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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 5 avril 2022

Les boules puantes de « Jupiter » (2)

Elles vont peser sur la fin de la campagne.
 
Il y en a deux : Le rapport sénatorial sur les pratiques du cabinet McKinsey et la déclaration de patrimoine du candidat « Jupiter » que nous avons déjà abordé plus directement hier (https://flibustier20260.blogspot.com/2022/04/les-boules-puantes-de-jupiter-1.html), comme d’une redite de ce que j’avais déjà affirmé par le passé.
Regrettant toutefois que celle-là apparaisse aussi tardivement sur la scène politique.
L’une et l’autre respire un air pollué et pestilentiel de « manœuvre politique » de dernière minute, les oppositions se mettant à sentir qu’elles ont déjà perdu les prochaines élections présidentielles.
D’ailleurs souvent, désormais, les états-majors partisans se projettent sur les législatives qui vont suivre, le fameux « troisième tour »…
C’est ça les effets de la cécité des « autistes-trisomiques » : On sait depuis des mois et des mois, voire quelques années, parce que c’est marqué partout comme ça, que « Jupiter » sera présent au second tour du scrutin du mois d’avril prochain.
Un mystère pour personne.
 
Tout ce qu’on ne sait toujours pas c’est en face de qui pour ce second tour.
On avait deviné que pour des tas de raisons « Jupiter » ne souhaitait pas en faire une revanche de 2017. Il avait gagné sa confrontation avec « Marinella-tchi-tchi » en un seul débat et elle a eu 5 ans pour se préparer au deuxième set. Ça pouvait être redoutable pour « Jupiter » qui n’a pas été épargné par 5 ans d’exercice d’un pouvoir « vertical » pour ne pas dire autocratique.
D’où la mise en orbite de « Zézé-amour » : Divisez l’extrême-droâte pour mieux régner.
Quel que soit l’opposant sorti des urnes du premier tour, il en ferait son affaire.
Hors peut-être « Marinella-tchi-tchi » qu’il redoute pour cause d’usure du pouvoir.
 
« Mes-Luches » aurait été balayé en quelques minutes tout comme « Zézé-amour », tous les deux sans aucune expérience des « responsabilités » ; les « soces » n’existent plus et ont même pu envoyer la plus nulle d’entre eux qu’ils ont réussi à convaincre de partir au sacrifice ultime tellement aucun n’était à la hauteur, que ce soit « Monte-et-bourre-là » ou le scud de dernière minute que fut « T’oubliera » ; ne pouvaient pas inquiéter les « écololos » décrédibilisés par leurs propres débats et primaires et le sort réservé à « NiKo-hurle-haut » ; quant à la « droâte-républicaine », il n’y en avait qu’un qui avait l’étoffe, c’est « Michou-Barre-niée », évincé salement par je ne sais quelle turpitude interne au parti : « Valy-pète-cresse » n’est évidemment pas au niveau et elle a quelques casseroles accrochées aux fesses (on en a déjà parlé) qui l’aurait empêchée de remporter un second tour : La « Jupitérie » n’aura même pas eu besoin d’ouvrir le feu et de sortir la grosse bertha et « ses » dossiers des placards.
 
En revanche, il n’était pas prévu que la « république exemplaire » promise en 2017 revienne en boomerang dans la tronche des « zélés-serviteurs » des « Marcheurs-même-pas-en-rêve » par le biais de la droâte revancharde.
Pourtant, elle ne manque pas de munitions entre le « Ben-Allah » des premières heures, la crise des « Gilets-jaunes » issue de maladresses de « Kung-fu-Panda » et quelques impératifs, les lois d’urgence liberticides et finalement les maladresses diplomatiques de la dernière heure que personne n’avait vu venir, comme la fin de la force Barkhane, l’effondrement de l’Afghanistan, la déculottée des sous-marins australiens et in fine la guerre en Ukraine au moment de la relance de l’UE où « Jupiter » devait prendre une place de choix pour prendre de la hauteur, une initiative sabotée par « Poux-tine » (et qui aura justifié l’existence de l’Otan au passage).
 
