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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 21 septembre 2021

L’hypothèse du clown !

Elle se précise de mieux en mieux

Michel Colucci, dit « Coluche », l’avait imaginée (probablement « pour rire »), René Dupont, dit « Aguigui-Mouna » l’avait inaugurée bien avant lui (exclusivement dans le Vème arrondissement parigot).
Ça consiste à présenter un clown à une élection majeure.
Histoire de troubler le jeu politique traditionnel, de faire « souffler un vent nouveau » sur l’establishment.
Parfois, ça marche : On a ainsi vu débarquer « McDo-Trompe » aux USA. En Ukraine également (mais là, il s’agit d’un clown professionnel).
Le principe, c’est juste de couper l’herbe sous les pieds des « barons de la politique », ceux qui en font un métier exclusif et à plein-temps.
 
Je présume que « Moïse-Zézé-Amour » fait partie de ces « Scuds » qui visent à démanteler le paysage politique d’un pays.
Car fatalement, un jour ou l’autre, il aura été pris dans sa tornade médiatique.
Enfiévré, passionné, tranchant, cassant, violent parfois, pourfendant le « politiquement correct » à coups de sentences sur cette « Gauloisie-éternelle » qui tombe, qui déchoit et le déçoit, il est finalement devenu l’objet de LA polémique du moment avec cette phrase : « Les Français issus de l’immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes... C’est un fait. »
Un dérapage crypto-lepéniste ?
Il le nie.
Mais présente même ses excuses à la Licra : « Ma volonté n’a jamais été de stigmatiser les Noirs ou les Arabes comme des délinquants, mais si cette phrase, sortie de tout contexte, a pu heurter, je le regrette. »
Pourtant, ils sont nombreux à penser ce qu’il dit tout haut…
Et le voilà lancé…
 
Son principal employeur (Le « Fi-garrot-ci-Figue-à-rot-là »), prend d’abord la mouche : Il est convoqué pour un entretien préalable à un licenciement, puis, le lendemain, première reculade : « Zemmour est juste convoqué, mais pas licencié », fait savoir le patron du quotidien.
Celui-ci demande par courriel une copie de la lettre d’excuses à la Licra.
Et enfin juge qu’il n’y a plus lieu de convoquer la plume du Magazine…
À aucun moment de la semaine les deux hommes ne se seront parlé.
Étrange, non ? « Ce qui a convaincu Mougeotte, c’est le nombre de lettres et de mails des lecteurs du Figaro qui menaçaient de se désabonner si j’étais viré », clame « Zézé-Amour », conscient d’avoir créé une « marque » indispensable à un journal conservateur.
Une marque qui a aussi besoin de sa part de scandale pour exister…
Probablement exagère-t-il le nombre de ces fameux « lecteurs ».
 
Qui est-il vraiment ? Seulement un opportuniste de la pensée qui a trouvé « une niche » pour exister médiatiquement ? Un baladin turbulent du cirque audiovisuel qui fait commerce de sa virulence, du plateau d’iTélé au micro de RTL et du Fig Mag à France 2 ?
Ou bien est-il le justicier de ceux qui pensent tout bas ce qu’il peut, lui, clamer haut et fort ?
En tout cas, ce pamphlétaire de la bande à Ruquier a de quoi voir venir les mauvais jours : Ses prestations au côté d’Eric Naulleau lui rapportent environ 2.000 euros par émission. Ce qu’il gagne chez Ruquier excède de loin son salaire au « Fi-garrot-ci-Figue-à-rot-là ».
« Je ne veux pas en parler, parce que les gens ne comprendraient pas », répond-il quand il est interrogé.
Non, non, il est autre chose : Un « Scud », un « clown » juste là pour être instrumentalisé et servir des gens qu’il ne connaît même pas.
 
