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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 12 septembre 2021

Ces choses que nous ignorons…

Et qu’heureusement des « trouveurs » savent…
 
1 - Par exemple que les testicules et le cerveau ont plus en commun qu’on ne le croit !
Personnellement, j’ai toujours su que l’un commandait l’autre par l’intermédiaire du « nerf-honteux » qui ne passe surtout pas par la moëlle épinière.
En fait, pour les « sachants » et quelques sectes religieuses, l’intellect et la reproduction, sont deux fonctions biologiques que l’on ne veut pas forcément à accoupler mais plutôt opposer.
Et pourtant, une étude fait la liste des éléments qui rapprochent ces deux organes. Et elle est plus longue qu’on ne le croit, sans pour autant devenir grivois !
Car on ne sait toujours pas qui de l’un ou de l’autre domine l’un ou l’autre dans notre quotidien…
Chez vous peut-être, mais chez moâ, je doute encore après tant d’années d’expérimentation.
 
Car de prime abord, les testicules et le cerveau n’ont rien en commun sauf le bonhomme qui les porte et les nourrit.
Les premiers participent à une fonction vue comme triviale - la reproduction - alors que le second est aussi complexe dans sa structure que dans les fonctions biologiques qu’il assure.
Mais heureusement des « trouveurs » portugais, en collaboration avec une équipe britannique, sont allés au-delà de ces apparences : Dans une publication parue dans Open Biology, ils révèlent un nombre surprenant de similarités entre les testicules et le cerveau humain.
 
Leur premier point de comparaison est tissulaire !
Les cellules du cerveau peuvent être séparées en deux groupes : Les neurones et les cellules gliales, qui elles-mêmes comprennent quatre types cellulaires qui soutiennent l’activité des neurones.
Les scientifiques ont fait une analogie similaire pour les cellules des testicules : Les tubes séminifères sont l’unité fonctionnelle des testicules, celles qui produisent les spermatozoïdes, tout comme les neurones sont responsables du traitement de l’information dans le cerveau.
Ces tubes séminifères sont composés des cellules germinales, où les gamètes naissent, et des cellules de Sertoli, qui forment les tubes.
Et les scientifiques ont également noté des similitudes entre neurones et spermatozoïdes.
Autrement dit, penser comme une kouille, ce n’est pas que de la littérature !
 
D’autant que ces deux organes sont aussi très énergivores.
Ils puisent tous les deux leur énergie dans le lactate, un métabolite produit par les astrocytes dans le cerveau, et les cellules de Sertoli dans les testicules.
Cette énergie est essentiellement destinée à la cognition et la spermatogenèse.
Le cerveau et les testicules sont aussi isolés du reste du corps, c’est respectivement le privilège immun, l’un par la barrière hémato-encéphalique et l’autre par la barrière hémato-testiculaire.
En simplifiant leur structure, les similitudes entre testicules et cerveau commencent donc à apparaître.
Autrement dit, si vous disposez d’un casque, faut-il protéger d’abord le cerveau ou avant tout les « bijoux de famille » ?
Une grande question métaphysique…
 
Les scientifiques ont cherché encore plus loin, en s’intéressant au protéome des deux organes, c’est-à-dire l’ensemble des protéines qu’ils expriment à un moment donné.
Et, Ô surprise, selon les informations recueillies par ces scientifiques-là, les testicules et le cerveau partagent 13.442 protéines différentes, c’est plus que n’importe quels autres organes étudiés (31 au total).
Elles sont impliquées dans le fonctionnement et le développement des deux organes.
En effet, les testicules font partie du système neuroendocrinien.
Ils communiquent donc étroitement avec le cerveau, notamment par l’intermédiaire d’hormones, comme l’hormone bien connue de libération des gonadotrophines hypophysaires (GnRH) fabriquée par l’hypothalamus dans le cerveau.
Et la bite communique avec le cerveau part le « nerf-honteux », j’en suis certain, vous rappelle-je…
 
Toutes ces similitudes entre ces deux organes opposés ont bien sûr un intérêt médical important : Ils permettraient aux scientifiques d’améliorer la compréhension des dysfonctionnements qui touchent à la fois testicules et cerveau : « Une association a été observée entre le processus dégénératif du système nerveux central et la dégénérescence testiculaire, sans coexistence de lésions hypophysaires », écrivent ainsi les auteurs de l’article.
Je ne sais pas si je dois en être ravi ou non…
 
2 - Parmi les autres questions du moment qui pourraient être résolues (et qui n’a rien à voir avec les « recherches » précédente, sauf à la marge), celle de la gueule de bois : Est-elle la même quand on mélange bière et vin ?
Bé oui, voilà qui est important : Bière avant le vin ? Ou bien vin avant la bière ?
Si vous abusez, de toute façon, vous finirez avec « mal aux cheveux », clairement.
Il vaut mieux le savoir avant toute expérimentation hasardeuse.
 
