Ces moments inattendus…
En revanche, clairement sur le score de « Marinella-tchi-tchi » et surtout sur le score de « Mes-Luches »
Sans compter sur la faiblesse relative du score de « Zézé-amour », mais c’était prévisible et surtout sur les scores effarants de « Pète-Cresse » et de « Yoda ».
Par contre, ils avaient vu juste en ce qui concerne le score de « Sœur-Âne ».
Un peu une surprise, finalement.
Le cœur du récit, ça reste la façon dont « Jupiter » s’est démerdé tout au long de la « non campagne » qui aura commencé à l’été 2019, pour ne pas réitérer le scrutin de 2017.
Je dis bien 2019.
Époque où s’élaborent les stratégies d’évitement d’un match revanche des deux finalistes du précédent scrutin.
Et « ils » en auront mobilisé des énergies et des astuces pour finalement rater leur objectif sur la dernière marche !
Il faut dire que l’étape était « pliée » depuis l’été 2021.
J’en parle déjà dans le second « roman d’été » qui est sous presse depuis la fin de l’année dérnière, le 12 décembre exactement (cf. https://www.amazon.fr/croisi%C3%A8re-dAlexis-enqu%C3%AAtes-Charlotte/dp/B09NH63ZCT/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=10X2KWA8F1APE&keywords=la+croisi%C3%A8re+d%27Alexis&qid=1641829726&sprefix=la+croisi%C3%A8re+d%27alexis%2Caps%2C101&sr=8-1) : Il suffisait de lire !
L’issue ne fait pas trop de doute, mais ça va être passionnant à suivre.
Car les conséquences de ce premier tour pourraient être majeures à travers ses à-côtés.
Trois forces politiques se sont renforcées. Tous les autres sont quasiment détruites ou marginalisées et vont devoir tenter de se reconstruire.
Comme en 2017, ce sont donc « Jupiter » et « Marinella-tchi-tchi » qui s’affronteront au second tour. Avec un net avantage pour cette dernière en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi »… comme présumé lors de mon passage en « Balagne » de l’été dernier (cf. https://flibustier20260.blogspot.com/search/label/Humeurs%20d%27estives). Mais je ne le pensais pas si fortement ancré…
La candidate « Air-Haine » devait pourtant composer cette année avec la présence sur la ligne de départ de « Zézé-amour », le piège lancé par « Beau-L’Orée », sur l’invitation de « son ami » « Bling-bling », et de ses médias contre elle, en vue de la dégager du second tour : « Jupiter » face à « Mes-Luches » ou « Zézé-Amour », il pouvait facilement les balayer l’un et l’autre. Il aurait fait tout l’échiquier politique avec le fameux dicton « ricain » : « Si tu n’es pas avec moi, c’est que tu es contre moi ! »
Mais elle est restée constante sur sa priorité affichée, le pouvoir d’achat, et elle est parvenue à présenter une image moins « diabolisée » auprès d’une partie de l’électorat, même si son programme reste malgré tout très radical, notamment sur l’immigration (en plus que de ne pas être financé…)
Pourtant, plusieurs sondages avaient montré que les électeurs ne souhaitaient pas d’un tel match retour. « Ils ne voulaient pas de ce duel et attendaient des candidatures un peu nouvelles et innovantes, mais le casting n’a pas été dans cette direction », analyse un politologue.
Il faut remonter à 2002, et au « coup de tonnerre » de la qualification du « borgne de San Cloud », pour retrouver une participation encore plus faible lors d’un scrutin présidentiel (71,6 %).
Ce désenchantement s’explique par plusieurs raisons, dont la défiance grandissante vis-à-vis de la classe politique en disent les « experts » : J’en dis que ce n’est pas une nouveauté.
« Cette abstention de plus en plus élevée confirme une forme de désaveu de l’offre politique, notamment chez les jeunes qui sont très critiques sur le fait que les élus ne répondent pas à leurs attentes.
Et puis voici qu’au fur et à mesure que le temps passait il est devenu le seul candidat à gôche capable de menacer un second tour qui s’est imposé dans les sondages dès le printemps 2021.
Alors il a choisi de tout miser sur la carte du « vote utile », remaquillé en « vote efficace » par ses équipes. D’un point de vue statistique, son pari est réussi : Il obtient un meilleur score que celui obtenu en 2017, et il semble avoir siphonné les électorats des autres candidats de gôche.
« Il n’a pas démérité car il progresse en pourcentage et il s’installe comme celui qui représente la gauche, c’est un jour important pour La France insoumise », juge le politologue.
Rappelons qu’en 2017, il avait échoué à la quatrième place, à 600.000 voix du second tour. Cette fois, le candidat insoumis se mue plus que jamais en troisième homme de cette campagne présidentielle.
