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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 4 juin 2021

Rapportées par Jean-Marc

On est sur la terrasse d’un bar déconfiné.
 
C’est déconfinement.
Jean-Marc et Jean-Paul sont attablés devant une bière à une terrasse ouverte, et discutent de tout et de rien :
« – Depuis que j’ai l’écran géant dans mon salon, ben… J’ai mal aux yeux, faudrait que je voie un “zieuiste” !
– On ne dit pas un “zieuiste”, on dit un oculiste !
– Ben non, c’est aux yeux que j’ai mal ! »
 
Un peu plus tard, arrive une infirmière très fatiguée qui raconte être entrée à la banque avant de se remettre de ses émotions…
Complètement exténuée après un quart de travail de 18 heures.
Elle en dit qu’elle se prépare à signer un chèque sur le comptoir du banquier.
Et elle sort de sa sacoche un thermomètre rectal.
Et essaie d’écrire avec.
Tout à coup elle réalise son erreur.
Elle regarde le commis de caisse tout surpris.
Du tac au tac, sans en manquer une, elle dit :
« Et bien ça c’est la meilleure vraiment cest la meilleure !
Un trou-de-cul est parti avec mon stylo !
Un Picon-bière s’il vous plaît pour me remettre ! »
 
C’est alors que deux autres gars en complet noir, déjà pas mal amochés, firent à leur tour entrée, en pleine discussion :
« On vient d’enterrer le vieux, satané grippe-sous. Tiens, tu parles, il était mathématicien.
Sur la pierre tombale, la famille on a fait inscrire le texte suivant :
“Toute sa vie, il a additionné et multiplié, il n’a jamais soustrait.
Aujourd’hui, ses héritiers ont divisé.” »
 
Entendu encore un peu plus tard :
« Barman ! Deux bières, une pleine et une vide : Mon ami arrête de boire ! »
 
Et Jean-Marc de dire :
« – Tiens, c’est ben un drôle de perroquet que t’as là barman…
– Il est sans pattes.
– Eh ben, qu’est-ce qui est arrivé à ce perroquet ?
– Je suis né comme ça », répond le perroquet.
« – Eh, on dirait qu’il a compris ce que je disais et qu’il a répondu.
– Je comprends chaque mot. Je suis terriblement intelligent et très cultivé.
– Ah ouais ? Eh bien explique-moi comment tu tiens sur ta perche.
– C’est à dire… c’est un peu embarrassant… comme je n’ai pas de pattes, je me sers de mon petit zizi de perroquet comme d’une sorte de crochet.
Tu ne peux pas le voir à cause de mes plumes.
– Wow », dit Jean-Marc. « Alors comme ça, tu peux vraiment comprendre et répondre a ce qu’on te dit ?
– Bien sûr. Je parle couramment français et anglais et peux tenir une conversation sur des sujets divers : politique, religion, économie, physique, philosophie… Bien sûr, je suis assez calé en ornithologie.
Tu devrais m’acheter et me sortir de ce trou, je serais un compagnon très agréable. »
Le barman regarde Jean-Marc en rinçant un verre :
« – C’est 5.000 €.
– C’est un peu cher mais effectivement, tu vaux ton prix. »
Alors il rentre chez lui.
Les semaines passent et le petit perroquet est fantastique.
Il est amusant, intéressant, un bon copain, il comprend tout, sympathise avec les problèmes de son maître et est de bon conseil.
Un jour, Jean-Marc revient du boulot.
Le perroquet, lui râle quelque chose couché en dessous du fauteuil situé près de son perchoir :
« Psst ! »
Il approche et le perroquet dit à voix basse :
« – Je ne sais pas si je devrais te dire ça mais ta femme et le facteur…
– Quoi, ma femme, Germaine, et le facteur ?
– Chuuut… Eh bien, quand il est passé ce matin, ta femme lui a ouvert, vêtue seulement d’une chemise de nuit quasi transparente, l’a fait entrer et elle l’a embrassé sur la bouche.
– Quoi ? Et puis, qu’ont-ils fait ?
– Il a soulevé sa chemise de nuit et l’a caressée sur tout le corps…
– Hein ? Et puis, qu’a-t-il fait ?
– Il a commencé a lui embrasser les seins, puis le ventre, puis le bas-ventre…
– Quoi ? Et puis ? Qu’a-t-il fait ? Réponds !
– Désolé… Je ne sais pas, j’ai commencé à bander et je me suis cassé la gueule… »
C’était une « revenue »
 
