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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 7 juin 2021

Ma petite-sœur aura attiré mon attention sur…

Des documents qui visent notamment « Carlita-Bling-bling »
 
En fait, je les avais repérés avant elle et ils nous viennent du Qatar.
Personnellement, je pensais que la « presse aux ordres » aurait pu enquêter dessus, mais manifestement, depuis la première semaine de mai 2021, des « ordres » ont dû être donnés pour ne pas relever l’affront.
On préfère gloser sur ses tenues évaporées de la midinette partagée entre la vie sur « la côte » et la vie « parisienne ».
Pourquoi pas, après tout…
Autrement dit, c’est un enterrement de première classe.
 
Je vous raconte : Une fuite « massive » de documents au Qatar révèle les largesses financières de l’émirat. En « Gauloisie-imperturbable », des personnalités et une ONG auraient bénéficié de cadeaux de plusieurs millions d’euros.
Seul le « média » Blast aura relevé cette histoire « abracadabrantesque ».
Plus précisément, dans le flot, il s’agit de quatre documents potentiellement explosifs pour des personnalités hexagonales.
Ils sont apparus dans la blogosphère en février 2021.
Je les ai pointés en avril, avec un peu de retard, donc.
Et « ils ressemblent beaucoup aux documents officiels (…). Et les chiffres sont correctement écrits ».
Par ailleurs les officiels qataris nommés dans ces documents étaient en poste au moment où ils auraient été fabriqués.
Ils peuvent donc en être les auteurs, même si on n’en saura pas plus pour le moment.
C’était le côté « vérification des sources »…
Bref, un « truc » bien monté jusque-là, sinon « authentique ».
 
Car ce n’est pas suffisant pour écarter la possibilité d’une manipulation (mais à qui profiterait-elle ?), ou même une nouvelle affaire « Clearstream 2 ».
« Plusieurs services de renseignement, aux États-Unis et en Israël, sont informés de l’existence de ces documents », affirme-t-on chez Blast.
« Le Qatar lui-même est au courant qu’ils ont fuité. Apparemment, les informations qu’ils contiennent confirment ce que savent certains services, notamment sur le rôle du Qatar en Libye. »
Si, et seulement si, ces quatre documents sont authentiques, c’est peut-être un véritable tremblement de terre qui pourrait se propager dans le Tout-Paris, compte tenu de l’identité de ceux qu’ils désignent comme récipiendaires des cadeaux distribués par l’émir du Qatar.
Pour l’heure, ils traitent ça comme il se doit : Par le mépris.
 
Car le premier, et le plus ancien, date du 24 novembre 2009. Adressé au directeur de la trésorerie, cet ordre de paiement porte la signature du ministre de l’Économie et des Finances, Youssef Hussain Kamal.
Montant : 6 millions d’euros.
L’ordre précise que la somme doit être remise en cash au docteur Abdallah Ahmed Al-Kubaisi, directeur de cabinet de l’altesse Sheikha Mouza Bent Naser Al-Misned, l’épouse de l’émir.
À qui ?
Ce document indique que ces 6 millions d’euros d’argent liquide sont destinés à… « Carlita-Bling-bling » à l’époque encore l’épouse du président de la République en exercice !
 
Et ce n’est pas un cadeau de mariage, puisque celui des époux « Bling-bling » a été célébré le 2 février 2008, dix-neuf mois plus tôt.
Ni un cadeau de naissance pour la petite « Giulietta » : Elle n’est née que le 19 octobre 2011, deux ans après la remise (supposée) de cette « montagne d’argent » (Soyons sérieux : Ça tient dans un gros sac de voyage.)
Alors… pourquoi ?
Pas de réponse, mais…
 
Mais… rappelons-nous la présidence « Bling-bling ». À l’époque, le Qatar a table ouverte à « Paris-sur-la-plage », où il obtient notamment la défiscalisation de ses investissements immobiliers en mon pays.
Toute la « Bling-blinguie » défile par ailleurs régulièrement à Doha, à l’image de la « sinistre de la Justice », « Rachi-Dada-Mimi », qui deviendra une proche du procureur général du Qatar.
Plusieurs livres sur les relations entre la « Gauloisie-intègre » et le Qatar ont été publiés depuis une dizaine d’années.
Dans leur première enquête, « Qatar, les secrets du coffre-fort », publiée en 2013, deux journalistes racontent la première visite de Carlita à Doha.
« À l’automne 2009 la première dame a été invitée à inaugurer un centre médical à Doha. Les autorités qatariennes l’auraient largement remerciée pour sa venue ». La lecture se poursuit par un chapitre donnant de nombreux détails sur cette visite et sur l’intervention de « Bling-bling » venu chercher sa femme jusqu’à Doha.
 