Car même politiquement, son public pourrait être surpris par le « vrai » « Zézé-Amour », bien plus complexe que celui des sunlights télévisés.
« Je me croyais de gauche. J’ai voté pour Mitterrand en 1981 et en 1988. Et puis, j’ai rompu avec la gauche depuis l’histoire du voile islamique au collège de Creil. » Une histoire débile où, en septembre 1989, deux puis quatre collégiennes refusent de retirer leur voile au grand dam de leur principal.
Là, bêtement, une partie de la « gôche-gauloisienne » revendique un « droit à la différence ».
« Zézé-Amour » est pris de nausée : Tout son être, son histoire, celle de sa famille s’inscrivent à l’opposé de ce « droit à la différence ».
Il défend bec et ongles l’assimilation totale des immigrés par abandon de leur culture d’origine.
(Mes cousins « natios » dont on parlait hier encore devraient réfléchir à deux fois avant de lui apporter leur sympathie…)
C’est cet effort que sa famille s’est infligé, il le donne en exemple à tous ceux qui revendiquent le passeport tricolore.
Comme s’il disait aux « jeunes des banlieues » : Vous voulez être français comme moi, alors, essuyez-vous les pieds en entrant…
C’est ainsi qu’il demande aux descendants d’immigrés d’abandonner leur prénom ou de le réserver à la sphère privée ou confessionnelle : « C’est comme moi, je m’appelle Éric, Justin, Léon. Mais, à la synagogue, je m’appelle Moïse. »
On aura oublié, parce qu’il n’y va plus très souvent…
 
Au fond, il ne parle que de lui, comme si sa névrose de « Gauloisien » récent avait forgé sa boîte à outils idéologique.
Tout partirait d’un acte public : Le décret d’Isaac-Jacob, dit Adolphe Crémieux du 24 octobre 1870 qui octroie la nationalité gauloisienne à tous les feujs d’Algérie.
Le gouvernement d’alors est en pleine déroute après la défaite de Sedan.
Ce décret est signé à Tours, la ville où le gouvernement s’est réfugié après l’avancée des Prussiens.
Un détail de l’Histoire qui semble avoir lourdement marqué la psychologie de « Zézé-Amour », francisé par une défaite, et qui va grandir dans la nostalgie d’un Empire disparu. C’est d’ailleurs là l’une des clés de son récent livre, « Mélancolie française », que la polémique a porté en tête des ventes.
 
Chez les « Zézé-Amour », la mère exerce l’autorité centrale tandis que le père, préparateur en pharmacie, finit par diriger une escouade d’ambulances à Montreuil.
Famille modeste, qui se donne de la peine pour élever deux fils (son frère est devenu libraire).
Le jeune Moïse fait tout pour faire plaisir à sa maman. À l’école, il veut décrocher les meilleures notes. Bon en « Gauloisien-natif », bon en histoire… mauvais en anglais.
Ce qui lui vaut de rater le concours d’entrée à l’Enâ.
« Mon grand oral n’était pas terrible, car le sujet d’histoire n’est venu qu’à la fin. Je n’ai pas pu briller. L’année suivante, ce fut pire : j’ai été éliminé dès l’écrit. J’étais meurtri, car on ne me reconnaissait plus comme premier de la classe. Mais il est faux de dire que je fais payer cet échec aux élites ! »
Après cet échec, il erre, perdu, comme s’il devait à jamais renoncer à son rêve de devenir écrivain.
Le mek, il n’a même pas vu la piètre qualité du cheptel des « biches » chères à Jacques Brel, mis à disposition des impétrants de la « Grande-ékole ».
Même « Tagada-à-la-fraise-des-bois » s’est rabattu en désespoir de cause sur les charmes incandescents de celle qui était surnommée « l’Iceberg » : C’est dire !
 
Nous sommes dans les années 80, les années frime de la pub bling-bling.
Le voilà qui entre chez FCA, une agence de pub, où il est chargé de concevoir des slogans. « J’ai même été chef de pub. J’étais nul, ça n’a duré que six mois », se souvient-il.
Son patron comprend qu’il n’est pas un « pubard ». Il le présente pour un stage au Quotidien de Paris. Le critique musical Marcel Claverie lui fait écrire son premier article. La plume de « Zézé-amour » fait merveille. Claverie plaide sa cause et il est engagé. « On n’embauche que ceux qui vous ressemblent », rebondit-il pour expliquer sa prise de position quant à la discrimination à l’embauche. « C’est donc aux jeunes de faire des efforts pour correspondre aux critères des entreprises et non l’inverse. »
Ce n’est pas toujours vrai : J’ai souvent été retenu pour redynamiser des entreprises en perte de vitesse.
Et globalement, ça a plutôt bien marché. Même chez les « cas désespérés »…
 