Il en a d’autres :
Ça se passe à la direction d’une très grande entreprise…
« – Patron, j’ai deux grosses nouvelles pour vous. Une mauvaise et une très mauvaise.
– Vite ! Commencez par la mauvaise.
– Bien votre femme a trouvé une photo qui vaut une fortune.
– Hein ? Alors vite, vite, la très mauvaise !
– Disons que… ben…m
– Allez !
– C’est vous et la vice-présidente des ventes à quatre pattes dans la salle du conseil.
Ah, ça ? On cherchait son stylo tombé sur la moquette… »
 
Jean-Marc drague (comme d’habitude) et se prend des râteaux en rafale.
Il croise une fille depuis un bon bout de temps et tente sa chance
« – Je ferais n’importe quoi pour toi.
– Ok. Vide ton compte de banque sur le mien ! »
 
Toujours au bar :
« – J’irais au bout du monde avec toi.
– Vas-y, j’irai te rejoindre. »
 
Encore au bar
« – Ah si je pouvais te voir nue, je pourrais mourir heureux !
– Et moi, si je te voyais dans toute ta splendide nudité, je crèverais de rire. »
 
« Quand j’ai appelé le 112, je suis tombé sur le message suivant : “Votre appel est très important pour nous ne quittez pas. Après l’avoir entendu, en boucle, une vingtaine de fois, un autre message m’a dit : “Tous nos préposés sont en ligne, veuillez rappeler plus tard. Merci de nous faire confiance. »
 
Un hérisson en vadrouille rencontre une brosse.
Il hésite, fait le tour, puis monte dessus.
Puis, déçu, il descend… Soudain il aperçoit ses amis…
« Ben tout le monde peut se tromper, non ? »
 
Germaine au ciné chuchote à sa copine
« – Le monsieur d’à côté joue avec sa pine !
– Sois pas si bégueule », lui répond Marie-Chantal.
« – Il ne fait rien de mal, laisse-le se branler.
– D’accord, moi je veux bien. Mais faut-il vraiment qu’il se serve de ma main ? »
 
À une exposition de peintures, un cadre est totalement vide.
L’auteur est à côté.
Jean-Marc lui demande :
« – Qu’est-ce que cela représente ?
– Des vaches dans un pré.
– Mais, je ne comprends pas, on ne voit pas de pré.
– Bien sûr, les vaches ont mangé toute l’herbe.
– Et les vaches ? On ne les voit pas non plus ?
– Vous ne croyez tout de même pas qu’elles vont rester dans un pré où il n’y a plus d’herbe ? »
Perso, ça me rappelle le « Cheveu à la poursuite d’une étoile » de Miró…
 
C’est un fantôme qui va au marché !
Son voisin, en le voyant partir, l’interpelle et lui dit :
« – Attention, tu perds ton mouchoir !
– Mais non ! C’est mon fils ! »
 
C’est un couple marié qui arrive à l’hôpital pour la naissance de leur bébé.
Le docteur leur explique qu’il a mis au point une nouvelle machine qui permet de transférer sur le père une partie de la douleur que provoque le travail de la mère lors de l’accouchement.
Il leur demande alors s’ils sont d’accord pour essayer cette machine.
Tous les deux répondent très favorablement.
Le docteur règle la machine à 10 % de transfert de douleur dans un premier temps, expliquant que 10 % est déjà une valeur qu’aucun père n’a jamais éprouvé auparavant.
Alors que l’accouchement suit son cours, le mari se sent bien et demande au médecin de monter d’un cran.
Ce dernier ajuste alors le niveau de transfert de douleur à 20 %.
Le mari se sent toujours très bien et sa femme de mieux en mieux.
Le docteur vérifie sa tension et s’étonne de son excellente résistance.
Ils décident alors de monter carrément à 50 %.
Le mari se sent toujours bien.
Voyant combien ce transfert de douleur soulage son épouse le mari encourage alors le médecin a transférer toute la douleur sur lui.
L’épouse accouche alors, pratiquement sans douleur, d’un bébé en pleine santé.
Le couple est aux anges.
Lorsqu’ils reviennent à la maison, ils trouvent le facteur mort devant l’entrée…
 
