Et qu’heureusement des « trouveurs » savent…
1 - Par
exemple que les testicules et le cerveau ont plus en commun qu’on ne le croit !
Personnellement, j’ai toujours su que l’un commandait l’autre par l’intermédiaire
du « nerf-honteux » qui ne passe surtout pas par la moëlle épinière.
En fait, pour les « sachants » et quelques sectes religieuses, l’intellect et la reproduction, sont deux fonctions biologiques que l’on ne veut pas forcément à accoupler mais plutôt opposer.
Et pourtant, une étude fait la liste des éléments qui rapprochent ces deux organes. Et elle est plus longue qu’on ne le croit, sans pour autant devenir grivois !
Car on ne sait toujours pas qui de l’un ou de l’autre domine l’un ou l’autre dans notre quotidien…
Chez vous peut-être, mais chez moâ, je doute encore après tant d’années d’expérimentation.
Car de prime abord, les testicules et le cerveau n’ont rien en commun sauf
le bonhomme qui les porte et les nourrit.
Les premiers participent à une fonction vue comme triviale - la reproduction - alors que le second est aussi complexe dans sa structure que dans les fonctions biologiques qu’il assure.
Mais heureusement des « trouveurs » portugais, en collaboration avec une équipe britannique, sont allés au-delà de ces apparences : Dans une publication parue dans Open Biology, ils révèlent un nombre surprenant de similarités entre les testicules et le cerveau humain.
Leur premier point de comparaison est tissulaire !
Les cellules du cerveau peuvent être séparées en deux groupes : Les neurones et les cellules gliales, qui elles-mêmes comprennent quatre types cellulaires qui soutiennent l’activité des neurones.
Les scientifiques ont fait une analogie similaire pour les cellules des testicules : Les tubes séminifères sont l’unité fonctionnelle des testicules, celles qui produisent les spermatozoïdes, tout comme les neurones sont responsables du traitement de l’information dans le cerveau.
Ces tubes séminifères sont composés des cellules germinales, où les gamètes naissent, et des cellules de Sertoli, qui forment les tubes.
Et les scientifiques ont également noté des similitudes entre neurones et spermatozoïdes.
Autrement dit, penser comme une kouille, ce n’est pas que de la littérature !
D’autant que ces deux organes sont aussi très énergivores.
Ils puisent tous les deux leur énergie dans le lactate, un métabolite produit par les astrocytes dans le cerveau, et les cellules de Sertoli dans les testicules.
Cette énergie est essentiellement destinée à la cognition et la spermatogenèse.
Le cerveau et les testicules sont aussi isolés du reste du corps, c’est respectivement le privilège immun, l’un par la barrière hémato-encéphalique et l’autre par la barrière hémato-testiculaire.
En simplifiant leur structure, les similitudes entre testicules et cerveau commencent donc à apparaître.
Autrement dit, si vous disposez d’un casque, faut-il protéger d’abord le cerveau ou avant tout les « bijoux de famille » ?
Une grande question métaphysique…
Les scientifiques ont cherché encore plus loin, en s’intéressant au
protéome des deux organes, c’est-à-dire l’ensemble des protéines qu’ils
expriment à un moment donné.
Et, Ô surprise, selon les informations recueillies par ces scientifiques-là, les testicules et le cerveau partagent 13.442 protéines différentes, c’est plus que n’importe quels autres organes étudiés (31 au total).
Elles sont impliquées dans le fonctionnement et le développement des deux organes.
En effet, les testicules font partie du système neuroendocrinien.
Ils communiquent donc étroitement avec le cerveau, notamment par l’intermédiaire d’hormones, comme l’hormone bien connue de libération des gonadotrophines hypophysaires (GnRH) fabriquée par l’hypothalamus dans le cerveau.
Et la bite communique avec le cerveau part le « nerf-honteux », j’en suis certain, vous rappelle-je…
Toutes ces similitudes entre ces deux organes opposés ont bien sûr un
intérêt médical important : Ils permettraient aux scientifiques d’améliorer
la compréhension des dysfonctionnements qui touchent à la fois testicules et
cerveau : « Une association a été observée entre le processus
dégénératif du système nerveux central et la dégénérescence testiculaire, sans
coexistence de lésions hypophysaires », écrivent ainsi les auteurs de l’article.
Je ne sais pas si je dois en être ravi ou non…
2 - Parmi
les autres questions du moment qui pourraient être résolues (et qui n’a rien à
voir avec les « recherches » précédente, sauf à la marge), celle de
la gueule de bois : Est-elle la même quand on mélange bière et vin ?
