Demain, sera-ce encore utile ?
L’IA du futur ne sera-t-elle pas capable de nous remplacer et de faire des
choix beaucoup mieux éclairés que nous savons le faire même collectivement ou de
toute façon individuellement ?
Quand je vois ne nombre de kouillons incapables de comprendre ce qu’est une démocratie qui investissent la Sorbonne, par exemple, pour la saccager, je me dis qu’ils ont été formés par des krétins-diplômés à ne rien comprendre aux principes de la République.
Et ce sont les mêmes qui réclament l’interdiction du vote aux plus de 65 ans, alors que c’est grâce aux « séniors » et à pas mal de leurs ancêtres qu’ils ont le droit de voter…
Si on commence comme ça, demain on interdira aux blacks, aux feujs, aux rebeux et aux asiates de voter… Et pourquoi pas interdire également aux Kanaks, aux Corses plus tous ceux qui n’ont pas un QI de 150 minimum, tant qu’on y est ?
Qu’heureusement si les « séniors » ne sont plus des « guides » ils restent les « gardiens », mais pas de toutes hérésies connues…
Quoique…
Parmi ceux-là, et les autres, il y a un bon quart qui ne se déplace même pas pour voter, un autre quart qui vote pour des candidats populistes de gôche, un autre pour des populistes de droâte et le dernier quart reste d’extrême centre-populaire…
Une IA ferait probablement mieux, non ?
Il se trouve qu’à Cannes, un tout nouveau salon s’est tenu récemment :
Le World artificial intelligence Cannes festival, entièrement consacré aux
intelligences artificielles « capables de simuler l’intelligence humaine
», selon la définition des dictionnaires.
Comme je ne sais toujours pas ce qu’est l’intelligence « naturelle » et encore moins l’intelligence humaine quand je porte mon regard sur mes contemporains, même sur celui que je rase tous les matins, je m’en tiens à la définition « académique » : « L’intelligence c’est faire un rapport nouveau entre deux notions nouvelles ».
Autrement dit, ce n’est pas vraiment tous les jours…
En revanche, ces technologies de l’IA sont présentes aujourd’hui « dans
à peu près tout ce qui touche au numérique », selon un chercheur qui en
cause savamment.
Et elles font avancer la recherche, se développent, mais ne pourront pas atteindre un niveau d’intelligence « générale », sur tous les domaines, comme l’intelligence humaine, nous dit-il.
Elles sont un peu partout, effectivement : Sur nos ordinateurs naturellement. Dans nos smartphones (sans savoir faire la vaisselle…). Une simple recherche sur Internet c’est déjà de l’IA. Quant aux traductions automatiques… il faut quand même être derrière pour corriger.
Les intelligences artificielles (IA) prennent de plus en plus de place dans nos vies.
Sans, forcément, que nous en ayons pleinement conscience. Elles mobilisent aussi de plus en plus de professionnels à travers le monde.
À Cannes, on en disait qu’elles sont « capables de simuler
l’intelligence humaine ».
Il y avait déjà des salons qui traitaient de l’intelligence artificielle,
comme le Mobile world congress à Barcelone, sur les smartphones, le CES à Las
Vegas, beaucoup plus généraliste, ou encore Vivatech à Paris.
Mais cet événement cannois est vraiment le premier du genre à être entièrement consacré à l’Intelligence artificielle, en allant de la recherche jusqu’aux consommateurs. C’est une innovation qui montre la place qu’elle prend aujourd’hui dans l’économie en dit un « expert ».
« Il y a des domaines qui restent encore très compliqués pour les machines. Mais pour certains, considérés comme classiques, comme la reconnaissance d’objets, la traduction automatique, la reconnaissance de la parole, les avancées ont été vraiment très rapides. Bien plus rapides que ce que projetaient les experts. »
Et il continue : « Aujourd’hui, dans tout ce qui touche au
numérique, il y en a très, très d’applications qui ne font pas appel à l’IA.
