C’était dimanche dernier.
San Marin vote pour la légalisation de l’IVG… si, si !
Les Helvètes ont voté pour le « mariage pour tous »… si, si !
« Ségololo » s’est pris un coup de pied au kul de plus… si, si !
L’Islande n’aura pas de majorité de femme dans son Althing … mais si !
Dommage, ils auraient pu rejoindre le club très fermé des représentations populaires féminisées majoritaires avec la Bolivie, le Rwanda et… Cuba.
Et « En-Gèle-la-Mère-Quelle » reste chancelière pour encore de longues semaines… mais si !
Au moins jusqu’aux alentours de Noël.
Mais ça pourrait se prolonger, le temps de former une coalition « stable ».
Nous n’avions pas encore le taux de participation
jusqu’à hier, mais le SPD fait 25,7 %, le CDU/CSU 24,1 % (environ 800.000 voix
d’écart), les « écololos-teutons », 14,8 % alors qu’ils étaient attendus
autour de 20/25 % en début de campagne.
Le FDP : 11,5 %, l’AFD : 10,3 %, leur « Gôche extrémiste », Linke : 4,9 %
Donc et conséquemment, c’est une belle « remontada » pour les sociaux-démocrates (+ 5,2 % en 2017), une claque pour le CDU/CSU (- 8,9 %), une déception pour les Verts malgré une progression de 5,8 %, un bon score des libéraux du FDP qui se maintiennent et une bonne nouvelle : Les extrêmes sont contenus, avec « l’extrême droâte » qui polluait la vie politique du pays en baisse de 2,3 % et « l’extrême gôche » en baisse de 4,3 %.
En « Teutonnie », on ne confie pas
systématiquement au parti qui a le plus de voix la formation du gouvernement. Le
SPD et le CDU se sont donc déclarés prêts à former un gouvernement et vu l’éparpillement
des votations, pour la première fois depuis longtemps, on devrait donc avoir
une coalition à trois partis.
Tout va dépendre du choix du FDP et des Verts.
Donc trois coalitions possibles : La coalition dite des « feux de circulation » : Le SPD (rouge), les Verts (vert…), et le FDP (jaune).
Ou la coalition dite « Jamaïque » : CDU (Noir), les Verts (vert…), et le FDP (jaune).
Voire un remake peu probable de la « grande coalition », SPD et CDU.
On aura donc forcément une politique « Teutonne »
qui donnera la priorité à la transition écologique (vont-ils fermer leurs
centrales au charbon au profit du gaz russe ?) et qui devrait mener une
politique économique équilibrée entre l’orthodoxie financière et des dépenses
publiques larges.
Un statu quo probable alors que les deux principaux partis ont d’ores et déjà déclaré qu’ils souhaitaient rester dans les traces de « Mutti ».
Pourquoi pas ?
Le social-démocrate Olaf Scholz semble être en pole
position pour enfiler le tailleur de « Mutti » qui part à la retraite :
Elle va lire.
Dommage : Il a une sale gueule avec un comédon monstrueux sur le visage.
Notes que ça ne vaut pas mieux que « nos barbus », dont « Kung-Fu-Panda » en premier, « Castagneur » ensuite et depuis peu « Blanquier », le « sinistre de l’instruction publique ».
Qu’est-ce qu’ils ont tous à se laisser pousser le « panier à puce » ?
Le « teuton », au moins, il peut éventuellement se le faire retirer… Eux ne semblent pas pressés de passer chez le barbier…
Enfin peu importe.
Il y a plus important : Les négociations post-électorales peuvent prendre des mois en « Teutonnie », avec le risque d’entraîner une paralysie européenne jusqu’au premier trimestre 2022.
Voire au-delà.
L’occasion de tous les coups tordus en préparation.
C’est aussi, pour « Jupiter », une période qui débouchera sur le prochain scrutin présidentiel (et le législatif à suivre).
Or, il sera dans le vif du sujet de la campagne électorale de 2022 alors même qu’il présidera l’UE et découvrira les « impératifs » de la nouvelle coalition « Teutonne ».
Inutile de dire qu’on va le voir s’agiter dans tous les sens, menton tendu vers chacun, « en ses grades et fonctions » !
