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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 29 avril 2022

Jean-Marc s’informe…

…Chez un marchand d’oiseaux
 
« – Pourquoi avoir croisé un pigeon voyageur avec un perroquet ?
– Pour que le pigeon puisse demander son chemin s’il s’égare, voyons ! »
 
Un petit garçon se lève durant la nuit et en passant devant la porte de chambre de ses parents, il entend son père dire :
« Enlève ta chemise de nuit que je la mange !  »
Le lendemain matin il aperçoit sa mère en chemise de nuit jaquette et il lui dit :
« Comment ça ?… Papa ne l’a pas mangée hier soir ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul se posent des colles devant une bière en terrasse :
« – Qu’est-ce ça veut dire, lorsqu’une infirmière se promène avec un thermomètre sur l’oreille ?
– Que quelle que part dans cet hôpital, il y a un patient qui attend avec un crayon dans l’cul !
Tu me l’as déjà faite, celle-là !
Ah ? »
 
Suite à un naufrage, un gars est sur île déserte avec six filles.
Il voit à l’horizon un bateau qui fait naufrage et une fille arrive à la nage.
« Ha ! non ! », s’exclame t’il. « Ne me dites pas que mon dimanche est foutu… »
 
Jean-Marc à Jean-Paul en début de campagne électorale :
« – Le beau temps est fini !
– Comment ça ?
– Les politiciens ont recommencé à réapparaître à la télé… »
 
Une petite-revenue ?
Un homme cherche toujours à MULTIPLIER les occasions pour s’étendre en ENTIER sur le corps (lire QUART) de sa tendre MOITIE à condition qu’elle ne cherche pas à s’y SOUSTRAIRE.
Quelques fois, ça donne des RÉSULTATS PLUS ou MOINS intéressants à condition que le couple ne se DIVISE pas.
 
Une autre ?
Germaine demande à Jean-Marc :
« – Tu pourrais réparer le robinet, il coule sans cesse ?
– Mais voyons, je suis retraité et je ne suis pas un plombier, je suis un ingénieur, moi. »
Quelques jours plus tard, elle lui demande de réparer la prise électrique.
« – Tu le sais bien que je ne suis pas un électricien.
– Il y a aussi, ma voiture qui a un problème, as-tu le temps de regarder ?
– Mais non, je ne peux pas, je vais au club avec les copains et je ne suis pas mécanicien moi, je suis un ingénieur ! »
Le soir, lorsque Jean-Marc rentre à la maison, tout est réparé !
« – Tu as appelé quelqu’un ?
– Pas du tout ! J’ai fait connaissance avec un gentil voisin et il m’a offert ses services.
– Et puis, combien il t’a demandé ?
– Eh bien, il m’a donné deux choix : Soit que je lui fasse un beau gâteau ou que je fasse l’amour avec lui.
– Et alors, quel gâteau tu lui as fait ?
– Mais voyons chéri, je ne suis pas une pâtissière moi. »
 
Jean-Jacques vient de mourir et il aboutit… en enfer !
Il ouvre la porte, et en entrant, il aperçoit son ancien copain Jean-Charles, assis sur une chaise, avec une bouteille de gin dans la main et une belle fille nue sur les genoux !
« – Hey Jiji, ça l’air pas pire ici !
– Te fais pas d’illusions, la bouteille n’a pas de fond et la fille non plus ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc
« – Hé gars ! J’ai trouvé le point G ! J’ai trouvé le point G !
– Hein ! Comment t’as fait ? Où ça ? Où ça ?
– Chez la voisine du dessus ! »
 
Les mêmes…
« – Pourquoi veulent-ils interdire la drogue dans les prisons ?
– Mais parce que ça brûle les cellules, voyons ! »
 
C’est l’histoire du cow-boy de la taille d’un colosse, deux rangés de revolvers autour de la taille, qui pénètre dans un saloon.
Il s’approche du barman et demande : « Un whisky garçon ! »
Il s’envoie le verre cul-sec et ressort à pas pesants dans le cliquetis de ses étriers quand tout à coup on l’entend s’exclamer :
« Incroyable !! Quelqu’un s’est permis de peindre mon cheval en vert!! »
Furieux, il pénètre à nouveau dans le bar et hurle :
« QUI A PEINT MON CHEVAL EN VERT ? »
Un silence de plomb règne alors dans le saloon, quand un cow-boy haut comme une montagne, large comme deux colosses, quatre rangées de revolvers autour de la taille, s’approche en hurlant :
« C’EST MOI ! »
Alors d’une toute petite voix, le premier lui répond :
« C’était pour vous prévenir que si vous voulez passer la deuxième couche… c’est sec ».
 
