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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 janvier 2022

Premières de la saison 9

Où on retrouve Jean-Marc et Jean-Paul.
 
La directrice de l’école primaire, remarque que des enfants se font des grimaces pendant la récréation.
Elle s’approche d’eux, et sur son ton habituel très autoritaire, elle leur dit :
« – Tu vois, quand j’étais petite, on me disait toujours que si continuais à faire des grimaces, je resterais comme ça !
– Eh bien vous ne pouvez pas dire que vous n’avez pas été prévenue. »
Le plus beau métier du monde ?
 
Devant une bière, à la terrasse du café du coin, Jean-Marc et Jean-Paul devisent :
« – Quelle est la différence entre l’amour et le sida ?
– Oh bé, le sida, c’est pour la vie… »
 
Et puis encore :
« – Pourquoi peut-on comparer une femme à un ouragan ?
– Bé je ne vois pas…
– Parce que quand ça arrive, c’est chaud et humide….
Et quand ça repart, tu n’as plus de maison, plus de chien, plus de voiture… »
 
« – Ça va mal en ce moment à la maison.
– Comment ça ?
– Ma femme fait la tournée des bars tous les soirs…
– Allons bon ! Elle est devenue alcoolique elle aussi ?
– Non. Elle me cherche ! »
 
Jean-Paul, à l’atelier :
« – Vous arrive-t-il de boire de l’alcool au travail ?
– Non. Jamais !
– Vous êtes bien certain.
– Ben… Jamais sauf les jours où j’arrive saoul, bien sûr… »
 
Ça se passe en Grèce dans la région des Météores, là où l’on trouve ces monastères perchés tout en haut de rochers, complètement inaccessibles par les moyens classiques.
Le seul moyen d’accéder au monastère est de monter dans un panier suspendu qui sera tiré en haut par plusieurs moines…
Jean-Marc voulait voir comment c’est là-haut, il monte dans la nacelle et se fait treuiller.
À mi-parcours, pris de vertige, il panique et son regard se porte sur la corde qui tracte la nacelle.
Il remarque qu’elle est usée et qu’elle commence à s’effilocher.
La voix tremblante, il s’adresse au moine qui l’accompagne et lui demande si on change souvent la corde.
Et le moine de répondre sérieusement :
« Chaque fois qu’elle casse… »
 
« – Dis maman, qu’est-ce qu’un pédérastre ?
– Demande à ton père, elle te le dira ! »
 
Une colle de Jean-Marc :
« – Qu’est-ce qui arrive sec, repart chaud et humide et procure une certaine satisfaction ?
Euh… j’ai bien une idée, mais tu vas encore râler » lui répond Jean-Paul
« – Un sachet de thé, imbécile !
– Berk ! »
 
Jean-Patrick se plaint auprès de Jean-Marc :
« – Chaque fois que j’amène une jeune fille à la maison, elle ne plaît pas à ma mère et le mariage est raté.
– Je vais te donner un truc. Choisis une fille exactement comme ta mère. Ainsi, tu es sûr qu’elle lui plaira. »
Quelques mois plus tard, ils se retrouvent :
« – Alors, tu es marié ?
– Hélas ! Non ! Toujours pas !
– Tu n’as pas suivi mon conseil ?
– Si, si ! J’ai déniché une jeune fille ressemblant à ma mère, parlant comme elle, marchant comme elle, cuisinant comme elle… Ma mère l’a tout de suite adorée.
– Alors, pourquoi ne l’as-tu pas épousée ?
– Mon père ne pouvait pas la sentir. »
 
« – Mon oncle, je crois avoir rencontré la femme de ma vie !
Elle est extraordinaire et, en plus, elle est très économe.
Hier nous sommes allés dans un marché aux puces, elle a négocié serré et n’a payé que 75 € pour un article pour lequel on demandait 150 €.
– Super ! Et qu’a-t-elle acheté ?
– Une roue d’avion… »
 
On a enfin découvert l’origine de l’expression « L’âge d’or » :
L’homme demande à sa femme :
« Veux-tu faire l’amour. »
Elle lui répond :
« Là je dors… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Ça va mal.
– Comment ça ?
– J’ai prêté 12.500 € à un gars pour qu’il puisse se faire remodeler le visage.
– Et alors…
– Je ne sais pas comment me faire rembourser.
– Pourquoi ?
– Je ne le reconnais plus ! »
 
Politique économique :
« – Monsieur, c’est quoi la récession ?
– Ben… c’est quand le voisin perd son emploi.
– Et la dépression ?
– C’est quand vous perdez votre emploi.
– Et la Grande Crise ?
– C’est quand votre femme perd son emploi. »
 
Un trader arrive au Ritz.
Il descend et donne un billet de 50 € au portier.
« – Prend bien soin de ma Porsche.
– Oui, oui ! J’ai la même dans mon garage ! 
– … »
 
