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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 27 janvier 2022

Les effets pervers de l’exode des citadins…

Ça m’amuse bien, finalement.
 
Un commentateur (anonyme) de ce blog, m’avait demandé pourquoi je n’étais pas resté en Balagne à la fin de l’été.
C’est vrai que vivre en Balagne, ou ailleurs, loin des centres-villes encombrés et pollués, c’est une autre qualité de vie bien agréable que de vivre à « Paris-sur-la-plage » : Au moins, on n’a pas à supporter les délires de « Sœur-Âne » au quotidien et de sa clique « écololo » qui défoncent les chaussées rien que pour « emmerder » vaccinés et non-vaccinés qui se déplacent !
En Balagne, quand on se déplace, c’est en voiture, en taxi ou en train-diesel mais sûrement pas en vélo (c’est réservé aux touristes qui aiment suer sous le soleil dans les montées et faux-plats), sans aucune autre contrainte que celles imposées par le code de la route…
D’accord, il y a plus de dos-d’âne et de nids de poule, mais moins d’obstacles. Et puis les paysages sont beaux et la lumière est splendide.
 
Je lui ai répondu qu’avec toutes mes ALD sur les épaules et jusqu’aux pieds, ce n’était pas très raisonnable. J’ai assez cotisé toute ma vie pour ne pas accepter de ne pas être soigné. D’autant que finalement, je ne consomme pas beaucoup de soins ni de médicaments, malgré tout.
La vraie raison c’est qu’en hiver, avec un semblant de chauffage d’appoint et des cheminées qui ne tirent plus depuis le millénaire passé, ce n’est tout de même pas la même chose que chauffer au « chauffage urbain » (le recyclage de mes ordures…).
Et puis il faut vous raconter ce qu’est la vie de province, pratiquement dans toutes les provinces : Oh, il y a une vie sociale et même culturelle, naturellement, comme partout, mais pas nécessairement avec une pléthore de choix comme dans les grandes villes : Un cinéma en Balagne. Le Fogata, le reste, c’est la télé. Même s’il y a plein de télé, même des « ritales », ça ne fait pas épais. Quant aux lieux de rencontres, c’est juste le minimum syndical hors saison.
Vous me direz, à « Paris-sur-la-plage », je ne vais que rarement au spectacle et, durant les confinements, je n’allais même plus au restaurant.
Notez qu’avec Uber Deliveroo et autres, on pouvait malgré tout se faire « une table » à domicile !
Sympa : On pouvait picoler ce qu’on voulait et ne pas prendre la voiture sur le retour…
Or, Uber & Cie, ça n’a pas vraiment bien pris en Balagne, mais ça viendra.
 
Et hors les grandes métropoles, c’est un peu partout pareil. Fin de la journée au coucher du soleil, parties de cartes à la maison devant la télé en fond sonore.
Je me souviens de cette soirée dans la « Gauloisie-profonde » où j’avais loupé le car pour prendre le train et assumer ma « perm’ » parigote depuis la caserne où j’effectuais mon service militaire : La galère !
J’étais parti à pied sous la flotte. Je me retrouve à faire du stop et être pris en charge par une âme compatissante qui m’a emmené chez lui, dans une ferme boueuse, pour souper devant la télé (noir et blanc) à écouter le JT qui a fait une bonne partie de son émission sur un hold-up parigot !
Le décalage spatio-temporel !!!
Et j’ai eu le train suivant…
 
Bref, la vie à la campagne, je connais puisque mon grand-père avait une grande propriété (j’étais petit et ça me paraissait immense) du côté de Beauvais où je passais parfois mes vacances et ma Grand-mère, une maison « au village » en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », un peu loin de la mer, au-dessus de Corti.
Corti, joli port de pêche… et comme à Ajacciu ou Bastia, même si la mer n’est pas très éloignée, c’est un « barrage naturel » devant laquelle s’entassent des gens qui n’ont rien à glander en soirée.
On s’y emmerde tellement que ça ne m’étonne jamais quand quelques « d’jeuns » posent des pains de plastic sur des bonbonnes de butane près des maisons de pinzuti, ou font le coup de feu sur les panneaux routiers…
Passons.
 