Elle sert à créer de nouvelles expériences, de nouveaux
divertissements en proposant de nouveaux outils aux créateurs et aux marques.
Elle sert évidemment à organiser les plateformes comme, par exemple, à protéger des plateformes en détectant les contenus qui ne devraient pas s’y trouver. C’est tout l’écosystème qui est affecté par l’IA à divers degrés. »
Et l’IA fait également avancer la science…
« Elle aide effectivement énormément à la découverte scientifique.
En biologie, en chimie.
Pour la recherche médicale, aussi, où elle permet des avancées extrêmement rapides, que ce soit dans le traitement des données, dans la manière de générer des hypothèses. »
Deux exemples : Un qui vient d’être développé s’appelle Fast MRI, ou IRM
rapide.
« C’est un algorithme qui permet de faire de la reconstruction d’images pour accélérer cette procédure d’imagerie médicale, qui est longue et qui peut être un peu traumatisante.
D’habitude, c’est un examen qui dure 15 à 30 minutes.
On arrive à diviser ce temps par quatre environ en prenant moins d’images et en demandant à l’IA de compléter la séquence.
Ça a été testé cliniquement avec des médecins.
C’est complètement open source comme toute la recherche que l’on fait et qui va pouvoir être utilisée par les fabricants. »
Oui, bon : Si ça permet d’en faire quatre fois plus, pourquoi pas…
DeepMind (Google) « a aussi développé un logiciel qui permet de prédire la structure des protéines à partir de leur séquence en acides aminés. Ça va être une brique fondamentale pour la biologie demain. »
Là encore, pourquoi pas si ça nous fait plein de vaccins ARNm contre les dizaines de milliers de virus existants dans notre organisme…
Est-ce que l’IA va continuer à s’enrichir au fil du temps. Y’a-t-il une
limite comme la vitesse de la lumière ?
Le chercheur Yann LeCun, qui travaille sur le sujet, « explique souvent que l’IA se rapproche plutôt d’une intelligence animale que d’une intelligence humaine.
C’est-à-dire qu’elle pourra être bien plus avancée dans des
segments précis, mais pas en général.
Elle va être de plus en plus performante pour effectuer certaines catégories de tâches. Par contre, voir une même IA faire aussi bien une recette de cuisine, analyser des protéines ou encore traduire toutes les langues, cela semble plus compliqué.
Avoir une intelligence qu’on pourrait appeler « générale », qui serait capable de tout faire, on en est quand même très loin.
Donc, oui, dans ce sens-là, je pense qu’il y a une limite. »
Ouf, même si nous restons, nous autres électeurs humains, des bêtes…
(Certain plus que d’autres d’ailleurs…)
Surtout question « calcul » !
Mais il y a eu un débat sur « Twister » sur le fait qu’il
pouvait y avoir des IA conscientes. Un animal est conscient de lui-même, un
herbacé a au moins une conscience de son environnement, même partielle, au
moins autant que le virus qui cherche sa pitance.
« Mais je pense que la communauté est quand même assez dubitative sur tout ça. En même temps, on n’a pas vraiment défini ce que pouvait être la conscience des machines… Il faudrait le faire.
En attendant, on crée des cadres de régulation pour définir
leur utilisation, les données sur lesquelles elles se basent et les
applications avec lesquelles on a le droit de s’en servir.
Et une IA qui serait tellement intelligente qu’elle en deviendrait capable de dépasser ses cadres de façon subtile et d’arriver à nous « débrancher » pour pouvoir rester branchée… c’est une théorie qui relève justement de la science-fiction.
Par rapport à cette intelligence animale dont on parle, certains pensent qu’une IA pourra vouloir se défendre d’être débranchée au nom d’un instinct de survie…
Cela me semble très fantaisiste. »
Pour l’heure, ma « machine », celle qui connait tous les
résultats de toutes les opérations possibles avec tous les nombres imaginables
n’a jamais refusé de se débrancher.
