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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 14 septembre 2021

Voilà que je rentre…

Dans une ville où la vitesse autorisée est réduite…
 
En effet, à partir du 30 août 2021, « Sœur-Âne » a décidé de limiter à 30 km/h la vitesse de circulation sur les voies de la « kapitale » : On aurait été le 31, on aurait été limité à 31 km/h…
Cette mesure concerne toutes les voies, hormis le boulevard périphérique, qui reste limité à 70 km/h et les boulevards des Maréchaux, deux portions des quais de Seine, certaines voies des bois de Boulogne et Vincennes, quelques grands axes de l’Ouest parisien (Champs-Élysées, Foch, Grande Armée, rue Royale), du XIIème (Est) et du XIVème (Sud), qui restent limités à 50 km/h.
Pourquoi pas : De toute façon, vus les embouteillages récurrents, sauf les pigeons ou la nuit, personne ne va guère plus vite.
D’ailleurs, à mon retour, sur mes 5 derniers kilomètres, je mets 20 bonnes minutes alors que jusque-là en 20 minutes je parvenais à parcourir un peu plus 43 kilomètres…
Et comme l’un dans l’autre, je brûle finalement autant de kérosène, on peut dire que je consomme 3 fois plus au kilomètre parcouru en ville que sur autoroute (même si c’est faux, on va le voir par la suite) : Tout va bien !
 
Il paraît que 61 % des parigots sont favorables à la limitation à 30 km/h de la vitesse de circulation, tandis que 18 % y sont totalement opposés.
Moâ, je m’en contre-cogne le coquillard et les roubignoles dans le même élan : C’est du pareil au même !
En comparaison, 65 % des habitants de villes de plus de 100.000 habitants sont favorables à la limitation à 30 km/h de la vitesse de circulation dans les centres villes ou dans certains quartiers.
Les parigots se rendant au travail avec un véhicule motorisé sont, pour 66 %, contre cette mesure, forcément, ceux sont eux qui sont visés. Tandis que 77 % des cyclistes y sont favorables : Forcément, ils n’ont pas de longs trajets à faire en étant chargés comme des mules et jusqu’à la gueule.
Avec une batterie, ils pourraient cependant être concernés, mais comme ils n’ont pas de plaque, ils passeront de toute façon au travers des amendes.
 
Il parait que de manière générale, 58 % des parigots sont favorables à la politique de réduction de la place de la voiture dans la « kapitale », mise en place par la municipalité pour lutter contre la pollution, la belle intention !
L’étude porte également sur d’autres mesures, comme par exemple sur l’adhésion à la fermeture à la circulation des voies sur berges de la rive droite.
Parmi les personnes interrogées 60 % d’entre eux seraient favorables à cette mesure.
Surtout les riverains, j’imagine : Habiter le très chics XVIème hors de prix et devoir supporter une autoroute sous ses fenêtres, c’est comme du côté de Passy et d’avoir les usagers du métro aérien mâtant ce qu’il y a dans votre assiette si vous dînez sur votre balcon…
Et puis les façades y sont particulièrement dégueulasses pour cause de métro sur pneumatiques…
Voilà pour l’accompagnement de la mesure, histoire de bien faire savoir qu’il y a « total-consensus » des foules en délire, n’est-ce pas, justifiant la mesure prise d’autorité.
 
Personnellement, je trouve que c’est là qu’il faut en rire puisque 71 % des parigots en viennent à penser que cette mesure « va sécuriser les rues de la capitale pour les plus vulnérables » autrement dit les piétons, les cyclistes, les enfants et les séniors en oubliant qu’ils vaquent ailleurs que sur les chaussées.
Et réciproquement pour les trottinettes électriques et quelques vélos…
Mais, bien plus fabuleux, pour 52 % cette mesure « constitue un bon moyen pour lutter contre le changement climatique dans les grandes villes » !
Ouais, alors là c’est sûr et certain, la vitesse limite autorisée passant de 50 à 30 km/h dans la seule enceinte de la ville, c’est le meilleur moyen de sauver la planète du réchauffement global !
Laissez-moi donc en rire !
De l’art de vous prendre pour des perdreaux !
Le pire, c’est que ça fonctionne : C’est dire s’ils sont si nombreux à être nés autistes ou trisomiques du neurone…
 
