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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 24 juin 2021

C’était « avant »

Les enjeux des régionales de métropole avant le premier tour !
 
Paca : De la droâte à l’extrême droâte.
Plus de cinq ans après le coup de tonnerre de « Marions-Maréchal-nous-voilà » au premier tour, avec 40,5 % des voix, la liste du « Air-Haine » portée par un « traitre » venu de « LRD », était en passe de réussir son pari : Gagner la région.
L’imbroglio orchestré par « Jupiter » autour d’une alliance entre le parti présidentiel et droâte locale, le maire de Nice et le maire de Toulon, contre l’avis de la direction de « LRD », avait beaucoup fait pour ouvrir le chemin vers une potentielle victoire du « Air-Haine ».
L’opération a opéré une clarification que beaucoup n’attendait pas avant l’élection présidentielle : Le constat qu’entre « Jupiter » et « Marinella-tchi-tchi », il n’y a plus d’espace !
L’ancien « sinistre de « Bling-bling » » était donc le candidat idéal pour parler à cet électorat sudiste. Et de peut-être permettre au « Air-Haine » de faire exploser son socle électoral.
Une stratégie par défaut, accueillie par une candidate qui se veut « ni de droite ni de gauche »…
Ne cherchez pas à comprendre : C’est de l’infâme tambouille électorale !
 
« Ile-de-Gauloisie » : Bis repetita pour la sortante ?
On attendait la « gôche » avec « Jupiter » en arbitre du second tour à l’occasion d’une quadrangulaire.
Un enjeu de 12 millions d’habitants à moins d’un an de l’élection présidentielle. Signe de sa confiance, la présidente sortante, favorite des sondages, a promis qu’elle arrêterait la politique en cas de défaite…
En réalité, elle misait sur une réélection fin juin pour se poser en présidentiable à droâte dans les mois qui viennent.
À gôche, c’était promis, l’union se fera dans l’entre-deux-tours.
Mais alors avec derrière qui ?
L’ex-journaliste soutenue par le « P.soce », le candidat du pôle écolologiste ou la LFI-PCF, tous trois au coude-à-coude depuis des semaines. Depuis, c’est fait pour un fiasco annoncé…
Chez tous les candidats potentiels ou déclarés à la présidentielle, comme dans les états-majors des partis, le rapport de force entre ces trois listes de gauche devait être un indicateur précieux avant 2022.
Seul élément certain : Dans cette région où le « Air-Haine » ne menace pas de prendre le pouvoir, un maintien de la liste « Jupitérienne » au second tour arrangerait le ou la candidate de gôche qui défiera la sortante.
 
Centre-Val de Loire : L’espoir « Jupitérien »
Rien n’est joué en Centre-Val-de-Loire où aucun des quatre « gros » candidats n’avait pas réussi à se démarquer avant le premier tour. Certes, le jeune candidat du « Air-Haine », délégué départemental du parti en Eure-et-Loir, pouvait bien tirer son épingle du jeu lors de ce premier tour nous disait-on : Un sondage le créditait de 28 % d’intentions de vote.
Vous avez vu ce qu’il en est ressorti…
 
Centre-Val de Loire : Un « centriste » la joue milieu de terrain !
Côté majorité, tous les regards étaient tournés vers le centriste à la tête d’une liste soutenue par « Jupiter » et le « Mac-MoDem », qui, en l’espace d’une dizaine de jours, a reçu coup sur coup les visites de « Kung-Fu-Panda » et de « Casse-tête ».
Le discret ministre des Relations avec le Parlement, également numéro deux du parti de « Bébé-Roux », apparaît comme « le » grand espoir – si ce n’est le seul ! – de la « Jupitérie » dans ce scrutin : « Marc devra s’assurer de la deuxième place dimanche soir », prévient toutefois un membre du gouvernement.
Il était à un cheveu du président sortant « P.Soce » de la région.
Quant à la liste de soutenue par LRD » et l’UDI, elle était créditée de 18 %.
 
