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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 2 septembre 2021

32 – Postface

En guise de conclusion
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Vous aurez noté, chères lectrices, chers lecteurs, que ce volume fait l’impasse sur divers détails historiques qu’il convient peut-être de rappeler pour remettre l’ensemble dans son contexte.
 
La crise de la Covid s’est poursuivie sur plusieurs mois, avec des hauts et beaucoup de bas.
Où on aura surtout vu des « politiques » tirer chacun la couverture à soi dans une belle désunion dès que les premiers vaccins ont été mis sur le marché.
Mais pas seulement.
On aura appris qu’ils sont capables d’être cafouilleux au possible, se contredisant, racontant n’importe quoi puis son inverse avec le même ton docte des « sachants » imbus d’eux-mêmes.
Il faut dire que les « spécialistes » dont ils se sont parfois entourés étaient manifestement perdus face à un virus au comportement particulièrement imprévisible.
Il déjouait tous les pronostics au fil du temps.
Telles que les mesures de confinement successives donnaient des résultats parfois en avance sur les prévisions, parfois sont restées sans incidence : on pense encore à Noël ou à Pâques.
 
En France, un coup le port des masques est prohibé, un coup il devient obligatoire.
Les tests ne servent à rien, puis il faut être symptomatique pour en faire. Mais attendre trois jours pour que ça soit pertinent et huit jours pour avoir les résultats alors qu’on est susceptibles d’être contaminant trois jours avant les premiers symptômes de la maladie (qui n’est jamais qu’une forte pneumonie) et durant les quinze jours suivants…
On piste et trace les « cas contacts » qui ne développeront jamais la maladie.
Il faut faire manger les vieux dans la cuisine, mais on peut les emmener au restaurant. Puis les restaurants sont fermés d’autorité après avoir installé des terrasses partout où c’était possible, sur les trottoirs et les chaussées.
Un coup il faut s’enfermer chez soi en ouvrant les fenêtres, ne sortir qu’une heure par jour et ne pas aller à plus d’un kilomètre de chez soi. Le jour suivant on peut sortir autour de 20 kilomètres de chez soi, puis 10 mais pas au-delà de 30 km sauf raison particulière dûment justifiée.
Enfin, comble du bon sens, il faut se confiner « à l’extérieur » le plus fréquemment possible !
 
On affirme que les gamins ne sont pas contagieux et puis on finit par fermer des classes entières.
Les vieux meurent dans leurs Ehpads, mais on ne peut même pas les enterrer à plus de 10 puis 20.
On en arrive même à interdire les réunions de plus de 6 personnes en intérieur, puis finalement en extérieur.
Pourquoi 6 et pas 7, surtout si on ne compte pas les enfants, personne ne sait puisque ça ne repose sur aucune donnée scientifique.
D’autant que dans un wagon de métro ou de train, forcément, ces « mesures de distanciation » ont du mal à être respectées : mais ce ne sont surtout pas pour autant des « cluster » à contamination…
En revanche, les lieux de culte sont fermés, puis « jaugés ». De même les magasins « essentiels » sont tenus de compter les gens qui entrent et qui sortent et de respecter une « jauge » au mètre carré, calculée d’abord sur le SHON, puis sur les mètres carrés des allées, sans les présentoirs ni gondoles.
Quitte à ce que les clients s’agglutinent devant la porte d’entrée sur le trottoir, parfois sous la pluie, attendant chacun son tour ou devant les caisses de paiement…
 
On ferme les librairies et les rayons de vêtements, mais pas les magasins d’informatique, jugés « essentiels » pour finir par rouvrir les vendeurs de « cultures », mais ni les théâtres, cinémas, salles de concert et de sport…
Quant aux activités « non essentielles », elles sont carrément arrêtées, même sur les marchés ouverts, puis autorisées sauf dans les halles couvertes mais ouvertes à tous vents.
Les centres commerciaux sont fermés, puis tous les magasins qui dépassent 25.000 m² puis 10.000 puis 2.500 m², sauf à être « essentiel ».
Ce qui n’empêche pas les activités du second œuvre du bâtiment, plombier, électricien, maçon, plâtrier, serrurier, ascensoriste, garagiste d’être dispensées de « télétravail » et de poursuivre leurs chantiers et travaux de réparations…
D’ailleurs, le « gros-œuvre » est d’abord suspendu, puis c’est tellement lourd qu’il est jugé « essentiel » au second confinement et aux suivants !
Si on a le droit de se promener avec son chien, les plages restent fermées, les remonte-pentes également mais les stations de ski restent ouvertes… avec des restaurants fermés et les héliports ouverts !
 
