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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 31 janvier 2022

Ça ne veut toujours pas démarrer !

Vous allez me dire que je suis un obsédé…
 
Pourtant, je n’ai rien contre elle… a priori, loin de là puisqu’il est probable que je voterai au premier tour pour la candidate présentée par mon ancien parti, par fidélité : « Valy-Pète-tresse ».
Il faut dire que le choix est notablement réduit.
Mais tout de même, elle accumule quelques casseroles passablement… « emmerdantes ».
On en causait encore la semaine dernière (cf. : https://flibustier20260.blogspot.com/2022/01/haro-sur-pete-cresse.html).
Il était question de ses déclarations patrimoniales successives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.
On se souvient qu’elle détient, à travers une fiducie, des actions du groupe Imerys, là où bossait son mari en qualité de directeur général adjoint avant de devenir vice-président exécutif d’Alstom puis président d’Alstom Renewable Power.
Rappelons également que le père de « Valy » aura été un ancien président de la société « Beau-l’Orée Telecom » au sein dudit groupe éponyme.
On est entre gens du « même monde »…
Mais il n’y a pas que ça…
 
Validées par la HATVP et la commission d’éthique de la région « Île-de-Gauloisie », ses déclarations qui « font disparaître » les participations détenues avec son époux dans Alstom, ne font pas que tromper le citoyen : Elles posent des questions qui relèvent d’une infraction pénale et d’un potentiel conflit d’intérêts liés à sa fonction de présidente « d’Île-de-Gauloisie-Mobilités », autorité organisatrice et financeur des transports franciliens.
« Il appartient à chaque élu de ne pas se retrouver en situation de conflit d’intérêt. C’est une responsabilité personnelle. C’est donc à lui de se déporter si le vote d’une délibération le place dans cette situation ».
Elle semble l’avoir oublié…
Pas moâ.
 
« Valy » a transféré les actions Alstom que le couple son mari détient de par ses fonctions dans une fiducie n’est pas en soi illégal : Tout au plus, c’est une « tromperie ».
Signe d’une malhonnêteté manifeste, mais ce n’est pas la première, vous ai-je déjà affirmé. L’exemple venant d’en haut, au sommet de l’Olympe où se réfugient les dieux, dont « Jupiter » (re-cf. : https://flibustier20260.blogspot.com/2017/05/la-providence-llc-et-les-macrondleaks.html), il faut s’y faire.
 
La déclarante indiquait la mention « néant » à la ligne réservée aux participations financières, dans sa dernière déclaration connue, alors que dans la précédente elle déclarait 10.000 actions chez le géant minier Imerys, dont elle estime la valeur à 532.000 euros.
Curieusement on en retrouvait déjà la trace en 2013 mais pour une valeur 1.200.000 d’euros.
Et puis trois ans plus tard, les actions Alstom n’apparaissent plus : Cette disparition est la conséquence immédiate de l’ouverture de la fiducie des « Pètre-tresse », un mois plus tôt.
Désormais, les actions Alstom sont à l’abri.
À moins que ce dernier point soit probablement l’effet d’une difficulté financière majeurs pour le couple qui aura vendu toutes ses actions de l’employeur de son époux pour « faire face » peut-on supposer, n’est-ce pas !
 
Élue présidente de la région « Île-de-Gauloisie » un mois plus tôt, elle est devenue au même moment celle « d’Île-de-Gauloisie Mobilités » (IDFM), l’établissement public qui définit et finance les transports de la région parigote.
Dans les attributions des conseils régionaux, outre les Lycées, les transports occupent une place centrale : Ce sont des dossiers stratégiques en matière d’aménagement, pour des investissements aussi essentiels que structurants, qui ont un impact direct sur la vie des administrés.
Logique de vouloir garder la main sur un levier et une compétence aussi essentielle – surtout pour la première région de « Gauloisie-intègre », avec un des réseaux de transports en commun les plus denses au monde (près de 10 millions de voyageurs l’utilisent chaque jour). C’est le cas de « Valy » comme c’était le cas de son prédécesseur, le soce « Jy-Pet-Huche-On ».
Globalement l’IDFM dispose d’un budget de fonctionnement de 10,5 milliards d’euros.
Pour l’exercice 2022, l’établissement public en charge de la mobilité pour la région prévoit 3,8 milliards d’euros d’investissement, dont 1,9 milliard pour l’achat de matériel roulant.
Tiens donc…
 
Car il y a un problème pour « Valy ». Et de taille…
En matière de transports, la « Gauloisie-industrielle » possède un champion mondial. Un industriel qui fabrique des trains, des tramways et des bus, dont on retrouve le nom un peu partout dans les marchés des transports collectifs « d’Île-de-Gauloisie ».
Quand on fait la liste, on constate que cet acteur incontournable a, ces dernières années, décroché une impressionnante série de marchés, tous qualifiés par la presse et ses acteurs de « contrats du siècle ».
Pour certains, ces contrats pèsent autour de 2 milliards d’euros.
Le nom de ce groupe ? Alstom !
Sur ce secteur, la concurrence en Europe et dans le monde est pourtant féroce avec une dizaine de fabricants susceptibles de rivaliser avec Alstom.
 