Oui mais insiste-t-on, l’objectif est aussi de « contribuer à améliorer la sécurité routière » et de « contribuer à faire baisser les nuisances sonores » dans la ville.
Euh…
Savent-ils vraiment compter ?
La sécurité routière consiste principalement à avoir des voies « protégées » : D’ailleurs, il y en a plein.
Protégées par des glissières en béton.
Et si on veut réduire la vitesse générale, ce n’est pas bien compliqué : Il suffit de rétrécir la largeur des rues et de multiplier les chicanes.
Naturellement, pour « bien viser », l’automobiliste lâche l’accélérateur.
Quant aux nuisances sonores, c’est l’inverse qui va se passer : À 30 km/h de pointe, on est encore en seconde à 2.000 tours minutes, alors que mon « tas de boue à roulettes » est à moins 1.200 tours minutes à 40 km/h en troisième.
Et encore, la plupart du temps, en lâchant l’accélérateur, pour peu qu’il y ait une pente naturelle, en quatrième à 1.000 tours/mn, parfois moins…
Enfin, passons.
 
D’autant que c’est bien connu : Depuis une étude récente du Cerema (Centre d’études et d’expertise sur les risques), un véhicule à moteur thermique qui circule en ville consomme plus et pollue donc bien plus à 30 km/h qu’à 50 km/h.
Plus surprenant, à 30 kilomètres heure, il pollue autant qu’à 130 kilomètres heure…
On peut donc légitimement se demander pourquoi les municipalités des grandes villes, à commencer par celle de « Paris-sur-la-plage », généralisent les limites de vitesse à 30 km/h et à partir de quelles études d’impact et de quelles compétences des décisions de ce type sont prises ?
Notez que je ne suis pas contre : Je suis le premier à rouler « soft » quand il y a du monde sur les trottoirs. On est jamais à l’abri d’un cycliste qui fait un écart ou d’un gamin qui court après son ballon pour le mettre en lieu sûr.
 
Si l’objectif proclamé est de réduire la pollution atmosphérique et les émissions de polluants, particules fines et autre dioxyde d’azote, il y a comme un problème.
À 30 km/h un véhicule à moteur thermique pollue autant qu’à 130 km/h vient-on de dire : C’est le paradoxe cruel qu’on essaye de nous faire avaler en le cachant !
Il ressort que pour les véhicules dotés d’un moteur thermique essence ou diesel, la vitesse idéale pour limiter au maximum les émissions nocives (particules fines, Nox) est de 70 km/h. À des vitesses inférieurs ou supérieures, le véhicule consomme davantage et donc pollue davantage. L’étude montre qu’en roulant à 30 km/h, un véhicule thermique pollue environ 15 % de plus qu’à 50 km/h.
Voilà donc un vrai faux-nez dénoncé…
 
« Pour les véhicules légers comme pour les poids-lourds, les émissions sont importantes à très faible vitesse (jusqu’à 30 km/h environ), ce qui signifie que les situations de congestion du trafic routier sont très pénalisantes du point de vue de la qualité de l’air », résume le Cerema.
Et il s’en prend aussi au passage à la stratégie de réduction de la place de l’automobile dans les métropoles par la multiplication des entraves à la circulation et la création d’embouteillages « artificiels ». Une stratégie suivie par la ville de « Paris-sur-la-plage » depuis plusieurs années…
S’il faut restreindre les accès de l’automobile à la ville, en revanche, quand les véhicules sont entrés dans la ville, il faudrait au contraire rendre la circulation la plus fluide possible pour qu’ils y restent le moins longtemps possible !
Exactement le contraire de la stratégie suivie à « Paris-sur-plage » qui consiste à laisser les véhicules pénétrer dans la capitale et à multiplier ensuite les « pincements » de trafic en espérant ainsi décourager les automobilistes.
Ils ne sont pas découragés puisqu’ils sont obligés d’y être et de subir pour mille raisons : Ils sont exacerbés !
 
