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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 13 septembre 2021

Demain, tous centaures !

Éloge l’hybridation vue par une docteur en « philosophie ».
 
L’hybridation et le mouvement sont des impératifs vitaux pour comprendre et survivre en plein âge d’or numérique. Le post-humain du XXIème siècle n’a pas de commencement, ni de fin.
Le terme hybride renvoie étymologiquement à l’idée d’une « bâtardise », à un mélange interdit, à un mariage improbable, qui a transgressé la norme, l’habitude, l’identité, l’ordre établi.
C’est dans cette transgression que réside une forme de violence.
Mais ce n’est pas la nature, ni le monde, ni la réalité que l’hybride transgresse, - puisque la nature, le monde et la réalité sont hybrides -, mais la manière dont les êtres humains, se sont enfermés dans des cases.
« Ce que l’hybride transgresse avec violence, c’est notre manière d’aborder la réalité, en l’enfermant dans des silos et dans notre incapacité à penser ensemble des choses, des métiers, des situations, des secteurs, des générations, des entreprises, des mondes, des sciences, qui semblent contradictoires ou trop radicalement différents » affirme-t-elle.
 
Et c’est vrai que le terme hybride serait gorgé d’un imaginaire négatif : Dire de quelque chose ou de quelqu’un qu’il est un peu hybride n’est pas vraiment un compliment !
« Le Centaure, dans ses sculptures ou dans les tableaux de peinture ont presque toujours été représentés par les artistes comme des monstres, des êtres peu recommandables, plutôt agressifs.
Le centaure représente cette part de la réalité dont nous nous méfions, parce qu’elle n’entre dans aucune de nos cases.
Il incarne le mélange, l’insaisissable, l’hétéroclite, en un mot, l’hybride ! »
À l’hybride est inextricablement liée la notion d’imprévisibilité : Si vous savez comment un cheval ou comment un être humain réagissent, vous ignorez quel sera le comportement du centaure et son imprévisibilité lui confère une forme de mystère, et donc de pouvoir, qui peut effrayer.
 
Ainsi en est-il de tous ceux qui n’entrent pas dans les cases, qui ont plusieurs vies, plusieurs formations, plusieurs métiers (j’en sais quelle que choses assis au milieu des métiers du « chiffre » et des « lettres »…), plusieurs parcours, plusieurs cultures, plusieurs origines et identités (un « Corsu-gauloisien », je ne vous raconte même pas !), et qui sont si souvent marginalisés et incompris, alors qu’ils détiendrait la clé permettant de faire dialoguer les mondes et de les hybrider.
C’est un peu trop exagéré à mon sens : Ils n’en savent pas plus que d’autres !
« Or, nous crevons de la juxtaposition des mondes, de ces silos à n’en plus finir, de ces cases stérilisantes où l’on veut nous ranger, de ces étiquettes qui nous étouffent et dont on veut nous affubler. Nous crevons de tous ces pur-sang qui ne comprennent pas que l’on puisse être musicien et peintre, artiste et chef d’entreprise, banquier et écrivain, politique et chimiste, homme et femme, religieux et sensuel, monstrueux et émouvant, sauvage et métaphysique. »
Bien vu, en dis-je : Des « autistes-trisomiques » !
 
« Nous crevons de tous ceux qui ne comprennent que la consanguinité, qui haïssent les mélanges et qui passent leur vie à briser les contradictions en les résolvant ; de tous ceux pour qui A est A et A ne peut pas être non-A. Les centaures nous invitent à mélanger les maisons de retraite, les services de coworking, les résidences d’artiste, les incubateurs de startups, les salles de sport, les auberges de jeunesse et les jardins-potagers. »
Et les crèches : Mon « grand-projet », faire une crèche en-dessous d’une maison de retraite.
Un peu utopique, à vrai dire, car ce n’est pas aussi simple que cela, mais passons…
 
En revanche, on peut être d’accord avec le propos suivant : « Ils nous encouragent à transformer les gares en musées et les musées en écoles. À hybrider les générations, à hybrider les genres, plutôt que de les juxtaposer et de les opposer. À hybrider les juristes et les designers pour créer de nouveaux contrats et mettre le droit au service de l’innovation ; à hybrider les matières pour fabriquer des matériaux inédits et durables ; à hybrider le scientifique, l’économique, l’administratif et le politique pour répondre au défi sanitaire. »
Euh… c’est un peu le boulot des « big-data » qui nourrissent l’IA, non ?
 