D’autant que les capitales européennes redoutent le retour au pouvoir des libéraux du FDP : Leur leader réclamera sans doute le poste stratégique des Finances. Or, ce parti devenu « euro-réticent », pour ne pas dire eurosceptique, est partisan d’une stricte orthodoxie budgétaire, allergique à toute mutualisation des dettes et hostile à tout « protectionnisme européen ».
Donc plus de femme à la tête de la « Teutonnie ».
Mais tout autant à Reykjavik : La victime principale de leurs élections
est la « Première sinistre » Katrin Jakobsdottir, dont le parti de « gôche-écolologiste »
a perdu trois sièges et est passé avec 12,6 % des voix derrière ses deux
actuels alliés de droâte.
Le grand vainqueur est le parti du Progrès (centre-droât), qui emporte 13 sièges, cinq de plus que lors des dernières élections de 2017, avec 17,3 % des voix.
La liesse régnait samedi soir au QG du parti « de retour au premier plan de la scène politique », a lancé sous les vivas son dirigeant Sigurdur Ingi Johannsson, qui se retrouve en position de « Premier sinistrable ».
Mais le parti conservateur de « l’ex-Premier Sinistre » Bjarni Benediktsson est resté le premier parti d’Islande avec 24,4 % des voix, gardant ainsi son contingent de 16 sièges quand les sondages lui prédisaient un recul.
Avec un total de 37 sièges, les trois partis alliés confortent donc au total leur majorité, mais la droâte icelandaise se retrouve en position de force avec l’option de se trouver un autre troisième partenaire plus proche idéologiquement, par exemple le parti centriste de la Réforme (cinq sièges) ou du Centre (trois députés) voire le Parti du peuple (six sièges).
Même s’il n’est pas certain que les trois partis continuent à gouverner ensemble et que les tractations sont traditionnellement également longues.
Toutefois l’Islande s’éloigne d’un scénario de blocage politique que laissaient redouter les sondages : Jamais depuis la faillite spectaculaire des banques islandaises en 2008 et la grave crise qui s’en était suivie, un gouvernement islandais sortant n’avait conservé sa majorité.
Il faut remonter à 2003 pour trouver un précédent.
Des discussions doivent avoir lieu entre les trois
chefs de partis, et la question du futur locataire de Stjornarradid, la modeste
maison blanche posé sur un « monticule » où siègent les chefs de
gouvernement islandais, se posera nécessairement, selon les analystes. « Vu
le recul que nous observons, les Gauche-Verts pourraient devoir réévaluer leur
position au sein du gouvernement », souligne une professeur.e de sciences
politiques à l’Université d’Islande.
Depuis 2017, la « Première sinistre » a rendu les impôts plus progressifs, investi dans le logement social et étendu le congé parental. Sa gestion du Covid - 33 morts seulement - a été saluée.
Mais cette rare écolologiste de gôche au pouvoir a aussi dû faire des renoncements pour sauvegarder sa coalition, comme sa promesse de créer un parc national dans le centre du pays.
Notez donc seulement qu’en « Teutonnie »
comme chez les Islandais, l’écolologie politique recule…
J’attends avec une certaine impatience que les nôtres se décident à terminer de voter pour savoir à quelle sauce ils veulent peser sur nos présidentielles.
S’ils sortent de leur chapeau « Miss Rousse-eaux », ils auront du bol de faire mieux qu’« Éva Jolie ».
Si c’est « Joda », ça serait plus réaliste pour mieux peser, car lui se débrouillera pour envoyer quelques députés supplémentaires au « troisième tour ».
Par la même occasion, on aura appris que chez nos « LRD »,
ils désigneront leur champion à l’occasion d’une consultation des militants,
renonçant aux primaires ouvertes.
Une bonne chose de se retrouver « en famille ».
Sauf que ça fera probablement les bonnes affaires de « Xav’-Berre-Trans », ce qui n’est pas franchement une bonne chose pour le pays.
Un mek qui s’en va, qui revient sans revenir et qui veut se faire couronner roy par des militants qui ne sont pas les siens (stratégie du coucou), ce n’est pas un gars « fiable ».
Juste un opportuniste.
