Pas bien sûr…
Car c’est l’heure des bilans, et finalement, il y a de quoi en rire.
Souvenez-vous tout de même un peu.
L’année dernière avait commencé avec l’assaut du Capitole par des
supporters de « McDo-Trompe ».
Cette année, on commence avec le chantage à la guerre de « Poux-Tine » (on y reviendra) : Comme quoi, rien ne s’arrange dans la tête de nos dictateurs-populistes !
La fin d’année 2020 signe une défaite pour le milliardaire, le début de 2021 transformait son échec en désastre.
Sa victoire à la présidentielle américaine de 2020 était pourtant quasiment assurée un an auparavant, mais il a vu ses espoirs de réélections douchés par la pandémie de « Conard-virus » et ses conséquences économiques.
Malgré le large succès du démocrate (306 grands électeurs pour « Baille-Dan » contre 232 pour « Trompe »), le trublion républicain a contesté – et conteste encore aujourd’hui – les résultats. Au point de multiplier les recours juridiques et de dénoncer, sans preuves aucunes, une fraude massive de la part du camp adverse.
Le mercredi 6 janvier, jour de la séance de certification de la victoire
du nouveau président par le Congrès, a marqué le point culminant du conflit.
Des milliers de partisans du président sortant ont fait le déplacement jusqu’au
Capitole, où se tenait la séance, et ils ont défilé aux cris de « Save
America ». Harangués par l’ancien maire de New York, Rudy Giuliani, lequel
les a appelés à marcher sur le bâtiment et à « se battre de toutes leurs forces
», des « pro-Trompe » ont violemment pénétré l’enceinte, pillant et
saccageant les lieux. La séance est interrompue mais reprendra plus tard dans
la nuit : Le vice-président sortant et président du Sénat Mike Pence certifiera
lui-même les résultats de l’élection, ce qui lui vaudra la promesse d’être
pendu par les émeutiers. L’épisode épique a coûté la vie à quatre manifestants
et à un policier.
Et la démocratie élective aura vacillé…
2021 aura été une année noire pour « Bling-bling ». Condamné le
1er mars dans l’affaire des écoutes pour « corruption active » et «
trafic d’influence » (tout comme son conseil Thierry Herzog, qui l’aurait aidé
à acheter un magistrat de la Cour de cassation, Gilbert Azibert, afin d’obtenir
des informations dans l’affaire « Bête-en-cour »), « Bling-bling » est le
premier ancien président de la Vème République être condamné à de la
prison ferme (un an plus deux avec sursis).
Souvenez-vous tout de même un peu.
Cette année, on commence avec le chantage à la guerre de « Poux-Tine » (on y reviendra) : Comme quoi, rien ne s’arrange dans la tête de nos dictateurs-populistes !
La fin d’année 2020 signe une défaite pour le milliardaire, le début de 2021 transformait son échec en désastre.
Sa victoire à la présidentielle américaine de 2020 était pourtant quasiment assurée un an auparavant, mais il a vu ses espoirs de réélections douchés par la pandémie de « Conard-virus » et ses conséquences économiques.
Malgré le large succès du démocrate (306 grands électeurs pour « Baille-Dan » contre 232 pour « Trompe »), le trublion républicain a contesté – et conteste encore aujourd’hui – les résultats. Au point de multiplier les recours juridiques et de dénoncer, sans preuves aucunes, une fraude massive de la part du camp adverse.
Et la démocratie élective aura vacillé…
Les prévenus ont fait appel du jugement, ce qui a nécessairement suspendu
leur peine, et restent dont présumés innocents.
Dans la foulée du prononcé du jugement, « Bling-bling » s’est répandu dans les médias, accordant une interview au « Figue-à-rôt », et mettant au supplice le pauvre Gilles « Boulot » en l’interrogeant au 20 heures de TF1 : « Je vous prends bien droit dans les yeux Monsieur Bouleau : si vous n’aviez pas la conviction que j’ai été un homme honnête, est-ce que vous m’auriez réservé un tel accueil dans votre journal ? ».