Et alors, comment expliquer ce processus d’hybridation qui semble caractériser notre époque ?
« Cela faisait depuis des siècles que nous avions transformé notre cerveau en gigantesque usine de production massive de cases et que nous découpions en morceaux tout ce et tous ceux qui nous entouraient.
C’est en vertu de cette obsession que nous voulions qu’une école soit une école ; un restaurant, un restaurant ; ou un magasin, un magasin ! Nous maltraitions la réalité, parce que nous n’avions pas compris ou pas accepté le fait qu’elle contient une part importante d’incasable et d’insaisissable !
Or, progressivement, nous commençons enfin à nous réconcilier avec la réalité et à nous libérer des silos où nous voulions la faire entrer à marche forcée ! Nous acceptons peu à peu que le monde s’hybride, qu’il soit moins prévisible, qu’il entre moins dans nos cases et que l’hybridation soit en passe de devenir la grande tendance de notre temps. »
Il faut qu’elle aille vivre en Islande : Les cafés font bibliothèques et librairies !
 
Certes, mais depuis plusieurs années, on commence tout de même à percevoir des « signaux faibles » dans presque tous les domaines : « Si nous étions avant dans une société industrielle et que nous sommes passés à une société de services, il devient de plus en plus difficile de distinguer les deux et ils tendent à se confondre dans ce que l’on pourrait appeler une société des usages ou des relations…
Même les bâtiments deviennent serviciels !
Il ne s’agit plus seulement de vendre un produit ou un service, mais de créer une relation dans laquelle les clients voudront bien entrer. »
Conclusion logique : « Les modèles économiques classiques se réinventent donc ;
Les technologies font émerger des économies immatérielles, aux côtés de l’économie réelle ; ce qui invite les entreprises à entremêler les unes à l’autre pour proposer de nouvelles offres et conquérir de nouveaux marchés.
L’analyse et la valorisation des datas, par exemple, ouvrent la porte à une ère du sur-mesure et de la personnalisation, qu’il s’agisse de votre mode de transport ou de vos vêtements. »
Probablement, en effet.
Mais plus encore pour ma « toubib » en philosophie, « les écoles, les universités, les laboratoires de recherche, les entreprises, les administrations publiques commencent, partout et de plus en plus, à collaborer de manière plus étroite. Ces approches pluridisciplinaires, voire transdisciplinaires accroissent le nombre de doubles diplômes, transforment les fiches de poste, hybrident les métiers et brouillent les modèles organisationnels ».
Sauf que ça a toujours été ainsi…
On a tous cherché le mouton à 5 pattes : Omniscient, omni-compétent, toujours à l’heure, travailleur, honnête, pas syndiqué et pas cher !
Et on a trouvé le robot… Mais ça tombe parfois en panne et on ne sait même pas pourquoi !
 
Même « les objets n’échappent pas à la règle et il s’opère en eux un véritable croisement de fonctionnalités et d’usages : Le téléphone, pour prendre l’exemple le plus trivial, est aussi un réveil, une radio, un scanner et un appareil-photo » (et toujours pas un lave-vaisselle !)
« Il est paradoxalement, et tout à la fois, un espace et un temps de loisir et de travail.
Les territoires, eux, voient se multiplier les « tiers-lieux » : Il s’agit d’endroits insolites qui mêlent des activités économiques, avec de la recherche scientifique, de l’innovation sociale ou encore des infrastructures culturelles.
Ils entrecroisent souvent des logiques économiques et des logiques sociales et solidaires…
Comme si l’économie sociale et solidaire était en train de s’affirmer progressivement comme l’économie de demain et que bientôt tous les lieux allaient devenir des tiers-lieux. »
Oui, enfin, tout cela aura été façonné par les autorités politiques, à tous les niveaux, qui naviguent plutôt à vue et sans boussole…
 
« Par ailleurs, les entreprises prennent de plus en plus conscience de leur responsabilité sociétale. Sous l’effet des transformations de notre société, elles comprennent qu’elles peuvent jouer un rôle vertueux et qu’elles détiennent une partie de la solution pour rendre le monde meilleur. »
Ça reste à voir : Elles sont surtout là pour survivre au mieux une fois créées sur leur niche.
« Les modes de consommation et de commercialisation suivent également cette tendance et l’on voit émerger de nouveaux types de magasin où il ne s’agit plus seulement de vendre et d’acheter, mais également d’apprendre, de jouer, de se cultiver, de se rencontrer… Il y a un entrecroisement non pas seulement des canaux, - distanciel/présentiel -, mais aussi des usages, des secteurs, des fonctionnalités et des activités. »
C’est seulement de la com’ et pas grand-chose d’autre…
 
