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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 21 janvier 2022

Lu pour vous…

…sur une affiche,
 
Dans une boutique spécialisée dans les silencieux d’automobiles :
« Pas besoin de rendez-vous, on vous entend arriver ! »
 
Lu pour vous, sur une affiche à la porte d’une maison privée…
« Les vendeurs sont les bienvenus, la nourriture pour chien étant de plus en plus cher ».
 
Lu pour vous, sur une affiche à la porte d’un magasin de musique…
« De retour dans un minuet ».
 
Lu pour vous, sur une affiche à la porte d’un salon funéraire…
« Conduisez prudemment, nous ne sommes pas pressés ».
 
Son père est un homme d’une cinquantaine d’années, chauve et replet.
On lui demanda un jour ce qui lui ferait le plus plaisir pour son anniversaire.
Il jeta un petit clin d’œil malicieux à son épouse qui était occupée.
« – Je voudrais, dit-il, une jeune beauté de 18 à 20 ans, blonde, bien faite et … » Il s’interrompit pour chercher son adjectif.
« – Et aveugle, sans doute ? » suggéra sa femme.
 
Jean-Marc et Jean-Paul, au matin en partant au boulot :
« – Garçon, un café noir sans crème.
– Désolé. Je n’ai pas de crème. Est-ce que je peux vous le servir sans lait ? »
 
Les mêmes, en fin d’après-midi, devant une bière :
« – Tu connais l’histoire du lit vertical ?
– Non !
– C’est une histoire à dormir debout… »
 
Un couple se présente chez le dentiste et l’homme, un vigoureux gaillard, demande à la secrétaire d’arranger un rendez-vous.
Celle-ci disparaît deux minutes et fait signe au couple qu’ils peuvent rentrer dans le cabinet du spécialiste.
L’homme précise tout de suite :
« On est assez pressé, si vous pouvez faire vite…
Il s’agit d’une opération simple, il faut enlever une dent.
Ce n’est presque rien, pas besoin de piqûres pour endormir la gencive.
Je veux que ça soit rapide et que ça ne coûte pas cher. »
Le dentiste, surpris, répond :
« Ben dites donc, si tout le monde était aussi déterminé que vous en venant chez moi.
Vous avez du cran ! De quelle dent s’agit-il ? »
L’homme se retourne et dit :
« Tu lui montres, chérie ? »
 
C’est une fille très bien roulée qui tire le diable par la queue.
Elle se confie à une copine qui lui répond :
« Oui. Je comprends. Mais pourquoi « juste » le diable ? »
Depuis ce jour-là, la copine roule désormais en Mercédès…
 
« Jean-Marc, étudiant, passe son examen de sociologie à l’Université.
Il est terrifié par il a fêté toute l’année avec les sous de papa.
En plus, il paraît que le prof examinateur est un spécialiste des colles.
« – Alors, jeune homme, est-ce que la criminalité augmente ou diminue depuis la nouvelle politique sociale du gouvernement ?
– Heu… (Grosses chaleurs) Elle diminue. Oui, oui, c’est ça. Elle diminue car du temps d’Abel et de Caïn, il y avait 50 % d’assassins. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière :
« – Pourquoi les préservatifs noirs sont moins populaires que les autres ?
– Parce que le noir amincit, c’est bien connu ! »
 
C’est le jour de la rentrée au collège en pensionnat.
Écoutons le directeur…
« – Le dortoir des filles est INTERDIT aux garçons et celui des garçons est INTERDIT aux filles sous peine d’amendes sévères.
Première violation de la consigne : 25 €. Deuxième : 50 € et troisième 100 €.
Y’A-T-IL DES QUESTIONS ?
– Oui », dit un jeune homme. « C’est combien un laissez-passer pour l’année ? »
 
Recommandation de Jean-Marc à son gamin :
« – Tu sauras, mon fils, qu’il n’y a pas que l’argent dans la vie.
– Exact ! Il y a aussi les cartes de crédit, les chèques, les chèques de voyages, etc. »
 
Le même philosophe :
« Le monde est rempli de gens qui veulent…
Ceux qui veulent travailler et ceux qui veulent laisser travailler les autres. »
 
« Si tu ne sais pas où tu vas, tu n’es jamais perdu. »
 
« – L’argent ne fait pas le bonheur…
– Oui, peut-être, mais ça nous aide à le chercher un peu partout dans les meilleures places. »
 
« Un bon voisin, c’est celui qui laisse pousser son gazon aussi haut que le tien ! »
 
Pendant la projection d’un film pornographique, on entend des gémissements dans la salle de cinéma.
L’ouvreuse vient voir la personne en question.
« – Enfin voyons Monsieur, un peu de dignité !
– AAAaaaaAAAAAA ! » gémit-il encore.
« – Silence, vous n’êtes pas seul. Et puis relevez-vous, vous êtes ridicule.
– AAAaaaaAAAAAA ! » gémit-il encore.
« Ça suffit ! Montrez-moi votre ticket ! »
L’homme s’exécute.
« Mais vous n’êtes pas à votre place, ceci est un ticket de balcon ! 
– AAAAAAAAAaaaaaaaaa, je sais bien, je viens d’en tomber ! »
 
Le patron d’une grande entreprise téléphone à un concurrent.
« – Henri, j’embauche ton ancien chauffeur, Jean-Paul. Est-il fiable ?
– Oui, oui, il m’a conduit des centaines de fois, sans accident.
– Non. Ce que je veux savoir, c’est peut-on lui confier quelque chose qui a de la valeur ? »
 