Les malhonnêtes, décidément ça ose tout : C’est d’ailleurs comme ça qu’on les reconnait…
Six mois plus tard, rebelote. « Bling-bling » est condamné le 30 septembre à deux ans de prison, dont un ferme, et à trois ans d’inéligibilité avec sursis pour « financement illégal de campagne électorale » lors de l’élection présidentielle de 2012, dans l’affaire « Pig-Maillon ».
Là encore, l’ex-chef de l’État a fait appel. Le coup de grâce tombe cependant sur l’un de ses fidèles quelques semaines plus tard : Son ancien « sinistre de l’intérieur », « Cloclo-Néant », est emprisonné à la Santé le 13 décembre, pour neuf mois, à la suite d’une précédente condamnation prononcée en 2017 et confirmée en Cassation en 2019.
J’en rigole : On ne met à l’intérieur que des gens de confiance.
Et décidément, qui se ressemble s’assemble…
Régionales : Des élections qui auront montré deux choses. D’abord, qu’il
était un peu tôt pour enterrer le vieux clivage gôche-droâte puisque le « P.Soce »
et Les « Républicains-démocrates » sont sortis grands
vainqueurs des régionales. Ensuite, qu’avec un pourcentage de participation
historiquement faible de 34,69 % au second tour, le jeu démocratique n’intéresse
plus grand monde. Même le « Air-Haine » n’attire déjà plus les
contestataires, alors qu’on prédisait au parti de « Marinella-tchi-tchi »
une rafle, ou au moins un succès en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Loupé !
On aura invoqué la crise du « Conard-virus », établissant le
parallèle avec les élections municipales de 2020 où seuls 41,6 % des votants se
sont déplacés aux urnes. C’est oublier que ce dernier rendez-vous électoral
était décomposé en deux tours à la temporalité très éloignée (premier tour le
15 mars 2020, le second le 28 juin 2020) et que les premières fermetures d’établissements
– établissements scolaires et universités, bars… – avaient été décrétées les 12
et 14 mars, suscitant un début de panique générale.
Les élections régionales, elles, n’ont pas été victimes du même contexte. Leur faible attractivité semble plutôt provenir d’un désintérêt croissant pour la chose publique : La « Gauloisie-élective » s’en contre-cogne le coquillard et les roubignoles dans le même mouvement.
Une répétition générale pour les échéances de 2022 ?
La chute de Kaboul : Une « chute » au sens propre du terme en 2021, c’est
bien celle de Kaboul où on a même revécu les images de la chute de Phnom-Penh.
Vous n’étiez pas nés, vous ne pouvez pas savoir : Moâ, si et je me souviens très bien.
L’intervention de la coalition internationale en Afghanistan en 2001 devait, si ce n’est les éradiquer, du moins tenir éloignés du pouvoir les talibans, après leur refus de livrer le chef d’Al-Qaida, Oussama Ben Laden, après les attentats du 11 septembre.
Ben Laden ayant finalement été neutralisé par les forces spéciales américaines le 2 mai 2011, les États-Unis étaient quand même restés sur le sol afghan, pour tenter d’instaurer un régime démocratique et former l’armée afghane.
Foutaiseries !
Vingt ans plus tard, l’échec est cuisant.
Les talibans ont repris le pouvoir au terme d’une offensive éclair lancée le 14 avril 2021 et achevée le 15 août avec la prise de Kaboul, – soit vingt ans après le renversement de leur régime – profitant du retrait des troupes américaines. Aucune résistance ne leur a été opposée.
L’armée afghane s’étant effondrée à l’instant même où les forces de l’Otan commençaient à quitter le territoire. Et ce malgré le milliard de dollars injecté chaque mois dans la défense de l’Afghanistan par les Américains.
En pénétrant dans la capitale afghane les troupes talibanes ont entraîné le départ du président afghan Ashraf Ghani et repris le contrôle du pays, qu’ils ont dirigé de 1996 à 2001. « Les talibans ont gagné », a reconnu le dirigeant en fuite, tandis que les fondamentalistes islamistes criaient victoire dans le palais présidentiel.
Les enseignements à tirer de cette défaite sont au moins au nombre de deux : « Avant tout la marque du déclin américain et de sa capacité à être le gendarme du monde. C’est fini.