Et où l’on découvre avec stupeur que des décisions prises par les pouvoirs publics, en l’occurrence les municipalités, au nom de grands principes, ne servent à rien et sont même contre-productives !
Elles ne reposent sur aucune étude d’impact sérieuse : Elles s’inscrivent avant tout uniquement dans une logique de communication politique.
Qui cache ainsi ce qu’elle ne veut pas dire, bien sûr.
 
Autre exemple similaire, celui des pics de pollution aux particules fines.
Ils ont été attribués depuis des années et des années avant tout à l’automobile et à chaque pic de pollution des restrictions de circulation étaient mises en place. Et ce jusqu’à la pandémie et un test en grandeur réelle de l’impact sur la pollution atmosphérique d’une diminution soudaine et importante de la circulation à l’occasion des confinements.
Résultat, il y a eu trois pics de pollution aux particules fines l’an dernier en Île-de-Gauloisie dont deux pendant des périodes de confinement…  Le premier le 28 mars, le second le 26 et enfin le 27 novembre.
Cherchez l’erreur, SVP !
 
Toujours dans l’agglomération parisienne, si les émissions de dioxyde d’azote semblent bien évoluer en corrélation avec le niveau de circulation automobile, il n’en est rien des particules fines qui sont cancérogènes et dont on nous affirme droit dans les yeux depuis des années qu’elles proviennent notamment des motorisations diesel.
Le problème est que si le dioxyde d’azote est nocif pour la santé, il présente rarement un seuil critique… contrairement aux particules fines !
La concentration dans l’air de dioxyde d’azote n’a déclenché le « seuil d’information » en Île-de-Gauloisie que seulement deux fois depuis 2015 contre 39 fois pour les particules fines…
Même lors des confinements passés !
 
Des données incontestables qui ne proviennent pas cette fois du Cerema mais de AirParif, un organisme officiel qui en général n’a pas pour habitude de contredire « Sœur-Âne », la patronne qui le subventionne avec les impôts locaux.
Précisons qu’il ne s’agit évidemment pas de dire que la circulation automobile n’émet pas de particules fines (bien que les pots d’échappement modernes et bien entretenus les filtrent parfaitement, Merci aux ingénieurs « pigeot »), mais seulement que l’automobile est un élément parmi d’autres de cette pollution… et pas forcément le principal.
Et que, d’autre part, les particules fines voyagent sur des centaines voire des milliers de kilomètres comme le montre plusieurs études.
 
Ce constat n’est évidemment pas spécifique à l’agglomération parigote. Dans un article publié par The Conversation au Royaume-Uni, deux chercheurs de l’Université de Birmingham, spécialisés dans la chimie et la science atmosphérique, ont montré que les annonces d’une amélioration spectaculaire de la qualité de l’air dans les villes l’an dernier pendant le premier confinement étaient pour la plupart très exagérées…
 
Enfin, on rappelle que comme la vitesse moyenne qui était autour de 17 km/h intramuros mais en comptant le périphérique, elle va probablement passer autour de 15, sur le plan de la qualité de l’air, l’on peut opportunément se référer à l’étude du CEREMA citée ci-avant, où il est aussi démontré que des vitesses ridiculement basses (20 ou 30 km/h produisent des émissions d’oxydes d’azote, de particules fines et gaz à effet de serre proches de 100 km/h) : Difficile dans ces conditions d’accréditer la thèse d’un air moins nocif avec des réductions de vitesse !
Par ailleurs, sur un plan sonore, le gain d’une telle réduction de vitesse serait (nous restons dans le conditionnel) entre 1,5 et 3 décibels.
Soit une différence tellement infime que l’oreille humaine aurait grand-peine à la déceler, a fortiori lorsque d’autres facteurs de propagation sonore interviennent et qu’une homéostasie puisse survenir (ex. l’afflux de scooters remplaçant le départ des automobiles).
 
