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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 15 juin 2021

G7 première étape européenne du « Ricain »

Se prennent-ils vraiment au sérieux ?
 
C’était le week-end dernier. Pendant que la jeunesse-parigote faisait la fête encadrée par la police nationale sur l’esplanade des Invalides (ce qui a dû faire plaisir à « Poux-tine » et rappelé de mauvais souvenir aux Hong), eux rentraient après un petit séjour en « bord de mer », sur Saint-Ives Bay.
Un coin perdu au bout du bout de la Cornouailles, orienté plein Nord…
C’était peut-être pour ne pas le perdre, justement…
Ils ont bien aimé le vert-bocage à s’échanger des banalités et des ronds de jambes, hors « BoJo » et ses histoires de saucisses de Toulouse.
Même la Queen était de sortie et aura montré qu’elle savait manier le sabre…
Sauf que « Xi-Ping-Pong », le pékinois pas convoqué, il aura indiqué que le monde n’est pas gouverné par seulement quelques 7 pays occidentaux, loin de là.
Ça, on savait…
 
« Jupiter » aura salué un « multilatéralisme efficace » et des décisions « utiles » pour « nos concitoyens », permettant de les éloigner du vote « nationaliste ».
Quel rapport ?
« Nos concitoyens ont eu pendant beaucoup d’années et peuvent avoir encore le sentiment qu’on parle de sujets ici qui sont très déconnectés de leur quotidien. Je pense tout l’inverse ».
D’après lui, il s’agit pour les dirigeants du G7 de « montrer que nos décisions ont des effets utiles pour nous » et « permettent de régler nos problèmes à la maison et rendre la vie de nos concitoyens meilleure ».
« Alors nos concitoyens dans nos pays vont voter pour des gens qui participent à cet agenda international, et pas pour des gens qui leur expliquent ‘‘la réponse est dans la nationalisme’’ » avec en perspective sa réélection alors que les sondages le donnent au second tour à nouveau face à l’extrême droâte.
« Si on a des réunions où rien ne se passe, légitimement (nos concitoyens) finiront par croire que les nationalistes ont raison. Je crois tout le contraire », a-t-il vraiment insisté.
« Dans notre pays on voit une montée des violences. On a tous des raisons qui sont propres à nos pays mais elles ont deux racines profondes : les inégalités sécrétées par le fonctionnement de l’économie internationale et l’ensauvagement des discours sur les réseaux sociaux », a-t-il prétendu.
Et personne ne lui aura rappelé la baffe reçue récemment…
Ils restent polis, entre eux.
 
« Ces deux sujets sont au cœur de l’agenda avec des réponses concrètes ». Par exemple « on va pouvoir taxer les multinationales - c’est 5 à 10 milliards de plus pour le budget français » et « je peux l'expliquer à mes contribuables : je vais vous enlever 5 à 10 milliards d'impôts », a avancé « Jupiter ».
« Je ne peux pas le faire si les Britanniques, les Allemands, les Américains ne le signent pas avec nous », a-t-il appuyé.
Naturellement, mais comme les Britishs ne veulent pas en entendre parler pour ce qui est de leurs « multinationales » bancaires et que les Irlandais sont sur la même longueur d’onde pour tout le reste - et on ne parle même pas des chinois - il va y avoir comme quelques longues années de pression à venir.
Le sait-il ?
Et puis, lui qui a fait l’ENÂ et même « l’inspection des finances » publiques, il se fout du monde ou on ne lui a rien appris : Qui paye la taxe « GAFAM » au juste ?
Et le mek qui répond « Les GAFAM », il n’a rien compris…
Les GAFAM payeront parce qu’elles font du chiffre d’affaires avec leurs clients qui payent dans le prix la taxe GAFAM !
Et qui sont leurs clients ?
Bé justement le « con-tribuable » qui achète le produit ou le service vendu par les GAFAM !
Et personne d’autre…
En bref, je t’en pique un peu plus là, pour, dit-il, te le rendre ailleurs.
Naturellement, il ne le rendra jamais mais le dépensera autrement…
Autre exemple cité : « Si je n’aide pas l’Afrique à réussir, je subirai les phénomènes migratoires massifs dans mon pays avec des éléments de déstabilisation » et de vote « ras-le-bol » anti-migrant.
Autrement dit, avec le pognon qu’il t’a déjà piqué ou qu’il va te piquer, il va aider à ce qu’il y ait moins de problèmes migratoires pour s’assurer une victoire face à « Marinella-tchi-tchi » !
Magnifique, n’est-ce pas ?
 