Bé oui, voilà qui est important : Bière avant le vin ? Ou bien vin
avant la bière ?
Si vous abusez, de toute façon, vous finirez avec « mal aux cheveux », clairement.
Il vaut mieux le savoir avant toute expérimentation hasardeuse.
Heureusement, d’autres « trouveurs » ont en effet montré, dans
une étude publiée dans The American Journal of Clinical Nutrition il y a
quelques mois, que peu importe l’ordre dans lequel vous preniez vos boissons
alcoolisées, et peu importe le mélange d’alcools que vous faites, votre état du
lendemain ne serait pas forcément bien différent.
Ouf, je respire : J’avais comme un doute.
Pour parvenir à ce résultat stupéfiant, des « trouveurs » Britishs
et Teutons ont donc demandé à 90 volontaires de s’imbiber d’alcool, avec de la
bière et du vin plus précisément.
« On dit souvent qu’en buvant la bière avant le vin, on a moins de mal le matin. On s’est juste demandé s’il y avait de la vérité là-dedans et si nous pouvions le tester », explique dans un communiqué de l’Université de Cambridge (Angleterre).
Les volontaires, âgés de 19 à 40 ans, ont été répartis en trois groupes, à
qui un repas a d’abord été distribué.
Le premier groupe a ensuite bu deux pintes et demi de bière (attention à l’envie de pisser juste après…) puis quatre grands verres de vin blanc.
Le second a fait la même chose, mais dans le sens inverse.
Les participants du troisième groupe ont, quant à eux, bu uniquement de la bière ou uniquement du vin, mais en quantité suffisante pour que leur taux d’alcoolémie soit le même que celui des buveurs des deux autres groupes…
Je n’y étais pas et c’est bien dommage : J’aurai commencé par la bière, serai aller « vidanger » et j’aurai terminé avec le pinard… Mais celui du « cousin Dumè », si c’était du blanc.
De ceux qu’il ne faut pas secouer trop fort quand ils sont distillés, car ça rend obsolètes les cartes d’état-major…
Comme il faut être aussi un peu sérieux, les scientifiques leur ont
ensuite posé toute une série de questions, sur leur état et leur ressenti de
leur alcoolisation, notamment.
Les volontaires ont ensuite tous eu le droit à un verre d’eau avant d’aller se coucher.
Ni thé, ni tisane, ni café, ni « pousse-café »…
Et après avoir passé la nuit sous surveillance médicale, ils ont rempli une « échelle de la gueule de bois » comprenant plusieurs items : La soif, la fatigue, les maux de tête, les nausées, les maux d’estomac, la tachycardie ou encore la perte de l’appétit…
L’envie d’un grand jus d’orange fraîchement pressé, je ne sais pas…
La semaine suivante, les rôles entre groupes ont été inversés.
Et après que 10 % des volontaires aient fini par vomir et que la liste des symptômes de la gueule de bois se soit massivement allongée, les « trouveurs » peuvent désormais le dire : Le dicton est faux !
Eux en disent que « peu importe l’ordre dans lequel vous buvez vos alcools, vous serez dans le même état le lendemain », avant d’admettre que leur étude n’a pas fait participer de vin rouge ou de bière ambrée, ce qui n’aurait sans doute pas changé grand-chose au résultat.
Ô erreur : Que si, à mon sens !
Puisque le vin blanc est en général bourré de sulfite qui justement vous perturbe le foie : Je sais, moâ !
Et d’en conclure assez bêtement, mais qui ne reste pas totalement faux,
c’est que la seule chose qui soit vraie c’est que boire trop de boissons
alcoolisées va vous donner la gueule de bois !
Punaise de gourgandine : Autant d’études supérieures postbac pour en arriver là, chapeau !
La seule façon de savoir comment vous serez le lendemain est de voir à quel point vous vous sentez saoul.
Il faut faire attention à toutes ces alertes.
Personnellement, je « rince » à l’eau claire.
Et puis j’évite de conduire pour rentrer…
De toute façon, mieux vaut boire avec modération.
D’autant que « post-bourré » vous pourriez avoir du mal à vous réveiller.
Je suis bien parti une fois, aux aurores, avec des chaussures pas à moâ aux pieds, le lendemain d’une biture mémorable !
Et c’est dommage de devoir métaboliser trop d’alcool d’un coup : On ne prend pas le temps d’apprécier.