Recyclage
En ce temps de crise sanitaire :
– Les boulangers ont des problèmes croissants.
– Chez GM, la direction fait marche arrière. Les salariés débraient.
– Chez EDF, les syndicats sont sous tension.
– Les bouchers sont obligés de couper dans le gras.
– Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce.
Ils en ont assez de se faire plumer.
– Pour les poseurs de céramique, cette crise est une tuile de plus.
– Les potiers en ont ras le bol.
– Les éleveurs de chiens sont aux abois.
– Les brasseurs sont sous pression.
– Les cheminots menacent d’occuper les locos.
Ils veulent conserver leur train de vie.
– Les gardiens de nuit en ont assez de vivre au jour le
jour.
– Les pédicures travaillent d’arrache-pied pour de faibles revenus.
– Les ambulanciers ruent dans les brancards.
– Les pêcheurs haussent le ton.
– Et … Les prostituées sont dans de beaux draps !
 
« – Bonjour, c’est pour un sondage. Vous préférez les préservatifs ou la pilule ?
– Oh ben la pilule ! C’est quand même plus facile à avaler ! »
 
Un sondage (encore un) réalisé auprès des femmes au foyer :
« – Madame, quand vous faites l’amour, vous parlez à votre mari ?
– Très rarement. Seulement quand il téléphone… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul discutent.
« – Puisqu’on se dit tout, j’aimerais savoir si ta femme baise bien.
– Oh, je ne saurais pas trop te dire. Y’en a disent que oui, d’autres que non… »
 
Jean-Marc demande à un Jean-Paul :
« – Tu fais quoi après l’amour ?
– Je dors et toi ?
– Je m’en vais avant que tu ne rentres à la maison ! »
 
Quelques annonces paroissiales :
« Les dames de la paroisse se sont défaites de leurs vêtements de toutes sortes et l’on peut les voir au sous-sol de l’église vendredi après-midi. »
 
« Jean-Charles et Marie-Françoise se sont mariés le 14 octobre dans l’église.
Ainsi prend fin une amitié qui avait commencé sur les bancs de l’école. »
 
« Cet après-midi, il y aura une réunion aux extrémités sud et nord de l’église.
Les enfants seront baptisés aux deux extrémités. »
 
« Pour ceux d’entre vous qui ont des enfants et ne le savent pas, nous avons une garderie. »
 
« Le curé prononcera son message d’adieu, après quoi la chorale chantera : ‘‘ Entonnons un chant de joie’’. »
 
« Jeudi, à 17 heures, il y aura une réunion du club des petites mamans.
Toutes celles qui aimeraient devenir des petites mamans sont priées de venir rencontrer le curé dans son bureau. »
 
« Dimanche prochain, Mme Vinson sera la soliste pour le service matinal.
Le curé nous parlera ensuite de : ‘‘C’est une expérience terrible.’’ »
 
« En raison de la maladie du curé, les services de guérison du mercredi seront interrompus jusqu’à nouvel ordre. »
 
« Mercredi, la Société littéraire des dames tiendra une réunion.
Mme Belfaisse chantera : ‘‘Mettez-moi dans mon petit lit’’, accompagnée par le curé ».
 
Et la meilleure de la semaine :
« Ne laissez pas l’inquiétude vous tuer, laissez l’église vous aider. »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dépassée :
 
« Jean-Marc, spécialiste de la trique, faisait souvent la fête »
« Les rondeurs l’ont toujours séduit. »
« Ce n’est qu’un brasseur de couillon… »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Quel corps, ce juge ! »
« Comment elle caresse son diamant, cette belle nana ! »
« Ce gros blond est un faucon. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » qui n’a pas mis à jour son site avec son nouvel opus des « Enquêtes de Charlotte » : « L’année Covid de Charlotte » !
Amazon.fr - L'année Covid de Charlotte: Les enquêtes de Charlotte - Flibustier 20260, Dubois, Alexis - Livres
 
Ma bibliothèque (livresinterdits.blogspot.com)
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html

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