Au moins, « Bling-bling », il a fait le ménage avant en virant « Pasquale » puis « Sait-gain » pour faire main-basse sur le parti après sa traversée du désert et sa mise en orbite présidentielle.
Et puis ça aura dérapé sévèrement, mettant sur le flanc le pays et même jusqu’à encourager l’agonie le parti dont il se réclamait en bon autocrate qu’il était…
Parti qui aura été assommé par « Fifi-le-souteneur »…
Toute une histoire fort rigolote, en fait.
Le plus drôle du week-end ça restera « Ségololo »
qui fustigeait « la stratégie de division » du « P.Soce ».
Elle parle de quoi, la « bravitude », là ?
Le « P.Soce », ça n’existe plus : Ils ont déjà tous éparpillés.
Et puis c’est elle qui a fait bande à part alors que ce qui reste du « P.Soc » en avait investi un autre. Plusieurs, d’ailleurs…
Et elle a fait part de sa « déception », mais a dit ne pas regretter d’avoir pris part à « une campagne importante » qui lui a permis de « prendre la mesure de la dégradation de l’image de la France à l’international ».
S’il n’y avait que son image…
« Quand la gauche est divisée, elle perd. Le Parti socialiste avait décidé de mettre un candidat contre moi, il y avait une autre candidate, ça faisait quatre listes de gauche. Les électeurs sanctionnent la division. Je crois que c’est une leçon à tirer ».
Personnellement, ça me convient très bien…
On appelle ça le « vote utile ».
Surtout quand il n’y a qu’un seul tour, ce qui n’est jamais gagné.
Bref, un week-end qui change un peu, même si je n’en
reviens toujours pas du buzz médiatique que peut faire « Zézé-Amour ».
Le mek, il n’a rien pour lui, pas même une esquisse de programme ou une « bonne gueule », mais il est partout !
Et pas forcément pour lui tirer dans les pattes.
Vous savez quoi, ça me rappelle la mise en orbite de « Jupiter », il n’y a pas cinq de ça : Tous les médias, y compris sur Internet, s’étaient mis à causer de ce parfait inconnu avant qu’il n’entre au gouvernement de « Menuet-Valse » qui n’aura rien vu, pour un passage éphémère au « ministère du chiffre ».
Tous les médias, c’est-à-dire toutes les loges de « trois-points » du pays avait participé à son apologie.
Et ça avait drôlement bien marché.
Avant justement les « primaires de drôate et du centre », le moment où les mêmes ont « planté » « Fifi-le-souteneur ».
Et ça aura été radical… Pour un affrontement au second tour avec « Marinella-tchi-tchi » qui ne pouvait être que lamentable.
Sont-ils en train de nous refaire le même coup ?
Certainement, mais avec des variantes : On monte « Zézé-Amour »
comme une crème fouettée pour qu’il disqualifie l’extrême-droâte elle-même
éparpillée avec « Dupont-Gnan-gnan » et quelques officines, et il va
être lynché dans la dernière ligne droite, surtout s’il disqualifie « Marinella-tchi-tchi ».
Même si ça, je n’y crois pas vraiment : Les « IA » aux services des sondeurs prédisent un réélection triomphale pour « Jupiter » et pour l’instant un second tour où elle serait absente…
Peut-être un rêve de « machine ».
Pour l’heure, les mêmes algorithmes avaient prévu la victoire du SPD sur le CDU/CSU. Ils ne se sont pas trompés.
Et prédisent toujours une coalition « feux tricolores ».
Par conséquent : À suivre !
Les Helvètes ont voté pour le « mariage pour tous »… si, si !
« Ségololo » s’est pris un coup de pied au kul de plus… si, si !
L’Islande n’aura pas de majorité de femme dans son Althing … mais si !
Dommage, ils auraient pu rejoindre le club très fermé des représentations populaires féminisées majoritaires avec la Bolivie, le Rwanda et… Cuba.
Et « En-Gèle-la-Mère-Quelle » reste chancelière pour encore de longues semaines… mais si !
Au moins jusqu’aux alentours de Noël.
Mais ça pourrait se prolonger, le temps de former une coalition « stable ».
