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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 18 septembre 2022

2022, l’année électorale de Charlotte (38)

37 – Épilogue.
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existantes par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Nous nous asseyons dans le salon après avoir fait les présentations.
« Enchantée ! » me fait-elle après m’avoir serré la main de façon… osseuse.
Et elle reprend immédiatement après s’être assise : « Le Président m’a demandé de te rencontrer, sous le sceau de la plus grande discrétion.
On finalise la constitution du prochain gouvernement que j’aurai l’honneur de conduire. »
Paul acquiesce en la félicitant.
« Il te voudrait dans son équipe. Un poste qui ne se refuse pas… »
Paul coupe court immédiatement : « C’est non ! »
« Ah ? Conseiller spécial, ou mieux en correspondance avec tes compétences, secrétaire d’État à la recherche ? »
« C’est non ! Même pas ministre de pleine compétence ! »
Et pour quelle raison ?
« Babeth, je ne suis pas comme toi : ni politique, ni apparatchik à arpenter les cabinets ministériels. Si tu as lu mon dossier, tu dois savoir que je n’ai pas de temps à perdre à signer des demandes de subventions, pour avoir bien plus urgent à réaliser…
Et je te rappelle que quand j’en sollicitais pour mes céramiques, les nains du rachis des ministères ne m’ont même pas offert un ticket de métro mais m’ont baladé sur une affaire grotesque de milliards perdus.[1] »
Elle semble savoir…
« Résultat, ce sont maintenant les chinois et les russes qui exploitent mes trouvailles avec leurs missiles hypersoniques qui dépassent sans difficulté le mur de la chaleur et les amerloques rament pour rattraper leur retard alors que ce sont eux qui ont fait les premières céramiques pour leur aventure spatiale. Quant à nos industriels, dans ce domaine, ils en restent encore à l’âge de pierre… »
Vue sa réaction, je ne sais pas si elle avait lu son dossier en diagonale, si elle avait juste jeté un coup d’œil de travers sur la note de synthèse ou si elle l’avait vraiment étudié…
Elle répond : « Justement : c’est une façon de remettre les choses dans l’ordre… »
« Tu parles ! Regarde les dix ans de retard que nous nous sommes pris sur les vaccins ! D’autant que tu sais très bien que tu n’es première ministre que par défaut. Le choix premier se portait sur la patronne de la BCE, mais elle, elle ne peut pas avec l’inflation qui se réveille. Le second choix aurait été la Maire de Lille, mais elle est trop imbibée. Et puis il y en a eu d’autres qui se sont proposées, Touraine, Vautrin plus quelques désistements.
Babeth, sans vouloir te vexer et tout en te félicitant pour cette nomination qu’on n’a pas encore apprise, tu n’es que la cinquième roue du carrosse. »
Elle vacille un peu…
Heureusement, Irène vient porter du thé et des mignardises à ce moment-là.
 
Une fois cette dernière repartie dans sa cuisine, « B-Cube » reprend la parole.
« Matignon, c’est toujours bon à prendre comme ce que je te propose. De plus c’est au moins aussi important pour le pays que tes travaux de terrassiers aux Chagos pour la planète… »
« Sers-toi ! Naturellement que c’est important. Mais tu sais très bien qu’à peine nommée tu vas te faire virer : tu es là pour faire de l’intérim… »
Matignon, c’est toujours une location précaire : « Parce que ? L’opposition de Mélangeons va gagner les prochaines élections ? »
« Et puis quoi encore ! Les français sont peut-être des veaux, mais ils auront grandi depuis De Gaulle ! »
« Je vais être battue dans ma circonscription ? »
« Je ne vois pas pour quelle raison ça serait le cas. Mais tu verras bien. Non, ce que je veux te dire, c’est que de toute façon, mener la transition énergétique « en même temps » que les dernières réformes qui s’imposent et continuer à lutter auprès des Ukrainiens contre les Russes, ça ne va pas être de la tarte.
Il faudrait un poids lourd politique et, sans vouloir te vexer, tu n’en as pas encore l’épaisseur. Tu as tout juste le profil d’un « préfet-général ». »
Elle encaisse la claque sans broncher : « Je suis au service du chef de l’État. »
« Pas moi ! » lui rétorque Paul.
Il s’agit justement de constituer une équipe aux compétences qui se complèteront qui aurait cette épaisseur qui manquerait…
« Naturellement. Mais qu’est-ce qui est le plus important pour toi ? La réforme des retraites qui va mettre une décennie à éclore et prospérer, le redressement des comptes publics avec un ministre qui aura été obligé de « cramer la caisse », le saut vers les nouvelles technologies écologistes et l’hydrogène « grise » de la mobilité à partir des small réacteurs nucléaires, s’ils sont au thorium, ce qui ne sera pas le cas, ou encore la souveraineté énergétique et industrielle du pays ?
Et de devoir conduire le tout avec une majorité plus qu’étriquée, aux alliances à géométrie variable, notamment sur les questions sociétales et institutionnelles : franchement, creuser des trous dans l’océan, c’est nettement plus dans mes cordes. Au moins les surprises sont calculées et anticipées… et je vais m’équiper de centrale au thorium tout seul comme un grand pour les « Nivelle 003 ». Pas besoin d’être dans tes équipes, désolé. »
 
