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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 13 avril 2022

Réactions internationales…

Au lendemain du premier tour.
 
Ils me font rire : Pointant « une insatisfaction sociale grandissante » et « la colère et la frustration » des électeurs, les journaux étrangers se préoccupent de la possible arrivée au pouvoir d’un parti extrémiste au cœur de l’Europe.
Attends donc : FAIS MOI PEUR !
D’ailleurs vous aurez noté que le vent tourne pour notre propre presse nationale : Elle fait enfin ses titres sur un programme « insincère », non financé, bourré d’incohérences néfastes pour l’avenir du pays, de ses entreprises et par conséquent de ses entreprises du « Air-Haine ».
On pointe même que son élection serait une régression du pays dans le paysage européen, et même mondiale, à travers les non-dits qui restent patents.
Encore un peu et on va nous affirmer que « Marinella-tchi-tchi » à l’Élysée, et ce sera le retour au moyen-âge !
Personnellement, je ne vous infligerai pas ce genre d’anathème : Le retour au moyen-âge, ce sont plutôt nos écololos à nous, mais ils sont éliminés à en boire la tasse et, de toute façon, chez nous, il y a un troisième tour avec les législatives.
Or, « Marinella-tchi-tchi » ne pourra jamais gouverner avec un Parlement en pleine opposition à ses « quatre volontés », sauf par ordonnance si la rue tombe dans le piège de l’état d’urgence : Il faut dire que depuis quelques années, « Jupiter » mais également avant lui « Tagada-à-la-fraise-des-bois » auront tricoté un lit douillet de mesures liberticides qui lui faciliteront la tâche.
Mais on n’en est pas encore là, Dieu merci !
(Et Celui-ci passe justement en fin de semaine…)
 
Ainsi donc, au lendemain du premier tour de l’élection présidentielle, avec l’affiche d’un second tour similaire à celle de 2017, la presse internationale promettait de garder un œil attentif sur son issue. Selon les résultats définitifs, le président sortant, « Jupiter », a récolté 27,84 % des suffrages exprimés et la candidate du « Air-Haine », « Marinella-tchi-tchi », 23,15 %.
C’est ce qui sera marqué dans les livres d’Histoire.
Ceci dit, personne n’aura vu que le premier parti de « Gauloisie-démocratique » restera l’abstention additionnée des nuls et des blancs.
Ramené à l’ensemble des électeurs inscrits, « Jupiter » est finalement arrivé à convaincre un peu plus de 18 % de mes compatriotes. Mieux qu’en 2017.
Pas beaucoup mieux, mais tout de même : On ne peut pas parler d’usure du pouvoir.
Et pourtant, je constate un phénomène de rejet. Surtout dans le corps enseignant, par exemple (plus quelques autres) et dans les territoires ultramarins, y compris en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », très malmenés par la crise du « Conard-virus »…
 
Pour en revenir à nos voisins, la majorité des pages d’accueil des sites d’information étrangers mettaient en avant le mot « extrême », au singulier ou au pluriel, et en police grasse.
Chez nos voisins Wallons, la RTBF pointe ainsi que « plus de la moitié des votants ont choisi les extrêmes », agrégeant aux scores des deux candidats d’extrême droite, « Marinella-tchi-tchi », « Zézé-amour », ceux de « Dupont-Gnan-gnan », de « Mes-Luches », de « Rousse-Aile », de « Poux-toux » et de « Nath-art-Taux ».
Vu comme ça, c’est un plébiscite, ou plutôt une motion de censure.
Mais ça ne fait pas un élu ni encore moins une majorité gouvernementale qui gouverne et prend des décisions au nom de tous…
Environ « 56 % (57,84 %, après mise à jour avec les résultats définitifs) des électeurs français qui ont voté ce dimanche ont choisi un parti à l’extrême de l’échiquier politique », commente le média belge, tenant pour responsable une « insatisfaction sociale grandissante, doublée d’une banalisation des extrêmes ».
 