Le FDP : 11,5 %, l’AFD : 10,3 %, leur « Gôche extrémiste », Linke : 4,9 %
Donc et conséquemment, c’est une belle « remontada » pour les sociaux-démocrates (+ 5,2 % en 2017), une claque pour le CDU/CSU (- 8,9 %), une déception pour les Verts malgré une progression de 5,8 %, un bon score des libéraux du FDP qui se maintiennent et une bonne nouvelle : Les extrêmes sont contenus, avec « l’extrême droâte » qui polluait la vie politique du pays en baisse de 2,3 % et « l’extrême gôche » en baisse de 4,3 %.
Tout va dépendre du choix du FDP et des Verts.
Donc trois coalitions possibles : La coalition dite des « feux de circulation » : Le SPD (rouge), les Verts (vert…), et le FDP (jaune).
Ou la coalition dite « Jamaïque » : CDU (Noir), les Verts (vert…), et le FDP (jaune).
Voire un remake peu probable de la « grande coalition », SPD et CDU.
Un statu quo probable alors que les deux principaux partis ont d’ores et déjà déclaré qu’ils souhaitaient rester dans les traces de « Mutti ».
Pourquoi pas ?
Dommage : Il a une sale gueule avec un comédon monstrueux sur le visage.
Notes que ça ne vaut pas mieux que « nos barbus », dont « Kung-Fu-Panda » en premier, « Castagneur » ensuite et depuis peu « Blanquier », le « sinistre de l’instruction publique ».
Qu’est-ce qu’ils ont tous à se laisser pousser le « panier à puce » ?
Le « teuton », au moins, il peut éventuellement se le faire retirer… Eux ne semblent pas pressés de passer chez le barbier…
Enfin peu importe.
Il y a plus important : Les négociations post-électorales peuvent prendre des mois en « Teutonnie », avec le risque d’entraîner une paralysie européenne jusqu’au premier trimestre 2022.
Voire au-delà.
L’occasion de tous les coups tordus en préparation.
C’est aussi, pour « Jupiter », une période qui débouchera sur le prochain scrutin présidentiel (et le législatif à suivre).
Or, il sera dans le vif du sujet de la campagne électorale de 2022 alors même qu’il présidera l’UE et découvrira les « impératifs » de la nouvelle coalition « Teutonne ».
Inutile de dire qu’on va le voir s’agiter dans tous les sens, menton tendu vers chacun, « en ses grades et fonctions » !
D’autant que les capitales européennes redoutent le retour au pouvoir des libéraux du FDP : Leur leader réclamera sans doute le poste stratégique des Finances. Or, ce parti devenu « euro-réticent », pour ne pas dire eurosceptique, est partisan d’une stricte orthodoxie budgétaire, allergique à toute mutualisation des dettes et hostile à tout « protectionnisme européen ».
Le grand vainqueur est le parti du Progrès (centre-droât), qui emporte 13 sièges, cinq de plus que lors des dernières élections de 2017, avec 17,3 % des voix.
La liesse régnait samedi soir au QG du parti « de retour au premier plan de la scène politique », a lancé sous les vivas son dirigeant Sigurdur Ingi Johannsson, qui se retrouve en position de « Premier sinistrable ».
Mais le parti conservateur de « l’ex-Premier Sinistre » Bjarni Benediktsson est resté le premier parti d’Islande avec 24,4 % des voix, gardant ainsi son contingent de 16 sièges quand les sondages lui prédisaient un recul.
Avec un total de 37 sièges, les trois partis alliés confortent donc au total leur majorité, mais la droâte icelandaise se retrouve en position de force avec l’option de se trouver un autre troisième partenaire plus proche idéologiquement, par exemple le parti centriste de la Réforme (cinq sièges) ou du Centre (trois députés) voire le Parti du peuple (six sièges).
Même s’il n’est pas certain que les trois partis continuent à gouverner ensemble et que les tractations sont traditionnellement également longues.
Toutefois l’Islande s’éloigne d’un scénario de blocage politique que laissaient redouter les sondages : Jamais depuis la faillite spectaculaire des banques islandaises en 2008 et la grave crise qui s’en était suivie, un gouvernement islandais sortant n’avait conservé sa majorité.