C’est la rentrée au pensionnat de jeunes filles Sainte-Marie.
La mère supérieure accueille les élèves avec un petit speech de bienvenue dans lequel elle ne manque pas de rappeler les principes de la morale religieuse :
« Et pour conclure, je rappelle aux plus âgées d’entre vous que les facilités de la vie actuelle ne doivent pas vous empêcher de respecter nos préceptes !
Je veux ici parler du pêché de chair qui vous conduira en enfer pour l’éternité pour une heure de plaisir ! »
Alors un bras se lève parmi les jeunes filles :
« Ma mère, comment fait-on pour que ça dure une heure ? »
 
 
Une belle et jolie fille est assise dans un bar et veut avoir la paix.
Un homme l’approche avec tout son charme dans le but de passer un bout de soirée avec elle.
« – Puis-je vous payer une consommation et passer un moment avec vous, ma demoiselle ?
– Non, tu vas me parler d’autos, ça ne m’intéresse pas.
Tu vas me parler de sport, ça ne m’intéresse pas.
Tu vas me parler de sexe, ça ne m’intéresse pas. »
Le pauvre homme s’en retourne à sa table et se met à jongler.
Au bout d’une demi-heure, il retourne voir la demoiselle et lui dit :
« – Pardon ma demoiselle, je pourrais vous parler d’alimentation ?
– Ah oui, dit-elle, Ça, ça m’intéresse !
– Eh ben, mange d’la m… ! »
 
Encore une « revenue » ?
Le « Capitaine Haddock », pilote est à bord de son avion en plein vol.
Ne sachant pas que les micros de la cabine des passagers étaient ouverts, il dit à son co-pilote, tout en s’étirant :
« Ah, j’aimerais ça prendre un bon café en me faisant faire une pipe. »
L’hôtesse, ayant réalisé que tous les passagers avaient entendu le pilote, et de peur qu’il ne dise autre chose, se dirige rapidement vers la cabine de pilotage.
Jean-Marc, un passager lui dit en passant :
« Mamzelle, n’oubliez pas le café ! »
Dans l’originale, on avait les mêmes personnages et le pilote dit à micro ouvert : « Je vais prendre un café et après j’irai bien sauter la nouvelle hôtesse au fond de l’appareil. Tu prends les commandes ? »
Et tout le monde voit la « petite hôtesse du fond », rouge de honte, débouler ventre à terre dans le couloir central et Jean-Marc de l’intercepter : « Ne soyez pas si pressée ! Il a dit qu’il prenais d’abord un café ! »
 
« – Pourquoi Monica avait l’habitude de garder sa joue gonflée ?
– Pour accumuler de la preuve, voyons ! »
 
Dans la même veine, Jean-Paul à Jean-Marc :
« Bill Clinton a tout simplement prouvé qu’il aimait sa femme, parce qu’un homme qui aime sa femme prend celle des autres pour ménager la sienne. »
 
C’est un aveugle qui entre dans une salle remplie de monde avec son chien.
Tout-à-coup, il prend son chien par la queue et lui fait faire des cercles au-dessus de sa tête.
On lui demande ce qu’il fait ?
« Je jette un œil sur l’assemblée… »
 