Parfois, j’ai eu du mal avec quelques « robots » internétiques
qui tentaient d’en prendre le contrôle à distance : J’arrachai les fils d’un
geste impérieux et sortait la batterie dans la foulée.
Aujourd’hui, les batteries sont planquées sous un tas de vis que tu n’as même pas le tournevis adéquate.
Il n’y a même plus de bouton « reset »…
Alors il faut « mettre en panne », en mode avion, et épuiser la bestiole ce qui peut prendre plusieurs jours…
C’est que ça commence déjà à se défendre contre l’euthanasie, sans en avoir l’air, ces « bestioles » là (puisque ça aurait l’intelligence d’un animal.
On peut en conclure que finalement si ce n’est pas demain que la machine
prendra le pouvoir sur l’homme, c’est que nous devrons continuer à voter « à
la main » chacun dans son isoloir.
Et rappelons-nous qu’une machine, quelle qu’elle soit, obéit à un programme, ou plusieurs, et que ces programmes, c’est encore le cerveau humain qui les pond.
Le jour où un cerveau humain pond un ensemble de programmes qui contrôlera tout le reste, y compris les bêtes que nous sommes, nous serons ravalés au niveau des « objets obsolètes ».
N’est-ce d’ailleurs pas ce que préparent les « maîtres du monde » ?
Du mythe à la réalité, il y a encore quelques progrès à faire pour ceux-là, semble-t-il.
Et ce qu’un cerveau fait, un autre peut le défaire, n’est-ce pas…
Alors allez donc voter pour « annuler » le mien, ou le conforter,
c’est aujourd’hui que ça se passe !
Quand je vois ne nombre de kouillons incapables de comprendre ce qu’est une démocratie qui investissent la Sorbonne, par exemple, pour la saccager, je me dis qu’ils ont été formés par des krétins-diplômés à ne rien comprendre aux principes de la République.
Et ce sont les mêmes qui réclament l’interdiction du vote aux plus de 65 ans, alors que c’est grâce aux « séniors » et à pas mal de leurs ancêtres qu’ils ont le droit de voter…
Si on commence comme ça, demain on interdira aux blacks, aux feujs, aux rebeux et aux asiates de voter… Et pourquoi pas interdire également aux Kanaks, aux Corses plus tous ceux qui n’ont pas un QI de 150 minimum, tant qu’on y est ?
Qu’heureusement si les « séniors » ne sont plus des « guides » ils restent les « gardiens », mais pas de toutes hérésies connues…
Quoique…
Parmi ceux-là, et les autres, il y a un bon quart qui ne se déplace même pas pour voter, un autre quart qui vote pour des candidats populistes de gôche, un autre pour des populistes de droâte et le dernier quart reste d’extrême centre-populaire…
Une IA ferait probablement mieux, non ?
Comme je ne sais toujours pas ce qu’est l’intelligence « naturelle » et encore moins l’intelligence humaine quand je porte mon regard sur mes contemporains, même sur celui que je rase tous les matins, je m’en tiens à la définition « académique » : « L’intelligence c’est faire un rapport nouveau entre deux notions nouvelles ».
Autrement dit, ce n’est pas vraiment tous les jours…
Et elles font avancer la recherche, se développent, mais ne pourront pas atteindre un niveau d’intelligence « générale », sur tous les domaines, comme l’intelligence humaine, nous dit-il.
Elles sont un peu partout, effectivement : Sur nos ordinateurs naturellement. Dans nos smartphones (sans savoir faire la vaisselle…). Une simple recherche sur Internet c’est déjà de l’IA. Quant aux traductions automatiques… il faut quand même être derrière pour corriger.
Les intelligences artificielles (IA) prennent de plus en plus de place dans nos vies.
Sans, forcément, que nous en ayons pleinement conscience. Elles mobilisent aussi de plus en plus de professionnels à travers le monde.
Mais cet événement cannois est vraiment le premier du genre à être entièrement consacré à l’Intelligence artificielle, en allant de la recherche jusqu’aux consommateurs. C’est une innovation qui montre la place qu’elle prend aujourd’hui dans l’économie en dit un « expert ».