Premier tir de missile hypersonique, on vient de le dire, les « dossiers » du « LLC Providence » qui refont surface à travers les incohérences de la déclaration de patrimoine du candidat « Manu ».
Personnellement, je ne l’espérais plus, pensant plutôt que la vraie crise de la « Jupitérie » reste dans le grand nombre de « partisans de la première heure » qui font défection à l’Assemblée Nationale, ayant tellement avalé de couleuvres durant un quinquennat entier, jusqu’à l’écœurement, qu’ils n’ont aucune envie d’y retourner.
On peut se tromper, dans la vie…
 
Le second missile « invincible », ce n’est même pas « Poux-tine » qui l’a tiré, mais les sénateurs (à majorité de droâte), ces rancuniers. Un simple rapport qui met le doigt sur le milliard dépensé en « consulting » par l’administration, avec du bon impôt « Gauloisien » et beaucoup de déficits.
Soyons honnête : C’est 200 millions par an, 0,3 % de la masse salariale de l’État, une pichenette en somme !
Mais ça ne plait pas beaucoup aux « sachants » en place qui savent tout mieux que tout le monde, même s’ils restent « trisomiques-autistes » natifs.
Il faut dire, comme je le signalais dans le post d’hier, que depuis 2014, la Cour des comptes présidée alors par Didier Migaud, un « soce apparenté », attire l’attention du Président « Tagada-à-la-fraise-des-bois » sur le recours à des « experts extérieurs » pour suppléer les « carences de compétences » des braves soldats des cabinets ministériels…
Je me marre, tu vous pensez bien !
Et pour deux raisons.
 
D’abord j’ai fait ce métier-là à une heure reculée de ma carrière.
Bon, un peu par hasard, il faut dire, et à plusieurs reprises et dans plusieurs types de clientèle où j’étais devenu « incontournable ».
Il faudra un jour que je fasse ma biographie professionnelle, vous seriez étonnés : Je résume.
 
D’abord « incontournable » comme fiscaliste en cabinet d’expert-comptable (un futur « Fat-Four ») je gagne quelques contentieux tel que par la suite, quand le Service voit ma signature, ses agents plient leurs gaules et prétentions…
Magique.
Je change de métier une première fois pour faire du redressement d’entreprise dans un métier où je n’y connais rien, mais ayant vu comment faisaient mes experts-comptables, j’élague quelques branches pourries et je booste les promotions des ventes des autres activités de la boutique.
C’est à tel point une réussite qu’il faut même fabriquer un outil plus grand et mieux adapté et que j’en suis chargé alors que là encore je n’y connais toujours rien.
« Mon boss », me sentant un peu débordé m’adjoint un cabinet conseil : Les meks n’en connaissaient pas plus, tel qu’il a fallu les virer et qu’on en est resté durablement fâché !
Je me démerde pour trouver un architecte pas trop kon et au bord de la retraite, où à force de faire de l’espionnage chez les collègues-concurrents, le « truc » sort de terre sans trop de défauts de conception (juste les écoulements pluviaux pas loin des portes des camions, mais on n’aura pas eu de dégâts…).
 
Je remets ça ensuite dans une autre activité, d’importation celle-là et en 6 mois, je parviens à doubler les résultats de ce « mon boss-là », juste en stoppant le coulage endémique : Facile.
Puis encore une autre, beaucoup plus complexe et où je découvre un rapport d’audit d’organisation vraiment « perfect », réalisé par des pros du métier, pas des consultants.
Encore une affaire de coulage, mais j’ai d’abord assumé la lecture des 350 pages de leur rapport où tout y était, sauf que c’était illisible, rendu sciemment incompréhensible !
En réalité, ils intervenaient en situation de crise où tout le monde se tapait dessus et se renvoyait la balle avec une myriade de syndicats au milieu qui ajoutaient de l’huile sur l’incendie et se renvoyaient la balle…
Pour comprendre, il fallait seulement croiser trois types de tableaux, qui, pris un à un, correspondaient à la réalité et satisfaisaient les uns et les autres : Tu parles d’une concertation !
Et une fois qu’ils m’avaient donné la clé de « décodage », j’ai mis une journée à bâtir un plan de redressement…
Devenu « incontournable » dans ce métier-là, j’en ai donc fait d’autres dans ce secteur d’activité-là.
Et puis après je me suis attaqué à plus gros avec mes premiers associés, dont notamment quelques « perles » cotées en bourse et d’autres déjà « majors » dans des métiers connexes, voire le même : La rigolade !
Je suis ainsi passé par des vendeurs de bois, de pain, d’alcool, de bateaux, de programmes informatiques et même des entreprises « secret-défense » : Un roman, vous dis-je…
Naturellement, mes « associés » faisaient aussi de l’audit de prix de l’électricité, de la téléphonie, de taxe professionnelle, des taux d’accident du travail, des conditions bancaires et assurantielles, et j’ai terminé avec de l’audit de conditions d’achats. Car hors la taxe professionnelle, où tout a toujours été faux, mais dans les deux sens, il y a partout au moins 2 % d’erreur (dans les deux sens également, favorables ou non au client) : Il suffit d’y passer du temps et à force de cumul, ça fait de grosses rivières…
Pour finir « banquier » monégasque à Venise…
Bref, je connais un peu « le consulting », quoi.
 