« La nécessité pour les entreprises d’adopter un développement durable, respectueux des ressources, se traduit par une hybridation progressive de leur fonctionnement avec celui de la Nature : l’économie circulaire, par exemple, est une piste intéressante, puisqu’elle est le miroir du mouvement de base de l’environnement où rien ne se perd et tout se transforme ! »
Mais c’est une foutaise : Tout est déjà « circulaire », par la force des choses…
Mais elle continue : « Ces signaux faibles semblent très différents les uns des autres, mais ils sont tous reliés par une même tendance extraordinaire : les choses n’entrent plus dans nos cases !
Les situations, les objets, les entreprises, les métiers, les lieux, les modèles économiques, la Nature, les êtres humains, les idées, les territoires, les citoyens, les arts, les générations, les secteurs, les sciences ou les bâtiments : plus rien n’entre dans nos cases, précisément du fait de ces entrecroisements ».
Mais si, au contraire : Il suffit d’adapter les cases, la kon !
Je croyais apprendre « des choses », me voilà sur le chemin de la déception…
Car pour l’heure, on n’a pas vraiment vu un téléphone portable faire la vaisselle ni un avion de chasse faire une cuisine digne d’un chef étoilé !
 
« Petit à petit, nous commençons à comprendre que l’hybridation peut être une chance pour les individus, pour les entreprises et les institutions publiques, comme pour la société. Elle nous rend meilleurs, plus intelligents, moins intolérants, moins dogmatiques, plus humbles et plus agiles. »
C’est vrai, sauf que « plus intelligent », ce n’est pas certain : Il y en a tellement qui resteront kon-natifs, voire « sachant-autiste-trisomique » que j’en reste malade d’écœurement.
« Par exemple, pour une entreprise, ce qui fera son avantage concurrentiel, ce sera sa capacité à hybrider plus rapidement et plus originalement que les autres des connaissances, des matériaux, des usages, des fonctionnalités, des secteurs, des technologies, des produits et des services. Cela donnera lieu à des tiers-services, des tiers-objets, des tierces-organisations, des tiers-lieux et des tiers-usages. »
Ce n’est juste que du marketing : Pourvoir affirmer que toutes les options sont incluses dans une chignole quelconque pour le prix du modèle de base, ce n’est jamais que du flan !
 
« Nos cinq sens – le goût, l’ouïe, le toucher, la vue, l’odorat – nous donnent beaucoup d’informations sur le monde qui nous entoure. Mais une fois qu’ils nous ont apporté dans leur besace leurs provisions de réalité, tout reste encore à faire, puisque notre cerveau doit encore traiter ces informations, comme lorsque nous vidons nos sacs après être allés faire nos courses.
Il faut prendre chaque objet, le ranger à la bonne place dans le réfrigérateur, le placard ou les armoires. Notre cerveau n’est pas loin de procéder de la même manière. Identification des informations, rapprochement de ces informations avec d’autres plus anciennes, tri de chacune dans les bonnes catégories.
Mais tout entre-t-il vraiment dans nos cases ? »
Bien sûr puisque le processus est biaisé : Nous n’achetons que les aliments susceptibles d’entrer dans nos espaces de stockage ou nous les découpons en morceaux pour les faire entrer à marche forcée !
Mauvais exemple…
 
« Et c’est ainsi que nous passons à côté du monde, sans nous en apercevoir. Cette manière d’aborder le monde nous fait maltraiter la réalité et c’est ce qui me fait dire que la crise, la véritable crise que nous connaissons est celle de notre rapport à la réalité. »
Pfff !
Elle a fumé quoi au juste ?
« À mon sens, cette catégorisation du réel n’est pas inhérente à l’espèce humaine, mais particulièrement présente en Occident, puisque c’est en Occident que s’est développée la rationalité. Attention, il ne s’agit pas ici de la raison, en tant qu’elle s’oppose à la foi ou à l’émotion, mais en tant que mode de pensée et manière d’aborder la réalité.
Si cette dernière était originellement très utile pour construire les sciences, elle s’est quelque peu rigidifiée au fur et à mesure des siècles pour se transformer en usine de production massive de cases. Dans l’histoire des idées, au début, la raison servait l’humanisme (expliquer et comprendre la Nature/la réalité/le monde), puis elle s’est mise au service de l’anthropocentrisme (maîtriser et dominer la Nature/la réalité/le monde) ; aujourd’hui, elle se fait la servante du transhumanisme (supprimer la Nature/la réalité/le monde pour les recréer). »
Ah ?
 