L’autre enseignement (…) c’est que l’Otan ne signifie plus rien. Après la Syrie,
aujourd’hui l’Afghanistan, si les Européens n’ont pas compris, c’est qu’ils ne
veulent pas comprendre. L’Otan est mort… »
« Jupiter » l’avait déjà dit : Mort cérébrale…
On pourra regretter les morts de nos soldats « Gauloisiens » : Là encore, je me souviens très bien de l’émotion suscitée par le décès d’un médecin du 2ème REP, stationné à Calvi-Balagne, dans les montagnes afghanes, victime de son devoir de « soignant » à l’occasion d’un guet-apens.
« Nono-Lagardaire » dépouillé : Son père doit se retourner
dans sa tombe. En quelques années le rejeton de Jean-Luc projeté à la tête de l’empire
médiatique de son père malgré son incurie manifeste, a dilapidé la fortune
familiale.
Criblé de dettes, il s’applique depuis des années à démembrer son groupe, n’hésitant pas à faire entrer le loup dans la bergerie pour sauver, à court terme, sa fortune.
C’est ainsi que le groupe Vivendi a été appelé à la rescousse pour calmer les appétits de Amber Capital, l’un des actionnaires du groupe (Europe 1, Paris Match, Hachette, Le journal du dimanche…). Puis Bernard « Art-Now » pour empêcher une OPA de Vincent « Beau-L’Orée ».
En définitive, les deux milliardaires se sont retournés contre le playboy. Le 30 juin, les actionnaires du groupe votent la transformation de l’entreprise en société anonyme. « Nono », qui ne possède réellement que 7 % des parts, perd son pouvoir absolu mais obtient, en échange, d’être nommé président statutaire pendant six ans, avec un joli revenu annuel estimé entre 5 et 6 millions d’euros.
Bakchiche : On y reviendra à l’occasion du prochain roman d’été.
Il en est déjà question dans « La croisière d’Alexis » le dernier opus disponible chez Amazon (https://www.amazon.fr/croisi%C3%A8re-dAlexis-enqu%C3%AAtes-Charlotte/dp/B09NH63ZCT/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=26FMNU7GCC10B&keywords=la+croisi%C3%A8re+d%27alexis&qid=1641200961&sprefix=la+croisi%C3%A8re+d%27alexis%2Caps)%2C112&sr=8-1).
Résultat de l’opération : Europe 1, Paris Match et Le JDD passent sous la coupe de « Beau-L’Orée » à l’avant-veille d’élections majeures dans le pays : Le pote de « Bling-bling » en profite pour lancer « Zézé-Amour ».
Drôle de manœuvre électorale !
Quant au groupe Hachette, le Breton est en discussion avec le CSA et la Commission européenne pour racheter les parts de la société d'édition.
Crise des sous-marins australiens : Alors que la « Gauloisie-militaire »
avait signé, en 2016, la vente de 12 sous-marins avec l’Australie pour un
montant de 34 milliards d’euros, leur Premier ministre annonce le 15 septembre,
depuis la Maison Blanche, mettre fin au « contrat du siècle » au profit de la
nouvelle alliance AUKUS (Australie, Royaume-Uni, États-Unis).
Les « Ricains » fourniront l’Australie en sous-marins, nucléaires cette fois-ci.
Nouvelle alliance dans l’Indopacifique en contre-pied de la mort cérébrale de l’Otan qui devait s’élargir à la zone.
Notez que ni les Nippons ni les Canadiens n’y participent.
Pas plus que les « Gauloisiens » dont même la Nouvelle-Calédonie ne prend pas le risque d’une indépendance offerte à l’issue d’un troisième référendum qui aura échouée autant que les deux précédents…
Dans la foulée, crise diplomatique avec rappel des ambassadeurs aux
États-Unis et en Australie « pour consultations ».
Le Quai d’Orsay dit ne pas avoir été prévenu avant la conférence de presse des chefs d’État australien et américain. L’Australie maintient avoir prévenu « Jupiter » d’une éventuelle annulation.
Les discussions diplomatiques se font via presse interposée…
Pari perdu pour « Xav’-Berre-Trans » : Il craignait la
primaire, le congrès a eu sa peau !