Ceci dit, ce G7 a promis de distribuer « plus d’un milliard de doses » de vaccins contre le « Conard-virus » d’ici la fin de 2022, selon « BoJo », soit directement fournies (870 millions de doses) soit par du financement.
Et c’est très bien : Si on veut se débarrasser de ce « conard-de-virus », il faut en faire un maximum !
Cela portera son engagement total depuis le début de la pandémie à deux milliards de doses.
La « Gauloisie-vaccinée » a elle assuré qu’elle doublait sa promesse, la faisant passer à 60 millions de doses d’ici fin 2021.
Du moment que c’est avec ton pognon, y’a pas de limite…
Les dirigeants ont demandé en outre une enquête plus poussée de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur l’origine du virus en Chine.
Je ne comprends pas, puisqu’on sait déjà l’essentiel…
Au-delà, il s’agira de se donner les moyens de prévenir d’autres catastrophes sanitaires, en augmentant les capacités de production des vaccins et en améliorant les systèmes de détections : L’objectif est de pouvoir développer des tests, traitements et vaccins en moins de 100 jours, contre 300 pour l’actuelle pandémie.
Ils ont qu’à aller voir chez Bill Gates : Ça fait des années qu’il prévient et s’affaire sur le sujet !
 
Les 7 veulent aussi presser le pas sur la lutte pour le climat.
Ainsi ils soutiennent l’idée d'une « révolution verte », forcément « créatrice d’emplois » (sans ça, ce n’est pas la peine…) et permettant de limiter le réchauffement à 1,5 degré, seuil au-delà duquel les scientifiques estiment que le changement climatique deviendra incontrôlable.
Enfin, c’est un risque, pas une certitude scientifique…
Ils s’engagent ainsi à devenir neutre en carbone au plus tard en 2050 et à réduire de 50 % ses émissions de CO2 d'ici 2030, par rapport à 2010.
Pas terrible, mais au moins on aura anticipé le fameux « Pic oil » d’extraction qui se profile à un horizon qui se repousse toujours plus loin dans l’avenir…
Et ils se prononcent pour l’arrêt d’ici 2021 des financements de projets de charbon pour produire de l’électricité qui n’auraient pas recours à des technologies (captage et stockage de CO2) pour réduire leur émission.
La nouvelle « manne à subvention »…
Du moment que c’est avec ton pognon, il n’y a pas de limite.
Ils veulent aussi aller plus vite dans l’interdiction des nouveaux véhicules diesel et à essence, et dans la transition vers les véhicules électriques.
Du moment que tu as les moyens de te payer les nouveautés avec le pognon qui te reste, ce n’est pas un problème.
Les autres iront à pied (le cheval étant déjà interdit en ville)…
 
Sur la biodiversité, l’objectif est de préserver ou protéger au moins 30 % des terres et des océans d’ici 2030. Et pour ça ils vont mobiliser 100 milliards de dollars par an de fonds publics et privés d’ici 2025 pour aider la transition énergétique des pays pôvres.
Du moment que c’est toi qui payes avec ce qui te reste de pognon, il n’y a pas de limite…
Car les 7, dans un mouvement de générosité altruiste qui les rend admirables, ils veulent aider les pays en développement, que ce soit sur le climat, la santé, la sécurité, le numérique ou l’égalité. Et ils promettent des propositions concrètes à l’automne, pour un projet vu comme une réponse à l’influence de la Chine sur les pays pauvres, via son projet d’investissement des « Nouvelles routes de la Soie ».
Quel rapport ?
Je ne sais pas bien, mais comme c’est avec ton pognon piqué par ailleurs, il n’y a pas de limite, vous te répète-je…
Notez que le pognon, ils m’ont déjà : Il suffira de « réorienter » une partie de la nouvelle émission par le Fonds monétaire international (FMI) de 650 milliards de dollars de droits de tirage spéciaux (DTS) pour aider les pays défavorisés, surtout en Afrique, à rebondir après la pandémie.
S’ils ne l’ont pas, ils te vous l’inventeront…
 