Bon, ils ne nous disent pas si on bande mieux ou non après une biture,
puisque le cerveau est relié aux testicules bien plus qu’on ne le pensait (cf. §
1, ci-avant).
À mon sens, c’est l’envie qui peut manquer, puisque le « cerveau imbibé » vous rend malade pour cause de saturation du foie qui ne métabolise plus avec la même efficacité, débordé qu’il est.
De là à trouver une relation entre foie et testicules… ils n’ont manifestement pas eu assez de budgets pour en étudier les relations…
3 - Parce
qu’aussi une autre équipe de « trouveurs » a découvert que les personnes qui se lèvent tôt le
matin auraient une meilleure santé mentale : Je sais, j’en suis !
Bé oui : Le sommeil joue un rôle important en ce qui concerne votre
santé, et il est important de bien dormir pour la préserver.
Même qu’il m’arrive encore d’avoir les testicules en hyperactivité matinale, que je dorme bien ou non, qui provoquent une érection enviable…
Mais c’est personnel, naturellement.
Cette fois-ci il s’agit de « trouveurs » de l’Université du
Colorado, du Broad Institute du MIT, et de l’université d’Harvard qui suggèrent
que décaler son réveil d’une heure le matin pourrait être encore plus bénéfique
que ce que l’on pense.
Ça dépend aussi à quelle heure tu as réussi à te coucher, ou de ce que tu as bu au préalable, mais je ne leur ai pas encore dit !
Ces scientifiques ont publié leur très sérieuse étude le 26 mai dernier
dans la revue médicale Jama Psychiatry. Ils y détaillent leurs recherches
basées sur l’étude de 840.000 adultes !
Pour se faire, ils ont croisé les paramètres des participants concernant le sommeil mais aussi sur la possibilité de développer au cours de sa vie des troubles dépressifs…
Et ils ont découvert que le coucher moyen se situe aux alentours de 23 heures et que pour le lever, c’est plutôt autour de 6 heures du matin.
Et si vous êtes du genre « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt » sachez que cela est inscrit dans vos gènes.
Et ce sont ces même gènes-là qui vous protègent face à la dépression, figurez-vous !
Alors évidemment, il n’est pas conseillé de dormir moins longtemps mais
plutôt de décaler son heure de coucher. Si vous êtes habitué à vous endormir
vers une heure du matin, tentez l’extinction des feux vers minuit : Cela
réduirait de près de 23 % (c’est précis…) les risques de déclencher une
dépression.
Encore mieux, si vous vous couchez à 23 heures, cela passe à 40 % !
Et à 22 heures ?
Est-ce « jamais » ?
Cette étude vient corréler les dires du docteur Vetter qui démontrait déjà
en 2018 que les personnes plus matinales avaient jusqu’à 27 % de moins de
risque de voir un trouble dépressif se déclencher dans les quatre ans qui
suivaient l’étude.
La cinquième année, tout le monde s’en contre-cogne le coquillard et les roubignoles… qui sont pourtant reliées au cerveau… (cf. § 1 ci-avant).
Les « trouveurs » ont expliqué dans l’étude qu’il était
nécessaire de réaliser certaines choses pour améliorer la qualité du sommeil :
- Avoir des journées lumineuses et des nuits dans l’obscurité (je ne te vous dis en Islande…)
- Prendre son café dehors sur son balcon ou sa terrasse (même en Islande…)
- Se rendre à son travail en marchant ou en faisant du vélo (tant pis pour les « mobilités collectives »). Mais ils ne disent pas si le bicycle doit être ou non « électrique ».
- Éteindre ses appareils électroniques le soir avant d’aller dormir (pas de montre électronique sur la table de nuit, n’est-ce pas !).
En revanche, ces « trouveurs-là » ne nous disent pas combien de
mouton il faut compter pour s’endormir rapidement.
Franchement, ils devraient peut-être essayer le litron de vin rouge : Je l’ai fait à Berlin quand je suis allé « casser le mur » en décembre 1989.
Ma chambre d’hôtel pourtant payée à l’avance avait déjà été revendue plusieurs fois avant que je n’arrive sur place, alors j’ai pioncé dans un parking, « à la fraîche ».
Bé avec un demi-litre de vin « rital », j’ai dormi comme un bébé dans mon « tas-de-boue-à-roulette ».
Pourtant, ça pétait de froid que le champagne, qui avait fait le voyage, avait tendance à former des paillettes de glaçon devant la porte de Brandebourg, le lendemain matin…
Puisque vous êtes plus savant maintenant, je vous souhaite une…
Bonne journée à toutes et tous !