« Hauts-de-Gauloisie » : « Xav’-Berrey-Trans » jouait déjà le coup d’après.
Sera-t-il réélu ? Et si oui, le sera-t-il confortablement ? L’enjeu était alors de taille pour le président sortant, qui avait arraché la région à la gauche en 2015 face à « Marinella-tchi-tchi » en personne. S’il l’emporte à nouveau, il briguera ensuite l’élection suprême, la présidentielle de 2022.
Avant cela, il doit battre ses concurrents, dont le propre directeur de cabinet de « Marinella-tchi-tchi » soi-même.
Sur ces terres-là, où le vote frontiste prospère élection après élection, les deux hommes étaient au coude-à-coude (32 % contre 34 %)
Suivaient l’écolologiste, tête de la liste d’union de la gôche (20 %), puis le candidat « Jupitérien » qui peinait à atteindre le seuil requis pour figurer au second tour, soit 10 % des voix.
Malgré les quatre « sinistres » dépêchés sur place par l’Élysée pour le soutenir, le « Monsieur Retraites » du gouvernement avait du mal à convaincre.
Pour l’heure, ni la venue du « Garde-des-sots » ni celle de « Gégé-Dard-à-la-main », pourtant à la tête de ministères régaliens, n’ont vraiment créé d’effet d’envie.
 
Bourgogne-Franche-Comté : L’autre menace du « Air-Haine »
La Bourgogne pouvait-elle basculer se questionnait-on.
Oui, à en croire les sondages préélectoraux. La tête de liste « Air-Haine » était donnée en tête au premier tour, malgré les polémiques qui ont marqué sa campagne.
En face, la « Soce » et présidente sortante du conseil régional se battait pour sauver son siège et plaidait déjà pour un rassemblement de sa famille, « la gôche », au second tour, avec les écololos et LFI.
Deux autres listes étaient données pour être en mesure de se maintenir et détiennent les clés du scrutin : Celle du « LRD » maire de Chalon-sur-Saône qui avait fait alliance avec « Dupont-Gnan-gnan ».
« Rédhibitoire », estimait le « jupitérien-local », maire de Nevers, qui n’envisage pas d’alliance à droâte.
 
Bretagne : le « Menhir » se fissurait déjà.
Pendant des années, l’issue du scrutin régional en Bretagne ne faisait pas l’ombre d’un doute : Dans ce bastion « soce » depuis 2004, « Le-Riant », le « sinistre » Jean-Yves, régnait en maître… Mais les choses ont changé.
Avec cinq listes qui pouvaient a priori être en mesure de se maintenir au second tour, l’élection s’annonçait nettement plus serrée cette année, et le jeu des alliances entre les deux tours devait être déterminant.
Cette incertitude assez inédite devait beaucoup à l’éclatement de la majorité sortante, dans laquelle cohabitaient jusque-là « soces » et « Jupitériens ». D’autant que deux des héritiers du « Menhir », tous les deux issus des rangs du « P.Soce », se livraient une intense guerre de succession.
« En Bretagne, la présidentielle de 2017 a aussi provoqué une déflagration dans la famille socialiste, mais à retardement, quatre ans après l’élection d’Emmanuel Macron », résume un maître de conférences en science politique.
La Bretagne, qui a offert à « Jupiter » l’un de ses plus beaux scores à la présidentielle de 2017, pouvait-elle tomber dans l’escarcelle des « jupitéristes » ?
Un sondage donnait les deux listes au coude-à-coude, à 19 %, juste derrière le « Air-Haine » (20 %).
 
Occitanie : La gôche était déjà en danger !
C’est un fief « soce », une des cinq régions dirigées par le « P.Soce ».
Pouvait-elle basculer à l’extrême droâte qui gère déjà Perpignan et fait traditionnellement de gros scores en zone rurale ?
Cette grande région, née de la fusion de deux terres de gôche (Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon) est un des derniers bastions du « P.Soce », la terre historique de Jean Jaurès.
Le « Air-Haine » présentait un ancien député UMP (encore un social-traître) et espérait, conformément à ce que lui présidaient les sondages, arriver en tête au premier tour.
La gôche était divisée (les écolologistes qui font partie de la majorité sortante ayant préféré se compter et pour eux l’enjeu est de dépasser les 10 %).
Si la sortante se fait réélire, elle sera une des figures de la prochaine campagne présidentielle à gôche.
 