« Il y a des domaines qui restent encore très compliqués pour les machines. Mais pour certains, considérés comme classiques, comme la reconnaissance d’objets, la traduction automatique, la reconnaissance de la parole, les avancées ont été vraiment très rapides. Bien plus rapides que ce que projetaient les experts. »
Elle sert évidemment à organiser les plateformes comme, par exemple, à protéger des plateformes en détectant les contenus qui ne devraient pas s’y trouver. C’est tout l’écosystème qui est affecté par l’IA à divers degrés. »
« Elle aide effectivement énormément à la découverte scientifique.
Pour la recherche médicale, aussi, où elle permet des avancées extrêmement rapides, que ce soit dans le traitement des données, dans la manière de générer des hypothèses. »
« C’est un algorithme qui permet de faire de la reconstruction d’images pour accélérer cette procédure d’imagerie médicale, qui est longue et qui peut être un peu traumatisante.
On arrive à diviser ce temps par quatre environ en prenant moins d’images et en demandant à l’IA de compléter la séquence.
Ça a été testé cliniquement avec des médecins.
C’est complètement open source comme toute la recherche que l’on fait et qui va pouvoir être utilisée par les fabricants. »
DeepMind (Google) « a aussi développé un logiciel qui permet de prédire la structure des protéines à partir de leur séquence en acides aminés. Ça va être une brique fondamentale pour la biologie demain. »
Là encore, pourquoi pas si ça nous fait plein de vaccins ARNm contre les dizaines de milliers de virus existants dans notre organisme…
Le chercheur Yann LeCun, qui travaille sur le sujet, « explique souvent que l’IA se rapproche plutôt d’une intelligence animale que d’une intelligence humaine.
Elle va être de plus en plus performante pour effectuer certaines catégories de tâches. Par contre, voir une même IA faire aussi bien une recette de cuisine, analyser des protéines ou encore traduire toutes les langues, cela semble plus compliqué.
Avoir une intelligence qu’on pourrait appeler « générale », qui serait capable de tout faire, on en est quand même très loin.
Donc, oui, dans ce sens-là, je pense qu’il y a une limite. »
(Certain plus que d’autres d’ailleurs…)
Surtout question « calcul » !
« Mais je pense que la communauté est quand même assez dubitative sur tout ça. En même temps, on n’a pas vraiment défini ce que pouvait être la conscience des machines… Il faudrait le faire.
Et une IA qui serait tellement intelligente qu’elle en deviendrait capable de dépasser ses cadres de façon subtile et d’arriver à nous « débrancher » pour pouvoir rester branchée… c’est une théorie qui relève justement de la science-fiction.
Par rapport à cette intelligence animale dont on parle, certains pensent qu’une IA pourra vouloir se défendre d’être débranchée au nom d’un instinct de survie…
Cela me semble très fantaisiste. »
Aujourd’hui, les batteries sont planquées sous un tas de vis que tu n’as même pas le tournevis adéquate.
Il n’y a même plus de bouton « reset »…
Alors il faut « mettre en panne », en mode avion, et épuiser la bestiole ce qui peut prendre plusieurs jours…
C’est que ça commence déjà à se défendre contre l’euthanasie, sans en avoir l’air, ces « bestioles » là (puisque ça aurait l’intelligence d’un animal.
Et rappelons-nous qu’une machine, quelle qu’elle soit, obéit à un programme, ou plusieurs, et que ces programmes, c’est encore le cerveau humain qui les pond.
Le jour où un cerveau humain pond un ensemble de programmes qui contrôlera tout le reste, y compris les bêtes que nous sommes, nous serons ravalés au niveau des « objets obsolètes ».
N’est-ce d’ailleurs pas ce que préparent les « maîtres du monde » ?
Du mythe à la réalité, il y a encore quelques progrès à faire pour ceux-là, semble-t-il.
Et ce qu’un cerveau fait, un autre peut le défaire, n’est-ce pas…
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