Bé, je l’avoue, pas moâ !
Je connaissais l’effet « placebo » : Tu
donnes une pilule inoffensive à un malade, sans principe actif, et il va voir
son état s’améliorer.
Et l’inverse est tout aussi vrai : Tu ne lui donnes rien, soit il en crève, soit il va mieux…
Mais si tu donnes à un « bien-portant » un médoc, même inactif, il va peut-être en être malade…
Et justement, avec la vaccination massive contre « la grippette » de « McDo-Trompe », si certains effets secondaires des vaccins « anti-Conard-virus » sont bien réels, beaucoup d’autres pourraient être dus à l’effet « nocebo ».
De tout façon, avant même qu’ils ne soient disponibles
sur le marché, les vaccins « anti-Conard-virus » inspiraient déjà de
la crainte à de nombreuses personnes, notamment à cause des effets indésirables
qu’ils pourraient provoquer.
Familles, amis et collègues ont tous discuté de leur état dans les jours qui ont suivi la première injection, puis la deuxième.
Certains n’ont presque rien senti, juste une douleur au bras (je confirme, mais même pas pour l’AstraZeneca), alors que d’autres ont passé trois jours au lit, fatigués et courbaturés, voire fiévreux !
Pôvs’ créatureschétives pas bien faites pour la
vie sur la planète… !
La peur de faire une mauvaise réaction au vaccin est d’ailleurs l’une des principales causes du refus de la vaccination chez une minorité de la population.
Pourtant, si les expériences de chacun sont réelles,
leur lien avec les vaccins « anti-Conard-virus » n’est peut-être pas
si évident.
Dans des essais cliniques, le groupe ayant reçu un placebo inerte, une solution saline par exemple, a aussi expérimenté des effets indésirables !
C’est ce que l’on appelle « l’effet nocebo », le « côté obscur » de l’effet placebo.
Il faut dire que de se faire piquer à l’eau salée, il y a de quoi être furieux…
L’effet placebo est assez connu du grand public et
largement étudié par les scientifiques. C’est quand une intervention neutre
provoque chez le patient des effets positifs sur sa santé.
Une meilleure humeur, plus d’énergie, un bien-être amélioré.
Les paroles rassurantes d’un médecin peuvent aussi avoir un effet placebo.
Sans rien soigner, l’effet placebo peut tout de même améliorer l’état général du patient, c’est reconnu par la science officielle.
L’effet nocebo est défini comme suit : Un traitement inoffensif, qui lorsqu’il est administré, est associé à des effets négatifs ou une aggravation de certains symptômes en raison des attentes négatives du patient ou son état psychologique.
Les deux phénomènes sont en grande partie psychologiques, mais induisent des symptômes réels : Positifs pour l’effet placebo, négatifs pour le nocebo.
C’est qu’on par ailleurs analysé que 76 % des effets
secondaires post-vaccin sont d’origine psychosomatique : Une méta-analyse
parue dans Jama Network Open le 18 janvier 2022, a analysé la proportion d’effets
secondaires attribuables à l’effet nocebo après l’injection des vaccins « anti-Conard-virus ».
Et a encore fait reculé les limites de l’ignorance…
Les scientifiques de l’école de médecine d’Harvard ont inclus 12 essais cliniques randomisés, menés sur des volontaires de plus de 16 ans, qui comprenaient un groupe « vacciné » et un groupe « placebo inerte » pour lesquels le suivi des effets secondaires était disponible dans les sept jours après l’injection.
La proportion d’effets secondaires locaux et
systémiques a été calculée pour le groupe vacciné et le groupe placebo pour cet
ensemble de publication. Selon leur résultat, 35,2 % des personnes ayant reçu
une primo-injection de placebo ont rapporté un effet secondaire systémique, le
plus souvent fatigue et maux de tête ; 31,8 % après la seconde injection.
Dur…
En comparaison, 46,3 % des personnes ayant reçu leur première dose de vaccin « anti-Conard-virus » ont rapporté le même type de symptômes et 61,4 % après la seconde dose.
Les scientifiques ont ainsi déterminé que 76 % des effets secondaires systémiques qui apparaissent après la primo-injection d’un vaccin « anti-Conard-virus » sont attribuables à l’effet nocebo, et 51,8 % après la seconde dose.
L’effet nocebo rend la vaccination plus désagréable qu’elle
ne l’est réellement. Tous les effets secondaires post-vaccinaux ne sont pas dus
à notre appréhension ou angoisse face aux vaccins.
Les réactions locales, elles, sont bien le résultat du vaccin et de sa formule qui active le système immunitaire.
Seuls 16,2 % des volontaires du groupe placebo ont rapporté un effet secondaire indésirable local après la première injection : Il faut le faire…
11,8 % après la deuxième injection.
Alors que 66,7 % des volontaires du groupe vacciné ont expérimenté une réaction locale après la première dose et 72,8 % après la deuxième.
Ainsi, 24 % des effets secondaires locaux sont attribuables à l’effet nocebo après la primo-injection, 16,2 % après la deuxième.
Tout cela n’est donc pas qu’une question de
psychologie.
Néanmoins, discuter avec le public de l’effet nocebo ou de la possibilité qu’aucun effet secondaire désagréable n’apparaisse pourrait avoir un effet bénéfique et limiter la survenue de symptômes non spécifiques, comme la fatigue et le mal de tête.
« De plus, informer le public sur un potentiel effet nocebo pourrait aider à réduire les inquiétudes à propos des vaccins anti-Covid, ce qui pourrait réduire aussi l’hésitation vaccinale », concluent les auteurs de l'étude.