Heureusement, d’autres « trouveurs » ont en effet montré, dans une étude publiée dans The American Journal of Clinical Nutrition il y a quelques mois, que peu importe l’ordre dans lequel vous preniez vos boissons alcoolisées, et peu importe le mélange d’alcools que vous faites, votre état du lendemain ne serait pas forcément bien différent.
Ouf, je respire : J’avais comme un doute.
 
Pour parvenir à ce résultat stupéfiant, des « trouveurs » Britishs et Teutons ont donc demandé à 90 volontaires de s’imbiber d’alcool, avec de la bière et du vin plus précisément.
« On dit souvent qu’en buvant la bière avant le vin, on a moins de mal le matin. On s’est juste demandé s’il y avait de la vérité là-dedans et si nous pouvions le tester », explique dans un communiqué de l’Université de Cambridge (Angleterre).
 
Les volontaires, âgés de 19 à 40 ans, ont été répartis en trois groupes, à qui un repas a d’abord été distribué.
Le premier groupe a ensuite bu deux pintes et demi de bière (attention à l’envie de pisser juste après…) puis quatre grands verres de vin blanc.
Le second a fait la même chose, mais dans le sens inverse.
Les participants du troisième groupe ont, quant à eux, bu uniquement de la bière ou uniquement du vin, mais en quantité suffisante pour que leur taux d’alcoolémie soit le même que celui des buveurs des deux autres groupes…
Je n’y étais pas et c’est bien dommage : J’aurai commencé par la bière, serai aller « vidanger » et j’aurai terminé avec le pinard… Mais celui du « cousin Dumè », si c’était du blanc.
De ceux qu’il ne faut pas secouer trop fort quand ils sont distillés, car ça rend obsolètes les cartes d’état-major…
 
Comme il faut être aussi un peu sérieux, les scientifiques leur ont ensuite posé toute une série de questions, sur leur état et leur ressenti de leur alcoolisation, notamment.
Les volontaires ont ensuite tous eu le droit à un verre d’eau avant d’aller se coucher.
Ni thé, ni tisane, ni café, ni « pousse-café »…
Et après avoir passé la nuit sous surveillance médicale, ils ont rempli une « échelle de la gueule de bois » comprenant plusieurs items : La soif, la fatigue, les maux de tête, les nausées, les maux d’estomac, la tachycardie ou encore la perte de l’appétit…
L’envie d’un grand jus d’orange fraîchement pressé, je ne sais pas…
 
La semaine suivante, les rôles entre groupes ont été inversés.
Et après que 10 % des volontaires aient fini par vomir et que la liste des symptômes de la gueule de bois se soit massivement allongée, les « trouveurs » peuvent désormais le dire : Le dicton est faux !
Eux en disent que « peu importe l’ordre dans lequel vous buvez vos alcools, vous serez dans le même état le lendemain », avant d’admettre que leur étude n’a pas fait participer de vin rouge ou de bière ambrée, ce qui n’aurait sans doute pas changé grand-chose au résultat.
Ô erreur : Que si, à mon sens !
Puisque le vin blanc est en général bourré de sulfite qui justement vous perturbe le foie : Je sais, moâ !
 
Et d’en conclure assez bêtement, mais qui ne reste pas totalement faux, c’est que la seule chose qui soit vraie c’est que boire trop de boissons alcoolisées va vous donner la gueule de bois !
Punaise de gourgandine : Autant d’études supérieures postbac pour en arriver là, chapeau !
La seule façon de savoir comment vous serez le lendemain est de voir à quel point vous vous sentez saoul.
Il faut faire attention à toutes ces alertes.
Personnellement, je « rince » à l’eau claire.
Et puis j’évite de conduire pour rentrer…
De toute façon, mieux vaut boire avec modération.
D’autant que « post-bourré » vous pourriez avoir du mal à vous réveiller.
Je suis bien parti une fois, aux aurores, avec des chaussures pas à moâ aux pieds, le lendemain d’une biture mémorable !
Et c’est dommage de devoir métaboliser trop d’alcool d’un coup : On ne prend pas le temps d’apprécier.
 