Trop tard pour sa propre carrière : Il laisse la place à plus jeune…
Cette année ils ne se sont en définitive pas plus « trompés » le concernant. Le candidat Reconquête obtenait environ 9 % des intentions de vote au fil des derniers jours, et il a finalement récolté un peu plus 7 % des suffrages dans les urnes, donc en-dessous. « C’est un gros échec pour lui, qui prévoyait mettre Marine Le Pen aux oubliettes. Même s’il fait un score bien supérieur à celui de Valérie Pécresse, il n’a pas tué le match dans son projet d’incarner un nouveau leadership à droite ».
« Elle a été prise en tenaille entre la droite radicale extrême, très forte, et la dynamique Macron, qui a asséché son électorat Les Républicains ».
Le pire reste l’entre-deux tours qui va s’avérer fatale à la droâte républicaine. Car il y a ceux qui vont appeler à voter « Jupiter » voire carrément se rallier à lui, d’autres qui privilégieront l’abstention (les héritiers du fondateur de la Vème République : Tout un symbole !) et ceux qui vont appeler à voter « Marinella-tchi-tchi » (les descendants du « Chi » qui n’a jamais accepté une telle chose…).
Mes « potes coco-staliniens » ont toujours dit que ce n’était même pas « un club ». Tout juste une auberge espagnole, quand elle ne fait pas seulement « gargote »…
La campagne « soce » aura été une longue, très longue traversée du désert, pénible, très pénible, au cours de laquelle la maire de « Paris-sur-la-Seine » a progressivement sombré dans les limbes sondagiers.
Ce dimanche, son résultat confirme ce qui restera comme l’une des plus grandes désillusions du « Parti soce », quoi que l’on en dise.
La candidate doit se contenter d’un score négligeable, de moins de 2 %, au noveau du PCF quand il présentait encore un candidat.
Un résultat qui va immanquablement poser la question de l’avenir de ce parti politique.
Le parti attendait tout autre chose.
L’objectif après leur primaire, c’était de s’inviter au deuxième tour, dans l’espoir de le gagner.
C’est donc une déception pour son camp. « L’écologie n’a jamais été aussi présente dans les programmes et dans les médias. L’environnement a donc été présent, sans toutefois structurer les débats », en dit un autre.
Il faut que je regarde mieux cette histoire « d’urgence climatique », parce qu’à part des mots, je n’ai pas vu grand-chose dans les papyrus des deux qualifiés du premier tour !
Il faut dire que la campagne de « Y’a-Nique » a été rendue plus délicate par une victoire de justesse à sa primaire, qu’elle a souffert de divisions internes, comme d’un fossé entre ce que le candidat entendait incarner face aux prétentions d’une partie de ses militants alors qu’il voyait au-dessus du seuil des 5 %
Quant au Kamarade « Fab-Rousse-Aile », il finit à un peu plus de 2 %. Une partie de ses militants se seraient-ils échappés vers « Mes-Luches » dans le secret de l’isoloir ?
Alors qu’en face « Jupiter » a reçu les soutiens explicites de la « soce », des « écololos » et des « cocos ».
Le monde à l’envers… mais c’est plié.
Quant à « Mes-Luches » il aura répété quatre fois « pas une seule voix » pour « Marinella-tchi-tchi ».
À l’inverse, l’électorat âgé d’au moins 60 ans annonçait principalement se porter sur « Jupiter ».
Forcément, ce dernier à clairement indiqué que les jeunes devraient travailler plus longtemps pour payer la retraite des seniors…
Mais pas seulement : Le président candidat, qui termine largement en tête avec près de 29 % des voix, était privilégié par 35 % des « Gauloisiens » dont le foyer gagne plus de 3.000 euros nets mensuels. Logiquement, il fait aussi le plein de voix parmi les électeurs qui « arrivent à mettre beaucoup d’argent de côté » (42 % d’entre eux comptaient voter pour lui). De quoi, aux yeux de ses adversaires, renforcer l’étiquette de « président des riches » que plusieurs d’entre eux lui accolent.
Cette fois, il ressort à plus de 3 % des voix, s’offrant le luxe de dépasser largement le « coco-stalinien » ainsi que la « soce-parigote » et aborde le second tour sans donner des consignes de vote.
Tout un symbole de la « Gauloisie-profonde ».
Dimanche soir, on voulait nous faire croire que les deux finalistes étaient à « touche-touche », 51/49 avec des marges d’erreurs de 2 points.
Tout va bien naturellement dépendre des 15 prochains jours et des débats organisés entre les deux prétendants.
Mais on ne sera plus près des 52/48 % pour peu que l’un ou l’autre, ou les deux mobilisent les abstentionnistes comme d’un scrutin « historique ».
Pensez, renouveler un président sortant et aux manettes de l’exécutif, ce qui n’était pas le cas de « Mythe-errant », effectivement, ça serait une première sous la Vème République.
Il est déjà touffu tellement il s’est passé de choses inattendues depuis l’été dernier !
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