et cotisations sociales de tout poil.
Naturellement, dans ces conditions, elle n’a pas à figurer dans une quelconque déclaration de patrimoine, cela va de soi…
 
De toute façon, il s’agit d’une somme astronomique, bien loin des 3 millions déclarés et évaporés, soit à peu près un SMIC claqué par jour même le dimanche, qui ne laisse aucune trace dans son patrimoine entre deux déclarations : on ne peut que noter l’invraisemblance…
Toute la question qui s’est posée aux journalistes investigateurs est : où, si cet argent existe bel et bien, pourrait-il être ?
« Une source anonyme affirme que la banque Rothschild avait coutume de verser une part importante de ce type de rémunération sur des structures opaques dans des paradis fiscaux », confie Jean-Baptiste Rivoire, mon « collègue » journaliste.
Cette même source aurait expliqué aux journalistes que la banque avait conclu un arrangement avec Bercy en 2000, pour que les honoraires (BNC et non ni TS, ni BIC) de ses associés ne soient pas uniquement versés en France.
Or, dans le seul rescrit répertorié, ce n’est pas ça et ce n’était pas en 2000, puisqu’il date de bien avant.
En fait, il s’agit d’un « rescrit » toujours en vigueur délivré par le SLF (Service de la Législation Fiscale), portant sur des salaires (TS), qui à l’origine ne visait que les « pilotes au long-cours » des compagnies aériennes françaises.
Une pratique assez courante dans le milieu, y compris maritime, et ce rescrit-là, a été délivré en 1998, au moment des grèves lancées par « le Capitaine Haddock » et « Corps-Bête » le moustachu, chez « Air-France », le syndicat des pilotes de la compagnie.
Là, c’était une confirmation visant les « hautes rémunérations » (salariales) de la compagnie aérienne qui peuvent être versées « aux escales » (internationales) et donc échappent au fisc en « toute transparence ».
 
En y réfléchissant encore un peu plus, ce n’est pas ça non plus, parce que dans un communiqué publié jeudi 31 mars, Rothschild and Co a « démenti formellement » que « les banquiers en France seraient rémunérés à l’étranger ».
En effet, pour des salariés, du junior au partner en passant par le senior et toute la volée de qualifications qui existent, ils ont tous un salaire, plus des primes et bonus. Mais il en va autrement pour les associés-gérants : eux ne sont pas salariés, mais « gérants » (ils engagent leur fortune personnelle en cas de déconfiture), qui plus est « associé » (qui touche des dividendes).
Et là, tout est possible avec un « associé » qui en principe perçoit ses dividendes… là où ils sont versés (cédule des RCM, Revenus de Capitaux Mobiliers), ici ou là, voire ailleurs encore.
Normalement, le contribuable fiscalement domicilié en France doit en faire déclaration annuelle, sans ça c’est une fraude.
Mais depuis qu’existe cette maladie qu’on appelle « phobie administrative », qu’on soit député ou ministre, naturellement, on peut commettre en toute bonne foi des « omissions » (on a même un « droit à l’erreur ») qui sont acquises dès que la prescription fiscale, courte, passe par-là.
Et la banque sise à l’étranger n’a aucune obligation déclarative au fisc français qui ne peut pas émettre de bulletin de recoupement, de ceux qui permettent de retrouver un fraudeur et vous préparent vos déclarations préremplies…
Pas vu, pas pris, en quelque sorte…
 
De plus, la banque est encore plus précise : « Il n’existe aucun rescrit fiscal entre Bercy et la banque Rothschild pour défiscaliser hors de France les honoraires des associés gérants » ce qu’a confirmé à l’AFP le ministère de l’Économie et des Finances.
« Pas de fraude, pas de faits, pas de preuve », a réagi l’équipe de campagne de Makarond.
Par conséquent, si ce n’est ni un salaire, probablement pas plus un BIC, il reste les BNC et les RCM…
Où il n’y a pas besoin de rescrit : tout le monde dit manifestement vrai !
Conséquemment, circulez, il n’y a plus rien à voir !
 