Le G7 a aussi profité de l’occasion pour appeler Pékin à « respecter les droits humains » de la minorité musulmane des Ouïghours dans la région du Xinjiang et à Hong-Kong (qui n’a pas de musulman répertorié), tout en voulant… coopérer avec Pékin quand « c’est dans un intérêt mutuel ».
Le grand écart, quoi…
Le président « ricain » et « Jupiter » ont ainsi pris soin juste après la conclusion du sommet de préciser que le G7 n’était pas en « conflit » avec la Chine.
En revanche le G7 appelle Moscou à « cesser ses activités déstabilisatrices », y compris les interférences, de respecter les droits humains et de « demander des comptes » aux responsables de cyberattaques depuis son sol.
Car les 7 entendent représenter la démocratie, la liberté, l’égalité, l’État de droit et le respect de droits humains, rien de moins !
Rien que ça, pendant qu’on bastonnait sur l’esplanade des Invalides le lendemain…
Et ils insistent sur la défense des égalités de genre et veulent même donner une éducation à 40 millions de jeunes filles, en mobilisant au moins 2,75 milliards de dollars.
Du moment que c’est avec ton pognon… y’a pas de limite !
Et puis, pour la bonne-bouche, ils soutiennent bien entendu la tenue des jeux Olympiques de Tokyo (23 juillet - 8 août) qui avaient été reportés l’année dernière souhaitant que l’événement soit « un symbole d’unité mondial pour surmonter la Covid-19 ».
S’ils savaient la suite…
Enfin, passons.
 
« BoJo » est rentré à Londres pour envisager de prolonger son couvre-feu/confinement, « Baille-Dan » est allé passer le reste de la journée et une partie de la soirée au Château de Windsor, les autres sont rentrés chez eux, contents comme tout (le « présentiel » ça change des réunions par zoom, au moins on se régale de cuisine locale) et « Jupiter » sera arrivé par un chemin détourné (jusque par-dessous mes fenêtres parigotes) jusqu’à son « château-à-lui », le palais de l’Élysée pour se tenir informé de la campagne et des « couacs » de ses sinistres-candidats…
Et puis il sera reparti hier pour un sommet de l’Otan, toujours en « mort cérébrale », alors que des manœuvres militaires se poursuivent dans les pays Baltes et en Pologne.
Les « militareux » jouent à la guéguerre aux frontières de l’UE, puisqu’on les prive de leur cour de récréation en Afrique…
 
Avec à la clé une rencontre avec le turc (qui fait toujours sa tête… de turc) !
Car depuis deux ans, la litanie des griefs entre Ankara et « Paris-sur-la-plage » a pris des proportions inquiétantes.
Les divergences ont aussi bien touché à la « santé mentale » de « Jupiter » qu’aux velléités belliqueuses d’« Air-dos-gagne », aux conflits en Libye, en Syrie, en Arménie, en passant par l’achat de missiles russes S-400 par Ankara, Charlie Hebdo et le vote de la loi séparatisme dans l’« Hexagone-Gauloisien » : Une pleine pelletée !
 
« Il faut beaucoup de sang-froid après des paroles aussi violentes. Mais ce que dit au fond Emmanuel Macron est vrai : même si les divergences sont profondes il faut quand même se parle », assure un ancien ambassadeur de l’UE en Turquie.
En conférence de presse jeudi 10, « Jupiter » assume : « Nous avons mené parfois des controverses, et nous les assumons, mais quels que soient les désaccords, on doit toujours se parler », a-t-il défendu.
La tension entre les deux pays avait atteint un tel degré qu’il n’y avait de toute façon presque pas d’autre choix que de rebondir.
« Il y a des limites à la dégradation dans le cadre d’accords internationaux qui lient la France et la Turquie. Il y a l’Otan bien sûr, mais la Turquie est aussi présente au Conseil de l’Europe. Ça ne pouvait pas aller plus loin ».
De fait, cet entretien arrive aussi après plusieurs mois de « réchauffement » ou « d’accalmie » entre les deux pays.
Le changement de président à Washington a entraîné une recomposition dans les relations internationales et dégagé en partie le chemin pour une reprise du jeu diplomatique dans sa forme plus classique.
« C’est une énorme perte pour Recep Tayyip Erdogan. C’est Trump qui avait cédé et autorisé le retrait de troupes américaines au nord-est de la Syrie, provoquant un tollé. Joe Biden, c’est en revanche le retour d’un dialogue transatlantique confiant ».
C’est aussi l’ancien président républicain qui avait joué la montre pour repousser l’imposition de sanctions à Ankara après l’achat de missiles russes.
 