« Tu me déçois pour un ambitieux comme toi qui a si bien réussi… On ne vous a pas appris à servir le pays dans la promo 95 ? »
Paul m’avait dit, plusieurs fois, qu’il ne faisait pas de politique : je constate qu’il est constant au moins sur ce point-là.
« Ambitieux ? Mais je ne l’ai jamais été. La vie m’a d’ailleurs offert des facilités et plus que je ne pouvais espérer sans que je ne les lui demande. Et je restitue déjà comme je peux au genre humain.
Tu vois, encore tu m’aurais demander d’aller sur le plateau de Saclay pour passer le relai aux nouvelles générations de ce que nous savons désormais faire qui n’existait pas à nos époques et ce que nous prévoyons de faire pour un avenir plus ou moins proche, j’aurai volontiers pris sur mon temps.
Mais là, sous-ministre sous la tutelle d’un dadais qui ne pense qu’à écrire des romans, resté « à la main » de son administration telle une marionnette, ou sous ta houlette, toi qui vas perdre de ta superbe, voire sous les injonctions de Makarond qui ne sait même pas combien il aura raté d’occasion de ne pas tordre le cou aux braves gens qui l’ont élu deux fois de suite, franchement, j’espère que tu rigoles ! »
Non, elle ne rigole pas…
 
« Tu as pourtant le profil idéal. Et nous serons deux « X » à s’épauler… »
« Et combien d’erreurs de casting tout autour ? Et combien de frangins maçons posés là pour épier tout ce que nous ferons et pour nous mettre des bâtons dans les roues à chaque occasion ou nous cornaquer telle la mouche du coche ? »
Paul antimaçonnique ?
« Même pas ! Mon frère est passé sous le bandeau, tu le sais bien, et je suis considéré comme un « intouchable » chez les frangins… »
« …Je sais tout ça. Et sans être franc-maçonne… C’est justement ce qui m’intéresse, un « intouchable » ! »
« … Je sais ça aussi, mais tu en es entourée. Rien que dans les cabinets, il y en a une palanquée et il y en a au moins une demi-douzaine chez tes prochains ministres. »
Parce qu’il sait déjà qui va constituer le prochain gouvernement ?
« Pas spécialement. Ça a toujours été avec les « conseillers de l’ombre » du président. »
« Pour ma part je fonctionne de préférence avec les élus locaux et les experts des ministères. La haute fonction publique n’est pas du tout ce que tu crois, Paul : ils sont tous imprégné du service de l’État ! »
« Je ne crois rien : je ne suis pas un de ces hauts fonctionnaires, qu’il convient de respecter quels qu’ils soient, je suis « ailleurs ». Et je ferai tache dans n’importe quel ministère, crois-moi !
Mais c’est gentil d’avoir pensé à moi ! »
« Ce n’est pas moi qui y aie pensé, mais le Président… »
« Alors, remercie-le pour moi ! Tu restes dîner ? »
Une façon comme une autre de mettre fin à l’entretien qui aura finalement été plus que court : à peine une tasse de thé !
 