Peut-on également s’inquiéter pour le prix des courses en taxi ? Première chose : les trajets vers les aéroports ont des prix fixes, qui restent inchangés. Mais pour le reste, avec une vitesse réduite, la course s’allonge alors que le compteur tourne. À « Paris-sur-plage », le tarif n’est pas le même lorsque l’on dépasse les 30 km/h. Au-dessus, c’est une tarification kilométrique : Le client paie en fonction de la distance parcourue. En dessous, en revanche, le prix dépend de la durée de la course. « Cela permet de compenser la perte liée à la marche lente. Sans ça, dans les embouteillages, on perdrait de l’argent », explique le président de l’UNT.
Avec la mesure, le tarif horaire devient prépondérant, et le prix pourrait rapidement augmenter. Mais le président de l’association Les Nouveaux Taxis Parisiens, détaille qu’une « course de 16,7 km prenait 20 minutes à 50 km/h, pour un montant de 20,80 € ». Désormais, « la même distance parcourue à 30 km/h prendra pour sa part 33 minutes, pour un montant de 21 € ». Pas vraiment une explosion du coût…
« Et globalement, en dehors des grands axes qui restent à 50 km/h, on dépasse déjà rarement les 30 km/h dans la capitale, donc le tarif restera similaire », peut-on ajouter.
« Mais c’est le chauffeur qui risque de perdre au change », vous explique-t-on : « Il passera plus de temps avec chaque client, pour un montant équivalent, et en prendra donc moins ». Sur le long terme, on peut espérer que la mesure engendrera une baisse du trafic, permettant de rééquilibrer le temps passé avec chaque client. « On met autant de temps à faire une course avec des limitations à 50 km/h et beaucoup de bouchons, qu’avec 30 km/h mais une circulation fluide ».
Logique mais à vérifier sur le terrain.
 
Enfin, autre coût potentiel: Celui des amendes. En effet, il y a fort à parier que certains mettront du temps à shabituer à la mesure. Il existe heureusement peu de radars fixes à Paris: On en dénombre une petite dizaine, en dehors de ceux placés sur le Périphérique, qui n’est pas concerné par la mesure. Les contrôles directs par les policiers sont eux aussi relativement rares.
En cas d’excès de vitesse de moins de 50 km/h, l’amende s’élève cependant à 135 €. Le président de l’Union nationale des taxis (UNT) demande ainsi une période d’adaptation : « Dans un premier temps, il faut uniquement des avertissements, sinon on ne s’en sortira pas », assure-t-il.
En bref, si dans un premier temps, les courses en taxi et factures de carburant pourraient voir leurs montants augmenter à cause de la limitation, sur le long terme, la mesure pourrait limiter le coût de la circulation pour les usagers grâce à une circulation moins dense et plus fluide.
Mais on reste dans le conditionnel.
Pour cela, il faudrait compter sur le bon vouloir des usagers. « Est-ce que cela va fonctionner, réduire le trafic ? Favoriser le vélo ? ».
Argument pour: Faire du vélo deviendra moins dangereux, et potentiellement aussi rapide que la voiture, l’écart de vitesse entre les deux se réduisant. « Mais ceux qui prennent la voiture ont-ils le choix ? ». En « Île-de-Gauloisie », selon une étude de « Lyne-sait-tout » parue en 2019, 11 % des parigots utilisent leur voiture comme moyen de transport principal pour se rendre au travail, contre 43 % des salariés habitant en banlieue parisienne…
Bref, ce n’est pas gagné.
 