À noter au passage, me fait préciser Paul de Bréveuil, qu’une évasion fiscale peut ne pas être forcément au nom de la personne concernée, mais à l’égard d’une tierce personne, comme un trust par exemple, ce que rappelle également le journaliste, et ainsi la limite de la légalité n’est pas franchie.
Néanmoins, « les vrais bénéficiaires de ces trusts peuvent demander ensuite qu’on libère les fonds mis à l’abri et un avocat missionné par Rothschild les verse alors sur un compte souhaité par la personne ».
C’est d’ailleurs fait pour ça, un trust ou l’équivalent comme la LLC Providence.
Paul en use également avec sa « fondation luxembourgeoise ».
Sauf qu’on n’a pas besoin d’un avocat : Le « constituant » peut dissoudre une LLC quand il veut, ou disposer des fonds comme il l’entend, du moment que c’est prévu dans les statuts dès l’origine.
Inutile de préciser que c’est forcément prévu dès le premier jour.
Dans l’intervalle, les sommes n’appartiennent juridiquement plus au « constituant », peut-être éventuellement au(x) « bénéficiaire(s) » désigné(s) à l’occasion d’un événement prévu au préalable, en général le décès du constituant, puisqu’à l’origine, la fiducie, est faite pour ça.
Et elles sont gérées par le tiers détenteur (en général un banquier, Lady Joan à Londres pour Paul) qui spécule sur les marchés selon les instructions reçues du constituant… sans impôt ni cotisation puisqu’il n’y a pas de décaissement, surtout si le trust est domicilié dans un paradis-fiscal.
Qui eux n’existent d’ailleurs que parce qu’il y a encore des « enfers-fiscaux » autour de la planète… rappelons-le !
 
En bref, lesdits journalistes d’investigation tiennent enfin le bon « fil-rouge », mais ne l’ont pas déroulé entièrement et pas de la bonne manière.
Et cette information peut n’avoir aucun impact sur le scrutin à suivre pour survenir bien trop tard pour nuire au candidat dans cette campagne où les jeux semblent être déjà faits à ce moment-là. Ils ne peuvent qu’empoisonner la fin de cette « non-campagne » de l’impétrant.
Et puis je me souviens qu’en 2017, Carine Lapeine aura failli lâcher le morceau de la « LLC Providence », celle constituée par Makarond, quand il émargeait chez Rothschild, à l’occasion du débat entre-deux-tours.
Trop court, trop risqué, elle ne l’a pas fait et elle s’en est énervée : nous connaissons la suite.
 
Et la riposte intervient rapidement, de façon détournée, comme d’un écran de fumée, en instrumentalisant le Sénat qui aura sorti un rapport sur « McKinsey », en contre-feu superbe !
Il s’agit d’un rapport sénatorial sur le recours aux cabinets conseils de l’exécutif.
Ça fait des années que la Cour des comptes épingles le sujet, depuis au moins 2014 (une autre époque…) qui visait en réalité le Président Landau, justement histoire de détourner l’attention du public. Makarond était encore un inconnu à cette époque-là…
C’est comme une boutade : « Un consultant, c’est le type à qui tu demandes l’heure, qui t’emprunte ta propre montre, qui te dit ce qu’elle indique et que tu payes cher pour qu’il te la rende… »
Voilà résumé l’activité de McKinsey, BCG, Accenture et une quantité d’autres.
Il faut dire que, d’après Paul, leurs « experts » sont en général des « ratés » qui ne savent rien faire d’autre et ont même systématiquement échoué quand ils faisaient de « l’opérationnel ».
C’est même une issue de « reclassement » assez bien connue, même pour des « X », des « Pistons », des HEC et autres, après l’échec de leur éventuelle mission à la tête d’entreprise d’État et même de quelques sociétés cotées.
Mais pas seulement : même le fils du Président du Conseil Constitutionnel est associé chez ces gens-là, les mêmes qui dictent à l’exécutif les décisions sanitaires qui s’imposent. Le confinement a été ainsi conseillé par un quarteron de scientifiques tous liés avec les firmes de « Big-pharma » et par la suite, les mesures relatives au « pass-sanitaire » puis vaccinal, obligeant à la pratique de la vaccination, trois doses, sont le fait de ces cabinets de consultants, qui préconisent bien entendu le vaccin Pfizer à 18 euros la dose, éliminant tous les autres et, pire que ça, la validité de cette mesure aura été confirmé par le même Conseil Constitutionnel !
Pas un hasard, naturellement…
 