C’est un véritable boxon, mais le pire, le pire, c’est que la plupart des gens obéissent naturellement à ce genre de décisions liberticides !
Sauf qu’au fil du temps, les « fêtes sauvages » les « restaurants clandestins » ouvrent de plus en plus souvent.
Mais ça reste marginal.
Le premier confinement aura été « terrible » pour les chiffres de l’économie, puisqu’on ferme les usines et plus particulièrement pour le tourisme et les activités « ludiques & culturelles » mis à l’arrêt. Mais si ça un impact marqué sur l’accidentologie routière et les indices de pollution, ça n’en aura que peu sur le plan social pour être compensé par le denier public, sauf justement à faire exploser les déficits et endettement publics…
En revanche, sur le plan mondial, clairement la planète commerciale et industrieuse marquera un coup d’arrêt assez phénoménal.
La deuxième vague sera moins marquante sur ces plans-là pour des confinements « plus légers » et la troisième et ses « variants » mènera à la consigne de se « confiner dehors » !
L’Absurdistan dans toutes sa splendeur…
D’autant qu’on dispose alors de plusieurs vaccins que tout le monde se dispute, s’arrache.
Les uns pour vacciner d’office et massivement, d’autres pour ne rien imposer mais avec la menace d’un « passeport vaccinal » qui ne porte pas ce nom, pour pouvoir se déplacer librement, sortir, aller au spectacle, au restaurant, vivre, quoi.
Il n’empêche, l’enjeu c’est de travailler en « distanciel » pour ne pas arrêter la machine économique, retrouver une vie « normale » et clairement le premier qui parvient à l’immunité collective et ne menace plus ses lits de réanimation – le maillon faible – il pourra repartir « comme avant » !
Nonobstant des plans massifs de relance avec de l’argent gratuit déversé par les banques centrales vont, en attente d’autres usages « productifs », se réfugier sur les marchés financiers qui enflent, enflent…
Une belle, grosse et bien dodue bulle financière.
 
Autre « abstention » de la part de la narratrice de cet « épisode des enquêtes de Charlotte », c’est naturellement, début novembre 2020, le président sortant américain qui perd le scrutin de sa réélection face au candidat démocrate.
Mais ça, c’était prévu.
Ce qui aura surtout frappé, c’est qu’il n’a jamais réussi à l’admettre loyalement.
Un égo trop surdimensionné et ça aura porté un large préjudice à la démocratie outre-Atlantique, notamment quand des « populistes » investissent par la force le Capitole le jour où doivent être validés les résultats de ce scrutin.
Ils auraient été armés, personne ne sait ce qu’il aurait pu se passer, même si la Garde Nationale a rapidement été déployée par le vice-président sortant.
Un très mauvais épisode.
 
De l’autre côté du Pacifique, Kim Yo-Jong aura effectivement été écartée des instances dirigeantes du parti au pouvoir par son frère à l’occasion du congrès du mois d’octobre 2020.
Mais elle se sera rattrapée après la prise de fonction du président Bedaine saluée par une salve de deux missiles à moyenne portée tirée depuis la Corée du Nord, provoquant l’ire des voisins du Sud et du Japon.
Sa disparition puis son retour sur la scène politique auront jeté les services de Corée du Sud dans une grande perplexité.
Paul expliquera, plus tard, qu’elle aura compris que « son plan » pour protéger son frère s’est finalement retourné contre elle, mise en résidence surveillée mais que c’est son frère qui aura utilisé un des cyborgs à son effigie pour donner le change !
Naturellement, c’est une autre histoire qui sera reprise plus tard.
 
Les USA, avec ce changement de dirigeant politique seront revenus dans le concert des nations par la grande porte, renouant avec une activité diplomatique qui aura pris du poids et du punch, notamment à l’encontre du chef du Kremlin, qualifié de « tueur sans âme » par le nouveau président américain.
Ce qui entrainera divers rappels d’ambassadeurs et des tensions diverses.
Un épisode qui n’annonce pas vraiment une détente des relations entre les deux pays.
Mais c’est encore une autre histoire.
Pékin se le tient d’abord pour dit, mais l’Iran retrouve une perspective alors que la péninsule arabique se retrouve à la fois divisée et contrainte à composer sur la scène internationale.
L’élection de Bedaine ne fait pas que des heureux…
Et l’Europe se débat avec ses contradictions internes où l’Union est tiraillée à hue et à dia face au virus et une gestion critiquable d’une sortie de crise, prise en tenaille entre les pays du Sud du continent qui veulent sauver leur saison touristique et les pays « frugaux » qui freinent des quatre fers face à la montée des dépenses publiques.
Qui ne sont qu’une goutte d’eau par rapport à ce que prévoit de faire Washington.
Le grand écart est en voie d’être définitivement constitué entre les deux rives de l’Atlantique…
Seule les britanniques semblent tirer leur épingle du jeu des nations, s’ils ne plongeaient pas dans des polémiques puériles, tout comme Israël quant à sa campagne massive de vaccination qui reste une réussite.
Et le leader Turc qui poursuivra son destin isolant de plus en plus son pays.
Mais c’est là aussi une autre histoire…
 