Ça c’est du « consulting opérationnel ». Le meilleur parce que tu es aux manettes pour bâtir le meilleur pour ton client.
Il y a aussi du consulting dit « d’étude » : C’est le plus facile.
Tu écoutes bien le client, tu lis correctement sa lettre de mission (que parfois tu lui dictes), tu lui envoies un devis qu’il accepte et ta mission consiste à dire ce qu’il veut entendre et écrire ce qu’il veut lire dans ton rapport.
Naturellement, ça ne sert à rien que d’enrichir éventuellement son vocabulaire, parce qu’il s’agit de reprendre des solutions éprouvées par ailleurs avec des mots nouveaux qui aboutissent à ses desideratas.
Pas compliqué et là, les anglo-saxons sont des champions, parce qu’ils bouffent tout le monde : Ils rachètent à prix d’or les compétences en place et les fichiers clients. J’ai ainsi vendu « ma boutique » de cette façon-là avant de filer à Monaco.
 
On résume cette activité par cette boutade : « Un consultant, c’est le mek à qui tu demandes l’heure, qui t’emprunte ta propre montre, qui te dit ce qu’elle indique et que tu le payes cher pour qu’il te la rende… »
Voilà résumé l’activité de McKinsey, BCG, Accenture et une quantité d’autres.
Il faut dire que leurs « experts » sont en général des « ratés » qui ne savent rien faire d’autre et ont même systématiquement échoué quand ils faisaient de « l’opérationnel ».
C’est même une issue de « reclassement » assez bien connue, même pour des « X », « Pistons », HEC et autres.
 
Je mets à part le recours aux consultants chargés de pisser de la ligne de programmation.
IBM est champion à ce jeu-là, mais Capgemini et anciens « Bossard », plus quelques autres, tellement ce boulot d’encodage est chiant au possible… Mais par exemple, Dassault a ses propres ingénieurs, formés « maison ».
Il n’empêche, on se souvient du logiciel de paye de nos militareux dénommé « Louvois » qui aura terminé à la poubelle, l’armée se contentant finalement d’un progiciel acheté sur étagère à la Fnac (ou l’équivalent).
Ce n’est pas une blague et ça aura coûté des centaines de millions.
Pareil, plus récemment, pour le progiciel « Tous anti-covid » : Ça existait déjà gratuitement chez « Gogol » et ailleurs, mais on avait décidé de posséder les « codes sources » (question de souveraineté et de sécurité) alors on en a fait tout un plat pour réinventer l’eau chaude…
Un choix politique aujourd’hui dénoncé par le rapport du Sénat.
Qui me fait bien marrer, parce que s’il s’agit de progiciels nécessaires pour communiquer ou guider des missiles, on aura l’air kon si les USA décident qu’on n’aura pas le droit de les utiliser sans leur demander la permission préalable avant chaque tir !
Ils nous avaient fait déjà le coup pour la « bombinette » de De Gaulle et un peu plus tard pour les lanceurs spatiaux…
Tout le monde connait la suite.
 
Donc, ce n’est pas le sujet, ni quant à l’utilité, ni quant aux procédures d’appel d’offre public, même si ça peut se discuter, ni quant à la quotité (quelques centaines de millions par an distribués sur une vingtaine de prestataires, ce n’est pas la mer à boire !).
C’est donc autre chose.
 
Premier indice : Ces boîtes, au moins l’une d’entre elle, ne payent pas d’impôt au pays…
Vaste konnerie !
D’abord, les Gafam en font autant et ce sont des dizaines de milliards pas quelques 300.000 euros/an et ça ne gêne que le « sinistre du Trésor » qui reste bien seul.
Ensuite, parce que ce ne sont que des boîtes de « neurones » et, sauf détachement temporaire, l’impôt et les cotisations sociales sont payées en « Gauloisie », là où le détaché est… détaché provisoirement ou y habite depuis toujours.
On se fout donc du monde en affirmant cette énormité-là !
Reste que pour la « part du chef » (vous vous souvenez des « trois-tiers » d’hier, dont un revient au propriétaire de la boutique… ?) cette part là des résultats est « aspirée » par la maison-mère qui est en principe domiciliée dans un paradis-fiscal.
Et le pognon sert à acheter des « petits-kons » comme moâ et étoffer les équipes.
Pour fabriquer des rentes aux « pères fondateurs », comme je l’ai expliqué hier.
 