Le deuxième document concerne à nouveau la « Gauloisie-impétueuse » de la même époque. La date qu’il porte serait très difficilement lisible, mais a priori daté du 25 octobre 2011. Il est adressé au directeur de la Trésorerie du Qatar. Son auteur ? Toujours Youssef Hussain Kamal.
Le ministre qui tient les finances du pays précise qu’un chèque certifié de 40 millions de riyals qataris (environ 9,1 millions d’euros, à la parité actuelle) doit être remis à « Baie-Hache-Aile », notre pote « romancier » archi-connu pour son grand cœur et son côté prosioniste.
Sur ordre de l’émir.
Là encore, la justification d’une telle prodigalité, telle qu’elle est présentée par ce document, à un « philosophe » par ailleurs fortuné est un mystère.
Contacté par Blast, il n’a d’abord pas donné suite.
Avant que son attachée de presse (chez son éditeur, Grasset) ne fasse parvenir une réponse succincte par mail. Elle tient en deux lignes : « J’ai contacté Mr Bernard-Henri Levy. Celui-ci n’a jamais eu le moindre contact, d’aucune sorte, avec le Qatar. Tout document qui prétendrait le contraire ne peut être qu’un faux grossier ».
Dont acte !
On se la joue « manipulation grotesque »…
 
À l’époque, souvenez-vous, le « philosophe-baroudeur » est le porte-la-parole autoproclamé de la rébellion libyenne. Pour justifier son engagement auprès des « révolutionnaires » libyens, il explique agir en tant que « juif ».
(Oui parce qu’il est également « feuj » : On ne choisit pas de le devenir…)
Un argument qui ne souffre pas la contestation, à ses yeux : « J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël », déclame-t-il.
Le 2 juin 2011, il rencontre d’ailleurs pendant plus d’une heure et demie le Premier ministre israélien de l’époque, le contesté « Ben-jasmin-Né-Tana-yahoo », pour plaider la cause de la rébellion libyenne.
Accréditant ainsi la fausse thèse selon laquelle Israël est derrière la chute de Kadhafi.
Car Israël refusera de s’engager dans cette aventure-là.
 
La clé de cette énigme et de ce cadeau évoqué par le document qui cite le nom de « baie-Hache-Aile », se trouve peut-être dans le document qatari.
Il faut revenir aux dates, et aux évènements de l’époque.
Le soulèvement contre le régime dictatorial du colonel Kadhafi débute le 15 février 2011. Très rapidement, le « philosophe-baroudeur » affiche publiquement son soutien aux opposants au régime. Et il va peser de tout son poids pour convaincre le président « Bling-bling » d’engager l’armée Gauloisienne sous couvert d’une opération autorisée par l’ONU.
Le 20 octobre 2011, après la chute de Syrte, son dernier refuge, le dictateur est arrêté et abattu.
Il faut se souvenir tout de même qu’il avait été reçu, avec son harem, en grandes pompes dans la kapitale à l’occasion du 14 juillet 2007…
 
On peut se poser alors la question de savoir s’il existe-t-il un lien entre la chute du dictateur et le chèque que ce document présente comme adressé à « Baie-Hache-aile » par le Qatar ?
Ce chèque doit-il être considéré comme une pièce de toute première importance pour comprendre les causes réelles de la chute du régime Libyen ?
La version officielle, on s’en souvient, avait justifié l’intervention armée de la « Gauloisie-imperturbable », de celle des « Britishs » et des « Ricains » au nom d’une urgence humanitaire : La protection de la population libyenne, notamment les habitants de la ville de Benghazi, menacés d’extermination.
Une version depuis largement démentie.
Les motivations réelles du « Bling-bling » ont d’ailleurs également été questionnées. Notamment depuis la parution d’une enquête de Mediapart sur les dessous du financement de sa campagne présidentielle de 2007 qui dévoilait l’implication financière possible du « Guide » de la révolution.
Mais la justice, rendue au nom du peuple, est passée par-dessus et n’y a rien vu à redire…
 