Ces marchés, où Alstom apparaît de façon récurrente, ne sont pas passés directement par IDFM. Ce sont les opérateurs, la RATP (Roule Avec Tes Pieds) et la SNCF (Société Nationale de Casse et de Fauche), qui contractualisent avec les fabricants pour le compte de l’autorité des transports franciliens.
Et c’est bien le même établissement, bras armé de la région, qui donne l’impulsion, définit les besoins et règle la note à la sortie.
Sa présidente, « Valy », sort alors le carnet de chèques et signe même les délibérations qui valident le paiement.
Sur les dernières délibérations en date qui portent sa signature, l’encre a à peine eu le temps de sécher : Le 11 octobre dernier, la présidente du conseil d’IDFM engage entre « 30 et 200 millions d’euros », comme le stipule la délibération d’IDFM, dans l’achat de bus électriques à un groupement dans lequel on retrouve… Alstom comme fabricant !
Précis l’engagement d’enveloppe : De 1 à 6,6…
Le même jour, elle signe une seconde délibération qui acte cette fois un remboursement à la « Société du grand Paris-sur-la-plage » (SGP) pour l’acquisition « des matériels roulants de la ligne 18 ».
Montant de la commande réglée ce jour-là ? 191,1 millions d’euros, pas moins.
Nom du fabricant de ces rames ? Alstom, toujours !
Elles sont destinées au Grand Paris Express, avec le même fournisseur comme pour l’ensemble de ces nouvelles lignes de métro (15, 16, 17 et 18).
Des investissements sur lesquels « Valy » capitalise pour vendre sa « politique volontariste », par exemple sur ce qu’elle appelle les « nouvelles rames d’Île-de-France Mobilités ».
 
Le 20 septembre 2018, « Valy » se félicite même du choix d’Alstom comme fournisseur des rames des lignes 15, 16 et 17 du Grand Paris Express.
Le contrat (1,3 milliards d’euros sont en jeu) « est intégralement financé par Île-de-France Mobilités », précise ce texte.
La présidente de la région et d’IDFM fait même la réclame de « ces nouvelles rames d’Île-de-France Mobilités » dont « le haut niveau de confort et de sécurité » correspond à ce qu’elle « exige » !
Le schéma est simple : Son époux à la ville lui fournit le cahier des charges (de haut confort et de sécurité…).
Elle appuie ses « exigences » sur ce document et la concurrence peut aller se rhabiller au moment des appels d’offre, ayant elle d’autres « exigences » qui ne correspond pas point pour point à celle de la présidente.
On n’a pas fait mieux depuis les contrats de rénovation des Lycées de la Région de l’époque du « cousin Paquale », mais lui finançait ses campagnes de cette façon-là.
Ici, il n’en est pas question, c’est devenu interdit, en revanche ça permet à la boîte de son mari de faire tourner ses ateliers et de générer des bonus sur le dos du contribuable « Parigot & alentours »…
J’adore ce genre de schéma où tu es à la fois le donneur d’ordre et le prestataire : Ça facilite « les affaires » !
Dans mon cas, ma seule difficulté était d’en justifier auprès des services fiscaux. Dans celui de « Valy », le procédé est couvert par la procédure d’appel d’offres, rendue obligatoire par la loi.
 
Mais comment une telle situation a pu perdurer depuis autant d’années peut-on se demander, sans que personne, parmi les autorités administratives ou judiciaires ne relève l’énormité ?
Bé, des journalistes un petit peu curieux sont allés interroger une quinzaine de membres du conseil d’IDFM, actuels et passés.
Tous ont siégé avec « Valy », assisté et participé aux mêmes réunions, et vu son investissement et la façon dont elle travaillait.
À tous, a été posé la même question : « Étiez-vous au courant qu’elle possédait des actions Alstom ? »
Et à chaque fois, la réaction a été la même : « Ah non, vous me l’apprenez » ; « Non ! » ; « Pour le coup, on ne savait rien » ; « Jamais entendu parler de ça ! »…
Et cætera comme dirait le palmipède.
Deux constats s’imposent : Les liens entre Alstom et la présidente d’IDFM n’étaient pas un sujet de discussion, ni à IDFM, ni à la région. Et par ailleurs, la fiducie des « Valy » a parfaitement rempli sa mission rendant le tout invisible (mais pas son mari…) !
 
Cette situation ubuesque : Une administratrice qui dans un premier temps participe comme ses collègues au conseil administration, « Valy » y siège depuis 2010, avant d’en devenir la présidente, en 2015, pour donner le « la » et payer une entreprise dont elle détient des actions, paraît assez simple à qualifier.
Quand on relit la définition de la « prise illégale d’intérêts » donnée par le code pénal, on a l’impression qu’elle a été écrite pour ce cas précis : Selon l’article 432-12, elle est « le fait par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public ou par un personne investie d'un mandat électif public, de prendre, recevoir ou conserver, directement ou indirectement, un intérêt quelconque dans une entreprise ou dans une opération dont elle a, au moment de l’acte, en tout ou partie, la charge d’assurer la surveillance, l’administration, la liquidation ou le paiement ».
 