Une classique :
Avant de modifier la version d’un logiciel qui sert, au cours de votre vie quotidienne, il faut toujours s’assurer que la nouvelle version soit compatible et sans bogues.
Voici l’histoire Jean-Edouard qui a choisi de changer dernièrement de version :
Il a changé son programme PETITE AMIE 12.4 pour ÉPOUSE 1.0.
Malheureusement, il s’est rapidement rendu compte que ce programme accaparait une partie importante des ressources du système et laissait peu de place pour les autres applications.
À son grand étonnement, il a aussi vu son nouveau programme créer des sous-routines appelées ENFANTS 1.0, parasites bruyants et coûteux, surtout lors de la première année bien évidemment, alors que tous ces petits problèmes n’étaient pas précisés sur la boite d’emballage ou dans la notice d’utilisation du logiciel ÉPOUSE 1.0.
Jean-Marc l’avait toutefois mis en garde qu’il rencontrerait les mêmes incidents.
De plus, ÉPOUSE 1.0 se lance automatiquement, dès le démarrage de la machine et supervise toutes les autres activités du système.
Autre point irritant, ce nouveau programme entraîne instantanément la suppression quasi systématique d’autres logiciels tels que SOIRÉES FOOTBALL 4.3, PARTY BEUVERIES 5.7, et SEXE ORGIAQUE 6.9.
Il limite également l’accès à certains jeux tels que MS GOLF et NHL HOCKEY.
En installant ÉPOUSE 1.0, l’utilisateur n’a plus aucun contrôle sur les indésirables tels que BELLE-MÈRE 2.5 ou BEAUX-FRÈRES version Bêta.
De plus le programme semble s’altérer avec le temps et présente des perturbations périodiques à tous les 28 jours.
Des suggestions ont été transmises aux fournisseurs pour la production éventuelle d’une nouvelle version ÉPOUSE 2.0.
Voici quelques options qu’elle devrait contenir :
1. Une icône “Arrête de me rappeler”,
2. Une icône “Minimise” pour placer en tâche de fond,
3. Un bouclier permettant de désinstaller le logiciel à tout moment sans perte de mémoire, d’argent et d’autres ressources (erreur de divorce),
4. Une option “Promiscuité” permettant de réactiver les fonctions sexuelles abandonnées lors du passage de PETITE AMIE 12.4 à ÉPOUSE 1.0,
Attention ! ÉPOUSE 1.0 contient un bogue non référé.
Si vous essayez d’installer MAÎTRESSE 1.1 avant de désinstaller ÉPOUSE 1.0, cette dernière effacera votre disque MS MONEY avant de s’effacer elle-même.
Dans ce cas, MAÎTRESSE 1.1 refusera de s’installer dû à des ressources de système insuffisantes.
Pour éviter ce désagrément, il est recommandé d’essayer d’installer MAÎTRESSE 1.1 sur un autre système que celui qui abrite ÉPOUSE 1.0.
Méfiance MAÎTRESSE 1.1 peut aussi contenir des virus susceptibles d’affecter le fonctionnement d’ÉPOUSE 1.0.
Plusieurs utilisateurs ont décidé d’éviter tous ces problèmes associés à ÉPOUSE 1.0 en restant sur PETITE AMIE 2.0.
Néanmoins, ils ont quand même rencontré quelques ennuis.
Il n’est pas possible d’installer PETITE AMIE 2.0 par-dessus PETITE AMIE 1.0.
Il faut d’abord obligatoirement désinstaller PETITE AMIE 1.0.
De plus, le programme d’installation fonctionne mal et laisse des traces de l’application précédente dans le système (mobilier cassé et sous-vêtements oubliés).
Un autre point faible, toutes les versions de PETITE AMIE envoient régulièrement des messages à l’utilisateur qui lui vantent les mérites de l’utilisation du logiciel ÉPOUSE 1.0 à long terme.
Vous voilà prévenus…
 
Un Russe, un Américain et un Français discutent (avant la guerre en Ukraine) :
« – Nous, en Russie, un homme s’est coupé la main, mais nos spécialistes ont réussi à la lui greffer. Il peut maintenant travailler et il se cherche un job.
– Nous, les Américains, un homme s’est coupé la jambe et nos médecins ont réussi la greffe. Il peut lui aussi travailler et il se cherche un job.
– Nous », dit le Français, « on a pris un gars nommé Hollande, on l’a greffé à Paris et depuis ce temps, tout le monde se cherche un job ! »
 
Un homme entre dans une pharmacie pour acheter une boîte de préservatifs et sort en riant hystériquement.
Le pharmacien pense qu’il est un peu fou.
Mais il n’y a pas de loi qui empêche les fous d’acheter des préservatifs.
Le jour suivant, l’homme en question revient, toujours pour acheter une boîte de condoms et quitte la pharmacie toujours en riant.
Cela commence à piquer la curiosité du pharmacien :
« Qu’est qu’il y a de drôle à acheter des préservatifs ? »
Alors il appelle son assistant et lui dit :
« Si jamais cet homme revient, je veux que tu le suives pour savoir où il va. »
Le jour suivant, l’homme rieur est de retour. Il s’achète une nouvelle boîte de condoms et sort, toujours en riant.
Le pharmacien demande à son assistant de le suivre.
Une heure plus tard, l’assistant est de retour.
« – L’as-tu suivi, où est-ce qu’il va comme ça, en riant ?
– Chez vous. »
Dans l’originale, c’est Jean-Marc qui va chez le coiffeur et ce dernier lui dit de revenir dans une heure…
Or, Jean-Marc ne revient que le lendemain, ravi, où il lui faut encore revenir une heure plus tard.
Ça dure plusieurs jours jusqu’à ce que l’apprenti du coiffeur suive Jean-Marc qui se rend au domicile dudit coiffeur…
 
Solutions des « contre-pets » de la semaine passée :
 
« Je donnerais ma vie pour un moT de vOUS ! »
« Tu as vu JuLES en ÉTé ? »
« Tiens, voilà le POIsson du MAtou… »
 
Propositions de la semaine :
« Ce pigeon de Dinard est excellent ! »
« Il faut choisir entre la fine et l’épaisse… »
« Père inapte… »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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