Fin septembre, les adhérents « Les Républicains-démocrates »
auront choisi à 58 % ce processus pour désigner leur candidat à la
présidentielle. De quoi contrarier les projets du « seul opposant » de
« Jupiter » capable de le battre, lequel se voyait déjà en haut de
l’affiche comme le candidat naturel de la droâte à la magistrature suprême.
Parti plus tôt que ses rivaux de chez LRD – il s’était déclaré en
mars 2021 –, le président des Hauts-de-France a jusqu’au bout joué le bras de
fer avec son ancienne famille politique afin de ne pas se plier à une primaire.
Présenté comme le troisième homme dans les sondages derrière « Jupiter » et « Marinella-tchi-chi », l’ex-sinistre du Travail et de la Santé de « Bling-bling » a dû ravaler sa fierté et accepter de participer au congrès.
Les 22,36 % obtenus ne lui ont pas permis d’accéder au second tour. Pis, son score l’a placé à la quatrième place, derrière « Riton-Chiotti », « Valy-Paic-tresse » et « Michou-Barre-niée ».
Le fat était trop sûr de lui, pas assez ancré dans le parti dont il avait rendu sa carte : Pas vraiment une perte pour les Gaullistes.
Série noire pour « Dédé-Rat-out ». Ses prises de position
controversées dans la crise du « Conard-virus » ont finalement eu
raison de ses appuis. Le 31 août 2021, le marseillais a été forcé de prendre sa
retraite de son poste de professeur d’université-praticien hospitalier, la
direction de l’Assistance publique-Hôpitaux universitaires de Marseille (AP-HM)
ayant refusé sa demande de cumul emploi-retraite.
Il a également été poussé à quitter la direction de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille (IHU) et sera remplacé au plus tard le 30 juin 2022.
Dernier acte de cette brutale déchéance : Le blâme adressé le 3 décembre par l’Ordre des médecins de Bordeaux, après l’examen deux plaintes déposées contre lui pour des entorses au code de déontologie.
Outre sa promotion sans nuance pour ériger l’hydroxychloroquine en remède de cheval miraculeux contre le « Conard-virus », il lui était reproché des essais controversés en février et mars 2020, sur des patients infectés par le virus.
Désormais, un autre dossier pourrait donner des sueurs froides à l’infectiologue : Celui-ci est accusé d’avoir mené, depuis 2017, de présumés essais cliniques illégaux contre la tuberculose.
Le 28 octobre, le parquet de Marseille a annoncé qu’il évaluerait les suites à donner après avoir reçu un signalement de l’Agence nationale de sécurité du médicament.
La chute d’un druide ?
2021 c’est la fin du règne « d’En-Gèle-la-Mère-Quelle ». Figure
centrale et populaire de la politique « Teutonne » et européenne, elle
a mis un terme à 31 ans de carrière, dont 16 passés à diriger la première
économie européenne.
Encore au faîte de sa popularité, la chancelière a ainsi passé le flambeau au social-démocrate Olaf Scholz – son dauphin désigné ayant perdu les élections – qui, en prêtant serment le 8 décembre dernier, a fait revenir le centre-gôche au pouvoir et clôt définitivement l’ère précédente.
C’est aussi Joséphine Baker au Panthéon. Vedette du music-hall, figure de
la Résistance et militante antiraciste, elle est devenue, le 30 novembre, la
première femme noire à entrer dans ce temple républicain.
Avant même « T’oublieras » !
En saluant une icône des années folles qui « endosse les stéréotypes » puis « les bouscule, les égratigne, les tourne en burlesque et sublime l’esprit des Lumières », « Jupiter » – à l’origine de son intronisation – a aussi rendu hommage à une « héroïne de guerre » qui « fit à chaque tournant de l’histoire les justes choix ».
Admettons.
Jeux olympiques d’été à Tokyo : Décalés en raison de la pandémie de « Conard-virus »
puis reprogrammés du 23 juillet au 8 août 2021, les JO de Tokyo ont vu la « Gauloisie-du-muscle »
ramener 33 médailles (dont 10 en or). Et réaliser son meilleur bilan olympique
en matière de sports collectifs depuis plus de dix ans – se classant ainsi
parmi les meilleures nations – avec pas moins de six médailles : l’argent pour
le rugby féminin, l’or pour les handballeurs et handballeuses, le bronze des
basketteuses, l’argent des basketteurs et enfin l’or pour les volleyeurs.