Bon, ils ne nous disent pas si on bande mieux ou non après une biture, puisque le cerveau est relié aux testicules bien plus qu’on ne le pensait (cf. § 1, ci-avant).
À mon sens, c’est l’envie qui peut manquer, puisque le « cerveau imbibé » vous rend malade pour cause de saturation du foie qui ne métabolise plus avec la même efficacité, débordé qu’il est.
De là à trouver une relation entre foie et testicules… ils n’ont manifestement pas eu assez de budgets pour en étudier les relations…
 
3 - Parce qu’aussi une autre équipe de « trouveurs » a découvert que les personnes qui se lèvent tôt le matin auraient une meilleure santé mentale : Je sais, j’en suis !
Bé oui : Le sommeil joue un rôle important en ce qui concerne votre santé, et il est important de bien dormir pour la préserver.
Même qu’il m’arrive encore d’avoir les testicules en hyperactivité matinale, que je dorme bien ou non, qui provoquent une érection enviable…
Mais c’est personnel, naturellement.
 
Cette fois-ci il s’agit de « trouveurs » de l’Université du Colorado, du Broad Institute du MIT, et de l’université d’Harvard qui suggèrent que décaler son réveil d’une heure le matin pourrait être encore plus bénéfique que ce que l’on pense.
Ça dépend aussi à quelle heure tu as réussi à te coucher, ou de ce que tu as bu au préalable, mais je ne leur ai pas encore dit !
 
Ces scientifiques ont publié leur très sérieuse étude le 26 mai dernier dans la revue médicale Jama Psychiatry. Ils y détaillent leurs recherches basées sur l’étude de 840.000 adultes !
Pour se faire, ils ont croisé les paramètres des participants concernant le sommeil mais aussi sur la possibilité de développer au cours de sa vie des troubles dépressifs…
Et ils ont découvert que le coucher moyen se situe aux alentours de 23 heures et que pour le lever, c’est plutôt autour de 6 heures du matin.
Et si vous êtes du genre « l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt » sachez que cela est inscrit dans vos gènes.
Et ce sont ces même gènes-là qui vous protègent face à la dépression, figurez-vous !
 
Alors évidemment, il n’est pas conseillé de dormir moins longtemps mais plutôt de décaler son heure de coucher. Si vous êtes habitué à vous endormir vers une heure du matin, tentez l’extinction des feux vers minuit : Cela réduirait de près de 23 % (c’est précis…) les risques de déclencher une dépression.
Encore mieux, si vous vous couchez à 23 heures, cela passe à 40 % !
Et à 22 heures ?
Est-ce « jamais » ?
 
Cette étude vient corréler les dires du docteur Vetter qui démontrait déjà en 2018 que les personnes plus matinales avaient jusqu’à 27 % de moins de risque de voir un trouble dépressif se déclencher dans les quatre ans qui suivaient l’étude.
La cinquième année, tout le monde s’en contre-cogne le coquillard et les roubignoles… qui sont pourtant reliées au cerveau… (cf. § 1 ci-avant).
 
Les « trouveurs » ont expliqué dans l’étude qu’il était nécessaire de réaliser certaines choses pour améliorer la qualité du sommeil :
- Avoir des journées lumineuses et des nuits dans l’obscurité (je ne te vous dis en Islande…)
- Prendre son café dehors sur son balcon ou sa terrasse (même en Islande…)
- Se rendre à son travail en marchant ou en faisant du vélo (tant pis pour les « mobilités collectives »). Mais ils ne disent pas si le bicycle doit être ou non « électrique ».
- Éteindre ses appareils électroniques le soir avant d’aller dormir (pas de montre électronique sur la table de nuit, n’est-ce pas !).
 
En revanche, ces « trouveurs-là » ne nous disent pas combien de mouton il faut compter pour s’endormir rapidement.
Franchement, ils devraient peut-être essayer le litron de vin rouge : Je l’ai fait à Berlin quand je suis allé « casser le mur » en décembre 1989.
Ma chambre d’hôtel pourtant payée à l’avance avait déjà été revendue plusieurs fois avant que je n’arrive sur place, alors j’ai pioncé dans un parking, « à la fraîche ».
Bé avec un demi-litre de vin « rital », j’ai dormi comme un bébé dans mon « tas-de-boue-à-roulette ».
Pourtant, ça pétait de froid que le champagne, qui avait fait le voyage, avait tendance à former des paillettes de glaçon devant la porte de Brandebourg, le lendemain matin…
 
Puisque vous êtes plus savant maintenant, je vous souhaite une…
Bonne journée à toutes et tous !
 
I3

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