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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 23 septembre 2021

Énergie du désespoir au « P.Soce »

La candidature de « Sœur-Âne »
 
Alors que les « écololos-bobos » ont bouclé leur premier tour de leurs primaires, éliminant sèchement « Piou-Piole », pour se retrouver à choisir entre une dogmatique et un pragmatique, que les « Républicains-démocrates » ne parviennent toujours pas à faire émerger clairement un candidat unique, parce que chacun et tous ont oublié depuis une génération au moins qu’ils étaient aussi Gaullistes, que même, dit-on, « Bling-bling » pourrait annoncer son soutien à « Jupiter » et que « Zézé-amour » veut débattre avec tout le monde et n’importe qui en commençant par « Mes-Luches », pour leur faire mordre la poussière, au « P.Soce », il y a pléthores de guignols qui s’y voient déjà…
Je te vous demande un peu !
On en a causé la semaine dernière et il semble que la seule qui se détache « un peu », pour devenir l’unique adoubée, ça reste la Mairesse de « Paris-sur-la-plage »…
La pôvresse !
 
Elle s’est lancée dans la course depuis Rouen la semaine dernière. Le 12 septembre après un long tour de chauffe dans les médias et les territoires.
Et elle a fait très fort : « Aujourd’hui je suis prête, c’est pourquoi, avec la force chaleureuse qui m’entoure, j’ai décidé d’être candidate à la présidence de la République française ».
Ah oui, elle aura révisé ses fiches ?
Pas comme « Ségololo » perdue entre la « bravitude » et le nombre de SNLE en 2007…
Une déclaration aussi sobre qu’elle était attendue au cours de laquelle elle a promis de « réinventer notre beau modèle Français », fondé sur « la considération et le respect. »
Quel beau programme… pour une andalouse importée (tout comme « Zézé-Amour » depuis son bled originel, tiens donc) !
Le tout, en évoquant ici ou là, quelques heures plus tard plusieurs de ses thèmes phares… la défense du climat ou la « décentralisation » en tête.
 
Depuis Rouen donc, la dernière « soce » estampillée « soce » s’est effectivement attachée à donner une dimension nationale à son projet, comme pour couper court au procès en parisianisme qui lui est fait.
Quelques individus ont d’ailleurs tenté de perturber, en vain, son discours en déployant une banderole « Hier Paris, aujourd’hui la France ? ».
Le « Chi l’avait bien fait…
Mais lui avait été « premier sinistre » par deux fois auparavant…
Y’a comme une nuance, là.
 
« J’ai parcouru la France, de Quimper à Frontignan, de Douai à Clermont-Ferrand en passant par tant d’autres villes et villages de notre beau pays. J’ai écouté les Françaises et les Français, j’ai écouté des hommes et les femmes engagés partout, dans leurs communes, dans leurs régions », a-t-elle répondu, dès les premiers instants de son discours en promettant, ensuite, à plusieurs reprises, une « décentralisation aboutie » et appuyée sur les élus locaux.
Aurait-elle « tâté le kul des vaches » à l’occasion ?
« Mon mandat sera celui d’une république décentralisée avec tous les citoyens », le thème récurrent depuis « De-La-Nuée » de la « démocratie participative ».
Je peux vous dire que vue la façon dont elle la pratique entre les « budgets pots-de-fleurs » laissés à « l’initiative des citoyens » et en n’écoutant personne, même pas les élus de quartier quand il s’agit de défoncer les rues, ça promet d’être intéressant !
 
Mais comme elle est merveilleuse (surtout son parfum) elle aura également évoqué tour à tour son parcours personnel, ses origines espagnoles, puis son engagement politique. Elle a également mis l’accent sur deux thèmes : La défense du climat et de la République.
Ils seront probablement très présents dans la campagne de celle qui se revendique héritière de « la gauche de Jaurès, de Blum, de Mendès France, de Mitterrand » qui « nous a transmis le goût de la liberté, la force de l’engagement et la volonté du rassemblement ».
Punaise de gourgandine, moâ aussi je suis tout ça, alors !
Serai-je devenu « soce » sans le savoir ?
 