Enfin, une remarque : ce bouquin fait presque l’apologie de Bill Gates. C’était une nécessité pour les projets de Paul de Bréveuil aux Chagos.
Tout comme Elan Musk, mais dans un opus précédent.
Et il passe sur l’aspect un peu moins « philanthropique » du même, notamment propriétaire foncier de près de 100.000 hectares de terres agricoles aux USA et un peu moins ailleurs….
Car il convient de « nuancer » en rappelant que Bill Gates est devenu richissime avec les logiciels. Le milliardaire, à travers sa fondation qui finance aussi la recherche vaccinale, met à présent en œuvre la même méthode avec les vaccins.
Bill Gates est fils d’un grand avocat d’affaires et petit-fils d’un richissime banquier.
Il ne fait pas de l’informatique, il fait du business et se borde juridiquement.
De la même manière, il ne se préoccupe pas de santé, il fait toujours du business et se borde juridiquement.
 
Bill Gates a bâti sa fortune non pas en inventant des merveilles en informatique mais en imposant le système d’exploitation de son associé Paul Allen à tous les ordinateurs personnels.
Il fait pareil avec les vaccins. Comme un système d’exploitation sur un ordinateur, le vaccin doit devenir obligatoire, c’est une des conclusions qui ressort de la fameuse simulation « event 201 ». L’idéal aurait été une vraie « pandémie ». Cette « pandémie » ayant eu du mal à se déclencher, il est alors assez facile d’apeurer l’humanité en lui faisant croire qu’elle est en danger de mort grâce aux relais des médias.
En fait, tous les appuis médiatiques, politiques, institutionnels sont sollicités en retour des subventions qu’ils perçoivent.
Son troisième « truc » c’est de monétiser la propriété intellectuelle.
Les logiciels informatiques étaient très facilement duplicables lorsque Bill Gates s’est associé à Paul Allen. Avec l’appui de son père avocat, il n’a eu de cesse d’aligner les logiciels sur le droit à la propriété intellectuelle. Il a fait pénaliser la copie de logiciels, ce qui n’est pas un mal en soi puisqu’un programme informatique représente des investissements réels qu’il faut bien financer.
Et Bill Gates aura compris que le même « business model » pouvait fonctionner avec les vaccins.
Il s’est préoccupé de faire breveter les médicaments.
À présent on attribue des brevets aux virus !
Breveter les maladies, il fallait y penser… Une fois cette privatisation du bien public accomplie, il est facile de dupliquer une potion qui ne coûte plus rien à fabriquer en masse.
 
Enfin le dernier « truc » imparable : imposer des mises à jour !
Le système d’exploitation Windows n’a cessé d’évoluer, rendant très vite obsolètes des versions d’à peine quelques années.
Même si l’ordinateur fonctionnait toujours très bien, toute une série de contraintes étaient mises en œuvre pour forcer les mises à jour, certes parfois « gratuites », mais pas toutes.
Ainsi naquit Windows Update qui assure une rente perpétuelle à plusieurs milliards à son concepteur.
Et c’est exactement ce qui se passe avec les vaccins contre la Covid-19.
 
Par conséquent, sur le même modèle, on a donc inventé la vaccination perpétuelle. À peine avez-vous reçu la première injection, qu’on vous annonce qu’il en faut en fait deux, puis une troisième. À l’issue de cette deuxième injection, on vous annonce qu’on vous a vaccinés pour rien puisqu’un nouveau variant est apparu qui requiert un nouveau vaccin.
Et que toute façon il faudra y revenir tous les ans.
Loin d’être imbécile, « big-pharma », sur le « modèle Gates » a également compris que les meilleurs débiteurs ce sont les États.
Avec les vaccins, quelques grands laboratoires et l’OMS traitent directement avec les institutions supranationales, Bruxelles par exemple, et ce sont les États qui paient.
Trop fort !
 
I3, Calvi, avril 2021

 



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