Très intéressante lecture du début août…
On apprend plein de choses dans ses 3.949 pages
consacrés aux connaissances disponibles sur la science du climat des « climatologues ».
Tout y est - et même son contraire - mais il fallait bien résumer, pour la presse et « les décideurs » qui s’en est fait les gorges chaudes alarmistes durant quelques jours.
Or, une lecture attentive de ce rapport, qui est moins « politique » et plus « scientifique » que le dossier de presse sur lequel se sont rués vos médias habituels, donne des arguments à la thèse selon laquelle l’influence humaine sur le climat est faible.
Je trouve ça remarquable, figurez-vous.
La conclusion de son « résumé pour les décideurs » est
évidemment conforme à la doctrine constante du GIEC depuis sa création par les
Nations Unies en 1988 : L’humanité doit réduire ses émissions de CO2
pour éviter un réchauffement catastrophique du climat : « Le
réchauffement global de 1,5° C à 2° C sera dépassé au cours du 21ème
siècle sauf si de profondes réductions des émissions de CO2 ont lieu
dans les décennies à venir ».
Rien de nouveau quant à l’axiome fondateur.
Il est d’ailleurs conforme aux objectifs de la globalisation, mais c’est une autre histoire qui aboutit au fameux « great reset ».
Mais si on lit attentivement, on découvre entre les lignes que l’influence humaine est insignifiante.
Par exemples, les aérosols d’origine humaine feraient
baisser la température de l’atmosphère !
Le rapport indique que la température de l’atmosphère est accrue par l’accumulation de « gaz à effet de serre » émis par les océans et la végétation et par la combustion faite par l’humanité de combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz) mais en même temps est diminuée par les aérosols, particules en suspension dans l’air, dues notamment à la pollution humaine et à la combustion de certains combustibles fossiles.
Diantre !
La balance entre les deux effets, actuellement favorable au réchauffement, pourrait bientôt s’inverser.
Mieux, ce rapport, à plusieurs reprises, reconnaît des
incertitudes dans la science du climat.
Par exemple : « Les nuages restent les plus importants contributeurs à l’incertitude générale sur les rétroactions climatiques ».
Ou encore : « Détecter les changements d’humidité de l’atmosphère suivant la latitude est compliqué par des erreurs des modèles dans la localisation des principaux traits des modèles de précipitations ».
Autrement dit, il est impossible de prévoir la température des deux prochaines décennies : « Les tendances actuelles du climat continueront pendant les deux prochaines décennies mais leur grandeur exacte ne peut pas être prédite, à cause de la variabilité naturelle ».
On ne peut pas dire que la « science exacte » du climat aura progressé avec ce genre de constat…
En contradiction avec l’accord intergouvernemental qui
a créé le GIEC et qui limite ses compétences au seul réchauffement climatique «
dû à l’homme », le rapport s’intéresse donc à la variabilité naturelle du
climat…
Logique.
Car forcément c’est plus que raisonnable, puisque le climat de la terre a constamment varié, notamment lors des glaciations qui ont recouvert de glace le Nord de l’Europe, de l’Asie et de l’Amérique, ou lors de « l’optimum climatique médiéval », qui a réchauffé l’atmosphère de 1000 à 1300, ou du « petit âge glaciaire » qui l’a refroidie de 1600 à 1850.
Rappelons d’ailleurs que 1850 est l’année de référence de toutes les mesures postérieures des températures au sol.
Pas nécessairement un hasard…
Le rapport précise : « C’est seulement après quelques décennies de réduction des émissions de CO2 que nous verrons clairement que les températures commencent à se stabiliser ».
Personnellement, je demande à voir : Ce qui est fait est fait, la masse de CO2 dans l’atmosphère est acquise et on ne me dit pas encore par quel moyen elle va se résorber…
Autrement dit, si l’humanité atteignait la «
neutralité carbone », c’est-à-dire l’absence d’émissions de CO2 dues
aux combustibles fossiles, une partie du CO2 atmosphérique serait
alors absorbée par les océans et la végétation, à raison de 20 % par an, et le
taux de CO2 de l’atmosphère baisserait automatiquement (puisque c’est
« scientifique »).
Or, si l’on croit à la corrélation « presque proportionnelle » entre le taux de CO2 de l’atmosphère et sa température, corrélation qu’affirme le rapport, la baisse du taux de CO2 entrainerait la baisse des températures, et non leur stabilisation.
Donc, il y a comme une erreur de conception quelle que part…
Il y est également affirmé que : « Les
incertitudes sur les taux de CO2 en 2100 sont dominées par les
différences entre les scénarios d’émissions ».
Dit autrement, les hypothèses faites pour le calcul des modèles numériques de prévision du climat déterminent les résultats de ces calculs.
Ni plus ni moins et non pas l’inverse.
D’ailleurs, Steven Koonin, éminent scientifique « ricain » et conseiller de « Barque-Hau-Bas-Mât » pour le climat, nommé par ce dernier sous-secrétaire pour la science du ministère de l’énergie, aboutit à la même conclusion dans son livre sur la science du climat, intitulé « non confirmée » (« unsettled »), qu’il a publié en mai 2021.
Ce spécialiste des modèles numériques explique qu’il y a trop d’hypothèses à formuler pour les calculs de ces modèles, si bien que leurs résultats ne sont pas fiables.
En constatant que « les différences entre les scénarios d’émissions » déterminent les résultats des modèles, le rapport du GIEC confirme cette affirmation de Steven Koonin.
Par conséquent, si l’on veut rester logique (et « scientifique »)
la preuve de l’influence humaine sur le climat n’est pas fondée : « Le
fait que les simulations (des modèles) incluant seulement les processus
naturels montrent des hausses de température beaucoup plus petites indique que
les processus naturels ne peuvent pas seuls expliquer le fort réchauffement
observé ».
Traduction de la « novlangue » : Pour que les calculs des modèles donnent le réchauffement observé, l’influence humaine doit donc être nécessairement prise en compte.
Le GIEC fait ainsi des résultats des modèles la preuve principale de l’influence humaine sur le climat.
Mais puisque les résultats des modèles ne sont pas fiables, la preuve de l’influence humaine sur le climat ne l’est pas non plus : CQFD !
Pour Steven Koonin ajouter du CO2 à l’atmosphère n’a qu’un effet « minime » sur la température de l’atmosphère.
Or, le rapport du GIEC dit le contraire puisqu’il assure de la corrélation « presque proportionnelle » entre le taux de CO2 de l’atmosphère et sa température.
Allez donc comprendre…
Aucun scientifique ne conteste que le CO2
et la vapeur d’eau (H2O) absorbent presque tout le rayonnement
infrarouge de la surface de la terre, par excitation des molécules de CO2
et H2O, ni que quelques dizaines de mètres de l’atmosphère proches
de la surface contiennent assez de CO2 et de H2O pour
absorber (et réémettre) ce rayonnement et l’énergie qu’il transporte.
Alors, pourquoi le rapport du GIEC l’ignore-t-il ?
Mais parce qu’il ne veut pas entrer dans une description précise de « l’effet de serre ».
Il faut attendre la page 3.911 pour qu’il donne une description de « l’effet de serre » : « L’émission nette dans l’espace du rayonnement infrarouge de la terre est inférieure à ce qu’elle aurait été en l’absence des gaz à effet de serre qui l’absorbent » et : « Une augmentation de la concentration de gaz à effet de serre accroît l’importance de cet effet ».
Encore faudrait-il préciser ce qu’est un gaz à « effet de serre » qui bloquerait les émissions de chaleur vers l’espace.
En tout cas pas le CO2 qui est nettement plus dense que le reste de l’atmosphère…
On ne peut pas faire plus incomplet.
Pour être complet, le rapport devrait notamment reconnaître le rôle négligeable des émissions humaines de CO2. Mais ce serait contraire à sa mission.
À son essence, même !
3.949 pages pour une « base scientifique » aussi
incomplète, qui ne contient que trop peu d’étude de l’activité solaire (c’est
presque « lunaire » pour un muvais jeu de mots), et fournissant de
sérieux arguments à ceux qui, comme Steven Koonin, considèrent que l’influence
humaine sur le climat est « minime » !
La religion écologiste aura du souci à se faire le jour où ses adeptes commenceront à se rendre compte que leur Évangile est aussi gros qu’incohérent.
Mais chez les autistes, ce n’est pas demain la veille.
En attendant, on prend pour argent comptant le fait que l’augmentation générale des températures du globe va faire enfler les océans de… 14 à 114 mm par an !
C’est « scientifique » et pour le moins très précis puisqu’on compte en millimètres et non pas en mètres. 1,14 m, c’est moins terrifiant que 114 mm…
Deux effets : La dilatation et la fonte des
glaciers, de montagne mais surtout polaires.
Moâ, je veux bien, mais c’est oublier que l’eau de mer, ça s’évapore avant de se dilater. Même que ça fait de très beaux nuages : J’en ai une carte-flash complète !
Et de la buée sur les vitres de la cuisine.
Quant aux glaciers, ça remplit les nappes phréatiques et c’est bon pour les tomates.
Certes, aux pôles, la situation est un peu différente : Il n’y a pas de tomate (sauf dans les serres d’Islande). Et globalement, c’est lambda.
L’eau des océans représente 1.338.000.000 Km3, soit 96,5 % de toute l’eau de la planète. Les glaciers et la neige 24.364.000 Km3, soit 1,76 %…
Le rapport de l’un sur l’autre est donc de 1,82/100 et comme la surface de la Terre est restées collée à 510,1 millions de Km², dont 361.220.420 Km² de mers et océans, le rapport est simple.
C’est même mathématique : Vous faites fondre toutes les glaces et neiges de la planète, les océans verront leur niveau augmenter de seulement 6,74 cm…
Probablement moins puisqu’une bonne partie se transformera en nuées divagantes dans l’atmosphère !
Pas de quoi paniquer…
Ceci dit, ce qui me paraît plus important de signaler,
ce n’est pas que les neiges éternelles sur le massif du Cinto (Tchintu : « Corsica-Bella-Tchi-Tchi »)
étaient encore présentes à mon départ au moins sur la face Ouest.
D’ailleurs, à signaler aussi que je n’ai pas eu de température caniculaire alors qu’en Turquie, en Grèce, en « Ritalie » en « Hispanie » et au Maghreb, ils auront souffert à des degrés divers.
Pas plus que les incendies ravageurs, alors que dans le Var on vous aura expliqué que tous les « moyens » ont été mobilisés.
Certes, les principaux massifs de maquis Corsu ont été fermés plusieurs jours, et les Canadair, Tracker et vigies restés en permanence sur le « qui-vive ».
La raison reste probablement la prévention hivernale et les efforts de démaquisage.
Ce qui est important de mettre en avant, c’est que nous ne sommes pas tous égaux face au « réchauffement » climatique.
Les « bataves » ont même une longueur d’avance avec leurs polders.
En Europe, la montée des eaux ne se fera même pas sentir. Il faudra peut-être seulement s’équiper de ventilateurs à défaut d’air conditionné pour mieux supporter les « grandes chaleurs » estivales.
Mais d’après le rapport des prévisions de la CIA sur les dix prochaines années, les déserts vont devenir encore plus désertiques et les zones inondables encore plus souvent inondées.
Quant aux zones tropicales maritimes, elles connaîtront un rythme plus soutenu et plus violent de tempête extrêmes.
Ce qui veut dire que nous aurons à faire face à des
migrations « alimentaires » et « climatiques » sur
lesquelles personne ne pourra fermer les yeux.
Notez que c’était déjà le cas dans le millénaire précédent où on se souvient encore des « french-doctors », dont « Couche-nerf », débarquant avec des sacs de riz (ricain) sur les épaules jusque sur les plages du Mozambique !
Mais de tout ça, curieusement, personne n’en parle…
Et puis et puis, surtout, il faut bien se dire que le
fameux CO2 qu’on balance dans l’atmosphère, il vient bien de quelle
que part.
Réponse bête : Des forages et des mines de charbon.
D’accord, mais avant d’avoir été fossilisé, il était déjà dans l’atmosphère, figurez-vous !
Et ça aura drôlement facilité la vie des herbivores puisque la végétation était probablement luxuriante jusqu’aux terres septentrionales.
Groenland, après tout c’est une compression du danois (et du norvégien) qui veut bien dire « Pays-vert », non…
Bref, encore un rapport, un de plus, qui m’aura bien
fait rire.
Et comme je partage volontiers les moments de rigolade, je me devais de vous en faire un « petit-post » pour la rentrée.
Tout y est - et même son contraire - mais il fallait bien résumer, pour la presse et « les décideurs » qui s’en est fait les gorges chaudes alarmistes durant quelques jours.
Or, une lecture attentive de ce rapport, qui est moins « politique » et plus « scientifique » que le dossier de presse sur lequel se sont rués vos médias habituels, donne des arguments à la thèse selon laquelle l’influence humaine sur le climat est faible.
Je trouve ça remarquable, figurez-vous.
Rien de nouveau quant à l’axiome fondateur.
Il est d’ailleurs conforme aux objectifs de la globalisation, mais c’est une autre histoire qui aboutit au fameux « great reset ».
Mais si on lit attentivement, on découvre entre les lignes que l’influence humaine est insignifiante.
Le rapport indique que la température de l’atmosphère est accrue par l’accumulation de « gaz à effet de serre » émis par les océans et la végétation et par la combustion faite par l’humanité de combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz) mais en même temps est diminuée par les aérosols, particules en suspension dans l’air, dues notamment à la pollution humaine et à la combustion de certains combustibles fossiles.
Diantre !
La balance entre les deux effets, actuellement favorable au réchauffement, pourrait bientôt s’inverser.
Par exemple : « Les nuages restent les plus importants contributeurs à l’incertitude générale sur les rétroactions climatiques ».
Ou encore : « Détecter les changements d’humidité de l’atmosphère suivant la latitude est compliqué par des erreurs des modèles dans la localisation des principaux traits des modèles de précipitations ».
Autrement dit, il est impossible de prévoir la température des deux prochaines décennies : « Les tendances actuelles du climat continueront pendant les deux prochaines décennies mais leur grandeur exacte ne peut pas être prédite, à cause de la variabilité naturelle ».
On ne peut pas dire que la « science exacte » du climat aura progressé avec ce genre de constat…
Logique.
Car forcément c’est plus que raisonnable, puisque le climat de la terre a constamment varié, notamment lors des glaciations qui ont recouvert de glace le Nord de l’Europe, de l’Asie et de l’Amérique, ou lors de « l’optimum climatique médiéval », qui a réchauffé l’atmosphère de 1000 à 1300, ou du « petit âge glaciaire » qui l’a refroidie de 1600 à 1850.
Rappelons d’ailleurs que 1850 est l’année de référence de toutes les mesures postérieures des températures au sol.
Pas nécessairement un hasard…
Le rapport précise : « C’est seulement après quelques décennies de réduction des émissions de CO2 que nous verrons clairement que les températures commencent à se stabiliser ».
Personnellement, je demande à voir : Ce qui est fait est fait, la masse de CO2 dans l’atmosphère est acquise et on ne me dit pas encore par quel moyen elle va se résorber…
Or, si l’on croit à la corrélation « presque proportionnelle » entre le taux de CO2 de l’atmosphère et sa température, corrélation qu’affirme le rapport, la baisse du taux de CO2 entrainerait la baisse des températures, et non leur stabilisation.
Donc, il y a comme une erreur de conception quelle que part…
Dit autrement, les hypothèses faites pour le calcul des modèles numériques de prévision du climat déterminent les résultats de ces calculs.
Ni plus ni moins et non pas l’inverse.
D’ailleurs, Steven Koonin, éminent scientifique « ricain » et conseiller de « Barque-Hau-Bas-Mât » pour le climat, nommé par ce dernier sous-secrétaire pour la science du ministère de l’énergie, aboutit à la même conclusion dans son livre sur la science du climat, intitulé « non confirmée » (« unsettled »), qu’il a publié en mai 2021.
Ce spécialiste des modèles numériques explique qu’il y a trop d’hypothèses à formuler pour les calculs de ces modèles, si bien que leurs résultats ne sont pas fiables.
En constatant que « les différences entre les scénarios d’émissions » déterminent les résultats des modèles, le rapport du GIEC confirme cette affirmation de Steven Koonin.
Traduction de la « novlangue » : Pour que les calculs des modèles donnent le réchauffement observé, l’influence humaine doit donc être nécessairement prise en compte.
Le GIEC fait ainsi des résultats des modèles la preuve principale de l’influence humaine sur le climat.
Mais puisque les résultats des modèles ne sont pas fiables, la preuve de l’influence humaine sur le climat ne l’est pas non plus : CQFD !
Pour Steven Koonin ajouter du CO2 à l’atmosphère n’a qu’un effet « minime » sur la température de l’atmosphère.
Or, le rapport du GIEC dit le contraire puisqu’il assure de la corrélation « presque proportionnelle » entre le taux de CO2 de l’atmosphère et sa température.
Allez donc comprendre…
Alors, pourquoi le rapport du GIEC l’ignore-t-il ?
Mais parce qu’il ne veut pas entrer dans une description précise de « l’effet de serre ».
Il faut attendre la page 3.911 pour qu’il donne une description de « l’effet de serre » : « L’émission nette dans l’espace du rayonnement infrarouge de la terre est inférieure à ce qu’elle aurait été en l’absence des gaz à effet de serre qui l’absorbent » et : « Une augmentation de la concentration de gaz à effet de serre accroît l’importance de cet effet ».
Encore faudrait-il préciser ce qu’est un gaz à « effet de serre » qui bloquerait les émissions de chaleur vers l’espace.
En tout cas pas le CO2 qui est nettement plus dense que le reste de l’atmosphère…
On ne peut pas faire plus incomplet.
Pour être complet, le rapport devrait notamment reconnaître le rôle négligeable des émissions humaines de CO2. Mais ce serait contraire à sa mission.
À son essence, même !
La religion écologiste aura du souci à se faire le jour où ses adeptes commenceront à se rendre compte que leur Évangile est aussi gros qu’incohérent.
Mais chez les autistes, ce n’est pas demain la veille.
En attendant, on prend pour argent comptant le fait que l’augmentation générale des températures du globe va faire enfler les océans de… 14 à 114 mm par an !
C’est « scientifique » et pour le moins très précis puisqu’on compte en millimètres et non pas en mètres. 1,14 m, c’est moins terrifiant que 114 mm…
Moâ, je veux bien, mais c’est oublier que l’eau de mer, ça s’évapore avant de se dilater. Même que ça fait de très beaux nuages : J’en ai une carte-flash complète !
Et de la buée sur les vitres de la cuisine.
Quant aux glaciers, ça remplit les nappes phréatiques et c’est bon pour les tomates.
Certes, aux pôles, la situation est un peu différente : Il n’y a pas de tomate (sauf dans les serres d’Islande). Et globalement, c’est lambda.
L’eau des océans représente 1.338.000.000 Km3, soit 96,5 % de toute l’eau de la planète. Les glaciers et la neige 24.364.000 Km3, soit 1,76 %…
Le rapport de l’un sur l’autre est donc de 1,82/100 et comme la surface de la Terre est restées collée à 510,1 millions de Km², dont 361.220.420 Km² de mers et océans, le rapport est simple.
C’est même mathématique : Vous faites fondre toutes les glaces et neiges de la planète, les océans verront leur niveau augmenter de seulement 6,74 cm…
Probablement moins puisqu’une bonne partie se transformera en nuées divagantes dans l’atmosphère !
Pas de quoi paniquer…
D’ailleurs, à signaler aussi que je n’ai pas eu de température caniculaire alors qu’en Turquie, en Grèce, en « Ritalie » en « Hispanie » et au Maghreb, ils auront souffert à des degrés divers.
Pas plus que les incendies ravageurs, alors que dans le Var on vous aura expliqué que tous les « moyens » ont été mobilisés.
Certes, les principaux massifs de maquis Corsu ont été fermés plusieurs jours, et les Canadair, Tracker et vigies restés en permanence sur le « qui-vive ».
La raison reste probablement la prévention hivernale et les efforts de démaquisage.
Ce qui est important de mettre en avant, c’est que nous ne sommes pas tous égaux face au « réchauffement » climatique.
Les « bataves » ont même une longueur d’avance avec leurs polders.
En Europe, la montée des eaux ne se fera même pas sentir. Il faudra peut-être seulement s’équiper de ventilateurs à défaut d’air conditionné pour mieux supporter les « grandes chaleurs » estivales.
Mais d’après le rapport des prévisions de la CIA sur les dix prochaines années, les déserts vont devenir encore plus désertiques et les zones inondables encore plus souvent inondées.
Quant aux zones tropicales maritimes, elles connaîtront un rythme plus soutenu et plus violent de tempête extrêmes.
Notez que c’était déjà le cas dans le millénaire précédent où on se souvient encore des « french-doctors », dont « Couche-nerf », débarquant avec des sacs de riz (ricain) sur les épaules jusque sur les plages du Mozambique !
Mais de tout ça, curieusement, personne n’en parle…
Réponse bête : Des forages et des mines de charbon.
D’accord, mais avant d’avoir été fossilisé, il était déjà dans l’atmosphère, figurez-vous !
Et ça aura drôlement facilité la vie des herbivores puisque la végétation était probablement luxuriante jusqu’aux terres septentrionales.
Groenland, après tout c’est une compression du danois (et du norvégien) qui veut bien dire « Pays-vert », non…
Et comme je partage volontiers les moments de rigolade, je me devais de vous en faire un « petit-post » pour la rentrée.
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