De la même manière, le quotidien américain The New York Times, dénonce la manière dont « les Français gravitent vers les extrêmes », traduisant, selon lui, « l’étendue de la colère et de la frustration françaises ».
Une belle centrifugeuse qu’utilisent aussi les Iraniens pour enrichir de l’uranium ?
Les deux candidats qualifiés pour le second tour « ne porteront pas de gants dans leur confrontation à propos du futur de la France, à l’heure où la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne et la fin du long mandat d’Angela Merkel à la chancellerie allemande ont donné une responsabilité particulière au leadership français », relève aussi le quotidien.
C’est justement l’enjeu de ce second tour : La place de la « Gauloisie éternelle » dans le concert des Nations !
Et là, comme la politique étrangère et celle de la défense sont des « domaines réservés » de la Présidence depuis au moins De Gaulle, confirmé par « Mythe-errant » et les trois cohabitations suivantes, l’issue du scrutin pourrait rebattre les cartes sur la planète…
Par ailleurs, l’article aborde le « scénario menaçant » d’un report des voix des électeurs de « Zézé-Amour », en faveur de « Marinella-tchi-tchi » : Un potentiel de plus de 2,4 millions de voix supplémentaires, qui s’ajouteraient aux 8,1 millions qu’elle a obtenus au premier tour.
On avait déjà compté de la sorte nous aussi…
Plus encore, ce qui inquiète le New York Times, c’est « la large part des électeurs de gauche qui se sentent trahis ou juste viscéralement hostiles au président », et pourraient choisir de ne pas « faire barrage », voire de voter contre le sortant.
 
Un enjeu également largement soulevé par nos voisins « Helvètes ». Le quotidien Le Temps aborde plus précisément, lui, la question du report des votes des électeurs de « Mes-Luches ».
Le journal rappelle que « les enquêtes d’opinion menées avant le premier tour » donnaient « 36 % (des électeurs de « Mes-Luches ») prêts à voter Macron, 34 % tentés par l’abstention et 30 % d’accord pour déposer dans l’urne un bulletin » au nom de « Marinella-tchi-tchi » contre l’avis de leur candidat à eux.
Les mêmes « trois-tiers » qui forment le paysage politique du pays…
« Une France est morte ce dimanche », conclut Le Temps : « La polarisation de l’électorat ne répond plus au traditionnel clivage droite-gauche. »
Ah oui ? Ils sont où les « gôches-droâtes » de progrès, au juste ?
 
« Psychose du déclin français » titre de son côté un article du quotidien Teuton Die Welt qui reste plus résolument provocateur, avançant que « le fait que les nazis votent pour Le Pen n’est pas le plus gros problème » de ce premier tour.
Selon le « journaleux », « la perte d’importance des camps qui ont formé les piliers de la Vème République française depuis 1958 s’accompagne d’un renforcement massif des forces radicales ».
« L’ancien “front républicain”, c’est-à-dire le blocage des démocrates de gauche et des conservateurs contre les extrémistes de droite, n’est plus là. Sept années de nombreux attentats terroristes islamistes faisant des centaines de morts ont laissé des traces et alimenté les craintes », analyse encore le journal à la ligne éditoriale plutôt « libérale-avancée » et conservatrice (Giskardienne, quoi).
« Macron s’est épargné l’humiliation d’être à égalité, voire derrière la candidate du Rassemblement national. Mais c’est la seule chose positive que le président sortant peut tirer de cette soirée électorale », tance-t-il encore, ajoutant toutefois que « Jupiter » est « le premier président français depuis des décennies à avoir réduit le chômage et augmenté le pouvoir d’achat ».
C’est également le premier à être à la tête du pouvoir exécutif, « jusqu’au dernier soir », à assumer un renouvellement de mandat…
C’est une « psychose du déclin français que Macron devra combattre au cours des deux prochaines semaines s’il veut remporter l’élection », argue enfin le journal Teuton.
Ce qui n’est pas totalement faux…
 
Alors qu’outre-Manche, le Guardian craint un « second tour douloureux » et une campagne d’entre-deux-tours « brutale » (ces britishs dont les brokers donnent toujours « Jupiter » vainqueur au second tour !), il faut se tourner vers la « Ritalie » pour avoir une rare réaction de soulagement face aux résultats du premier tour est relayée par La Repubblica.
Le quotidien rital a publié lundi un entretien avec Enrico Letta, homme d’État local, qui fut aussi, un temps, à la tête de l’Ékole des affaires internationales de Sciences Po Paris-sur-plage : « Les résultats français sont encourageants, ils montrent que dans l’affrontement entre souverainistes et proeuropéens, ce sont ceux qui croient en une Europe plus unie et plus forte qui ont l’avantage, pas ceux qui visent à la briser », analyse M. Letta, aujourd’hui secrétaire du parti démocrate « Ritalien ».
Le « rital » se garde toutefois bien de voir la partie gagnée. « On croyait à tort que le conflit entre nationalisme et intégration européenne pouvait être résolu en faveur de cette dernière ; malheureusement, nous avons vu que ce n’(était) pas le cas », écrit-il.
Selon lui, « si un parti antisystème comme le Rassemblement national accédait au pouvoir en France, ce serait la première fois qu’un gouvernement antieuropéen, populiste et anti-intégration (accéderait au pouvoir) au cœur de l’Europe (et cela signerait) sa fin ».
Il est optimiste, le bonhomme…
Il oublie les populistes en Hongrie et les nationalistes polonais.
Les kamarades autrichiens également, sans même parler des « brixteurs » outre-Manche…
Enfin, passons.
 