Avec la pandémie de « Conard-virus », tout le monde aura rendu son avis « éclairé » sur l’exode des citadins.
On a même présenté le phénomène comme une bénédiction, jusqu’à l’absurde et avec un enthousiasme aveugle : Les grandes villes et leur périphérie allaient se vider au profit des villes moyennes et des campagnes et la nation allait enfin vivre heureuse !
J’en rigole encore : Si « Sœur-Âne » et quelques nouveaux élus « écololos » importaient « la campagne », enfin quelques arbustes, « à la ville », on imaginait que l’idéal d’Alphonse Allais se réalisait enfin, « mettre les villes à la campagne » !
Tu parles d’une rigolade : Si les villes existent depuis l’antiquité, c’est qu’il y a des raisons !
En réalité, on a fait que transporter le problème : Au lieu d’assister à un aménagement du territoire, on a favorisé, provisoirement, qu’un déménagement de territoires. Et ce qu’on a fini par présenter comme salutaire sur bien des points et notamment pour le logement, n’a pas vraiment guéri le pays de ses maux en matière de logement.
 
Les évidences, toujours les mêmes, sont toujours là : Des ménages ont bien quitté les grandes villes pour des ailleurs « ruraux ». Des études menées depuis dix ans révélaient des signaux faibles de cette tentation de refaire sa vie ailleurs, mais les chiffres du marché ne les montraient pas vraiment.
En-dehors des 5.000 familles qui quittaient « Paris-sur-Seine » depuis quelques années, avec l’exploitation politique de ce constat de bonne guerre par l’opposition municipale et l’imputation à la conduite de la capitale par une « Sœur-Âne » critiquée en sourdine, rien n’a été vraiment clair et décisif.
À cette tentation d’exode à laquelle quelques milliers de « Gauloisiens-natifs » ont succombé pendant la pandémie, et pour certains dès le premier confinement, on aura réglé trois problèmes d’un coup : Ils ont échappé à des univers pollués et malsains, ils ont gagné en qualité de vie et en proximité avec la nature, ils ont restauré leur pouvoir d’achat logement !
Admettons.
 
Mais il faut relativiser ce mouvement : On évalue à seulement 15 % la proportion de ceux qui ont raccourci les files d’attentes des candidats à l’acquisition ou à la location des grandes villes !
Une décongestion, oui, mais pas telle qu’elle ait calmé le jeu.
Le télétravail s’installant comme une modalité à part entière d’organisation a bien sûr entraîné le mouvement : Ces transhumants se sont dit qu’ils pouvaient se déraciner sans attendre de trouver un emploi dans une autre ville.
Ils n’ont représenté qu’une partie marginale de la population de nos villes phares, au point que les prix ont continué… à y augmenter entre 5 et 9 %, « Paris-sur-la-plage » s’étant stabilisée… à un niveau très élevé de près de 12.000 euros du mètre carré moyen !
 
L’attractivité tous azimuts des métropoles régionales et de la capitale resterait encore un puissant aimant pour les ménages comme pour les entreprises et même le télétravail ne l’a pas éteint. Il fallait en particulier se garder des discours de riche, ou en tout cas de métropolitains, avec des revenus en moyenne plus élevés et des emplois plus aisément délocalisables, tertiaires pour l’essentiel, dans des entreprises d’une taille suffisante pour pouvoir s’accommoder du télétravail mieux que les plus petites d’entre elles, plus digitales aussi, sinon fondées sur le numérique, start-up de la french tech par exemple : Pas grand-monde, finalement.
Sans compter la dimension culturelle : Les habitants des villes les plus importantes n’ont en général pas un attachement historique à leur cité. Ils peuvent partir sans se retourner plus facilement et pour être aussi les plus aisés ils ont les moyens de garder un pied à terre ou de payer des voyages qui leur permettront de maintenir des liens occasionnels.
Tout cela a été tu.
On a parlé de ces départs sans en analyser les conditions sociologiques, économiques et culturelles, comme si tout le monde était à cet égard égal devant la mobilité !
On s’est ainsi aperçus que la plupart des ménages qui avaient quitté le cœur des villes majeures s’étaient exportés… en banlieue de ces mêmes villes !
En somme, il s’est bel et bien agi d’un changement de mode d’habitat et de vie, mais en aucun cas de l’abandon de la ville initiale, qui est demeurée la référence en quelque sorte, dont on ne s’est pas coupée mais seulement éloignée pour son habitat, aggravant au passage la « signature carbone » du pays. Les couronnes de « Paris-sur-la-Seine », non seulement à l’Ouest, traditionnellement résidentiel, mais également à l’Est, ont vu arriver de nouveaux habitants, issus des catégories socio-professionnelles supérieures.
 