Et peut-être que la meilleure des choses à faire, serait de ne pas garder consigner le nouvel injecté durant un quart d’heure après la piquouze pour voir s’il tombe ou non : Ça rendrait moins nerveux.
Notez que j’en connais un qui est tombé dans les pommes avant de se faire piquer…
C’est dire l’état de stress dans lequel il était !
Fabuleux les effets de la psycho-somatisation…
Et alors, quand ça se justifie ex-ante avec des artifices « politiques » et soi-disant rationnels, ça reste finalement très drôle.
Enfin, passons et vous passez une bonne fin de
week-end, toutes et tous !
I3
Et l’inverse est tout aussi vrai : Tu ne lui donnes rien, soit il en crève, soit il va mieux…
Mais si tu donnes à un « bien-portant » un médoc, même inactif, il va peut-être en être malade…
Et justement, avec la vaccination massive contre « la grippette » de « McDo-Trompe », si certains effets secondaires des vaccins « anti-Conard-virus » sont bien réels, beaucoup d’autres pourraient être dus à l’effet « nocebo ».
Familles, amis et collègues ont tous discuté de leur état dans les jours qui ont suivi la première injection, puis la deuxième.
Certains n’ont presque rien senti, juste une douleur au bras (je confirme, mais même pas pour l’AstraZeneca), alors que d’autres ont passé trois jours au lit, fatigués et courbaturés, voire fiévreux !
Pôvs’ créatures
La peur de faire une mauvaise réaction au vaccin est d’ailleurs l’une des principales causes du refus de la vaccination chez une minorité de la population.
Dans des essais cliniques, le groupe ayant reçu un placebo inerte, une solution saline par exemple, a aussi expérimenté des effets indésirables !
C’est ce que l’on appelle « l’effet nocebo », le « côté obscur » de l’effet placebo.
Il faut dire que de se faire piquer à l’eau salée, il y a de quoi être furieux…
Une meilleure humeur, plus d’énergie, un bien-être amélioré.
Les paroles rassurantes d’un médecin peuvent aussi avoir un effet placebo.
Sans rien soigner, l’effet placebo peut tout de même améliorer l’état général du patient, c’est reconnu par la science officielle.
L’effet nocebo est défini comme suit : Un traitement inoffensif, qui lorsqu’il est administré, est associé à des effets négatifs ou une aggravation de certains symptômes en raison des attentes négatives du patient ou son état psychologique.
Les deux phénomènes sont en grande partie psychologiques, mais induisent des symptômes réels : Positifs pour l’effet placebo, négatifs pour le nocebo.
Et a encore fait reculé les limites de l’ignorance…
Les scientifiques de l’école de médecine d’Harvard ont inclus 12 essais cliniques randomisés, menés sur des volontaires de plus de 16 ans, qui comprenaient un groupe « vacciné » et un groupe « placebo inerte » pour lesquels le suivi des effets secondaires était disponible dans les sept jours après l’injection.
Dur…
En comparaison, 46,3 % des personnes ayant reçu leur première dose de vaccin « anti-Conard-virus » ont rapporté le même type de symptômes et 61,4 % après la seconde dose.
Les scientifiques ont ainsi déterminé que 76 % des effets secondaires systémiques qui apparaissent après la primo-injection d’un vaccin « anti-Conard-virus » sont attribuables à l’effet nocebo, et 51,8 % après la seconde dose.
Les réactions locales, elles, sont bien le résultat du vaccin et de sa formule qui active le système immunitaire.
Seuls 16,2 % des volontaires du groupe placebo ont rapporté un effet secondaire indésirable local après la première injection : Il faut le faire…
11,8 % après la deuxième injection.
Alors que 66,7 % des volontaires du groupe vacciné ont expérimenté une réaction locale après la première dose et 72,8 % après la deuxième.
Ainsi, 24 % des effets secondaires locaux sont attribuables à l’effet nocebo après la primo-injection, 16,2 % après la deuxième.
Néanmoins, discuter avec le public de l’effet nocebo ou de la possibilité qu’aucun effet secondaire désagréable n’apparaisse pourrait avoir un effet bénéfique et limiter la survenue de symptômes non spécifiques, comme la fatigue et le mal de tête.
« De plus, informer le public sur un potentiel effet nocebo pourrait aider à réduire les inquiétudes à propos des vaccins anti-Covid, ce qui pourrait réduire aussi l’hésitation vaccinale », concluent les auteurs de l'étude.
Et peut-être que la meilleure des choses à faire, serait de ne pas garder consigner le nouvel injecté durant un quart d’heure après la piquouze pour voir s’il tombe ou non : Ça rendrait moins nerveux.
Notez que j’en connais un qui est tombé dans les pommes avant de se faire piquer…
C’est dire l’état de stress dans lequel il était !
Et alors, quand ça se justifie ex-ante avec des artifices « politiques » et soi-disant rationnels, ça reste finalement très drôle.
La vérité commence à sortir
RépondreSupprimerhttps://crowdbunker.com/v/1w7fwrSVvB
Amitiés de combat
Basanix
Content de te savoir vivant, l'ami !
SupprimerTous mes vœux de bonne santé, à cette occasion.
Ceci dit la vérité sur noter époque échappe à la plupart, même au plus haut niveau.
Je crains qu'elle ne nous soit même jamais accessible... puisque nous vivons dans un monde d'opinions et que celles-ci sont fabriquées de toutes pièces.
C'est comme ça !
Bonne continuation à toâ !
I-Cube