Pour El País, en Hispanie, la progression de l’extrême-droâte en « Gauloisie-élective », globalement largement dénoncée dans la presse internationale, est « tenace ».
« Comment l’extrême droite xénophobe, autoritaire et antieuropéenne a-t-elle réussi à s’imposer aujourd’hui comme une alternative capable de gouverner face à toutes les forces démocratiques en France ? » s’interroge ainsi le quotidien.
Cette progression s’expliquerait d’abord, selon El País, par « la poussée continue et tenace de l’extrémisme xénophobe » depuis l’élection présidentielle de 1988, quand le « borgne de San Cloud » avait obtenu 14,39 % des voix face au soce « Mythe-errant ». Dès lors, rappelle le journal espagnol, les scores de l’extrême droâte n’ont cessé de progresser.
Ce qui est vrai, sauf dans les scrutins locaux où il se plante systématiquement.
Il faut dire que « Mythe-errant » s’en est servi jusqu’à l’écœurement avec les « touche pas à mon pote » pour mieux diviser les droâtes et garder un semblant de majorité.
Un poison ce mek-là !
Une catastrophe, même…
Puis, en 2022, « la décadence des deux grands partis historiques (le P.Soce et les Républicains-démocrates) s’est confirmée ; un nouveau chapitre s’(est ouvert), dans lequel l’extrême droite est devenue un parti acceptable pour des millions de citoyens », regrettent-ils tout en tenant pour responsables les élites politiques et culturelles « Gauloisiennes » « qui n’ont pas su adapter le pays à sa nouvelle diversité ethnique (…) ni proposer un projet social  qui fédère les gens ».
Tout est dit… de l’autisme-trisomique ambiant depuis des décennies de ceux qu’on appelle nos « sachants » et autres « intellectuels ».
Sauf que tout cela reste inacceptable, en droit (je reste juriste) et en fait, pour les âmes « bien nées ».
 
Ceci dit, en Grèce hellénique, ils n’ont aucun doute sur l’issue du second tour : D’abord eux savent ce que c’est qu’une dictature des colonels, ensuite ils se rappellent encore que l’UE les aura sauvés de la faillite encore tout récemment.
Certes, ils râlent, mais ils sont en « ordre de marche ».
Faillite d’ailleurs provoquée par des « potentats » irresponsables, tel qu’ils se sont retrouvés entre les mains d’un « Mes-Luches » local et qu’ils s’en sont tirés en fournissant l’effort demandé par le FMI et Bruxelles pour même avoir remboursé toutes leurs dettes en avance sur les échéances.
Et ceux malgré le « Conard-virus » qui ne les aura pas épargnés.
 
À l’inverse l’agence de presse russe Ria Novosti, aux mains du Kremlin, entre deux communiqués de victoire sur l’opération « spéciale » décrétée par « Poux-Tine » en Ukraine (et demain au Donbass) aura donné « Marinella-tchi-tchi » grande gagnante du premier tour avec 28,2 % des voix !
Ce n’est pas une blague.
C’est tout juste s’ils ne s’en félicitaient pas.
Seulement voilà, même leurs internautes ont crié à la fake news éhontée.
En réalité, Ria Novosti faisait référence à des résultats encore partiels communiqués en début de soirée, quand la candidate du « Air-Haine » devançait effectivement « Jupiter », les votes des grandes villes n’ayant pas encore été comptabilisés.
Ce n’est donc qu’à partir de 65 % des votes dépouillés que « Jupiter » est passé en tête. Le média russe s’est alors conformé aux résultats officiels, donnant le président sortant premier du scrutin.
Victoire de courte durée : On revivra exactement la même chose le 24 au soir.
 
En réalité, si certains internautes ont réagi vivement, c’est que « Marinella-tchi-tchi », la pôvrette, entretient des liens bien connus avec le Kremlin. Lors de la campagne présidentielle de 2017, elle avait été reçue par « Poux-tine ». La photo de leur rencontre figure d’ailleurs toujours sur ses documents de campagne…
Et récemment, elle s’est dite hostile aux sanctions économiques contre Moscou et a affirmé que le président russe pourrait « bien entendu » redevenir un allié de la « Gauloisie-des-droits-de-l’homme » une fois la guerre terminée.
Comme quoi, il y en a qui y croient encore… car la guerre ne fait que commencer.

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