L’enquêteur interroge la secrétaire de direction, une magnifique pétasse un peu évaporée :
« – Avez-vous une idée sur la raison qui a pu pousser votre patron à se jeter par la fenêtre ?
– Non, je ne sais pas », dit-elle en sanglotant.
« – Il était toujours gentil avec moi. Il y a deux mois, il m’avait fait cadeau d’un manteau de fourrure. Le mois dernier, il m’avait payé une Porsche et aujourd’hui encore, j’avais eu droit à un solitaire magnifique.
Tenez, regardez, je l’ai au doigt !
Et puis aujourd’hui il m’a demandé ce qui me ferait plaisir pour que je lui accorde mes faveurs…
– Et que lui avez-vous répondu ?
– Que les autres employés avaient l’habitude de me donner 100 euros… »
 
Le médecin examine l’homme qui, de toute évidence, en est à ses dernières heures.
Ça ne va pas bien.
« Ça fait longtemps qu’il râle comme ça », demande-t-il à sa femme ?
« Depuis qu’on est marié. »
 
Et puis cinq « revenues »… pour finir.
Un pote de Jean-Marc, Jean-Archibald, tourne en rond, derrière le volant, depuis près d’une heure dans le quartier chaud…
Soudain, il arrête le long du trottoir, près d’une fille très maigre. Presque squelettique.
La fille s’approche.
« – C’est cinquante euros.
– OK. Mais on va chez moi.
– On va où tu veux mon beau. »
Elle monte et ils partent dans les quartiers chics.
Arrivés à la maison, un maître-d’hôtel ouvre la porte.
« Bonsoir monsieur, bonsoir mademoiselle. »
Ils montent à l’étage pour se diriger dans un boudoir d’un raffinement extrême.
Jean-Archibald demande à la fille de se déshabiller et elle s’exécute.
« Parfait. Très bien. Attendez comme ça, je reviens. Mais restez debout… ! »
Jean-Archibald sort et revient deux minutes plus tard avec une petite fille de huit ans.
« Tu vois », dit-il en pointant la fille à poil, « si tu continues à refuser de manger ta soupe, quand tu seras grande, tu seras maigre comme elle ! »
 
Un curé s’occupe des prostituées du quartier.
Chaque dimanche, il tend le panier pour ramasser un peu d’argent.
Oncle Jean-Marcel, qui est reconnu pour ses frivolités refuse toujours de donner de l’argent, même s’il est à l’aise.
Un jour, il rencontre le curé en sortant du restaurant et celui-ci lui demande pourquoi il refuse d’aider ses œuvres.
« Ben voyez-vous, je préfère donner de main à main. »
 
Un barman est dans son café et il attend un client quand soudain un homme plutôt costaud rentre et dit :
« Un café et deux croissant, et je ne paierai pas car je suis très méchant ! »
Donc le barman le laisse faire mais cela dure 1, 2, 3 semaines.
Puis un jour le barman appelle son ami qui est rugbyman, pillier, et lui dit :
« Pourrais-tu faire peur au client qui ne paye pas ? »
Le rugbyman accepte et attend.
Enfin l’homme entre et dit à son habitude :
« Un café et deux croissant et je ne paierai pas car je suis méchant ! »
Le rugbyman arrive et lui dit :
« – Moi aussi je suis très méchant !
– Bon, bah du coup ça sera deux cafés et quatre croissant. »
 
Jean-Marc, dont la femme venait d’avoir des jumeaux, s’inquiète de cette « anomalie » et va consulter un médecin pour qu’il lui explique les raisons.
À peine le médecin a-t-il ouvert la bouche que Jean-Marc sort comme un fou et se précipite vers le bureau de poste où il assomme littéralement les deux préposés à la distribution du courrier.
« Je n’y comprends rien », confie le médecin aux policiers venus l’interroger. « D’ailleurs, quand il s’est mis dans cet état, je n’avais eu le temps que de lui dire : Voyez-vous, à l’origine de ce phénomène, il y a deux facteurs… »
 
Ça se passe dans un bar où Jean-Marc et Jean-Paul ont aussi leurs habitudes.
Une femme d’une beauté éblouissante qui est là depuis un bon moment, se lève et s’approche du bar.
Elle se penche vers l’homme, de l’autre côté du comptoir, et lui fait signe de se rapprocher.
Il se penche vers elle…
« – Êtes-vous le gérant ?
– Non.
– Il n’est pas là ?
– Non. »
Elle caresse doucement la barbe de l’homme, lentement, avec minutie, un doigt après l’autre.
Elle le regarde droit dans les yeux.
Il s’approche encore plus.
Elle chatouille ses lèvres du bout de l’ongle.
Il happe ses doigts qu’il mordille et suce avec gourmandise.
Elle lui chuchote à l’oreille…
« – Pourriez-vous me faire plaisir… ?
– Mais oui, bien sûr…
– Alors dites au patron qu’il n’y a plus de papier dans les toilettes pour femme. »
 
Et oui, c’est la fin de la huitième saison des « Histoires d’en rire », ou les « Aventures de Jean-Marc ! ». Plus de 77.600 mots, 222 pages sous Word.
Désolé pour vous : Désormais, on passera à autre chose !
La neuvième saison…
 
Pour vous consoler, les solutions des contre-pets de la semaine dépassée :
« Une Crotte Glacée… »
« Attention, le Con va Passer ! »
« Voilà bien un Sinistre déMent ! »
 
Propositions de la semaine :
« Ces luttes perpétuelles épuisent la malheureuse Russie ! »
« Il le dit à deux femmes… »
« Il y a un coteau près du pont ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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