La seconde erreur a porté sur la nature et l’ampleur du bénéfice pour les territoires. À juste titre, on a parlé de la revanche de ces communes, pleines d’atouts de tous ordres, qui redressaient la tête après avoir dû accepter l’ombre écrasante des grandes villes.
Leurs efforts pour restaurer leur attractivité, le plus souvent historique, aboutissaient et enfin on ouvrait les yeux sur leur intérêt. On a furtivement évoqué des augmentations de prix, mais pour souligner qu’un rattrapage était juste et nécessaire.
On a oublié que le profil des ménages qui se tournaient vers ces nouvelles destinations, naguère habitants des grandes villes, feraient courir le risque d’une inflation non maîtrisée des prix.
Les statistiques présentées par la FNAIM, concordantes avec d’autres sources comme Meilleursagents ou Century 21, sont sans appel et elles ont de quoi inquiéter : En douze mois, les augmentations de prix de vente ont atteint à Brest 18,4 %, à La Rochelle 14 %, à Nancy 13,4 %, à Orléans 13,2 %, à Angers 12,7 %, au Havre 12,2 %, à Metz 12,1 %, à Reims 11,9 %, à Caen 11,1 %, à Tours 10,3 %, à Pau 10 %. Amiens, Montpellier, Nantes, Le Mans, Saint-Étienne et quelques autres ont connu des évolutions qui flirtent avec les 10 % sans les atteindre !…
Dans ces hausses de prix à la vitesse vertigineuse, il y a certes un effet rattrapage : Beaucoup affichaient des valeurs entre 800 et 1.200 euros par mètre carré pour des patrimoines de qualité, avec les meilleures localisations !
Elles méritaient évidemment mieux et pour les propriétaires cette restauration est salutaire, entraînant la conscience d’une plus grande richesse et pouvant déclencher des investissements.
Heureux aussi pour la « rénovation énergétique » : On n’engage pas volontiers des travaux de 20, 30 ou 40.000 euros dans un logement estimé péniblement le double ou le triple : Question de rationalité économique et de bon sens.
 
En revanche, ces nouveaux prix s’éloignent de la solvabilité naturelle des ménages autochtones, et c’est un problème qu’on n’a pas vu venir.
C’est là tout le dilemme : Faut-il acter assez tôt le déclassement social en migrant dans une ville moyenne, car on ne revient jamais dans un grande-ville quand on en est parti (et puis ça se mérite…) et faut-il se réjouir de virer les autochtones qui n’ont pas les moyens de suivre et vont se réfugier encore plus loin ?
Le balancier est parti trop haut et trop vite. Pour le dire simplement, est-ce que les Brestois, qui travaillent dans la région, ont vu leurs salaires croître de 20 % ces derniers mois ? Ou les Rochelais de 15 % ? Ou les Palois de 10 % ?
C’est à un problème démocratique auquel les élus de ces territoires sont aujourd’hui confrontés, comme y étaient confrontés les maires des grandes villes… et sans que les difficultés des seconds aient disparu, en plus !
Faut-il pour autant préempter du foncier pour bâtir du HLM et loger en périphérie des classes sociales toujours plus loin des centres-villes historiques ?
 
Ce sujet n’est pas moins vif dans les campagnes. Il n’est que de parler aux agents immobiliers, aux notaires ou aux maires de ces territoires pour comprendre ce décrochage entre le pouvoir d’achat des ménages du cru et les prix des maisons ou des appartements locaux, avec le risque que nos villages passent sous pavillon des urbains venus d’ailleurs.
Quand ce n’est pas la ville qui rattrape la campagne et s’étend dans les champs…
On le note jusqu’en Balagne et c’est une revendication phare des « Natios-corses » (avec l’enseignement de la langue).
Mouvements de revendication qu’on retrouve en Bretagne ou au Pays basque.
Comment ne pas s’émouvoir que l’infirmière libérale, l’artisan ou le cadre moyen ne puisse plus se loger là où il apporte son service à la population, là où il est utile sinon indispensable ?
La « sinistre-Et-Manuelle-Wagon » avait pourtant ouvert un grand chantier sous le nom d’« Habiter la France de demain ». Il en est sorti des espoirs, un peu naïfs, probablement. Il ne faudrait pas que la « Gauloisie-de-demain » soit moins heureuse que celle d’hier : L’enjeu majeur du Président de la République que nous nous choisirons et de la nouvelle Assemblée nationale, même si les candidats sont presque tous muets sur le logement, comme si tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Tout porte à croire que l’argent y fait le bonheur plus qu’avant en matière de logement, ce qui n’est satisfaisant que pour ceux qui sont en situation confortable. Or, ils sont loin d’être majoritaires !
 