Le code des transports est par ailleurs d’une très grande précision. Il organise le fonctionnement de l’établissement public à caractère administratif IDFM, et fixe les interdits pour ses administrateurs : « Les membres du conseil d’Île-de-France Mobilités ne peuvent prendre ou conserver aucun intérêt, occuper aucune fonction dans les entreprises exploitant des réseaux de transport de personnes en Ile-de-France ou dans les entreprises traitant avec lesdites entreprises pour des contrats de la commande publique ».
L’article R. 1241-6 ne laisse aucun doute sur la ligne jaune à ne pas franchir.
Encore faut-il se donner la peine de le lire…
Que c’est à se demander ce qu’ont fait les instances de contrôle, de surveillance et les observateurs des marchés « d’Île-de-Gauloisie » : Le préfet, la Cour et la chambre régionale des comptes, la presse, les élus…
Et qui contrôle « les contrôleurs »…
 
Bref, ça ne « sort toujours pas », là où le pôv’ « Fifi-le-Souteneur » se payait en quelques milliers d’euros en principe indus, « Valy » signe des contrats à milliards avec l’entreprise de son mari : C’est vous dire le « golden-parachute » auquel il pourra prétendre à un moment ou à un autre.
Et si ça ne sort toujours pas, c’est qu’il y a une raison « logique ».
Je vous en ai proposé une avec le jeu des « frères-trois-points » agissant dans l’ombre et en silence.
Il y en a une autre qui les rejoigne…
« Jupiter » choisit son challengeur du second tour : Il ne veut pas d’un bis repetita de 2017 qui sera vécu par tous les déçus du « Jupitérisme » comme d’une revanche, des frontistes au Gilets-Jaunes en passant par tous les opposants possibles et imaginables : En 2017, le bon peuple avait le choix entre lui et la peste blonde. Ils ont peut-être l’impression que le choix de 2022 sera réduit entre la « peste-blonde » et le « choléra-O-MaKron ».
Là, il n’est pas sûr de gagner, loin de là…
 
Alors regardez un peu les historiques de tendances depuis 5 ans et jusqu’en juillet 2021. Tout le monde était persuadé que « Marinella-tchi-tchi » se retrouverait face à « Jupiter » en avril prochain.
Sûr à 100 % !
L’horreur pour « Jupiter » qui voit le « front du refus » se déliter dans l’opinion avec les errements de la gestion des crises (sanitaire, mais aussi des Gilets-jaunes).
Et c’est justement en juillet qu’est lancé le Scud « Zézé-Amour » pour une mise en orbite spectaculaire… cannibalisant l’électorat de « Marinella-tchi-tchi » dès le mois de septembre : Opération réussie puisque dès que « Valy » a été nommée par les « Républicains-Démocrates » elle a été donnée qualifiée pour le second tour et même une fois gagnante face à « Jupiter », « Marinella-tchi-tchi » réduite à faire de la figuration.
Bon depuis, ça s’est un peu étiolé, faut-il en dire.
 
Vous voyez venir la « manipulation » de l’électorat, oui ou non ?
« Zézé-Amour », c’est le « joujou » de « Beau-l’Orée » et de ses médias, n’est-ce pas ?
« Beau-l’Orée », c’est le pote de « Bling-bling », oui ou non ?
Il lui a même prêté son yacht privé, équipage inclus, pour fêter sa victoire de 2007, oui ou non ?
Vous savez additionner 1 + 1 et vous ne voyez pas la relation ?
Et « Beau-l’Orée » se souvient aussi du papa de « Valy »…
Si « Beau-l’Orée » sabote sciemment la candidature de « Marinella-tchi-tchi », c’est pour préserver « Jupiter ». Sur invitation de qui, à votre avis ?
Bé de celui qui est empêché d’y retourner par ses casseroles judiciaires au kul et qui n’a surtout pas encore soutenu « Valy »… la candidate du parti qu’il aura réformé après l’avoir martyrisé et mené à la quasi-faillite !
D’autant qu’il n’a pas abandonné l’idée d’y revenir à son heure : Il ne siège toujours pas au Conseil Constitutionnel, fonction de droit, quel que soit son statut pénal, mais qui l’obligerait à ne plus jamais prendre part au débat politique et encore moins briguer un mandat électif.
Et puis, « Beau-l’Orée » renforce « son amitié » pour la famille de « Valy », à croire que sa désignation n’est pas que le fruit du « hasard des urnes »…
Donc, pour l’heure, tout à chacun a intérêt à ne pas tirer trop vite sur la future ambulance !
En conséquence, « ça ne sort toujours pas ! »
 
Un film à suspense passionnant qui va se dénouer dans quelques semaines, pas plus.

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