Nouvelle-Aquitaine : Baron d’un jour…
Le « soce » local règne sur la région Aquitaine, puis sur la Nouvelle-Aquitaine depuis… 1998 !
Et il est en piste pour un cinquième mandat…
Personne (ou presque) n’imaginait même que le « soce » ne soit pas réélu à la tête de la plus grande région du pays.
Si le Sud-Ouest a longtemps résisté à l’avancée de l’extrême droâte, cela ne semble plus être le cas. La liste « Air-Haine » talonnait celle de l’éléphant « soce » dans les sondages.
La « sinistre déléguée aux Anciens combattants » défendait les couleurs de la majorité présidentielle. Les écolologistes, qui ont gagné la mairie de Bordeaux espéraient dépasser les 10 % pour peser sur le sortant et ne pas casser la vague verte à moins d’un an de l’élection présidentielle.
 
Normandie : « Hervé Mort-rein », logiquement en défense
Aux dernières élections régionales en 2015, il l’avait emporté avec moins de 5.000 voix d’écart sur le candidat « P.Soce ». Dans un sondage Ipsos pour « Trans-3 », l’ancien « sinistre de la Défense » de « Bling-bling » était donné en tête au premier tour et gagnant au second, mais sous la menace du « Air-Haine ».
La gôche devait partir divisée au premier tour entre la liste « P.Soce-écololo » et celle PCF-LFI du député de Seine-Maritime qui devaient se retrouver au second tour.
Un autre score était à surveiller : Celui de la liste des « jupiétriens » dans cette région où sont élus l’ancien Premier ministre « Kung-Fu-Panda » et l’actuel « sinistre des Outre-mer ».
 
Pays de la Loire : On s’interrogeait sur possible conquête des « écololos ».
En 2017, ils faisaient combats communs. En 2021, ils s’affrontent à la même élection. Ainsi va la vie en « Jupitérie » !
Désormais, ils bataillent l’un contre l’autre, Matthieu Orphelin, ex-LREM désormais soutenu par EELV, et François de Rugy, ex-EELV passé chez LREM !
Il n’y a rien à comprendre…
Et l’avantage était clairement du côté du premier dans les sondages.
En cas d’alliance avec le candidat « soce », il pouvait même réussir le tour de force de faire tomber la région dans l’escarcelle des Verts.
Son ancien collègue était, lui, dans une position bien plus délicate.
De l’autre côté de l’échiquier politique, la favorite est la présidente sortante de chez « Les Républicains-démocrates ». Si elle devait avoir besoin de nouer des alliances pour conserver son siège, une entente avec le « Marcheur-même-pas-en-rêve » était loin d’être courue d’avance.
Au plan national, le parti rejetait a priori toute alliance avec les « Jupitériens », d’autant que l’ancien président de la région rêve d’affronter lui-même « Jupiter » à la prochaine présidentielle…
Le week-end d’avant le premier tour, « Kung-Fu-Panda » était venu jouer les pompiers de service, s’affichant tour à tour avec « de Rugby » et sa concurrente. Une chose était sûre : La gôche-écolologiste comptait bien profiter des tourments Jupitériens.
 
Grand Est : La terre des alliances dangereuses
Le sortant avait face à lui son adversaire du « Air-Haine » alors donné en tête le 20 juin au soir, et face à la fronde locale impulsée par des membres de sa propre famille. Le pari semblait compliqué pour le président de droâte sortant.
Vexée de ne pas apparaître sur la liste des « Républicains-démocrates », « Nardine-Mort-anneau » a fait savoir qu’elle n’associait pas le candidat « Air-Haine », « au fascisme, ni à l’extrême droite ».
Ambiance…
Dans cette région écartelée entre des réalités géographiques et identitaires très contrastées, l’ancien maire de Mulhouse affrontait l’ancien producteur télé « Air-Haine » depuis 2017. La ministre « Bibi-Kinder-Kert » portait la liste de la majorité ; « Floflo-Phi-phi-Lippe-Pot », démissionnaire du « F.Haine » et qui a refondé les Patriotes en 2017 se jetait dans la course.
À « gôche » on retrouvait l’ancienne « Sinistre de Tagada-à-la-fraise-des-bois », Miss « Or-élit-Filip-petti-péta », tête de liste de « Génération.s-LFI-Place Publique ».
Pourtant, c’est une autre candidate de gôche que l’ancien président « soce » était venu soutenir en personne lors d’un déplacement dans la Moselle, à savoir la tête de liste « EELV-PCF-PS ».
Tout l’enjeu, à l’issue du premier tour, devait porter sur les alliances potentielles entre candidats de l’extrême droâte, et sur le positionnement des listes battues vis-à-vis du président sortant.
 