I3
En fait, pour les « sachants » et quelques sectes religieuses, l’intellect et la reproduction, sont deux fonctions biologiques que l’on ne veut pas forcément à accoupler mais plutôt opposer.
Et pourtant, une étude fait la liste des éléments qui rapprochent ces deux organes. Et elle est plus longue qu’on ne le croit, sans pour autant devenir grivois !
Car on ne sait toujours pas qui de l’un ou de l’autre domine l’un ou l’autre dans notre quotidien…
Chez vous peut-être, mais chez moâ, je doute encore après tant d’années d’expérimentation.
Les premiers participent à une fonction vue comme triviale - la reproduction - alors que le second est aussi complexe dans sa structure que dans les fonctions biologiques qu’il assure.
Mais heureusement des « trouveurs » portugais, en collaboration avec une équipe britannique, sont allés au-delà de ces apparences : Dans une publication parue dans Open Biology, ils révèlent un nombre surprenant de similarités entre les testicules et le cerveau humain.
Les cellules du cerveau peuvent être séparées en deux groupes : Les neurones et les cellules gliales, qui elles-mêmes comprennent quatre types cellulaires qui soutiennent l’activité des neurones.
Les scientifiques ont fait une analogie similaire pour les cellules des testicules : Les tubes séminifères sont l’unité fonctionnelle des testicules, celles qui produisent les spermatozoïdes, tout comme les neurones sont responsables du traitement de l’information dans le cerveau.
Ces tubes séminifères sont composés des cellules germinales, où les gamètes naissent, et des cellules de Sertoli, qui forment les tubes.
Et les scientifiques ont également noté des similitudes entre neurones et spermatozoïdes.
Autrement dit, penser comme une kouille, ce n’est pas que de la littérature !
Ils puisent tous les deux leur énergie dans le lactate, un métabolite produit par les astrocytes dans le cerveau, et les cellules de Sertoli dans les testicules.
Cette énergie est essentiellement destinée à la cognition et la spermatogenèse.
Le cerveau et les testicules sont aussi isolés du reste du corps, c’est respectivement le privilège immun, l’un par la barrière hémato-encéphalique et l’autre par la barrière hémato-testiculaire.
En simplifiant leur structure, les similitudes entre testicules et cerveau commencent donc à apparaître.
Autrement dit, si vous disposez d’un casque, faut-il protéger d’abord le cerveau ou avant tout les « bijoux de famille » ?
Une grande question métaphysique…
Et, Ô surprise, selon les informations recueillies par ces scientifiques-là, les testicules et le cerveau partagent 13.442 protéines différentes, c’est plus que n’importe quels autres organes étudiés (31 au total).
Elles sont impliquées dans le fonctionnement et le développement des deux organes.
En effet, les testicules font partie du système neuroendocrinien.
Ils communiquent donc étroitement avec le cerveau, notamment par l’intermédiaire d’hormones, comme l’hormone bien connue de libération des gonadotrophines hypophysaires (GnRH) fabriquée par l’hypothalamus dans le cerveau.
Et la bite communique avec le cerveau part le « nerf-honteux », j’en suis certain, vous rappelle-je…
Je ne sais pas si je dois en être ravi ou non…
Si vous abusez, de toute façon, vous finirez avec « mal aux cheveux », clairement.
Il vaut mieux le savoir avant toute expérimentation hasardeuse.
Ouf, je respire : J’avais comme un doute.
« On dit souvent qu’en buvant la bière avant le vin, on a moins de mal le matin. On s’est juste demandé s’il y avait de la vérité là-dedans et si nous pouvions le tester », explique dans un communiqué de l’Université de Cambridge (Angleterre).
Le premier groupe a ensuite bu deux pintes et demi de bière (attention à l’envie de pisser juste après…) puis quatre grands verres de vin blanc.
Le second a fait la même chose, mais dans le sens inverse.
Les participants du troisième groupe ont, quant à eux, bu uniquement de la bière ou uniquement du vin, mais en quantité suffisante pour que leur taux d’alcoolémie soit le même que celui des buveurs des deux autres groupes…
Je n’y étais pas et c’est bien dommage : J’aurai commencé par la bière, serai aller « vidanger » et j’aurai terminé avec le pinard… Mais celui du « cousin Dumè », si c’était du blanc.
De ceux qu’il ne faut pas secouer trop fort quand ils sont distillés, car ça rend obsolètes les cartes d’état-major…
Les volontaires ont ensuite tous eu le droit à un verre d’eau avant d’aller se coucher.