Et question carburant ?
Puisqu’à 30 à l’heure, on pollue autant qu’à 130 au km parcouru, probablement que les choses vont bouger.
Personnellement, je fais 5,6 l/100 km à 130, 9 l/ au 100 en ville.
Quoique, hier j’ai ainsi de parcourir 11 km à la vitesse moyenne et soutenue de 13,5 km/h… Un peu moins au retour, exclusivement autour de la Seine, « ma » rivière.
Consommation d’après l’ordinateur du bord : 12,5 l/100…
 
La raison ?
À première lecture, la mesure semble donc plutôt pénalisante niveau pollution et consommation. Mais point important : « Le premier facteur influençant les émissions n’est pas la vitesse mais l’accélération », note également le Cerema. « Si on roule à vitesse stabilisée à 30 km/h, on consomme moins » : Je confirme.
À 30 à l’heure, je dois faire 3,5 l aux 100 en vitesse stabilisé sur du plat.
Donc, en poussant à une conduite plus tranquille, la limitation à 30 km/h permettrait justement d’éviter ces accélérations successives.
Dans ce sens, les zones 30 pourraient bien permettre de réduire la consommation de carburant et seraient un atout pour nos économies. « Dans les villes concernées par ces zones 30, on voit surtout une conduite plus apaisée, plus tranquille ».
Bémol : Il faudra probablement attendre que les automobilistes s’habituent à cette nouvelle vitesse, ou encore que certains décident de laisser leur voiture au garage pour y préférer le vélo ou les transports en commun, qui restent autant d’obstacle poussant l’automobiliste à lever le pied.
D’ici là, l’engorgement redouté pourrait bien avoir l’effet inverse.
Et puis la bonne idée serait bien de coordonner les feux tricolores : Sur le boulevard Saint-Germain, ils le sont de l’Assemblée Nationale jusqu’à l’institut du monde arabe. J’effleure à peine la pédale de l’accélérateur quand le chemin est dégagé… globalement la nuit et en cinquième à 50 à l’heure, 1.000 tours/minute à peine.
À 30, je ne pourrai pas le faire.
Ailleurs, je n’ai pas l’impression que ce soit la même chose : Même sur les Champs-Élysées ou l’avenue de la Grande armée, il faut s’arrêter au moins une fois sinon deux pour laisser la place aux piétons et de nouveau accélérer au démarrage.
Et avec le limitateur de vitesse du bord, je me vois bien devoir rester en première…
Ça va simplifier la conduite même si c’est plus bruyant et salissant.
 
Reste que pour se faire flasher, désormais, il faudra être en vélo ou en trottinette électrique.
D’ici à ce que ces engins soient obligés à devoir s’immatriculer et payer « vignette »…
Car l’objectif n’est évidemment pas du tout ce qu’on vous annonce pour votre sécurité, ne rêvez pas !
Ils veulent simplement pouvoir contrôler tous vos déplacements : Ils y sont arrivés durant le premier confinement et c’était trop bon.
Savoir qui se déplace, comment, à quel moment, pour aller d’où à où rencontrer qui et faire quoi : C’était le bonheur de l’État-policier de la « dictature douce » !
On y vient mais nous, nous y reviendrons dans un autre post à suivre…
 
En attendant, je n’ai qu’une hâte : C’est que « Sœur-Âne » dégage de l’hôtel-de-ville pour aller se réfugier au Palais de l’Élysée.
Au moins, elle ne fera plus caguer que les parigots mais tout le monde et chacun pourra mieux comprendre comment, depuis « De-la-Nuée », le « soce-à-lisme » aura gâché la joie de vivre dans le plus beau pays du monde : Le mien (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) !
Et ça tombe bien : Elle vient de se déclarer candidate contrairement à toutes ses assertions précédentes, main sur le cœur.
J’adore les girouettes : Au moins on peut tout espérer d’elles…

2 commentaires:

  1. Malheureux, pourquoi ne pas être resté à 20260 ?

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  2. Bé, question d'ALD à suivre...
    En Balagne, dès que ça dépasse la bobologie habituelle, ils t'envoient à Bastia, voire à la Timone.
    Alors deux mois, ça va, mais pour renouveler les ordonnances, c'est trois mois maxi !

    Merci d'être passé jusque-là et bien à vous !

    I-Cube

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