Auvergne-Rhône-Alpes ? « Veau-Qui-est » !
En Auvergne-Rhône-Alpes, les jeux étaient faits. Ou presque. Sauf cataclysme, le président sortant, en poste depuis 2015, devait virer en tête au soir du premier tour dans cette région de 8 millions d’habitants, au PIB avoisinant les 270 milliards d’euros.
Quelques jours auparavant, un sondage Opinion Way pour CNews le créditait encore de 35 % d’intentions de vote.
Aucun candidat ne semblait en mesure de lui faire de l’ombre : Ni la « Air-Haine » locale (22 %) ni le député « Jupitérien » soutenu par la majorité présidentielle (15 %).
La gôche, elle, partait une fois de plus divisée entre des candidatures écololo et soce qui, toutes deux, n’était pas du tout assurées de dépasser les 10 %.
« L’ex-sinistre de Les-ducs-à-Sion », « Nagea-Va-à-l’eau-Belle-qui-sème » qui conduisait la liste « P.Soce », nourrissait sans doute d’autres ambitions pour son retour sur le devant de la scène…
À grands coups de propositions sécuritaires, l’ex-patron des « Républicains-démocrates », en retrait de la scène nationale depuis la bérézina des européennes, était en passe de réussir son pari : Distancer le « Air-Haine » à qui il a récemment, et sans complexe, tendu la main : « Nous partageons la volonté du redressement de notre pays, je suis convaincu que cela peut commencer par notre région », avait-il lancé à un élu « Air-Haine » de l’Isère.
Si son issue ne faisait guère de doute, « Veau-Qui-est » réussira-t-il à tirer profit de cette victoire annoncée pour (re)devenir un candidat crédible pour 2022 ?
 
« Corsica-Bella-Tchi-Tchi » : Les « cousins-natios » éparpillés façon puzzle !
Ces régionales actent le divorce de la coalition « Pè a Corsica » qui dirigeait l’Assemblée de Corse.
Les « natios » partaient ainsi très divisés : L’autonomiste Gilles Simeoni, président du conseil exécutif depuis 2015, mène ses propres listes.
Il était donné en tête des sondages, tandis que « Jean-Guy (Tas-à-la-muni) », président sortant de l’Assemblée régionale, avait les siennes, celles du parti indépendantiste Corsica Libera.
Autre liste nationaliste, celle menée par le maire de Porto-Vecchio, Jean-Christophe Angelini.
Face à eux, le maire d’Ajaccio, Laurent Marcangeli, à la tête d’une liste soutenue par « LRD », est donné en deuxième position dans les sondages.
Les écololos, le PCF et le candidat « Jupitérien » faisait aussi partie des dix listes présentes au premier tour…
Et il y aura eu des morts éliminés…
 
Notez que ce post, c’est « pour l’Histoire », une sorte de devoir de mémoire.
Parce que dans trois jours, on ne s’en souviendra plus, au soir du second tour…
Parce que tous ces « beaux-calculs », sauf en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » où la participation aura bien résistée au premier tour, par rapport au « Continent des Pinzuti » et aux régions ultra-marines, tous se sont envolés au soir du premier tour et son tsunami de l’abstention qui aura également largement perturbé les départementales du moment.
Rendant obsolètes toutes les projections et autres plans sur la comète !
Mais de ça, nous en avons déjà causé : Pas la peine de revenir dessus.
 
Juste une question (idiote) : Les trolls de « Poux-tines » auront-ils été capables d’interférer sur ces scrutins-là ? 

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