Vis-à-vis de Paris, « ce retour à la normale », s’est traduit par une tentative de séduction via une tribune du ministre turc des Affaires étrangères dans L’Opinion, une rencontre avec son homologue « Jean-Yves Le Riant » la semaine dernière, ou encore une réunion en visioconférence entre les deux présidents en mars dernier.
Ankara participe également à des discussions avec la Grèce concernant la situation en Méditerranée orientale, où une frégate « Gauloisienne-impétueuse » avait été visée par des radars de tirs turcs à trois reprises en juin dernier.
« Plus généralement d’ailleurs, c’est un réchauffement des relations turco-occidentales. On assiste à une sorte de repolarisation dans le monde, et la Turquie qui avait pris l’habitude de faire le grand écart notamment avec la Russie, va devoir choisir ».
« Jupiter » n’était pas le seul dans la lassitude : « Même en Allemagne, Ankara a commencé à agacer après ses sorties sur le ‘‘nazisme de Berlin’’ ».
 
Justement, sur le plan intérieur, le turc a également tout intérêt à calmer les mécontentements dans un contexte économique et sanitaire morne après la pandémie de « Conard-virus » : « L’AKP est visé par des accusations de corruption, la pollution par la morve de mer arrive en pleine période touristique, et surtout alors que la Turquie intervenait peu militairement, elle a multiplié les opérations ces dernières années, ce qui inquiète les Turcs ».
Et même les grecs des îles de la Mer Égée…
Autre horizon plus lointain : Leurs élections présidentielles se dérouleront en 2023 et marqueront le centenaire de la République de Turquie.
« C’est un peu le moment où Erdogan deviendra l’équivalent d’Atatürk. Finalement pour les Occidentaux, Recep Tayyip Erdogan est parti pour rester donc autant normaliser au maximum les relations sans baisser la garde ».
Le tout dans un contexte où la Turquie est de plus en plus mise à l’index concernant la situation des droits de l’Homme sur son territoire.
« L’an dernier, Recep Tayyip Erdogan a réussi une suite de coups, avec une politique étrangère très tactique qui illustre bien sa personnalité. Mais ça a été presque trop bien joué parce que le résultat fin 2020, c’est un isolement très fort de la Turquie, y compris avec le monde arabo-musulman, et face à des pays comme l’Iran ou la Russie.
En revanche, même si cela se passe bien avec Macron et à l’OTAN, certains dossiers sont détachables et resteront des dossiers de contentieux ».
 
Il ne faut pourtant pas s’attendre à un demi-tour sur la question de la Syrie ou des missiles russes S-400, lesquels ont par ailleurs couté à Ankara sa place dans un programme de fabrication d’avions furtifs américains.
Ces deux points ont été cruciaux lors du sommet de l’OTAN, même si on ne vous le dit pas trop, mais aussi lors de la rencontre avec « Jupiter ».
« Quand on est membres de la même organisation, on ne peut pas décider de prendre des équipements qui ne permettent pas d’interopérabilité, on ne peut pas décider de mener des opérations unilatérales qui sont contraires aux intérêts des coalitions qu’on a bâties », avait lui-même indiqué « Jupiter ».
En bref, il ne faut pas s’attendre à autre chose qu’un soutien en Afrique sous la forme de gages de bonnes volontés puisque que « Jupiter » aura annoncé une transformation profonde de l’opération Barkhane au Sahel.
Car la Turquie développe ses bases au Tchad et en Somalie.
« Si les relations se réchauffent, elle pourrait jouer un rôle au sein d’une coalition ».
C’est à voir à plus long terme.
Mais ne sera pas pour autant effacé l’affront fait à « Ursule-des-Lyres » et à travers elle à l’UE : Là, la Turquie est définitivement plus candidate à une adhésion, alors que ses finances et sa monnaie s’effondrent toujours un peu plus…
C’est un mauvais pion et en réalité, et « Air-Dos-Gagne » et son parti jouent personnellement gros, mais ils ne le savent pas encore…
On y reviendra probablement.
 
Une semaine chargée pour « Jupiter », finalement : Aura-t-il le temps d’aller dans le maquis se prendre encore quelques baffes d’ici là ?
Non : On entre dans la dernière semaine de campagne électorale en « Gauloisie-démocratique »…

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