« Le terme hybridation est dénaturé, lorsqu’il est utilisé pour parler d’une « hybridation homme/machine ». Il n’y a à mon sens aucune hybridation là-dedans. »
Ouf !
« Tout cela est le fruit d’une volonté de toute-puissance de la raison, que nous transférons d’ailleurs à nos technologies et autres machines, sans nous rendre compte que nous leur transférons également toutes nos failles et tous nos biais…
Or, il existe d’autres manières de penser ! C’est nous-mêmes qui avons formaté ainsi nos cerveaux à la catégorisation… Il n’y a donc là aucune fatalité : grâce à la plasticité cérébrale, et en vertu d’une pratique constante de l’hybridation, chacun d’entre nous peut devenir un centaure ! »
Ouh lala !
 
« La philosophie de l’hybride est une philosophie de la vie. Si je cesse en tant qu’être humain de m’hybrider, si une entreprise, si un métier, si un secteur, si une technologie cessent de s’hybrider, ils meurent !
Je ne crois pas dans l’essence et je vais même plus loin : ce n’est pas l’identité qui devrait nous définir. On a trop tendance à la confondre avec l’histoire ou avec la culture, mais ce n’est pas la même chose. »
Quand quelqu’un vous dit « je crois » ou « je ne crois pas », on se méfie : On entre dans le domaine du religieux ou du sectarisme…
Quant à l’identité qui ne nous définirait pas et qu’on confondrait avec l’histoire ou la culture, il faut que j’en parle « aux peuples », en commençant par le « Corsu ».
Je sens qu’ils vont être nombreux à apprécier…
 
« Étymologiquement, le mot identité vient du latin identitas, – « qualité de ce qui est le même » –, lui-même dérivé du latin classique idem, – « le même »… L’identité va de pair avec l’identique pour renvoyer à l’idée de pureté et d’homogénéité. Il est étonnant que ce mot soit devenu non seulement un concept politique, mais en plus un centre de gravité de notre débat public.
C’est étonnant, parce que ce mot repose sur une illusion. « Qualité de ce qui est le même » : mais qui est le même ? Personne n’est le même ; ce serait une vanité de le croire ! Tout le monde change et le monde change. La cristallisation n’existe pas, puisque tout finit toujours en fumée. »
Non, en poussière !
« Le fait même d’avoir imaginé et conceptualisé l’idée de l’identité est un terrible malentendu, fondé sur un refus de la mort. »
Ça, c’est de la psychologie de comptoir de bar.
Je vais vous dire, personne ne refuse la mort, ni même sa mort. C’est notre « identité commune » que d’être tous mortels.
On ne refuse la mort que quand elle nous empêche d’achever un projet en cours.
C’est pourquoi le meurtre nous est particulièrement insupportable, alors qu’un accident mortel ou une maladie foudroyante l’est bien moins, comme d’une destinée insurmontable.
Il me semble que ma toubib en « philosophie » ait encore des choses à apprendre…
 
Mais elle persiste : « L’identité donne l’illusion que chacun d’entre nous ou que tout a une définition une et indivisible, donnée une fois pour toute et immuable. C’est faux, l’identité n’est qu’une vérité provisoire ! »
Bé justement, ça permet de s’en forger une à son image…
Et elle se rattrape aux branches : « Tous les vivants sont appelés à la métamorphose, les plantes, comme les animaux et les êtres humains ; il n’y a que les morts qui ne changent plus…
C’est d’ailleurs peut-être cela qui rend la mort si terrible ! Nous qui avons souvent tant de mal à vivre les changements, nous devrions nous souvenir que leur possibilité même est le luxe des vivants. »
Pour sûr !
Selon elle, il faudrait pouvoir apprivoiser nos angoisses, celles que « nous éprouvons face à notre propre métamorphose. »
Et de conclure : « C’est cela, l’hybridation ! Ce ne sont pas les nouvelles technologies qui nous augmenteront, mais nous-mêmes en ayant le courage de devenir des centaures ! »
Oui mais des « centaures » augmentés de technologies ou non ?
Elle ne répond pas.
Ou à côté.
Jésuitique à souhait…
 
Personnellement je lui ferai savoir que centaure ou non, c’est de toute façon déjà en cours de préparation qu’on le veuille ou non.
C’est comme ça : Les bagnoles se conduisent toutes seules, comme les carioles hippomobiles rentraient toutes seules à l’écurie en fin de journée (arrosée).
En revanche mon téléphone ne sait toujours pas faire la vaisselle…
Bref, déçu : J’attendais autre chose, mais je partage tout de même ! 

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