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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 23 septembre 2022

Le retour de Jean-Marc…

… Avec de nouvelles « histoires d’en rire ».
 
Un bébé labrador rentre de l’école et sa mère lui demande :
« ― Alors comment s'est passé ta première journée d’école ?
― Super bien et même que on a appris une langue étrangère.
― Et c’est quoi ?
― Miaoou ! »
 
« ― Comment un aveugle qui fait du saut en parachute, sait qu’il va atterrir ?
― C’est lorsque la laisse devient lâche ! »
 
Poutine, Joe Biden et Bill GATES sont invités à dîner par Dieu.
Au cours du dîner, Dieu leur dit :
« Vous êtes 3 des plus importantes personnes sur Terre, je vous ai conviés tous les 3 pour que vous transmettiez à l’ensemble des terriens le message suivant : Demain, je vais détruire la Terre. »
Poutine réunit immédiatement les membres de son gouvernement et leur dit :
« J’ai 2 très mauvaises nouvelles à vous annoncer :
1 – Dieu existe
2 – Il va détruire la Terre demain ! »
Biden organise une réunion exceptionnelle du Congrès et leur dit :
« J’ai une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle à vous annoncer :
1 – La bonne nouvelle : Dieu existe
2 – La mauvaise nouvelle : Il va détruire la Terre demain ! »
Bill GATES retourne chez Microsoft et envoie à tous les utilisateurs de WINDOWS sur Terre courriel suivant :
« J’ai 2 nouvelles extraordinaires à vous annoncer :
1 – Je suis l’une des 3 plus importantes personnes sur Terre !
2 – Le problème des mises à jour de Windows est résolu ! »
 
C’est un jeune couple trop timide qui va chez le sexologue pour que les choses du sexe leur soient plus familières, et en particulier, pour qu’ils apprennent le langage du corps.
Après la première séance, les jeunes époux rentrent à la maison et s’apprêtent à passer à la pratique et le mari dit à sa femme :
« Bon alors maintenant, quand je voudrai faire l’amour, je te caresserai le sein droit… Et quand je ne voudrai pas faire l’amour, je te caresserai le sein gauche. » Sa femme lui répond :
« D’accord. Et moi, comment je procède ? »
Le mari répond :
« C’est simple, si tu veux faire l’amour, tu caresses mon pénis une fois, et si tu ne veux pas faire l’amour, tu le caresses 200 fois. »
 
C’est un homme d’affaires qui arrive à l’aéroport de Dorval.
Il doit aller à New York. Mais là, un portier l’attend et lui dit :
« Bonjour Mr Sinatra, voici votre billet. Votre avion pour New York vous attend, porte 6. »
Notre homme répond :
« Mais je ne suis pas Frank Sinatra, c’est une erreur ! »
Il finit quand même par entrer dans l’avion. En arrivant à New York, un autre employé l’attend :
« ― Votre limousine est avancée, Mr Sinatra. 
― Mais je ne suis pas Sinatra ! »
Il finit par entrer dans la voiture et arrive dans un immense hôtel.
Le portier lui annonce :
« ― Votre chambre est réservée, voici vos clés, Mr Sinatra.
― JE NE SUIS PAS Sinatra… »
Il arrive enfin dans sa chambre et découvre sur son lit, une superbe jeune femme !
Celle-ci lui dit :
« Bonjour Mr Sinatra… » et le type lui répond :
« Strangers in the night, la la la la. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul papotent en terrasse de café chacun devant une bière :
« ― Que veux-tu lorsque tu seras vieux ?
― Une conjointe qui n’a pas de dents et qui a la tremblote… »
 
C’est Jean-Marc qui déambule sur une rue commerciale et qui est attiré par le comportement bizarre d’un singe dans la vitrine d’une animalerie.
Le singe mange des cerises, il enlève le noyau et se l’introduit dans le rectum, le remet dans la cerise et mange le tout.
Le Jean-Marc est intriqué, mais faute de temps doit continuer sa course.
Deux semaines plus tard, il repasse au même endroit et revoit le singe qui fait le même manège, soit d’enlever le noyau de la cerise le mettre dans son rectum le remettre dans la cerise et de manger le tout.
Jean-Marc complètement dépassé par ce qu’il voit décide d’en savoir plus long.
Il rentre dans l’animalerie et demande au propriétaire :
« ― Pourquoi votre singe enlève le noyau de la cerise, le met dans son rectum, le remet dans la cerise et mange le tout ?
― Eh bien mon cher ami, il y a environ 2 à 3 semaines passées, mon singe a mangé une pêche et le noyau n’a pas passé, depuis ce temps il les essaie tous. »
 