Pour fêter la fin de l’année scolaire, deux professeures de gymnastique invitent leurs élèves à assister aux courses de chevaux à Longchamp.
Comme l’après-midi avance, des jeunes manifestent l’intention d’aller aux toilettes.
Les profs partagent le groupe en deux, garçons et filles.
La plus grande, s’occupe des p’tits gars.
Elle attend à la porte.
Un élève sort.
« Madame, on n’arrive pas à la hauteur de l’urinoir. »
La prof entre dans la toilette et soulève les p’tits, un après l’autre, en dessous des bras.
Soudain, elle ne peut s’empêcher d’en remarquer un qui est très bien membré.
« – Tu dois être en sixième, toi ?
– Non, je suis dans la septième et je monte Joly-Jumper. Merci pour votre aide, madame ! »
 
« – Docteur, j’ai besoin d’aide.
– Allez-y, dites-moi en quoi je peux vous soulager.
– Bien, j’ai les photos des plus belles femmes du monde épinglées au plafond.
– Et alors…
– Je m’en prive toujours.
– Pourquoi donc ?
– Je dors sur le ventre. »
 
Jean-Étienne et Jean-Marc :
« – Ah ! mon cher ami, ma femme est un ange !
– Vous en avez de la chance, la mienne est encore en vie ! »
 
« – Maman, c’est quoi la différence entre exciter et énerver ?
– Alors… quand j’ai connu ton père, il m’excitait, aujourd’hui… il m’énerve. »
 
Une « revenue », classique (mais magnifique) :
« Lorsque je suis né, j’étais noir.
Lorsque j’ai grandi, j’étais noir.
Lorsque je suis malade, je reste noir.
Lorsque je m’expose au soleil, je reste noir.
Lorsque je m’enrhume, je reste noir.
Lorsque je meurs, je suis encore noir.
Mais toi, l’homme blanc…
Lorsque tu viens au monde, tu es rose.
Lorsque tu grandis, tu es « blanc ».
Lorsque tu tombes malade, tu es vert.
Lorsque tu t’exposes au soleil, tu deviens rouge.
Lorsque tu t’enrhumes, tu deviens gris.
Lorsque tu meurs, tu deviens violet…
Et c’est moi que tu traites « d’homme de couleur » ? »
 
C’est un petit garçon qui est prophète sans le savoir.
Chaque nuit, il rêve tout haut et il prédit l’avenir.
Il y a même des fois où il rêve des chiffres.
Il psalmodie dans son sommeil : quinze, deux, sept… Et ces chiffres sont exactement ceux du tiercé gagnant dans l’ordre le dimanche suivant.
Du coup, ses parents ne dorment plus… ils passent la nuit accrochés à ses lèvres.
Et un soir, le petit garçon murmure dans son sommeil :
« Mon Dieu quel malheur ! Papa va mourir demain à midi. »
Le père fou d’inquiétude, et qui sait bien que jamais les prédictions de son fils n’ont été démenties par les évènements, passe une nuit de cauchemars et une matinée d’angoisses affreuses.
À midi moins cinq, il embrasse une dernière fois sa femme, il pose son testament cacheté sur la table, fond en larmes et à ce moment-là, on sonne à la porte.
Il va ouvrir et il voit devant lui le laitier qui demande :
« – Combien de pintes de lait aujourd’hui ?
– Entrez », lui dit-il.
Le laitier entre et soudain il s’effondre, foudroyé par une crise cardiaque…
Sur les conseils de son ami Jean-Richard, Jean-Marc va consulter un psychiatre.
Le psychiatre lui présente une série d’illustrations qu’il demande à son client de commenter.
Le premier dessin représente un carré rouge.
« Qu’est-ce que ça évoque pour vous ? » demande le docteur.
« C’est un couple en train de faire l’amour ! » répond Jean-Marc.
Le psychiatre, un peu surpris, poursuit sa consultation en présentant un second dessin représentant un cercle bleu.
« Et ceci ? » demande-t-il.
« Ça, c’est une belle paire de fesses ».
Le docteur, troublé, montre alors un triangle vert à son patient qui lui déclare spontanément :
« Ça, ce sont deux femmes nues qui s’embrassent ».
Le psychiatre conclue alors :
« – Monsieur, votre problème est simple ! Vous êtes tout simplement un obsédé sexuel !
– Qui ? Moi ? Mais c’est vous qui m’obligez à regarder toutes ces photos à caractère sexuel ! »
 
Un marin rentre à la maison après six mois en mer.
Bien entendu, le couple se lance dans une partie de jambes en l’air…
Tout à coup, un courant d’air fait claquer une porte quelque part dans la maison !
Le marin dit, sans y penser :
« – Ça doit être ton mari qui rentre à la maison !
– Non ne t’inquiète pas, il est en mer pour 6 mois… »
 
Solutions des contre-pets de la semaine passée :
« Ces Ruts perpétuels épuisent la malheureuse Lucie ! »
« Il le Fit à deux Dames… »
« Il y a un Poteau près du Con ! »
 
Propositions de la semaine :
« La berge précède le vide ! »
« Avis de tempête ! »
« Une presse spécialisée dans le foot… »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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