Or, depuis quelques années une autre version circule dans les milieux du renseignement.
En réalité, la chute du libyen aurait été imaginée, préparée et organisée par Doha, la capitale du Qatar. Profitant des Printemps arabes qui se soulèvent alors, et bouleversent la donne en Afrique du Nord, puis en Syrie, le Qatar y aurait vu une opportunité pour étendre sa zone d’influence dans la région.
Ainsi, la décision aurait été prise de profiter de ce climat pour installer à Tripoli, au pouvoir, les Frères Musulmans, que l’émir protège et finance depuis des décennies.
Les liens entre l’organisation islamiste extrémiste et le Qatar ont été largement décrits le livre « Qatar, les secrets du coffre-fort ».
 
« C’est le frère du numéro 2 d’Al Qaeda qui dirigeait l’organisation en Libye » affirme une source proche des services de renseignement.
Selon lui, le Qatar a utilisé les grands pays occidentaux, à commencer par la « Gauloisie-impériale », pour mettre son plan à exécution et faire la sale besogne.
Le chèque qui aurait pu être remis à « Baie-Hache-Aile » – si on en croit le document – aurait-il pu participer à l’élaboration de ce plan ? Ou est-ce, comme le prétend aujourd’hui le « philosophe-baroudeur » un faux grossier destiné à l’incriminer ?
Impossible en l’état de répondre à cette question !
La seule chose qui peut être mise en avant, c’est l’existence du document qui indique qu’un chèque a été rédigé à l’ordre du philosophe.
Rien n’indique que ce dernier l’ait encaissé.
 
Avec le troisième document, c’est encore un autre volet qui s’ouvre.
Le chèque qui semble y être associé pourrait également être compromettant pour son destinataire. Et faire rebondir l’enquête en cours sur l’attribution de la Coupe du monde 2022 de football au Qatar.
En date possible du mois de décembre 2010, il émane comme les deux premiers documents du ministre de l’Économie et des Finances.
Et il est adressé également au directeur de la Trésorerie de l’Émirat.
Youssef Hussain Kamal demande que 40 millions de riyals qataris (soit environ 9,1 millions d’euros à la parité actuelle) soient versés à Laurent « Platoche », le fils du célèbre footballeur.
 
La date de ce cadeau est cruciale : Le 2 décembre 2010, la FIFA désigne par 18 voix contre 6 (pour les États-Unis) le Qatar pour organiser la coupe du monde 2022.
Mais très rapidement, la presse internationale va enquêter sur les dessous de cette attribution et dévoiler les méthodes corruptives de l’émirat.
Surtout, l’existence d’un déjeuner organisé à l’Élysée avec un représentant du Qatar et Michel « Platoche » quelques jours avant la décision de la FIFA est révélé.
Or, avant ce déjeuner, l’ex-Ballon d’or était contre le Qatar.
Au moment du vote, il avait changé d’avis.
Et il soutient finalement sa candidature.
Un revirement qui a laissé penser que ces agapes ont pu peser lourdement dans la balance.
De plus, son fils Laurent, alors en poste dans la filiale Sport du groupe Lagardère, est embauché en décembre 2011 par Burrda Sports (Qatar Sports Investment) comme « General manager ».
Laurent « Platoche » conservera son poste jusqu’en décembre 2016.
Le mois suivant son départ, il retourne dans le groupe Lagardère, dont le Qatar est un important actionnaire, comme directeur marketing de la branche Sport, rebaptisée depuis Sportfive, et vendue l’année dernière au fonds HIG Capital.
Cette affaire-là aura contribué à la perte de « Platoche » alors que la Justice Helvète le relaxera de tout soupçon de corruption…
 
Enfin le quatrième document est plus récent mais tout aussi surprenant.
Daté de janvier 2018, il mentionne un don de 3 millions d’euros autorisé par le président du conseil ministériel qatari suite à une demande du ministre des Affaires étrangères à l’ONG Human Rights Watch.
Contactée via son bureau parisien, l’organisation dément l’existence d’un tel don, précisant ne recevoir « aucun financement d’aucun gouvernement ou entité gouvernementale afin de garantir son indépendance. »
Dont acte…
 
L’ONG a beaucoup travaillé sur le Qatar. Dans son rapport 2018, elle salue « une série de réformes importantes des droits humains qui, si elles étaient appliquées, introduiraient certaines des normes internationales les plus progressistes en la matière dans la région du Golfe. ».
Ces éloges avaient, c’est peu de le dire, surpris plus d’un observateur alors que les avancées en matière de droits de l’Homme au pays de la famille Al Thani restaient très modestes et superficielles.
 