Un bon matin, Jean-Marc lisait paisiblement son journal lorsque son épouse arriva sournoisement derrière lui et le frappa violemment à la tête avec une énorme poêle à frire en fonte.
À demi-conscient, il lui demande :
« Mais pourquoi t’as fait ça ? »
Elle lui répond :
« ― C’est quoi ce petit bout de papier dans ta poche de pantalon sur lequel est écrit Marylou ?
― Mais chérie, tu te souviens, j’ai été aux courses l’autre jour et Marylou c’est le nom du cheval sur lequel j’ai parié ».
Satisfaite de la réponse, Germaine s’excuse et retourne à ses travaux.
Trois jours plus tard, notre homme toujours à lire son journal, est encore matraqué avec la poêle à frire.
Encore tout étourdi, il demande :
« Mais c’est pourquoi cette fois-ci ? »
Et Germaine répond :
« Ton cheval a téléphoné. »
 
Trois joueurs de pétanque qui cherchent un quatrième suite au décès accidentel de leur copain.
Il y a Jean-Marc, Jean-Paul et Jean-Roger.
Jean-Roger, justement, connaît un gars qui serait un bon pétanqueur.
Ce gars s’appelle Jean-Raymond et il accepte de venir jouer avec les 3 autres en disant :
« OK pour venir jouer avec vous dimanche prochain à 9 heures, mais j’aurai peut-être 10 minutes de retard, alors attendez-moi ! »
Le dimanche arrive et Jean-Raymond est bien là à 9 h 00 pétante.
Finalement, Jean-Raymond les bat tous en jouant exclusivement de la main gauche.
En les quittant, il leur dit :
« Bonne partie ! À dimanche prochain. Mais je serai peut-être 10 minutes en retard, alors attendez-moi ! »
Et le dimanche suivant, Jean-Raymond est bien à l’heure, et il les bat encore, en jouant cette fois-ci exclusivement de la main droite.
Et tous les dimanches, Jean-Raymond arrive à l’heure, et il leur met la ‘‘pâtée’’ quelle que soit la main qu’il utilise pour jouer.
Alors, au bout de deux mois, Jean-Marc n’y tient plus et demande à Jean-Raymond :
« Dis donc Jean-Raymond, tu nous dis tous les dimanches que tu seras peut-être 10 minutes en retard, mais tu es toujours là à l’heure. En plus de ça, tu nous bats à chaque fois, quelle que soit la main avec laquelle tu joues. Tu ne crois pas que tu nous dois quelques explications ? »
Alors Jean-Raymond répond :
« Oui, oui, tu as raison. En fait, c’est parce que je suis superstitieux. Quand je me lève le dimanche matin, je regarde de quel côté ma femme est couchée. Si elle est couchée sur son côté gauche, je joue de la main gauche. Si elle est couchée sur son côté droit, je joue de la main droite. »
Et du coup Jean-Paul lui demande :
« ― Et si elle dort sur le dos ?
― Eh bien dans ce cas-là, j’arrive 10 minutes en retard ! »
 
C’est un américain qui se trouve assis entre un français, Jean-Marc, et un italien, Luigi, sur un vol transatlantique, en classe affaires.
Les trois gars se connaissent car ils ont le même client américain tiens.
Après quelques verres gracieusement offerts par l’hôtesse, ils commencent à discuter. L’américain dit :
« La nuit dernière, j’ai fait l’amour avec ma femme trois fois de suite.
Ma femme m’a dit en me préparant mes œufs au bacon que ça n’avait jamais été aussi bon depuis qu’on s’était marié il y a dix ans. »
Jean-Marc surenchérit :
« La nuit dernière, j’ai fait l’amour avec ma femme quatre fois de suite, et ce matin ma femme m’a préparé un délicieux petit-déjeuner avec des croissants en me disant que j’étais un amant merveilleux. »
Comme l’italien était resté silencieux, Jean-Marc lui demande :
« Et toi, combien de fois as-tu ta femme hier soir ? »
Luigi répond :
« Une fois ! »
Jean-Marc, étonné, lui répond : 
« ― Une fois ?… Et que t’a-t-elle dit ce matin ?
― Elle m’a dit : “N’arrête pas chéri !” »
 