« La France se divise en communautés, en factions qui expriment leur amertume, leur colère parfois avec tant de violence, sous nos yeux le modèle républicain se désintègre », s’est-elle ainsi inquiétée, avant d’ajouter : « Je suis candidate pour offrir un avenir à nos enfants. À tous nos enfants. »
On dirait du « Zézé-amour » pur jus ou du « Marinella-tchi-tchi » pur sucre.
C’est fabuleux, finalement…
Évidemment et sans surprise, son discours était également paré de vert alors que le quinquennat de « Jupiter » a « tourné le dos à l’écologie ».
Hulot n’est pas « écololo-bobo » ?
« Les solutions écologistes ne sont pas un renoncement. Elles forment un choix, une nécessité » (il faut en dire un mot à la concurrente de Yoda chez les verdoyants). Et de lister : « Oui, je veux que les étudiants mangent à leur faim et ait une nourriture saine. Oui, je veux que les enfants respirent un air pur. »
La pôv’-chérie ne s’est toujours pas rendue compte que les étudiants ne meurent pas de faim et que les « petits-enfants » ne meurent pas plus en respirant…
 
Invitée du journal télévisé de « Trans-deuze » quelques heures plus tard, elle en a remis une couche, évoquant un plan quinquennal pour l’écologie : « Je suis une écologiste, la crise climatique nous oblige à agir très vite, je propose une planification pour les cinq ans de mon quinquennat » en promettant « d’orienter notre industrie, notre économie » pour « créer de nouveaux emplois dans l’écologie » ou « les énergies renouvelables. »
Que de poncifs éculés !
« Écololo-bobo », elle qui roule en Toto-ya avec chauffeur, elle s’est donc trompée de parti, puisqu’elle se réfère à « Blum-blum ». Il n’était pas « écololo-bobo », lui…
Il faut agir vite, mais ça va prendre tout un quinquennat, n’est-ce pas…
Quant à créer des emplois dans des filières nouvelles, elle oublie que c’est naturellement au détriment de filières existantes qui vont en détruire au moins autant…
 
Et puis surtout son projet se veut « collectif ». C’est en tout cas ce qu’elle entend bien montrer, puisqu’elle est tellement accusée d’être solitaire dans l’exercice du pouvoir. D’ailleurs comme d’une démonstration, elle a choisi de faire son discours, et de chanter la Marseillaise, seule sur l’estrade, mais très avant de prendre la parole, de plusieurs personnalités socialistes, relativement nouvelles sur la scène nationale…
Aucun baron. On dirait l’équipe des loosers de « Ségololo »…
C’est son « équipe de France des élus locaux » qu’elle aura embringué dans son délire…
« Autour de moi j’ai une équipe de femmes et d’hommes qui sont pour beaucoup des maires ou des responsables d’associations qui ont éprouvé ce qu’est le changement, la transformation concrète de nos vies, liées à la crise écologique », a-t-elle insisté.
Ah bé oui, les problèmes sociaux et de fins de mois rachitiques, c’est bien sûr de l’écolologie : La cause profonde, c’est de réchauffer la planète, voyons donc !
 
Oui, oui, même pas des seconds couteaux, tout juste une équipe de « coupeurs de citron » sur le banc de touche.
Parmi eux, étaient présents le maire « soce » de Rouen - c’était le « local » - son homologue de Nantes. Seuls deux personnalités, plus les édiles de Montpellier et Nancy et la présidente de la région Occitanie, seront donc au cœur de sa campagne.
Pour une course de fond qui va durer sept mois, jusqu’au printemps 2022. Créditée de 7 à 9 % d’intentions de vote dans les sondages, moins que « Zézé-Amour », qui fait désormais 11 points, elle a encore fort à faire pour espérer atteindre le second tour.
 
