Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 25 janvier 2022

Haro sur « Pète-Cresse » ?

Ça ne veut toujours pas démarrer !
 
Le monde est proche de l’escalade militaire en Ukraine (on y reviendra), « Marinella-tchi-tchi » perd ses lieutenants, la pandémie s’accélère mais devient moins dangereuse, le « Pass-vaccinal » aura remplacé le « Pass-sanitaire » et la campagne présidentielle se poursuit sans son principal candidat.
En fait, il semble que les jeux soient déjà faits.
 
Manifestement, on va vers un second tour « Jupiter » contre une femme.
Il a bouffé la première en 2017 et ne veut manifestement pas se retrouver face à elle en 2022.
Il en garde probablement un mauvais souvenir, elle aussi et encore plus, mais lui c’est probablement dû à son « parcours affectif » : Pensez, être dépucelé par une cougar : Le couple a 24 ans de différence d’âge est lui n’est pas encore majeur !
En plein sous le coup de l’article 227-27 du Code pénal, avec à la clé une peine de trois ans de prison pour l’enseignante présumée « abusante » par la loi…
Forcément, ça laisse des traces sur la psyché du jeune-homme… qui en devient probablement, et a minima, un sociopathe.
Mais ce n’est pas le sujet… et c’est leur problème.
 
Ses bons « amis » font tout pour que « Marinella-tchi-tchi » soit éliminée dès le premier tour en cannibalisant son électorat avec « l’hypothèse du clown », à savoir « Zézé-amour ».
Celui-ci fait le boulot, presque mieux que prévu.
Seulement voilà « Pète-Cresse » s’est engouffrée dans l’intervalle politique ouvert entre l’extrême droâte qui a toutes les chances de ne pas passer l’étape du premier tour, et la « Jupitérie » qui perd les UDI et les centristes, mais pas le « McModem ».
La « gôche-soce » n’étant désormais plus que l’ombre d’elle-même… dépecée depuis 5 ans, elle continue de se diviser avec une remarquable constance.
« Pète-Cresse » est-elle « le choix » de « Jupiter » ?
Probablement et pour les raisons suivantes.
 
Car c’est une candidature « faible ». Non pas d’un point de vue politique qui reste ce qu’il est, mais parce que quand elle remplit une déclaration d’intérêts (une obligation au titre de la transparence de la vie politique), elle écrit « néant » à la ligne réservée aux participations financières depuis 2015 et son arrivée à la tête de la région « Île-de-Gauloisie ».
Or, même validées notamment par la HATVP, ces documents délivrent au citoyen une information vraisemblablement tronquée. Contrairement à ce qu’indiquent ses déclarations de 2016 et 2017, la candidate à la présidentielle détenait un beau paquet d’actions, dont la valeur fait d’elle une multimillionnaire (avec son époux). Pour réussir ce tour de passe-passe, l’ancienne ministre du Budget a eu recours à un montage un peu inédit : Une fiducie, l’équivalent des Trust anglo-saxons.
Notez au passage qu’il n’est pas si inédit que ça, puisque « Jupiter » aura fait la même chose avant elle.
(Pour rappel : I-Cube (l'exilé): La « Providence LLC » et les « MacRondLeaks » (flibustier20260.blogspot.com))
 
À la HATVP (Haute autorité pour la transparence de la vie publique), on aime le travail bien fait. Dès lors, on sait prendre son temps – celui pour instruire les dossiers déposés par les milliers d’élus, grands et petits, que compte la République.
À la page dédiée à « Valy » sur le site de cette autorité indépendante, aucune déclaration à lire. En revanche, la même mention apparaît depuis des semaines : « Déclaration déposée ― publication à venir ». Frustrant pour le citoyen qui veut connaître la réalité du portefeuille de celle qui brigue la fonction suprême, après avoir créé la surprise lors de la primaire « LRD ».
Récemment sollicitée la HATVP n’a pas été en mesure de préciser la date de cette « publication à venir », se contentant de confirmer ce que nous savions déjà par courriel : « Sa déclaration d’intérêts ne sera rendue publique qu’après vérification, contrôle et examen par le collège de la Haute Autorité.
Ces procédures prennent du temps, justifie le même, compte tenu du volume des déclarations à contrôler et des moyens limités de la Haute Autorité ».
Le temps donc, toujours le temps. Il presse, pourtant…
Rappelons que selon les règles définies par le législateur (dans son « immense sagesse »), seules les déclarations d’intérêts sont rendues publiques pour les présidents de collectivités territoriales.
Leurs déclarations de patrimoine ne sont en revanche pas accessibles aux citoyens, contrairement à celles des membres du gouvernement et des parlementaires consultables pour ces derniers uniquement sur demande, en préfecture.
Résultat, à trois mois du premier tour de la présidentielle, on doit se contenter du « néant » des déclarations antérieures de « Valy ».
 