Évidemment, dans ces cabinets conseil, la principale dépense consiste néanmoins en des recours aux consultants chargés de pisser de la ligne de programmation.
IBM est champion à ce jeu-là, mais Capgemini et autres anciens « Bossard », plus quelques autres, sont de la partie pour se partager le boulot tellement ce travail d’encodage est difficile au possible… Par exemple, Dassault a ses propres ingénieurs, formés « maison » : ils ne font pas confiance aux anglo-saxons pour garder au secret leur savoir-faire.
Il n’empêche, on se souvient aussi du logiciel de paye de nos militaires dénommé « Louvois » qui aura terminé à la poubelle, l’armée se contentant finalement d’un progiciel acheté sur étagère à la Fnac (ou l’équivalent).
Ce n’est pas une blague et ça aura coûté des centaines de millions.
Pareil, plus récemment, pour le progiciel « Tous anti-covid » : ça existait déjà gratuitement chez Google, Apple et ailleurs, mais on avait décidé de posséder les « codes sources » (question de souveraineté et de sécurité, j’imagine) alors on en a fait tout un plat pour réinventer l’eau chaude…
Un choix politique ce jour-là dénoncé par le rapport du Sénat.
Qui fait bien marrer Paul et Gustave, parce que s’il s’agit de progiciels nécessaires pour communiquer ou guider des missiles, on aura l’air bête si les USA décident qu’on n’aura pas le droit de les utiliser sans leur demander la permission préalable avant chaque tir !
Il faut dire que les américains avaient fait déjà le coup avec la « bombinette » de De Gaulle et un peu plus tard avec les lanceurs spatiaux…
Tout le monde connait la suite, à savoir l’émergence d’une industrie nucléaire nationale et d’une industrie aérospatiale européenne presque totalement autonome.
 
Par conséquent, ce n’est pas vraiment le sujet, ni quant à l’utilité, ni quant aux procédures d’appel d’offre public, même si ça peut se discuter, ni quant à la quotité, quelques centaines de millions par an distribués sur une vingtaine de prestataires, ce n’est pas la mer à boire !
À peine 0,03 % de la masse salariale des fonctionnaires, tous services confondus.
C’est donc forcément que c’est autre chose.
 
Premier indice : ces boîtes, au moins l’une d’entre elle, ne payent pas d’impôt au pays…
« Vaste fumisterie » en dira mon patron.
D’abord, les Gafam en font autant depuis des années et ce sont des dizaines de milliards pas quelques 300.000 euros/an de chiffre d’affaires et ça ne gêne que notre « ministre du Trésor » qui reste bien seul sur ce sujet.
Ensuite, parce que ce ne sont que des boîtes de « neurones » et, sauf détachement temporaire, l’impôt et les cotisations sociales sont payées de toute façon en France, là où le détaché est… détaché provisoirement ou y habite depuis toujours.
Une énormité, là !
Reste que pour la « part du chef », (l’histoire des « trois-tiers » de « la flibuste », dont un revient au propriétaire de la boutique…) cette part-là des résultats est « aspirée » par la maison-mère qui est en principe domiciliée dans un paradis-fiscal.
Et le pognon sert à acheter et former des « petites-mains » pour étoffer les équipes.
Tout en fabriquant des rentes aux « pères fondateurs » qui font tourner la « boutique ».
Dans l’œil du cyclone, le cabinet McKinsey, pas vraiment le meilleur, est accusé d’avoir coûté très cher à l’État et de ne pas payer ses impôts en France.
Scandale ?
 
Il faudrait signaler aux sénateurs que pour concourir à un appel d’offre publique, il faut d’abord montrer « cul-blanc » et exciper une multitude d’attestations des administrations fiscale et sociale comme quoi on acquitte bien régulièrement ce qui leur est dû… depuis au moins 3 ou 5 ans.
On n’est donc pas à une contradiction près…
Et le ministère aura fait ouvrir une information judiciaire par le parquet financier pour fraude fiscale aggravée : un coup à fermer durablement le marché français à ce cabinet-là…
[1] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisode « Ultime récit- suite », aux éditions I3

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