Tel qu’on peut et doit nécessairement se poser la question : Est-ce le début de la fin de la déroute totale des « soces » ?
Qui aura commencé avec « Ségololo », se sera redressée avec « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et n’en finit plus depuis de plonger depuis « « Deux-Noix-Âme-mont ».
Qui lui a fini par comprendre : Il ne jouera plus à ce jeu-là.
Pas comme « Le-Folle » ou « Monte-et-bourre-la » qui se voient encore en haut de l’affiche…
 
En effet, qu’en attendre ?
Surtout après sa gestion critiquable de « Paris-la-plage ».
Si les regards sont focalisés depuis plusieurs mois maintenant sur la candidature d’un « Zézé-Amour » qui ambitionne d’incarner un « trompisme-gauloisien » et qui est parvenu à plus que doubler ses intentions de vote depuis juin, le nombre de candidats à moins de 7 mois d’élection-reine ne cesse d’augmenter.
Au « P.soce », après les 6 % de « Deux-noix-Âme-Mont » en 2017 et des résultats plus que moyens depuis, on peine à cacher l’état d’un parti vidé de ses forces vives par le « Jupitérisme » et qui a du mal à faire les fins de mois.
Et elle, elle prétend ressusciter le « P.Soce » sans même avoir couché avec « Tagada-à-la-fraise-des-bois », oubliant que pour y parvenir, la priorité serait de le sortir de l’idéologie antédiluvienne dans laquelle elle semble vouloir le maintenir.
 
Pour la bonne cause du parti, ses soutiens se préparent à écumer l’Hexagone pour « aller au charbon », selon les mots de la maire de Rennes, soutien de la candidate.
Seulement, « n’est pas Chirac qui veut », comme le titrait samedi le journal L’Alsace. Là où l’ancien président de la République à présent décédé il y a bientôt deux ans avait utilisé la capitale comme tremplin présidentiel, difficile d’envisager une carrière similaire pour l’édile soce, en dit la plupart, même dans son entourage.
D’ailleurs, pour s’en convaincre, il suffit d’interroger les principaux experts du sujet : Les habitants de la kapitale, qui pratiquent « Sœur-Âne » depuis maintenant plus de 7 ans, évoquent évidemment une ville un peu plus verte, mais aussi beaucoup plus sale.
En quelques décennies, « Paris-sur-la-Seine » est passé de la Ville lumière à la Ville verte-poubelles : Verte comme des velib’s, verte comme la Seine dans laquelle le « Chi » avait promis de se baigner il y a 30 ans (et où le fiston de « Sœur-âne » a failli se noyer) ou les barrières de chantiers qui jalonnent la ville depuis 10 ans, mais surtout, surtout et justement, verte comme les poubelles sur les trottoirs.
 
Naturellement, « Sœur-Âne » ne va évidemment par « parisianiser » la « Gauloisie-altière », mais premières propositions sont loin d’être rassurantes.
Et la première d’entre elles annonce la couleur, puisque la candidate propose ni plus ni moins que de doubler le traitement de tous les enseignants !
Pour rappel, le traitement brut moyen – et il faut insister sur le «moyen», parce que ça ne vaut pas pour les agrégés et universitaires dun enseignant titulaire varie entre 2.100 et 2.900 euros bruts selon « Libé » (ce torchon…).
Doubler leur salaire revient donc à les payer entre 4.000 et 6.000 euros par mois et à faire peser sur les finances publiques un surcoût de 50 milliards d’euros par an sans tenir compte de l’inflation, laquelle aurait tendance naturellement à augmenter la note.
De quoi rappeler l’état des finances publiques parisiennes dont la dette a atteint l’an dernier un niveau record…
Les parigots ont l’habitude : Entre le doublement de la taxe foncière et l’endettement pharaonesque, ils ne s’inquiètent même plus.
A-t-on idée d’avoir une idée pareille : Demain on rase gratis !
 