La championne de la droâte doit normalement se fendre de deux déclarations : La première, à l’instruction et dont la « publication (est) à venir », la patronne de « Libres ! » l’a remplie dans la foulée de sa réélection de juillet 2021 à la tête de la première région parigote. La seconde, comme tous ses concurrents à la présidentielle, elle doit la déposer dans les prochains jours.
Parmi les acteurs de la bataille présidentielle, seul « Jupiter » en a publié une le 9 décembre dernier en tant que président de la République.
Une déclaration de patrimoine rendue publique au Journal officiel au titre de la fin de son mandat et non pas en tant que candidat, qu’il n’est officiellement toujours pas, à ce jour.
Ces déclarations (de patrimoine, d’intérêts et d’activités) « seront visées par le Conseil constitutionnel et rendues publiques par la Haute Autorité au moins 15 jours avant le 1er tour sans vérification préalable de leur contenu ».
Ni contrôle, ni avis donc !
Dans ces conditions, la fameuse mention « néant » risque de perdurer.
 
Or, une chose est sûre : Des actions, « Valy » en possédait, et même un joli paquet, loin du fameux livret A de tout à chacun.
On en trouve la trace dans un document de 2013. À l’époque, la native de Neuilly-sur-la-Seine est retournée s’asseoir sur les bancs de l’opposition à l’Assemblée nationale.
Elle a quitté l’année d’avant le gouvernement dont elle était « la-porte-la-parole » et en charge du Budget, après la défaite de « Bling-bling » face à « Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui endossait son uniforme de « Capitaine de pédalo ».
Alors que la députée des Yvelines réapprend la vie d’opposante, celui qui lui a succédé à Bercy au nom de l’alternance, « J’ai-rôme-Kakazut-hack », figure montante de la « soce-démocratie gauloisienne », va déclencher un séisme à ses dépens.
On se souvient encore de cet incroyable épisode au terme duquel le ministre de l’Économie et des Finances et de la lutte contre la fraude fiscale est obligé, suite aux révélations de Médiapart, de quitter piteusement la scène, débusqué avec ses mensonges et son argent planqué en Suisse.
En réaction à ce scandale majeur, le pouvoir « soce » fait adopter et promulgue une loi pour restaurer la confiance des citoyens et empêcher que pareille affaire ne se reproduise.
Vendue comme une mesure phare, la création de la HATVP est annoncée en avril 2013. Désormais, la classe politique, et quelques hauts-fonctionnaires, devront montrer patte blanche sur leurs intérêts et leur patrimoine à travers des déclarations vérifiées par la nouvelle autorité administrative indépendante.
 
C’est donc à ce titre – pour oublier en quelque sorte les errances de son successeur au Budget – que « Valy », comme ses collègues, dépose sa première déclaration courant 2013.
Dans ce document ont été retrouvés deux multinationales citées au titre de ses participations financières : Imerys et Alstom.
Mines, énergies et transports composent donc ce solide portefeuille…
À la main, la déclarante évalue à 1,2 million d’euros la valeur de ses participations dans la première société, créée à l’origine par la famille Rothschild et contrôlée majoritairement par des capitaux belges, mais se déclare incapable d’estimer celle du paquet Alstom détenu avec son mari…
Ce dernier y travaille pourtant…
Une curiosité validée telle quelle par la toute nouvelle autorité de contrôle. Elle ne se reproduira pas : C’est la première et dernière fois que ces participations apparaissent dans une déclaration produite par l’ancienne conseillère du « Chi ».
 
Depuis qu’elle a conquis « l’Île-de-Gauloisie » fin 2015, bastion qui lui a servi de base de repli jusqu’en 2019 (quand les vents mauvais à « LRD » lui étaient défavorables, sous la présidence de « Veau-Qui-est ») puis de tremplin vers un destin qu’elle espère élyséen, « Pète-Cresse » a remis deux autres déclarations à la HATVP : Une pour sa première élection à la présidence de la Région, la seconde après sa réélection en juillet dernier.
Si la dernière est en cours d’instruction, on l’a vu, celle de 2016 a disparu !
Cette situation, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique n’y est pour rien. Elle applique les décisions du législateur : Les déclarations sont consultables le temps du mandat, et ne le sont plus après.
Sur le site de la HATVP, le document a été retiré cet été.
Pour la seconde, et celle qui suivra dans la foulée pour la présidentielle, on peut prendre un pari : On n’y apprendra pas grand-chose.
 
La raison est simple : Après avoir battu le « soce » « Barre-tau-alone » et fait basculer la région à droâte en 2015, elle s’est organisée pour « invisibiliser » ce patrimoine.
Le résultat tient du tour de magie : En 2013, la députée déclarante est riche grâce à ses actions. Trois ans plus tard, en 2016, plus rien, « néant » pour la nouvelle présidente de région !
Volatilisées, ses participations financières…
Un revers de fortune ?
Ou faut-il en déduire que ces actions ont été vendues ?
Elle a pu devoir faire face à un impératif, comme ça arrive quand on traverse une passe plus difficile…
À moins que ces actions aient été monopolisées pour un investissement ? Une maison, peut-être ? Ou une propriété…
Non : Rien.
Dès lors, une seule conclusion s’impose : Elle a retrouvé « une astuce », légale, pour les faire disparaître des déclarations auxquelles la loi l’oblige depuis 2013.
 