Le tout joué à « guichets fermés »…
Début du procès des attentats du 13 novembre 2015. Six ans après les
attaques terroristes qui ont fait 130 morts et 350 blessés à Saint-Denis et
Paris, la plus grande audience criminelle jamais organisée en « Gauloisie-judiciaire »
s’est ouverte le 8 septembre 2021, sous très haute sécurité dans le palais de
justice historique de « Paris-sur-la-Seine », situé sur l’île de la
Cité.
Y sont jugés vingt accusés et entendus plus de 300 témoins, dont des rescapés de l’attentat – le plus meurtrier commis sur le sol national.
Un procès-fleuve, qui s’achèvera, peut-être, fin mai 2022.
Réouverture des cafés et restaurants, « dès le 19 mai, il nous faut
retrouver notre art de vivre à la française » lance « Jupiter »,
dans une interview à la presse quotidienne régionale. Annonce attendue tant par
les patrons d’établissement, qui avaient tiré le rideau six mois plus tôt – le
29 octobre 2020 – en raison de l’épidémie de « Conard-virus », que
par les « Gauloisiens-pathétiques ». D’abord limité aux seules
terrasses, le plan de réouverture permettait, enfin, d’accueillir ces derniers
– avec jauges limitées – en intérieur. Un premier renouement avec la vie
d’avant…
Retour sur Terre pour Thomas Pesquet après 199 jours passés en orbite à
bord de la Station spatiale internationale (ISS) avec mon pognon, il a posé le
pied sur la « terre ferme » avec ses trois coéquipiers, dans le golfe
du Mexique, le mardi 9 novembre à 4 h 33 du matin (heure Gauloisienne). « Une
fierté d’avoir représenté la France une nouvelle fois dans l’espace », a twisté
le spationaute à l’issue de sa mission.
Laquelle a permis de mener plus de 200 expériences, en médecine, physique et neurosciences. Mais aussi de préparer des vols futurs vers la Lune ou la planète rouge.
Je ne sais pas quel est l’avenir de l’homme dans l’espace : C’est vraiment un milieu totalement contre-nature.
Être irradié pendant 6 mois, enfermé dans un caisson sans issue possible (style, accrochez-vous à vos masques, je vais faire un tour dehors pour m’aérer tellement ça pue le bouc ici !), accompagné de fêlés de la même espèce, juste pour faire quelques magnifiques photos, j’avoue que c’est une ambition qui me dépasse !
La vie est pourtant si courte…
Enfin passons : L’année passée n’aura pas été de tout repos.
On peut supposer qu’il en sera de même pour celle entamée récemment.
Espérons seulement qu’elle ne sera pas pire, car le pire n’est jamais sûr.
Mais le meilleur pas plus…
Dans la foulée du prononcé du jugement, « Bling-bling » s’est répandu dans les médias, accordant une interview au « Figue-à-rôt », et mettant au supplice le pauvre Gilles « Boulot » en l’interrogeant au 20 heures de TF1 : « Je vous prends bien droit dans les yeux Monsieur Bouleau : si vous n’aviez pas la conviction que j’ai été un homme honnête, est-ce que vous m’auriez réservé un tel accueil dans votre journal ? ».
Les malhonnêtes, décidément ça ose tout : C’est d’ailleurs comme ça qu’on les reconnait…
Six mois plus tard, rebelote. « Bling-bling » est condamné le 30 septembre à deux ans de prison, dont un ferme, et à trois ans d’inéligibilité avec sursis pour « financement illégal de campagne électorale » lors de l’élection présidentielle de 2012, dans l’affaire « Pig-Maillon ».
Là encore, l’ex-chef de l’État a fait appel. Le coup de grâce tombe cependant sur l’un de ses fidèles quelques semaines plus tard : Son ancien « sinistre de l’intérieur », « Cloclo-Néant », est emprisonné à la Santé le 13 décembre, pour neuf mois, à la suite d’une précédente condamnation prononcée en 2017 et confirmée en Cassation en 2019.
J’en rigole : On ne met à l’intérieur que des gens de confiance.
Et décidément, qui se ressemble s’assemble…
Loupé !