« Non, il faut que je file. Est-ce que je peux te rendre service ? »
Pas maintenant.
« Mais repasses quand tu veux, quand tu seras députée du coin. Note qu’on peut se voir à Paris, ce sera plus simple pour toi. »
Voilà comment ces deux-là se sont séparés sur la route de Paris, au Sud de Cabourg.
« C’était tout de même une belle opportunité pour vous, Paul ! »
« Comme ça vous pourrez être convaincue que je suis définitivement pas « politique » ! »
Je l’étais déjà, mais pas vraiment à ce point-là.
Et qu’est-ce qui va se passer, maintenant ?
« Vous verrez bien, Alexis ! » La réponse habituelle.
« Je veux dire, vous ne lui avez même pas parlé du logiciel « BBR »… »
Elle savait : « Elle a un dossier complet sur moi et sur toutes mes frasques pour la République. Que croyez-vous, Alexis ? Les ministres passent mais les dossiers restent. »
Donc elle devait savoir la réponse de Paul…
« Elle oui, avant même de venir. Elle est juste venue chercher une confirmation pour en convaincre Makarond…
Et c’est lui, le « faiseur » de dieux, qui va ne pas comprendre.
Je vous ai déjà dit que parfois, il est tout de même limité : il ne comprend pas grand-chose, finalement, même si c’est un fin tacticien entouré de stratèges assez moyens. »
 
Alors que l’Ukraine abandonne ses positions à Marioupol, que l’effort russe désormais se porte sur les villes de Severodonetsk et de Lyssytchansk, véritable verrou des oblasts du Donbass, ainsi qu’à Mykolaïv, port situé au Sud à proximité de Kherson, que les premiers mercenaires étrangers qui se rendent sont condamnés à mort, que le monde s’inquiète de l’embargo céréalier, le premier tour renforce la masse des abstentionnistes qui aura encore gonflée à 52,49 % ! 25.696.476 de non votants, contre 23.257.508 personnes qui se sont déplacés !
Et encore, on peut compter 360.844 votes « blancs » et 151.166 bulletins nuls…
La fin de la démocratie élective ? Que veulent dire réellement ces résultats ?
Les partisans du président réuniront 25,75 %, ceux de Mélangeons 25,66 %, un chouilla de quelques milliers de voix derrière, 21.359 pour être exact. Ceux de Carine Lapeine, se comptent à 18,68 % devant les Républicains qui totalisent 10,42 % des votes alors que les candidats de Ziguinchor ne ramasseront que 4,24 %, très loin du score éphémère de la présidentielle…
La fin d’une époque pour celui-là, laissé seul en rase-campagne par ses partisans.
 
Le président Makarond fera une tournée de promotion de « chef de guerre » jusqu’à Kiev en passant par la Roumanie et la Moldavie, escorté par le chancelier allemand et du premier ministre italien, et promet à ceux-là le statut de « candidat à l’UE », son seul acte de campagne pour son parti : invraisemblable ! S’il veut perdre la chambre, il ne s’y prendrait pas autrement.
Alors que le président de toutes les Russie, Poutine fera parallèlement un discours de plus de trois heures à Saint-Pétersbourg à l’occasion du 25ème forum économique international qui n’aura réuni que des pays membres de BRICS, un « nouveau G8 », montrant ainsi son « excellente » forme physique, mettant fin à toutes les rumeurs à son sujet émanant des services occidentaux, la campagne des législatives s’épuise dans une mobilisation de la dernière heure dont la mayonnaise ne prend pas.
Et on apprend peu avant le second tour des législative que Bruno Bonnell, le « Monsieur Innovation » de France 2030, multi-entrepreneur de la tech, aura été nommé par Makarond pour piloter les investissements d’avenir au poste de Secrétaire général pour l’investissement.
Probablement le poste réservé pour Paul…
Secrétaire général, il en aurait fait une jaunisse…
« Un socialo-Makaronien… qui ne pèse que 54 millions dans la tech… » laissera tomber dédaigneusement Paul et ses dizaines de milliards sous le pied.
 
Vilnius ferme la moitié trafic ferroviaire vers Kaliningrad le 17 provoquant l’ire de Moscou : une nouvelle phase dans les sanctions européennes.
Il fait une chaleur torride au moment où les bacheliers passent leurs épreuves de philosophie.
Le 19 au soir le taux d’abstention s’élève à 53,77 %, avec 26.125.307          électeurs qui ne se sont pas déplacés, 428.831 de plus, contre 22.464.299 de bulletins…
On compte 1.239.928 bulletins blancs, 3,4 fois plus qu’au premier tour et 477.288 nuls. Conséquence pas un seul député de cette nouvelle assemblée n’a été élu avec plus de 40 % des voix des inscrits de sa circonscription et pour 95 % d’entre eux ce chiffre est même au-dessous des 30 %. Pour le RN c’est d’ailleurs systématiquement moins de 26 %.
 