Il faut remonter à 2003 pour trouver un précédent.
Depuis 2017, la « Première sinistre » a rendu les impôts plus progressifs, investi dans le logement social et étendu le congé parental. Sa gestion du Covid - 33 morts seulement - a été saluée.
Mais cette rare écolologiste de gôche au pouvoir a aussi dû faire des renoncements pour sauvegarder sa coalition, comme sa promesse de créer un parc national dans le centre du pays.
J’attends avec une certaine impatience que les nôtres se décident à terminer de voter pour savoir à quelle sauce ils veulent peser sur nos présidentielles.
S’ils sortent de leur chapeau « Miss Rousse-eaux », ils auront du bol de faire mieux qu’« Éva Jolie ».
Si c’est « Joda », ça serait plus réaliste pour mieux peser, car lui se débrouillera pour envoyer quelques députés supplémentaires au « troisième tour ».
Une bonne chose de se retrouver « en famille ».
Sauf que ça fera probablement les bonnes affaires de « Xav’-Berre-Trans », ce qui n’est pas franchement une bonne chose pour le pays.
Un mek qui s’en va, qui revient sans revenir et qui veut se faire couronner roy par des militants qui ne sont pas les siens (stratégie du coucou), ce n’est pas un gars « fiable ».
Juste un opportuniste.
Au moins, « Bling-bling », il a fait le ménage avant en virant « Pasquale » puis « Sait-gain » pour faire main-basse sur le parti après sa traversée du désert et sa mise en orbite présidentielle.
Et puis ça aura dérapé sévèrement, mettant sur le flanc le pays et même jusqu’à encourager l’agonie le parti dont il se réclamait en bon autocrate qu’il était…
Parti qui aura été assommé par « Fifi-le-souteneur »…
Toute une histoire fort rigolote, en fait.
Elle parle de quoi, la « bravitude », là ?
Le « P.Soce », ça n’existe plus : Ils ont déjà tous éparpillés.
Et puis c’est elle qui a fait bande à part alors que ce qui reste du « P.Soc » en avait investi un autre. Plusieurs, d’ailleurs…
Et elle a fait part de sa « déception », mais a dit ne pas regretter d’avoir pris part à « une campagne importante » qui lui a permis de « prendre la mesure de la dégradation de l’image de la France à l’international ».
S’il n’y avait que son image…
« Quand la gauche est divisée, elle perd. Le Parti socialiste avait décidé de mettre un candidat contre moi, il y avait une autre candidate, ça faisait quatre listes de gauche. Les électeurs sanctionnent la division. Je crois que c’est une leçon à tirer ».
Personnellement, ça me convient très bien…
On appelle ça le « vote utile ».
Surtout quand il n’y a qu’un seul tour, ce qui n’est jamais gagné.
Le mek, il n’a rien pour lui, pas même une esquisse de programme ou une « bonne gueule », mais il est partout !
Et pas forcément pour lui tirer dans les pattes.
Vous savez quoi, ça me rappelle la mise en orbite de « Jupiter », il n’y a pas cinq de ça : Tous les médias, y compris sur Internet, s’étaient mis à causer de ce parfait inconnu avant qu’il n’entre au gouvernement de « Menuet-Valse » qui n’aura rien vu, pour un passage éphémère au « ministère du chiffre ».
Tous les médias, c’est-à-dire toutes les loges de « trois-points » du pays avait participé à son apologie.
Et ça avait drôlement bien marché.
Avant justement les « primaires de drôate et du centre », le moment où les mêmes ont « planté » « Fifi-le-souteneur ».
Et ça aura été radical… Pour un affrontement au second tour avec « Marinella-tchi-tchi » qui ne pouvait être que lamentable.
Sont-ils en train de nous refaire le même coup ?
Même si ça, je n’y crois pas vraiment : Les « IA » aux services des sondeurs prédisent un réélection triomphale pour « Jupiter » et pour l’instant un second tour où elle serait absente…
Peut-être un rêve de « machine ».
Pour l’heure, les mêmes algorithmes avaient prévu la victoire du SPD sur le CDU/CSU. Ils ne se sont pas trompés.
Et prédisent toujours une coalition « feux tricolores ».
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