Les élections régionales, elles, n’ont pas été victimes du même contexte. Leur faible attractivité semble plutôt provenir d’un désintérêt croissant pour la chose publique : La « Gauloisie-élective » s’en contre-cogne le coquillard et les roubignoles dans le même mouvement.
Une répétition générale pour les échéances de 2022 ?
Vous n’étiez pas nés, vous ne pouvez pas savoir : Moâ, si et je me souviens très bien.
L’intervention de la coalition internationale en Afghanistan en 2001 devait, si ce n’est les éradiquer, du moins tenir éloignés du pouvoir les talibans, après leur refus de livrer le chef d’Al-Qaida, Oussama Ben Laden, après les attentats du 11 septembre.
Ben Laden ayant finalement été neutralisé par les forces spéciales américaines le 2 mai 2011, les États-Unis étaient quand même restés sur le sol afghan, pour tenter d’instaurer un régime démocratique et former l’armée afghane.
Foutaiseries !
Les talibans ont repris le pouvoir au terme d’une offensive éclair lancée le 14 avril 2021 et achevée le 15 août avec la prise de Kaboul, – soit vingt ans après le renversement de leur régime – profitant du retrait des troupes américaines. Aucune résistance ne leur a été opposée.
L’armée afghane s’étant effondrée à l’instant même où les forces de l’Otan commençaient à quitter le territoire. Et ce malgré le milliard de dollars injecté chaque mois dans la défense de l’Afghanistan par les Américains.
En pénétrant dans la capitale afghane les troupes talibanes ont entraîné le départ du président afghan Ashraf Ghani et repris le contrôle du pays, qu’ils ont dirigé de 1996 à 2001. « Les talibans ont gagné », a reconnu le dirigeant en fuite, tandis que les fondamentalistes islamistes criaient victoire dans le palais présidentiel.
Les enseignements à tirer de cette défaite sont au moins au nombre de deux : « Avant tout la marque du déclin américain et de sa capacité à être le gendarme du monde. C’est fini.
On pourra regretter les morts de nos soldats « Gauloisiens » : Là encore, je me souviens très bien de l’émotion suscitée par le décès d’un médecin du 2ème REP, stationné à Calvi-Balagne, dans les montagnes afghanes, victime de son devoir de « soignant » à l’occasion d’un guet-apens.
Criblé de dettes, il s’applique depuis des années à démembrer son groupe, n’hésitant pas à faire entrer le loup dans la bergerie pour sauver, à court terme, sa fortune.
C’est ainsi que le groupe Vivendi a été appelé à la rescousse pour calmer les appétits de Amber Capital, l’un des actionnaires du groupe (Europe 1, Paris Match, Hachette, Le journal du dimanche…). Puis Bernard « Art-Now » pour empêcher une OPA de Vincent « Beau-L’Orée ».
En définitive, les deux milliardaires se sont retournés contre le playboy. Le 30 juin, les actionnaires du groupe votent la transformation de l’entreprise en société anonyme. « Nono », qui ne possède réellement que 7 % des parts, perd son pouvoir absolu mais obtient, en échange, d’être nommé président statutaire pendant six ans, avec un joli revenu annuel estimé entre 5 et 6 millions d’euros.
Bakchiche : On y reviendra à l’occasion du prochain roman d’été.
Il en est déjà question dans « La croisière d’Alexis » le dernier opus disponible chez Amazon (https://www.amazon.fr/croisi%C3%A8re-dAlexis-enqu%C3%AAtes-Charlotte/dp/B09NH63ZCT/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=26FMNU7GCC10B&keywords=la+croisi%C3%A8re+d%27alexis&qid=1641200961&sprefix=la+croisi%C3%A8re+d%27alexis%2Caps)%2C112&sr=8-1).
Résultat de l’opération : Europe 1, Paris Match et Le JDD passent sous la coupe de « Beau-L’Orée » à l’avant-veille d’élections majeures dans le pays : Le pote de « Bling-bling » en profite pour lancer « Zézé-Amour ».
Drôle de manœuvre électorale !
Quant au groupe Hachette, le Breton est en discussion avec le CSA et la Commission européenne pour racheter les parts de la société d'édition.
Les « Ricains » fourniront l’Australie en sous-marins, nucléaires cette fois-ci.