Ni thé, ni tisane, ni café, ni « pousse-café »…
Et après avoir passé la nuit sous surveillance médicale, ils ont rempli une « échelle de la gueule de bois » comprenant plusieurs items : La soif, la fatigue, les maux de tête, les nausées, les maux d’estomac, la tachycardie ou encore la perte de l’appétit…
L’envie d’un grand jus d’orange fraîchement pressé, je ne sais pas…
Et après que 10 % des volontaires aient fini par vomir et que la liste des symptômes de la gueule de bois se soit massivement allongée, les « trouveurs » peuvent désormais le dire : Le dicton est faux !
Eux en disent que « peu importe l’ordre dans lequel vous buvez vos alcools, vous serez dans le même état le lendemain », avant d’admettre que leur étude n’a pas fait participer de vin rouge ou de bière ambrée, ce qui n’aurait sans doute pas changé grand-chose au résultat.
Ô erreur : Que si, à mon sens !
Puisque le vin blanc est en général bourré de sulfite qui justement vous perturbe le foie : Je sais, moâ !
Punaise de gourgandine : Autant d’études supérieures postbac pour en arriver là, chapeau !
La seule façon de savoir comment vous serez le lendemain est de voir à quel point vous vous sentez saoul.
Il faut faire attention à toutes ces alertes.
Personnellement, je « rince » à l’eau claire.
Et puis j’évite de conduire pour rentrer…
De toute façon, mieux vaut boire avec modération.
D’autant que « post-bourré » vous pourriez avoir du mal à vous réveiller.
Je suis bien parti une fois, aux aurores, avec des chaussures pas à moâ aux pieds, le lendemain d’une biture mémorable !
Et c’est dommage de devoir métaboliser trop d’alcool d’un coup : On ne prend pas le temps d’apprécier.
À mon sens, c’est l’envie qui peut manquer, puisque le « cerveau imbibé » vous rend malade pour cause de saturation du foie qui ne métabolise plus avec la même efficacité, débordé qu’il est.
De là à trouver une relation entre foie et testicules… ils n’ont manifestement pas eu assez de budgets pour en étudier les relations…
Même qu’il m’arrive encore d’avoir les testicules en hyperactivité matinale, que je dorme bien ou non, qui provoquent une érection enviable…
Mais c’est personnel, naturellement.
Ça dépend aussi à quelle heure tu as réussi à te coucher, ou de ce que tu as bu au préalable, mais je ne leur ai pas encore dit !
Pour se faire, ils ont croisé les paramètres des participants concernant le sommeil mais aussi sur la possibilité de développer au cours de sa vie des troubles dépressifs…
Et ils ont découvert que le coucher moyen se situe aux alentours de 23 heures et que pour le lever, c’est plutôt autour de 6 heures du matin.
Et si vous êtes du genre « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt » sachez que cela est inscrit dans vos gènes.
Et ce sont ces même gènes-là qui vous protègent face à la dépression, figurez-vous !
Encore mieux, si vous vous couchez à 23 heures, cela passe à 40 % !
Et à 22 heures ?
Est-ce « jamais » ?
La cinquième année, tout le monde s’en contre-cogne le coquillard et les roubignoles… qui sont pourtant reliées au cerveau… (cf. § 1 ci-avant).
- Avoir des journées lumineuses et des nuits dans l’obscurité (je ne te vous dis en Islande…)
- Prendre son café dehors sur son balcon ou sa terrasse (même en Islande…)
- Se rendre à son travail en marchant ou en faisant du vélo (tant pis pour les « mobilités collectives »). Mais ils ne disent pas si le bicycle doit être ou non « électrique ».
- Éteindre ses appareils électroniques le soir avant d’aller dormir (pas de montre électronique sur la table de nuit, n’est-ce pas !).
Franchement, ils devraient peut-être essayer le litron de vin rouge : Je l’ai fait à Berlin quand je suis allé « casser le mur » en décembre 1989.
Ma chambre d’hôtel pourtant payée à l’avance avait déjà été revendue plusieurs fois avant que je n’arrive sur place, alors j’ai pioncé dans un parking, « à la fraîche ».
Bé avec un demi-litre de vin « rital », j’ai dormi comme un bébé dans mon « tas-de-boue-à-roulette ».
Pourtant, ça pétait de froid que le champagne, qui avait fait le voyage, avait tendance à former des paillettes de glaçon devant la porte de Brandebourg, le lendemain matin…
Bonne journée à toutes et tous !
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