Difficile de comprendre l’intérêt d’une telle mesure si on ne fait pas un peu de psychologie électorale de comptoir.
Une étude du Cevipof sortie cette année nous indique que « Sœur-Âne » recueillerait 15 % du vote des enseignants, soit le double de ses intentions de vote dans l’ensemble de la population.
Difficile donc de voir dans la proposition-choc formulée dimanche dernier autre chose qu’une mesure catégorielle destinée à masquer l’incapacité des partis traditionnels à élargir leur base électorale en dehors de leur cœur de cible.
La droâte n’est d’ailleurs pas en reste, son électorat se limitant désormais aux retraités.
De quoi rappeler la dérive d’une démocratie bornée à un terrain de lutte d’intérêts catégoriels.
 
Mais plus encore, l’effet de cette mesure sur l’opinion n’est pas sans rappeler les fameux 75 % d’imposition sur les revenus supérieurs à un million d’euros proposés en 2012 par « Tagada-à-la-fraise-des-bois ». Une mesure qui avait fait dire au tout jeune « Jupiter » que cette mesure s’apparentait à «Cuba sans le soleil» avant quelle ne soit retoquée par le Conseil constitutionnel.
Un beau fiasco démagogique…
Parler de doubler le salaire des enseignants, c’est marquer l’opinion par quelque chose de caricatural et de simple pour illustrer son positionnement tout en évitant la complexité d’une véritable réforme de l’éducation.
Bref, c’est botter en touche tellement elle n’y connait rien…
 
Le pire c’est qu’elle sait qu’elle ne saurait mobiliser ailleurs que dans l’électorat dit « bobo », disputé aux « écololo-bobos », déjà dispersé entre les communistes et les insoumis.
Trois formations d’ores et déjà en piste pour l’élection présidentielle.
Alors il convient de se convaincre que plus qu’une candidature à l’Élysée, « Sœur-Âne » fait une candidature de sauvetage d’un « P.Soce » au bord de la faillite.
En 2017, l’ex-parti présidentiel était passé à moins de 500.000 voix de ne pas être remboursé de ses frais de campagne, alors quil tutoyait les 30 % au scrutin précédent.
Avec ses 7 % d’intentions de vote, soit moins d’un point de plus que « Deux-noix-Âme-mont » en 2017, on peine à voir la pertinence de la manœuvre.
Voilà bien qui reste périlleux : Après sa gestion erratique de « Paris-sur-la-plage », elle a donc pour curieuse mission d’éviter le même sort à son parti en s’acharnant à faire de même avec le pays.
Un de ces étranges numéros d’équilibristes auxquels les « soces » nous ont tellement habitués…
 
Pour la soutenir, je dirai que finalement, sur la Kapitale, elle n’a pas été aidée par des « lumières ».
Ses « compagnons de route » depuis « De-la-Nuée » n’ont guère de sens politique. Tout juste à peine des prébendes de « caste-privilégiée », l’esprit étroit et parfois grande-gueule… La plupart du temps contre-productifs.
Le pire ce sont ses hauts-fonctionnaires.
Pas de chance, mais le moindre énârque reclassé dans la « territoriale », c’est qu’il n’a pas pu faire mieux au classement…
Et je peux vous dire pour en avoir croisé quelques-uns à l’époque où je faisais des « petites-crèches », ce sont loin d’être des soleils.
Aucune vision globale de l’intérêt général, pédants, pontifiants et qui n’en faisaient pas lourd.
Passons.
 
En conclusion, elle va au casse-pipe. Mais elle va - peut-être - vous ravir avec son sourire ravageur d’andalouse et personnellement je caresse l’espoir insensé qu’elle déménage de l’Hôtel-de-Ville jusqu’à la rue du Faubourg Saint-Honoré.
La seule façon de me refaire plaisir dans les rues de « Paris-sur-la-plage » quand je m’y promène.
Et puis elle aussi tombe dans le piège institutionnel de la présidentielle : C’est bien d’aller foutre le boxon à l’Élysée, mais sans majorité parlementaire, ça ne sert strictement à rien !
Or, là, on ne voit pas bien qui pourrait émerger chez les « Soces » pour conduire une campagne législative gagnante…

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