Quand Dieu créa le monde, il convoqua l’homme pour lui dire qu’il lui accordait vingt ans de vie sexuelle normale.
L’homme protesta, trouvant que cela n’était pas suffisant.
Mais Dieu lui répondit qu’il y avait beaucoup d’autres créatures sur la terre et qu’il fallait diviser cela également entre tous.
Dieu convoqua ensuite le singe et lui donna vingt ans de vie sexuelle normale.
Celui-ci dit que c’était beaucoup trop, que dix lui suffisaient amplement.
Aussitôt, l’homme demanda la permission d’avoir ces dix années supplémentaires et Dieu les lui accorda.
Dieu convoqua ensuite le chien et lui donna vingt ans de vie sexuelle normale.
Il protesta aussi, affirmant qu’il en avait assez de dix.
Alors l’homme demanda les dix années inutilisées et Dieu les lui accorda.
Dieu convoqua finalement le perroquet pour lui donner vingt ans de vie sexuelle normale.
Même scénario, l’homme hérita de dix années du perroquet.
Alors, l’homme s’en alla, la poitrine gonflée de satisfaction d’avoir réussi à obtenir cinquante ans de vie sexuelle.
D’après les commentaires des femmes, ceci explique très bien la vie sexuelle des hommes :
« Vingt ans de vie sexuelle normale, dix ans de singeries, dix ans d’aboiements et dix ans à raconter ses anciens exploits. »
C’est une « revenue » : Dans l’originale, l’homme vivait 20 ans comme un homme, puis 20 comme un cheval de labour, encore 20 ans comme un chien et 20 comme un vieux singe…
 
Un fermier appelle au téléphone son voisin :
« ― Allô ! » répond une petite voix.
« ― Allô ! C’est Jean-Michel, qui est là ?
― C’est Jean-Louis » dit la voix douce.
« ― Je peux parler à ton papa s’il te plaît ?
― Mon papa il est sous le tracteur.
― Ah ! Et ta maman ?
― Ma maman elle est sous le tracteur.
― Bon et ton grand frère il est là ?
― Il est sous le tracteur.
― Alors ta grande sœur ?
― Elle est sous le tracteur. »
Le voisin, interloqué demande alors au petit :
« ― Et toi, tu es où, ça va ?
― Oui, ça va, j’étais sur le tracteur… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul se posent des colles, chacun devant une autre bière :
« ― Que font trois hommes seuls sur une île déserte ?
Ils s’assoient et parlent de femmes.
― Que font trois femmes seules sur une île déserte ?
― Deux s’assoient ensemble et parlent contre la troisième. »
 
Jean-Charles dit à son copain Jean-Marc :
« Il y a deux ans passés, je suis allé en vacances au chalet en montagne et ma femme est tombée enceinte.
L’an passé, je suis allé en vacances en camping et ma femme est encore tombée enceinte.
Cette année je ne prends pas de risque : Je vais l’amener avec moi. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« ― Le détecteur de mensonges est une merveilleuse invention.
― Tu en as vu un ?
― Si j’en ai vu un ? J’en ai marié un. »
 
Un gamin de six ans :
« Papa, demain je marie Lucie. »
Le père souriant :
« Mais, que ferez-vous, si vous avez des enfants ? »
Le fiston :
« Nous avons discuté de ceci, et avons décidé que, chaque fois qu’elle aura un œuf, nous l’écraserons. »
 
Toujours Jean-Marc et Jean-Paul devant une dernière bière avant de passer à l’apéritif vespéral :
« Mon épouse est une bonne cuisinière de naissance.
Elle n’a pas besoin d’un livre de recettes, elle les prend sur les boîtes. »
 
« Une grande famille est le prix qu’un homme doit payer pour ne pas sortir le soir. »
 
Jean-Paul revient des États-Unis avec sa sœur et dit à son ami Jean-Marc :
« ― Comme ils sont gentils ces Américains. Un homme arrête sa voiture, t’invite à monter, te paie un bon repas, dans un bon restaurant, une magnifique chambre d’hôtel, etc.
Un Américain t’a payé tout cela, à toi ?
Non, à ma sœur ! »
 
Après avoir fait l’amour, Jean-Marc dit à sa maîtresse du moment :
« ― Dans neuf mois, tu auras un enfant, et tu pourras l’appeler Jean-Jacques.
Dans sept jours », qu’elle répond, « tu auras un malaise, et tu pourras l’appeler Syphilis. »
 
Jean-Marc raconte à son ami Jean-Paul :
« ― … Je l’ai amenée au plus chic restaurant, lui ai payé les meilleurs mets, avec champagne, lui ai acheté une douzaine de roses, l’ai ramenée chez elle, et, sais-tu ce qu’elle a dit ?
– Non !
– Exactement… Quel culot ! »
 
Une jeune fille de 16 ans dit à sa mère :
« Maman, j’ai fait l’amour avec mon copain dans son auto et je suis tombée enceinte. »
La mère commence à lui faire des remontrances et lui dit :
« ― Mais, où avais-tu la tête ?
― Quelle que part dans le tableau de bord. »
 
Bon week-end, le premier de l’automne, à toutes et à tous !
 
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