Selon les informations « circulantes », les autorités « Gauloisiennes » sont informées de l’existence de ces documents.
Et d’après des sources concordantes, aussi bien au ministère de l’Intérieur & des cultes qu’à la Chancellerie, savent qu’ils circulent.
Pour autant, curieusement aucune enquête n’a été diligentée pour le moment, ne serait-ce que pour en vérifier l’authenticité.
Et ne le sera probablement jamais : On entre en période électorale et il vaut mieux garder des « munitions » à tirer au cas par cas selon la tournure des événements durant la campagne.
La seule menace qu’elles pourraient être tirées reste probablement assez dissuasive pour protéger les « lignes-rouges ».
 
Ceci dit, la réputation du Qatar n’est plus à faire : Je vous explique ainsi pour quelle raison « Mythe-errant » aura fait une escale impromptue à Doha la veille de l’offensive terrestre de l’opération « Tempête du désert » qui aura libéré le Koweït de l’invasion irakienne.
Rappelons que son avion aura fait un « petit crochet » par Lucerne en Helvétie avant d’atterrir ensuite sur la BA 107 de Villacoublay.
(Cf. Book Envol (editions-bookenvol.com))
Et pourquoi Doha ?
C’est expliqué très logiquement dans le volume « Laudato sì… » (pas encore publié, la faute à « Mon Gardien » qui veut couper tout plein de chapitres auxquels je tiens).
(Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2017/01/laudato-si-0.html)
 
Mais tout cela reste de la gnognotte : Qu’on ait des traces de « chèques émis », c’est une chose, certes suspecte. Quoique de nos jours en deux/trois « clics » de mulot, on peut virer des sommes colossales en quelques secondes d’un compte à celui d’un tiers. Pas très compliqué.
Tout le problème associé, c’est de savoir qui encaisse le chèque suspect.
Et là, l’enquête de Blast n’apporte absolument rien de probant.
Ce qui devient très suspect…
Surtout à notre époque où tout est tracé, entre agences bancaire, entre banques, entre plateformes de compensation, le tout contrôlé au-delà des frontières par le Bureau International des Règlements.
Rien n’y échappe et une simple inversion de chiffre fait « incidents de paiement » qui rejette l’opération.
 
Et puis encore, recevoir des fonds de la corruption, ça peut être motivant, mais quand il s’agit de « blanchir proprement » ce pognon sale, ça devient plus compliqué. C’est d’ailleurs là qu’on se fait prendre la main dans le sac : Le fisc veille, croyez-moi…
Et il bloque : Même le « Chi » a pu bloquer le versement des rétrocommissions sur les sous-marins vendus à Karachi… en un claquement de doigt !
Mais…
 
Mais ne se rappelle-t-on pas quelques « manips » comme le « Bling-bling-au-thon » qui aura renfloué miraculeusement l’UMP en voie de faillite-avariée à une certaine époque ?
C’est fabuleux, quand on dispose d’une « machine à laver » les « dons anonymes » qu’on aurait normalement dû retrouver dans les crédits d’impôt attachés aux déclarations de l’année suivante… et qu’on n’a jamais vu à Bercy !
C’est simplement un peu « d’huile de coude » et une comptabilité qu’on planque tant que tout n’est pas « en ordre »…
Et justement, les fonds reçus par « Carlita » l’ont été en liquide, pas en chèque ni par virement.
Il suffisait donc de puiser et d’aller à la poste ou de faire la « tournée des militants » de confiance…
Il y en a même un qui s’est fait bêtement piquer par les douanes en Gare du Nord, direction les « mécènes de confiance » du « plat-pays », avec 500.000 euros en grosses coupures : Il a écopé d’une peine avec sursis.
 
Je vous laisse faire votre propre opinion : J’avais seulement promis à ma « Petite-sœur » d’en parler un jour ou l’autre.
C’est fait.

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