Nouvelle alliance dans l’Indopacifique en contre-pied de la mort cérébrale de l’Otan qui devait s’élargir à la zone.
Notez que ni les Nippons ni les Canadiens n’y participent.
Pas plus que les « Gauloisiens » dont même la Nouvelle-Calédonie ne prend pas le risque d’une indépendance offerte à l’issue d’un troisième référendum qui aura échouée autant que les deux précédents…
Le Quai d’Orsay dit ne pas avoir été prévenu avant la conférence de presse des chefs d’État australien et américain. L’Australie maintient avoir prévenu « Jupiter » d’une éventuelle annulation.
Les discussions diplomatiques se font via presse interposée…
Fin septembre, les adhérents « Les Républicains
Parti plus tôt que ses rivaux de chez LR
Présenté comme le troisième homme dans les sondages derrière « Jupiter » et « Marinella-tchi-chi », l’ex-sinistre du Travail et de la Santé de « Bling-bling » a dû ravaler sa fierté et accepter de participer au congrès.
Les 22,36 % obtenus ne lui ont pas permis d’accéder au second tour. Pis, son score l’a placé à la quatrième place, derrière « Riton-Chiotti », « Valy-Paic-tresse » et « Michou-Barre-niée ».
Le fat était trop sûr de lui, pas assez ancré dans le parti dont il avait rendu sa carte : Pas vraiment une perte pour les Gaullistes.
Il a également été poussé à quitter la direction de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille (IHU) et sera remplacé au plus tard le 30 juin 2022.
Dernier acte de cette brutale déchéance : Le blâme adressé le 3 décembre par l’Ordre des médecins de Bordeaux, après l’examen deux plaintes déposées contre lui pour des entorses au code de déontologie.
Outre sa promotion sans nuance pour ériger l’hydroxychloroquine en remède de cheval miraculeux contre le « Conard-virus », il lui était reproché des essais controversés en février et mars 2020, sur des patients infectés par le virus.
Désormais, un autre dossier pourrait donner des sueurs froides à l’infectiologue : Celui-ci est accusé d’avoir mené, depuis 2017, de présumés essais cliniques illégaux contre la tuberculose.
Le 28 octobre, le parquet de Marseille a annoncé qu’il évaluerait les suites à donner après avoir reçu un signalement de l’Agence nationale de sécurité du médicament.
La chute d’un druide ?
Encore au faîte de sa popularité, la chancelière a ainsi passé le flambeau au social-démocrate Olaf Scholz – son dauphin désigné ayant perdu les élections – qui, en prêtant serment le 8 décembre dernier, a fait revenir le centre-gôche au pouvoir et clôt définitivement l’ère précédente.
Avant même « T’oublieras » !
En saluant une icône des années folles qui « endosse les stéréotypes » puis « les bouscule, les égratigne, les tourne en burlesque et sublime l’esprit des Lumières », « Jupiter » – à l’origine de son intronisation – a aussi rendu hommage à une « héroïne de guerre » qui « fit à chaque tournant de l’histoire les justes choix ».
Admettons.
Le tout joué à « guichets fermés »…
Y sont jugés vingt accusés et entendus plus de 300 témoins, dont des rescapés de l’attentat – le plus meurtrier commis sur le sol national.
Un procès-fleuve, qui s’achèvera, peut-être, fin mai 2022.
Laquelle a permis de mener plus de 200 expériences, en médecine, physique et neurosciences. Mais aussi de préparer des vols futurs vers la Lune ou la planète rouge.
Je ne sais pas quel est l’avenir de l’homme dans l’espace : C’est vraiment un milieu totalement contre-nature.
Être irradié pendant 6 mois, enfermé dans un caisson sans issue possible (style, accrochez-vous à vos masques, je vais faire un tour dehors pour m’aérer tellement ça pue le bouc ici !), accompagné de fêlés de la même espèce, juste pour faire quelques magnifiques photos, j’avoue que c’est une ambition qui me dépasse !
La vie est pourtant si courte…
On peut supposer qu’il en sera de même pour celle entamée récemment.
Espérons seulement qu’elle ne sera pas pire, car le pire n’est jamais sûr.
Mais le meilleur pas plus…
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