Un autre prévient : « Tout ce qu’il dit sur les femmes me rend dingue, mais il est tout doux avec son épouse. De même que tout ce qu’il dit sur l’islam favorise une guerre des civilisations absolument catastrophique.
Il me fait penser à Edwy Plenel : Avec trois bouts de ficelle, il vous fabrique une corde pour vous pendre. »
« C’est un homme ivre de lui-même. À force d’être sollicité, il a fini par se caricaturer », en dit un autre.
Il « développe une pensée réactionnaire, sans aucune compassion pour les classes laborieuses parce que, lui, a été élevé à la dure. »
 
Dans une chronique consacrée à l’avortement, le 3 février, sur RTL, le polémiste s’en prenait une nouvelle fois à la liberté d’interruption de grossesse, l’un de ses thèmes favoris.
« 200.000 avortements par an, chiffre constant depuis la loi Veil en 1975, il y a trente-cinq ans, cela fait 7 millions de personnes. Si on ajoute mécaniquement ces 7 millions, la population française serait passée de 65 à 72 millions d’habitants, c’est-à-dire plus très loin de l’Allemagne et de ses 80 millions d’habitants. (…) Je voudrais vous faire réfléchir sur l’influence de ce mini-baby-boom sur la croissance économique et le poids politique de la France. »
Indigne…
Un démographe, précise en réponse, que : « Tout est mauvais dans ces propos. Sous un apparent bon sens arithmétique, dire que 7 millions de Français auraient été sacrifiés par les effets de la loi Veil est une absurdité sur le plan démographique. Depuis la loi de 1975, le nombre d’interruptions volontaires de grossesse a fortement baissé en France, même s’il stagne désormais. Il y a aujourd’hui en effet 220.000 IVG par an.
Or je rappelle que, si ce chiffre peut sembler élevé, notre fécondité demeure une des plus fortes d’Europe. Notre taux de natalité est ainsi largement supérieur à celui de l’Allemagne. Le nombre annuel d’IVG en France est bien inférieur à celui des États-Unis, du Canada ou du Royaume-Uni.
En revanche, il est supérieur à celui de l’Espagne ou de l’Italie, mais paradoxalement parce que nos naissances sont beaucoup plus nombreuses.
L’Allemagne a une natalité dramatiquement faible, son taux d’IVG est également faible.
La seule question démographiquement intéressante serait de comprendre pourquoi, à natalité comparable, nous avons deux fois plus d’IVG que les Pays-Bas.
En termes de santé publique, l’IVG qui pose problème et mérite réflexion est celle des adolescentes ou des très jeunes femmes (environ 15.000 par an).
La pilule du lendemain a été généralisée afin de cibler cette population fragile.
Enfin, j’ajoute que ces propos rappellent furieusement les slogans d’avant-guerre, où l’on réclamait des berceaux afin de fournir de la chair à canon face aux Allemands.
Il me semble que cette problématique guerrière est anachronique.
En 2010, le débat n’est plus d'assurer dans les tranchées qu’il y ait bien un Français face à chaque Allemand. »
Autrement dit, plus qu’indigne : Puéril !
 
« Zézé-Amour » a manifestement de la haine : « Aujourd'hui, dans les banlieues françaises, nombre de familles musulmanes interdisent à leurs enfants de parler à la maison le français, langue du diable. »
« Discriminer, c’est choisir, c’est sélectionner. Discriminer, c’est la liberté de travailler avec qui on veut. Ce n’est pas une injustice, ce n’est pas un délit (…). Les patrons ont le droit de refuser d’embaucher des noirs ou des arabes. »
Et des asiates ?
« Concernant Pétain, je réhabilite l’armistice de 1940. Au fond, le maréchal a fait la même chose qu’en 1917, il a gagné du temps pour attendre les Américains. »
Et les Staliniens, naturellement…
« Plus je vieillis, plus je pense que nos ancêtres étaient mieux que nous ! La littérature était supérieure aussi. À part la médecine et la technologie, je ne vois pas où sont les progrès. »
Comment se fait-il alors qu’ils aient engendré des « diminués » ?
Avant Hapsatou Sy en 2018 puis dans son livre de 2021, « Zézé-Amour » s’en était déjà pris, en 2016, à l’ancienne garde des Sceaux « Rachi-Dada-Mimi » pour avoir appelé sa fille « Zaza ».
Étonnamment, on l’a beaucoup moins entendu commenter le choix de « Bling-blingé », qui a prénommé sa fille « Giulietta ».
 