Dans l’œil du cyclone, le cabinet McKinsey, pas vraiment le meilleur (j’ai ainsi vu et entendu des « partners » dire des énormités juridiques invraisemblables devant un maire et ses conseillers municipaux qui ne réagissaient même pas, que j’en garde une dent contre eux…) est accusé d’avoir coûté très cher à l’État (ce qui est vrai : Ils sont parfaitement inutiles) et surtout de ne pas payer ses impôts en « Gauloisie ».
Je signale aux sénateurs que pour concourir à un appel d’offre publique, il faut d’abord montrer « kul-blanc » et exciper une multitude d’attestations des administrations fiscale et sociale comme quoi on acquitte bien régulièrement ce qui leur est dû… depuis au moins 3 ou 5 ans.
On n’est pas à une contradiction près…
 
385 pages d’un rapport pour découvrir qu’entre 2018 et 2021, les dépenses liées à des conseils extérieurs sollicités par l’ensemble des ministères ont été multipliées par 2,36, avec une forte accélération en 2021 (+ 45 %).
Deux types de conseil sortent particulièrement du lot : Le conseil en stratégie et organisation, qui a été multiplié par 3,7 depuis 2018, et le conseil en stratégie des systèmes d’information, qui lui a été multiplié par 5,8 (les pisseurs de ligne).
Près de 85 % des dépenses sont concentrées dans 5 ministères : Intérieur & cultes, Économie et Finances, Armées, Transition écologique, Solidarité et Santé.
Ce dernier, qui évoque notamment la crise du « Conard-virus » pour expliquer la hausse de ses dépenses, reste pourtant loin d’être le ministère le plus « gourmand » en la matière.
On note que 2.070 cabinets de conseil ont été sollicités par les autorités entre 2018 et 2020, dont 20 qui représentent 55 % du marché. Si McKinsey fait bien partie de ce « top 20 » des acteurs les plus utilisés par le gouvernement, il ne représente que 1 % des dépenses, et n’est pas l’agence la plus utilisée.
Par ailleurs, le rapport nous confirme que l’utilisation de cabinets de conseil est loin d’être une lubie « Gauloisienne ». Preuve en est avec la « Teutonnie-impériale » ou les « Britihs-mangeurs-de-porridge » qui pètent les compteurs. Le Sénat note dans son rapport que « par rapport aux autres pays européens, le conseil au secteur public apparaît historiquement limité en France ».
Bon, bé alors quoi ?
 
Ni le principe du recours à des « imbéciles diplômés » mais qui savent peigner dans le sens du poil, ni l’impôt, il ne reste plus que l’exploitation « politicienne » de supposés copinages à la veille d’élections majeures !
CQFD.
 
Ce sur quoi « Jupiter » a répondu, « qu’ils viennent me chercher », comme pour « Ben-Allah », « S’il y a du pénal, eh bien qu’on aille au pénal ! »
Non, non, il n’y a pas de pénal à prévoir.
Pour deux raisons : Jurisprudence « Bling-bling » d’abord où, devant le juge du fond, il aura répliqué qu’il n’avait pas à rendre de compte sur l’organisation de son cabinet au nom de la séparation des pouvoirs ;
« Rassurer » un « sinistre » en charge de dossiers épineux qui peuvent déboucher sur sa responsabilité pénale (ça s’est déjà vu jusqu’à récemment) en s’appuyant sur « un cabinet d’experts », c’est donc de bonne guerre.
C’est soit ça, soit on enterre le problème en créant une commission ad hoc comme la « convention citoyenne » de sortie de crise des « Gilets jeunes », soit on ouvre le parapluie comme pour le suivi de la pandémie de « Conard-virus ».
 
Comme quoi, je persiste à prétendre que le quinquennat de « Jupiter », dans des conditions parfois très difficiles, aura été un des meilleurs depuis bien longtemps.
Ce gars-là maîtrise tous ses sujets, même les plus complexes que s’en est vraiment très étonnant (surtout pour un énârque) !
Du caviar…

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