La Nouvelle union populaire écologique et sociale obtient 131 sièges, dont 75 rien que pour LFI, la part du lion. Les divers-gauche se comptent 22. Les régionalistes 10 plus un « divers ». Ensemble!, la majorité présidentielle est loin de la majorité absolue (289 sièges) avec 245 sièges, dont 28 Horizons et 48 Modem. Ils sont 4 de divers-centre, dont 3 trois pour les UDI, 61 chez les Républicains, 10 pour les « divers-droite », 1 souverainiste et 89 pour Carine La peine qui jubile.
Aucun vainqueur et Babeth Brown propose sa démission qui est d’abord refusée, alors que de ses trois ministres ont été battus.
L’ancien détenteur du perchoir perd son job et le patron des « marcheurs » également.
Une vraie raclée, finalement, et un pays potentiellement ingouvernable !
 
« Et alors, toutes ces manœuvres pré-électorales, votre frère et ses frangins, le prince Robert, Ziguinchor[2], elles n’auront finalement servi à rien ? » interroge-je Paul la semaine suivante.
« Oh que si ! Mais pas à ce qu’avaient prévu leurs promoteurs. En réalité, Makarond ne voulait pas de majorité écrasante comme en 2017. Il voulait faire vivre un peu le Parlement et jouer sa musique des compromis pour faire passer ou échouer ses prochaines réformes à sa guise au fil du temps, comme il l’entend et selon son propre calendrier. Il a un plan : il est ainsi libéré de ses bailleurs de fonds et autres « parrains » de la finance anglo-saxonne qui l’avaient pris en otage.
Sauf que là, il a si bien joué qu’on finira par l’encenser et tout lui pardonner ! »
Un résultat fabuleux, alors ?
« Oh que oui ! En refusant toute identité politique claire, il aura ringardisé un système inapte à réformer le pays depuis 40 ans. Autour d’un néo-technocratisme à visage optimiste, le Président a attiré à gauche comme à droite.
En phagocytant les vieux partis de gouvernement (LR, PS), LREM est devenu un « parti unique de gouvernement », un TINA, « there is no alternative » politique. Il devient incontournable et intouchable.
Les oppositions ont été rejetées aux extrêmes, d’autant plus logiquement que la colère qu’elles canalisaient était vive, gilets jaunes, « France périphérique », etc.
La conclusion de ce processus est intervenue lorsque le Président, pour défendre ses candidats au 2nd tour a déclaré « aucune voix ne doit manquer à la République ». En clair, en dehors de moi, point de République.
C’est donc ce qu’il a obtenu : plus d’un Français sur deux désertant les élections et il se retrouve avec 3 groupes dont la force vitale est précisément d’être irréconciliables.
Pas de majorité. Encore moins de compromis. La République explosée : il a les mains libres pour cinq ans et faire comme il veut avec des coalitions d’opportunité, voire sans. »
 
Plus tard, je vérifierai que le point clé de la bascule aura été le 17 juin… Makarond rentre de Kiev, s’apprête à commémorer l’appel du 18 au Mont-Valérien et prononce sa petite-phrase qui torpille ses propres vaisseaux.
Jusque-là, 66 % de français pariaient sur une majorité présidentielle. Avant même d’aller voter et juste après cet épisode, ils étaient 55 % à opter pour un système de « coalition » alors que jamais les indicateurs n’avaient encore supposé une cohabitation, à droite comme à gauche.
Significatif…
La suite, vous la connaissez : Jupiter aura remis entre les mains de ses opposants la responsabilité des futures discordes et il sera allé durant trois jours à des sommets internationaux qui se tenaient à travers l’Europe pour discuter de l’avenir du continent !
C’est naturellement hors sujet dans le cadre de ce récit où je n’aurai pas servi à grand-chose, sauf à comprendre que la guerre en Ukraine reste une guerre d’accès à l’eau, tout le reste étant du « bavardage » qui coûte cher en vie humaine et destruction.
Peut-être aussi de témoigner de quelques épisodes qui « n’existent pas ».
 
I3, Paris, juin 2022
Alexis Dubois, Courances, août 2022

[1] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisode « Opération Juliette-Siéra », prochainement aux éditions I3
[2] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisode « La croisière d’Alexis », aux éditions I3

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