Un conseil régional à prendre en main, un gros paquebot, ne se fait pas d’un claquement de doigts. C’est une séquence complexe qui laisse peu de temps à soi.
Du temps, dans ce moment singulier, « Valy » en trouve au moins pour régler une urgence personnelle : En janvier 2016, elle créée une fiducie (restant à identifier) dans laquelle elle transfère immédiatement ses participations financières.
Désormais, selon les règles de la fiducie, ce mécanisme équivalent aux trusts américains, c’est à la banque de gérer ce portefeuille pour et à la place de la future candidate à l’élection présidentielle. Cette priorité réglée, celle-ci peut alors se consacrer à son destin politique et à la vie de la région.
 
Voilà donc comment, au moment où sa carrière prenait un nouveau départ, voire un envol décisif qui l’amène jusque devant le perron de l’Élysée, « Valy » décide d’organiser la gestion de ses actions.
Et comment, par la grâce de ce montage mis en œuvre au même moment, la déclarante peut renseigner en 2016 cette mention « néant » sur les étonnantes déclarations qu’elle produit !
Et c’est encore le cas en 2017 dans celle déposée cette fois auprès de la déontologue de la Région.
En effet, le 4 février 2017, la présidente de la région signe une seconde déclaration d’intérêts, celle-là déposée auprès de ses services en vertu des règles qu’elle a elle-même édictées, dans laquelle elle écrit « néant » à la ligne (n° 5) réservée aux participations financières « dans le capital d’une société ».
 
Sa fiducie pose plusieurs problèmes. Le fait que ce mécanisme soit autorisé par la loi depuis et que la HATVP valide ce montage paraît, eu égard à l’élection présidentielle, déontologiquement insuffisant.
Un membre du premier cercle est le conseiller de « Valy », depuis son passage au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (2007-2011), ex-communicant d’Euro RSCG qui l’a ensuite suivie à Bercy quand elle était en charge du Budget dans le gouvernement de « Fifi-le-souteneur », a rappelé et affirmé que : « Ça a été fait par elle, spontanément. Et tout ça est déclaré à la HATVP et sous contrôle de l’administration fiscale ».
Il y a donc un monde entre la réalité et le tableau remis d’une « Valy » dont l’un des principaux marqueurs de fortune affiche « néant ».
 
Au minimum, en 2016 et 2017, ce sont plusieurs centaines de milliers d’euros détenus par le couple « Pète-Cresse » qui ont disparu des déclarations de la championne de la droâte (et de la droiture) républicaine.
Enfin, sur le plan politique et moral, et sur celui du lien et de la relation aux « Gauloisiens-qui-rament » à joindre les deux bouts, recourir à une technique de type Fiducie, dispositif dont la principale vertu est de masquer les propriétaires et bénéficiaires réels, paraît incongru au temps de la transparence.
On avait vu ce type de montage dans un de mes « romans d’été » (cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2016/11/laudato-si-lviii.html).
Un point d’attaque politicienne facile à venir, surtout quand « Pruneau-le-Mère » est aux manettes à Bercy…
 
Or, ça ne sort pas.
Et c’est bien là que j’en reste tout étonné. Il y a bien eu des tentatives de « déstabilisations » autour de son mari, rappelant qu’il débarquait des centaines de salariés au moment de la vente d’Alstom au « ricain » GE, au moment où elle venait de gagner le premier tour des primaires de « Droâte & du centre ».
J’ai cru voir également passer postérieurement quelques lourdes critiques sur sa gestion des subventions aux associations de la région, notamment « islamiques ».
Mais ça n’a pas bien pris.
J’attends un papier du « Canard déchaîné » ou du torpilleur national qu’est « Plein-Aile » et son Médiapart.
Pour l’heure rien…
Il peut y avoir deux explications : Soit, « on » estime dans les loges et ailleurs que c’est trop tôt pour favoriser la réélection de « Jupiter ». « Valy » n’a pas encore été qualifiée pour le second tour. Il faut qu’elle grimpe encore dans les sondages.
Soit « on » la préserve parce que « Jupiter » aura tellement déçu les « humanistes » (auto-proclamés, et fils des « Lumières », de la veuve et de l’orphelin) qu’ils réservent leur coup en jouant « Valy », contre « Jupiter » ainsi lâché depuis longtemps.
Bonnet blanc contre blanc bonnet, en somme.
 
Quand je vous dis que cette élection est déjà pliée, je suis presque prêt à en être convaincu moâ-même.
Sauf que, sauf que, la situation à l’Est de l’Europe, alors que l’UE a pour président « Jupiter », au moins jusqu’aux élections et au mieux jusqu’en juillet, se dégrade et que les élections présidentielles Gauloisiennes deviennent un boulet pour les affaires de l’UE.
D’un autre côté, change-t-on de monture au milieu du gué ?
On va savoir ça dans les prochaines semaines…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire