En guise de conclusion
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction,
une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de
son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions,
des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et
autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement,
totalement et parfaitement fortuite !
Vous aurez noté, chères
lectrices, chers lecteurs, que ce volume fait l’impasse sur divers détails
historiques qu’il convient peut-être de rappeler pour remettre l’ensemble dans
son contexte.
La crise de la Covid
s’est poursuivie sur plusieurs mois, avec des hauts et beaucoup de bas.
Où on aura surtout vu des
« politiques » tirer chacun la couverture à soi dans une belle
désunion dès que les premiers vaccins ont été mis sur le marché.
Mais pas seulement.
On aura appris qu’ils
sont capables d’être cafouilleux au possible, se contredisant, racontant
n’importe quoi puis son inverse avec le même ton docte des
« sachants » imbus d’eux-mêmes.
Il faut dire que les
« spécialistes » dont ils se sont parfois entourés étaient
manifestement perdus face à un virus au comportement particulièrement
imprévisible.
Il déjouait tous les
pronostics au fil du temps.
Telles que les mesures de
confinement successives donnaient des résultats parfois en avance sur les
prévisions, parfois sont restées sans incidence : on pense encore à Noël
ou à Pâques.
En France, un coup le
port des masques est prohibé, un coup il devient obligatoire.
Les tests ne servent à
rien, puis il faut être symptomatique pour en faire. Mais attendre trois jours
pour que ça soit pertinent et huit jours pour avoir les résultats alors qu’on
est susceptibles d’être contaminant trois jours avant les premiers symptômes de
la maladie (qui n’est jamais qu’une forte pneumonie) et durant les quinze jours
suivants…
On piste et trace les
« cas contacts » qui ne développeront jamais la maladie.
Il faut faire manger les
vieux dans la cuisine, mais on peut les emmener au restaurant. Puis les
restaurants sont fermés d’autorité après avoir installé des terrasses partout
où c’était possible, sur les trottoirs et les chaussées.
Un coup il faut
s’enfermer chez soi en ouvrant les fenêtres, ne sortir qu’une heure par jour et
ne pas aller à plus d’un kilomètre de chez soi. Le jour suivant on peut sortir
autour de 20 kilomètres de chez soi, puis 10 mais pas au-delà de 30 km sauf
raison particulière dûment justifiée.
Enfin, comble du bon
sens, il faut se confiner « à l’extérieur » le plus fréquemment
possible !
On affirme que les gamins
ne sont pas contagieux et puis on finit par fermer des classes entières.
Les vieux meurent dans
leurs Ehpads, mais on ne peut même pas les enterrer à plus de 10 puis 20.
On en arrive même à
interdire les réunions de plus de 6 personnes en intérieur, puis finalement en
extérieur.
Pourquoi 6 et pas 7,
surtout si on ne compte pas les enfants, personne ne sait puisque ça ne repose
sur aucune donnée scientifique.
D’autant que dans un
wagon de métro ou de train, forcément, ces « mesures de
distanciation » ont du mal à être respectées : mais ce ne sont
surtout pas pour autant des « cluster » à contamination…
En revanche, les lieux de
culte sont fermés, puis « jaugés ». De même les magasins « essentiels »
sont tenus de compter les gens qui entrent et qui sortent et de respecter une
« jauge » au mètre carré, calculée d’abord sur le SHON, puis sur les
mètres carrés des allées, sans les présentoirs ni gondoles.
Quitte à ce que les
clients s’agglutinent devant la porte d’entrée sur le trottoir, parfois sous la
pluie, attendant chacun son tour ou devant les caisses de paiement…
On ferme les librairies
et les rayons de vêtements, mais pas les magasins d’informatique, jugés
« essentiels » pour finir par rouvrir les vendeurs de
« cultures », mais ni les théâtres, cinémas, salles de concert et de
sport…
Quant aux activités
« non essentielles », elles sont carrément arrêtées, même sur les
marchés ouverts, puis autorisées sauf dans les halles couvertes mais ouvertes à
tous vents.
Les centres commerciaux
sont fermés, puis tous les magasins qui dépassent 25.000 m² puis 10.000 puis
2.500 m², sauf à être « essentiel ».
Ce qui n’empêche pas les
activités du second œuvre du bâtiment, plombier, électricien, maçon, plâtrier,
serrurier, ascensoriste, garagiste d’être dispensées de
« télétravail » et de poursuivre leurs chantiers et travaux de
réparations…
D’ailleurs, le
« gros-œuvre » est d’abord suspendu, puis c’est tellement lourd qu’il
est jugé « essentiel » au second confinement et aux suivants !
Si on a le droit de se
promener avec son chien, les plages restent fermées, les remonte-pentes
également mais les stations de ski restent ouvertes… avec des restaurants
fermés et les héliports ouverts !
C’est un véritable boxon,
mais le pire, le pire, c’est que la plupart des gens obéissent naturellement à
ce genre de décisions liberticides !
Sauf qu’au fil du temps,
les « fêtes sauvages » les « restaurants clandestins »
ouvrent de plus en plus souvent.
Mais ça reste marginal.
Le premier confinement
aura été « terrible » pour les chiffres de l’économie, puisqu’on
ferme les usines et plus particulièrement pour le tourisme et les activités
« ludiques & culturelles » mis à l’arrêt. Mais si ça un impact
marqué sur l’accidentologie routière et les indices de pollution, ça n’en aura
que peu sur le plan social pour être compensé par le denier public, sauf
justement à faire exploser les déficits et endettement publics…
En revanche, sur le plan
mondial, clairement la planète commerciale et industrieuse marquera un coup
d’arrêt assez phénoménal.
La deuxième vague sera
moins marquante sur ces plans-là pour des confinements « plus
légers » et la troisième et ses « variants » mènera à la
consigne de se « confiner dehors » !
L’Absurdistan dans toutes
sa splendeur…
D’autant qu’on dispose
alors de plusieurs vaccins que tout le monde se dispute, s’arrache.
Les uns pour vacciner
d’office et massivement, d’autres pour ne rien imposer mais avec la menace d’un
« passeport vaccinal » qui ne porte pas ce nom, pour pouvoir se
déplacer librement, sortir, aller au spectacle, au restaurant, vivre, quoi.
Il n’empêche, l’enjeu
c’est de travailler en « distanciel » pour ne pas arrêter la machine
économique, retrouver une vie « normale » et clairement le premier
qui parvient à l’immunité collective et ne menace plus ses lits de réanimation
– le maillon faible – il pourra repartir « comme avant » !
Nonobstant des plans
massifs de relance avec de l’argent gratuit déversé par les banques centrales
vont, en attente d’autres usages « productifs », se réfugier sur les
marchés financiers qui enflent, enflent…
Une belle, grosse et bien
dodue bulle financière.
Autre
« abstention » de la part de la narratrice de cet « épisode des
enquêtes de Charlotte », c’est naturellement, début novembre 2020, le
président sortant américain qui perd le scrutin de sa réélection face au
candidat démocrate.
Mais ça, c’était prévu.
Ce qui aura surtout
frappé, c’est qu’il n’a jamais réussi à l’admettre loyalement.
Un égo trop
surdimensionné et ça aura porté un large préjudice à la démocratie
outre-Atlantique, notamment quand des « populistes » investissent par
la force le Capitole le jour où doivent être validés les résultats de ce
scrutin.
Ils auraient été armés,
personne ne sait ce qu’il aurait pu se passer, même si la Garde Nationale a
rapidement été déployée par le vice-président sortant.
Un très mauvais épisode.
De l’autre côté du
Pacifique, Kim Yo-Jong aura effectivement été écartée des instances dirigeantes
du parti au pouvoir par son frère à l’occasion du congrès du mois d’octobre
2020.
Mais elle se sera
rattrapée après la prise de fonction du président Bedaine saluée par une salve
de deux missiles à moyenne portée tirée depuis la Corée du Nord, provoquant
l’ire des voisins du Sud et du Japon.
Sa disparition puis son
retour sur la scène politique auront jeté les services de Corée du Sud dans une
grande perplexité.
Paul expliquera, plus
tard, qu’elle aura compris que « son plan » pour protéger son frère
s’est finalement retourné contre elle, mise en résidence surveillée mais que
c’est son frère qui aura utilisé un des cyborgs à son effigie pour donner le
change !
Naturellement, c’est une
autre histoire qui sera reprise plus tard.
Les USA, avec ce changement
de dirigeant politique seront revenus dans le concert des nations par la grande
porte, renouant avec une activité diplomatique qui aura pris du poids et du
punch, notamment à l’encontre du chef du Kremlin, qualifié de
« tueur sans âme » par le nouveau président américain.
Ce qui entrainera divers
rappels d’ambassadeurs et des tensions diverses.
Un épisode qui n’annonce
pas vraiment une détente des relations entre les deux pays.
Mais c’est encore une
autre histoire.
Pékin se le tient d’abord
pour dit, mais l’Iran retrouve une perspective alors que la péninsule arabique
se retrouve à la fois divisée et contrainte à composer sur la scène
internationale.
L’élection de Bedaine ne
fait pas que des heureux…
Et l’Europe se débat avec
ses contradictions internes où l’Union est tiraillée à hue et à dia face au
virus et une gestion critiquable d’une sortie de crise, prise en tenaille entre
les pays du Sud du continent qui veulent sauver leur saison touristique et les
pays « frugaux » qui freinent des quatre fers face à la montée des
dépenses publiques.
Qui ne sont qu’une goutte
d’eau par rapport à ce que prévoit de faire Washington.
Le grand écart est en
voie d’être définitivement constitué entre les deux rives de l’Atlantique…
Seule les britanniques
semblent tirer leur épingle du jeu des nations, s’ils ne plongeaient pas dans
des polémiques puériles, tout comme Israël quant à sa campagne massive de
vaccination qui reste une réussite.
Et le leader Turc qui
poursuivra son destin isolant de plus en plus son pays.
Mais c’est là aussi une
autre histoire…
Enfin, une
remarque : ce bouquin fait presque l’apologie de Bill Gates. C’était une
nécessité pour les projets de Paul de Bréveuil aux Chagos.
Tout comme Elan Musk,
mais dans un opus précédent.
Et il passe sur l’aspect
un peu moins « philanthropique » du même, notamment propriétaire
foncier de près de 100.000 hectares de terres agricoles aux USA et un peu moins
ailleurs….
Car il convient de
« nuancer » en rappelant que Bill Gates est devenu richissime avec
les logiciels. Le milliardaire, à travers sa fondation qui finance aussi la
recherche vaccinale, met à présent en œuvre la même méthode avec les vaccins.
Bill Gates est fils d’un
grand avocat d’affaires et petit-fils d’un richissime banquier.
Il ne fait pas de l’informatique,
il fait du business et se borde juridiquement.
De la même manière, il ne
se préoccupe pas de santé, il fait toujours du business et se borde
juridiquement.
Bill Gates a bâti sa
fortune non pas en inventant des merveilles en informatique mais en imposant le
système d’exploitation de son associé Paul Allen à tous les ordinateurs
personnels.
Il fait pareil avec les
vaccins. Comme un système d’exploitation sur un ordinateur, le vaccin doit
devenir obligatoire, c’est une des conclusions qui ressort de la fameuse
simulation « event 201 ». L’idéal aurait été une vraie « pandémie ».
Cette « pandémie » ayant eu du mal à se déclencher, il est alors assez facile
d’apeurer l’humanité en lui faisant croire qu’elle est en danger de mort grâce
aux relais des médias.
En fait, tous les appuis
médiatiques, politiques, institutionnels sont sollicités en retour des
subventions qu’ils perçoivent.
Son troisième
« truc » c’est de monétiser la propriété intellectuelle.
Les logiciels
informatiques étaient très facilement duplicables lorsque Bill Gates s’est
associé à Paul Allen. Avec l’appui de son père avocat, il n’a eu de cesse
d’aligner les logiciels sur le droit à la propriété intellectuelle. Il a fait
pénaliser la copie de logiciels, ce qui n’est pas un mal en soi puisqu’un
programme informatique représente des investissements réels qu’il faut bien
financer.
Et Bill Gates aura
compris que le même « business model » pouvait fonctionner avec les vaccins.
Il s’est préoccupé de
faire breveter les médicaments.
À présent on attribue des
brevets aux virus !
Breveter les maladies, il
fallait y penser… Une fois cette privatisation du bien public accomplie, il est
facile de dupliquer une potion qui ne coûte plus rien à fabriquer en masse.
Enfin le dernier
« truc » imparable : imposer des mises à jour !
Le système d’exploitation
Windows n’a cessé d’évoluer, rendant très vite obsolètes des versions d’à peine
quelques années.
Même si l’ordinateur
fonctionnait toujours très bien, toute une série de contraintes étaient mises
en œuvre pour forcer les mises à jour, certes parfois « gratuites », mais pas
toutes.
Ainsi naquit Windows
Update qui assure une rente perpétuelle à plusieurs milliards à son concepteur.
Et c’est exactement ce
qui se passe avec les vaccins contre la Covid-19.
Par conséquent, sur le
même modèle, on a donc inventé la vaccination perpétuelle. À peine avez-vous
reçu la première injection, qu’on vous annonce qu’il en faut en fait deux, puis
une troisième. À l’issue de cette deuxième injection, on vous annonce qu’on
vous a vaccinés pour rien puisqu’un nouveau variant est apparu qui requiert un
nouveau vaccin.
Et que toute façon il
faudra y revenir tous les ans.
Loin d’être imbécile,
« big-pharma », sur le « modèle Gates » a également compris
que les meilleurs débiteurs ce sont les États.
Avec les vaccins,
quelques grands laboratoires et l’OMS traitent directement avec les
institutions supranationales, Bruxelles par exemple, et ce sont les États qui
paient.
Trop fort !
I3, Calvi,
avril 2021
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