Car en enfin, la « loi de Bonaparte », avec laquelle le polémiste fait le « buzz » actuellement, ne fait aucunement mention de l’obligation de donner « un prénom chrétien » à son gamin.
La loi de 1803 (loi du 11 germinal de l’an XI) imposait de donner « des noms en usage dans les différents calendriers et ceux des personnages connus de l’histoire ancienne ».
Et il existait en effet plusieurs calendriers, notamment le républicain qui a supplanté le grégorien de 1793 à 1806.
 
Et il déplore que « les soces » aient « aboli » cette loi en 1993. Or, c’est faux.
La loi a déjà été largement modifiée par Charles de Gaulle en 1966, qui précise qu’« outre les prénoms normalement recevables dans les strictes limites de la loi de germinal », sont acceptés « certains prénoms tirés de la mythologie, certains prénoms propres à des idiomes locaux du territoire national, certains prénoms étrangers (tels : Ivan, Nadine, Manfred, James, etc.), (…) d’anciens noms de famille (tels : Gonzague, Régis, Xavier, Chantal, etc.) ».
Par ailleurs, il est indiqué que « le choix des prénoms appartient aux parents et que, dans toute la mesure du possible, il convient de tenir compte des désirs qu’ils ont pu exprimer ».
Le gouvernement de « Béret-Go-Voit », sous la présidence de « Mythe-errant », aura assoupli une nouvelle fois cette circulaire en 1993, indiquant simplement que « l’intérêt de l’enfant » doit être pris en compte et abrogeant officiellement la loi du 11 germinal de l’an XI, qui n’était déjà plus en vigueur depuis longtemps.
Quand on s’appelle « Bon », prénommer son gamin « Jean » peut faire tache…
 
En bref, non seulement il fait des fautes de « Francilien-natif » (pêcher au lieu péché), mais qui n’en fait pas… mais il a souvent tout faux.
Or, en lui barrant l’accès aux antennes des médias, le CSA lui aura offert une excellente opportunité de lancement.
Présumé candidat, il va devoir aller plus loin pour continuer à vendre son bouquin et faire des réunions d’autographe.
Jusqu’au bout.
Faire une campagne présidentielle ?
Il lui faut des financements, surtout s’il n’a aucun parti le cautionnant.
Même « Marinella-tchi-tchi » se plaint auprès de « Jupiter » de ne pas pouvoir emprunter…
Ce sera également le problème de « Xav’-Berre-Trans » s’il persiste à ne pas participer « aux primaires » des « Républicains-démocrates ».
Notez que justement « Jupiter » aura su contourner le problème en créant sur le pouce un parti et en piochant dans des fonds « occultes » pour sa prestation de 2017.
J’en ai fait le détail ici même à l’époque (cf. I-Cube (l'exilé): EXTRAITS (1/5) (flibustier20260.blogspot.com) et les 4 suivants)
Et si lui parvient jusque-là pour partir à la pêche aux parrainages, c’est qu’on lui aura offert les moyens financiers adéquats.
 
Oui, mais qui ?
Eh bien tous ceux qui, dans le paysage politique actuel, veulent d’un trublion, d’un clown pour piquer des voix à « Marinella-tchi-tchi », pardi !
Et ils sont nombreux à ne pas vouloir rejouer le « cauchemar » du second tour de 2017…
C’est d’ailleurs le thème du prochain roman d’été : « 2022 : L’année électorale de Charlotte® » (titre provisoire…).
Mais ça aura commencé en janvier 2020 avec le roman à sortir prochainement (après « validation ») « La croisière d’Alexis® ».
Bref, dans même pas un an, on aura oublié tout ça : Juste une tactique électorale, rien de plus.

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