Il n’y pas que ça : Le maillage des ékoles primaires et des collèges reste assez homogène, même en « ultra-périphérie », dans les déserts urbains, sur la « diagonale du vide » et les zones de montagne. Mais dès que les « nichées » arrivent au niveau du lycée, la ville reste un passage obligé. Au moins quotidien.
Et pour un lycée de qualité « supérieure », de ceux qui ouvrent aux meilleures préparations d’« ékole-Sup », il n’y a pas photo : Les grandes villes s’imposent d’emblée. Le trafic SNCF des « pendulaires » peut en témoigner.
On parle de « Paris-sur-la-plage » et ses universités, mais en oubliant que toutes les métropoles, même Corti, ont des sites universitaires de valeur.
Regardons « Lugdunum », arrivée avant-dernière au classement des villes les moins stressantes de la « Gauloisie-prospère », devant « Lutèce-sur-Seine ». Si l’écrasante majorité des griefs concernent les difficultés à circuler dans Lyon, que ce soit en voiture, en vélo ou à pied, les Lyonnais apprécient toutefois la qualité culturelle, économique, patrimoniale de cette grande ville idéalement située entre mer et montagnes, ciel et terre…
Dans les deux villes de queue de peloton, y sont critiqués leurs embouteillages, l’omniprésence du bruit urbain, jusqu’à oublier ce qui en a fait les « premières destination à visiter en 2022 » selon les World Travel Awards.
Les lyonnais en disent que « Lyon est une ville très stressante ! En une semaine, j’ai pu assister à trois vols à l’arraché, quatre accidents de vélos, sans oublier un harcèlement de rue désagréable au possible. »
Depuis trente ans, il y a « trop de tout : voitures, personnes, bruit, chaleur. Nous avions choisi Lyon, car c’était une ville bien située entre mer et montagne. Alors oui, au début, l’accès était facile, rapide et très dépaysant. Aujourd’hui c’est galère, engorgé dès le vendredi en fin d’après-midi. De plus, il y fait bien trop chaud. »
Plus qu’à « Paris-sur-la-Seine ».
« La circulation est affreusement stressante avec les vélos et trottinettes qui ne respectent ni le Code de la route ni les règles élémentaires de prudence. Le stationnement est devenu une problématique majeure dans les déplacements qui ne peuvent pas tous être réalisés en transport en commun (handicap, horaires, desserte, commodité…) ».
Un autre lyonnais, mais ça pourrait être un parigot, en dit : « La voie publique est devenue une jungle : les piétons n’ont plus leur place entre vélo, trottinette et autres bidules électriques. »
Les aménagements cyclables sont devenus à leur tour source de stress : « Depuis l’augmentation des pistes cyclables ou l’élargissement de celles-ci, il est devenu plus problématique de rouler en voiture à Lyon qu’à Saïgon. Certaines de ces voies sont constamment vides de vélos, d’autres viennent en plus de deux autres existantes. »
Ils ne manquent pourtant pas d’humour, les Lyonnais : « On va bientôt devoir se téléporter ! », en dit une citoyenne, qui déplore que Lyon soit « la reine des embouteillages avec des travaux qui durent des mois et des mois, des transports en commun très nettement insuffisants. Par ailleurs, la ville est victime, depuis les Verts, d’une suppression très importante de places de parking. »
Elle ne connaît manifestement pas « Paris-sur-la-Plage » ou la sortie des plages en Balagne en saison !
 
Tout comme à « Paris-sur-la-plage », l’insécurité est évoquée : « En presqu’île, le soir, la ville est devenue dangereuse », petites agressions verbales, « lourdeurs » pour les femmes seules et autres trafiquants vers la « Fosse aux ours ».
Mais ce serait la métropole la moins stressante de l’Est. De nombreuses zones sont piétonnes, il y a de vastes centres commerciaux et, surtout, un accès à la culture et aux espaces verts incroyable !
Globalement, la ville de Lugdunum ce sont « les avantages de la vie parisienne-francilienne sans les inconvénients : ville aérée, propre, moins bruyante, attractive sur l’aspect culturel, économique. Les habitants sont agréables et beaucoup moins speed et aigris que les Parisiens ».
 
En bref, on nous explique partout que la grande-ville n’ont que des inconvénients tels que les gens les fuient à tire-larigot, mais il n’empêche que c’est là que le foncier est le plus cher, donc le plus disputé et par conséquent le plus rare et le plus recherché !
Paradoxal tout de même ce pays où l’on vante « la campagne » mais où on aime les villes !
Moâ, j’adore ce charme discret des Gauloiseries qui passe inaperçu mais reste profondément ancré dans les esprits !

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